Giseh Cliquer sur l'image pour agrandir
En 1996, Graham HANCOCK et Robert Bauval, auteurs du livre " Le Mystère du Grand Sphinx " soutinrent la thèse selon laquelle le Sphinx , les trois pyramides, les chaussées et les monuments annexes de la nécropole de Giseh constituaient autant d'éléments d'un immense diagramme astronomique. Ce diagramme est censé représenter les cieux de Giseh, tels qu'ils se présentaient en - 10500 av. J.-C. S'agit-il d'un repère temporel pour nous signifier un événement majeur dans l'histoire de l'humanité ? Encore une fois, je vous renvoie au dossier Edgar Cayce et la fin des temps.
En quoi consiste le parallélisme ciel/terre ?
Le Nil reflèterait la Voie Lactée.
Les pyramides seraient disposées comme les trois étoiles du Baudrier d'Orion ( identifié à Osiris ). Par une simulation informatique, la corrélation parfaite ciel/terre remonterait à - 10500 av. J.-C.
Pour que le Sphinx, sculpté à l'image d'un lion, regarde le soleil équinoxial se lever dans le ciel de l'aube à l'âge du Lion, il faut également remonter à - 10500 av. J.-C.
L'une des galeries sud de la Grande Pyramide serait très exactement orientée vers Sirius, étoile associée à la déesse égyptienne Isis.
En 1993, à l'intérieur de la Grande Pyramide, un ingénieur allemand, Rudolf GANTENBRIK, fait remonter son robot Upuaut muni d'une caméra le long des conduits de la Chambre de la Reine. A plus de soixante mètres de l'ouverture du conduit sud, il se heurte à une mystérieuse petite porte équipée de poignées de cuivre. Comme par hasard, il s'agissait de ce conduit orienté sur le passage au méridien de Sirius.
A ce jour, plus de huit ans après cette découverte, aucune autorisation n'a été délivrée pour lui permettre de poursuivre ses recherches et la " porte " reste toujours fermée. Aurait-on peur de découvrir les secrets qu'elle pourrait dissimuler ?
Belmo voulait-il signifier à Rose l'intérêt de ce conduit ? Rappelons quand même pour mémoire que Rose a vécu cette rencontre en 1975, soit 18 ans avant l'affaire Gantenbrik.
Ou bien voulait-il évoquer une possible origine extra-terrestre (encore que cette hypothèse ne soit pas incompatible avec la précédente) ? Si ce thème vous intéresse, je vous invite à consulter le dossier très instructif de Fred IDYLLE : Le mystère des Dogons.
L'excellent site R.R.O.
consacré aux OVNIS relate l'étrange histoire d'un groupe d'individus —
appelés les Dropas ou Dzopas — vivant dans les montagnes
Baian-Kara-Ula du Tibet. Un certain nombre de grottes funéraires
contenant d'étranges squelettes, grands seulement d'un mètre trente,
dont les têtes étaient disproportionnées par rapport à leur carrure
menue furent découvertes en 1937. On y trouva également également des
disques de pierre d'environ 30 cm de diamètre et d'une épaisseur
inférieure à un cm. Ces disques étaient gravés en spirale avec des
inscriptions d'origine alors inconnue, comme s'il s'agissait d'un
enregistrement. En 1947, l'universitaire Karyl Robin-Evans, après un
voyage particulièrement pénible, reçut les enseignements d'un
professeur de langue locale qui lui enseigna les bases de la langue Dzopa.
Il apprit ainsi de Lurgan-La, gardien de la religion des Dzopa, leur
histoire. Lurgan-La indiqua qu'ils (les Dzopas) venaient originellement
d'une planète du système de Sirius.
Ils avaient entrepris — il y a environ 20 000 puis en l'année 1014 —
2 missions d'exploration sur Terre. En 1014 eut lieu un crash qui ne
permit pas aux survivants de l'accident de repartir de la Terre.
Les
Dzopas seraient donc les descendants directs d'"étrangers"
voyageurs de l'espace. Ceci
dit, toutes les autres sources parlent au contraire d'un crash ayant eu
lieu il y a 12 000 ans de cela. Cette divergence reste inexpliquée à ce
jour.
En 1962, le professeur Tsum Um
Nui entreprit de décoder les disques de pierre et aurait réussi à les
traduire partiellement. Les découvertes étaient si extraordinaires que
l'Académie des Sciences de Beijing fit interdire tout d'abord leur
publication. En effet, le texte gravé sur les disques parlerait d'un vaisseau spatial, qui
se serait écrasé sur terre il y a 12 000 ans.
Dans le numéro 13 de la revue "Dossiers Brûlants", un certain Markab nous informe que l'étoile Sirius associée aux mystères de l'Egypte Ancienne tenait une place importante dans la doctrine de l'Ordre du Temple Solaire. C'était vers ce point de l'univers que les "suicidés" devaient se diriger ... Cet auteur a inclus les guillemets, sans doute pour nous faire comprendre que la thèse officielle du suicide comportait quelques zones d'ombre et que de nouveaux éléments tirés de l'analyse du sol (à l'endroit où les corps carbonisés furent retrouvés) étaient actuellement susceptibles de remettre en cause la version du suicide. Quoi qu'il en soit, nous n'insisterons jamais assez pour rappeler et dénoncer les dérives sectaires ainsi que toute tentative de manipulation.