Aristote pensait que les plantes
ont une âme . Charles Darwin
comparait certaines parties d'une plante à un cerveau, et joua une fois du
basson devant son mimosa pudica pour tenter (sans
succès) d'en faire bouger les feuilles. Quant à Goethe, qui n'était pas seulement poète mais aussi
botaniste et directeur des mines du Duché & de Saxe Xeimar, il avait fait
des découvvertes fondamentales sur la métamorphose des plantes, et
entrevoyait une essence spirituelle derrière leur forme
matérielle.
Aujourd'hui,
le monde scientifique tend à considèrer de telles notions avec un
septicisme teinté d'ironie. Pourtant depuis des quelques
années, de nouvelles expériences et observations réalisées
dans plusieurs pays, commencent à révéler un monde inconnu et
mystérieux, dans lequels les plantes souffrent, éprouvent des
émotions, lisent la pensée humaine, et tentent de communiquer avec nous
.
Ce monde, qui voisine et parfois se
superpose avec celui de la science-fiction, est décrit dans un
ouvrage étonnant, The Secret Life of
Plants (la vie
secrète des plantes) que vient, de publier aux Etats-Unis
Peter Tompkins en collaboration avec
un biologiste, Christopher
Bird.
L'événenent qui semble avoir contribué
plus que d'autres au renouveau d'intérêt que porte la science à ce
monde mystérieux s'est produit à New York en 1963, dans les
bureaux d'un expert de la détection du
mensonge, Cleve
Backster, consultant auprès de la police new-yorkaise.
L'un des paramètres dont tient compte la détection du mensonge est la
résistance galvanique de la
peau. Un jour, par impulsion, ou curiosité
intellectuelle ou peut-être, parce qu'il n'avait rien d'autre
à faire, Backster plaça les électrodes de son détecteur de mensonge
sur une feuille de dragonnire, ou dracaena, une plante d'appartement que
sa secrétaire avait achetée. Puis, il arrosa la plante.
Des plantes s'émeuvent
en percevant loin d'elles la mort violente de quelques crevettes
ébouillantées
Il
s'attendait à ce que le galvanomètre ( à la suite d'une
teneur d'eau accrue) indique une résistance plus faible
au courant électrique, mais c'est précisément le contraire qui se produisit.
Perplexe, Backster se demanda alors ce qui se passerait si la plante «
"souffrait". Il décida de brûler, avec son
briquet, la feuille même sur laquelle il avait placé les électrodes. Quelle ne
fut pas sa surprise, au moment où sa décision était prise et avant même d'avoir extrait le briquet de sa
poche, de voir l'aiguille enregistreuse bondir soudainement,
pour indiquer une conductivité superficielle accrue. Le tracé graphique
lui rappelait curieusement celui d'un homme lorsqu'on
lui pose une question-piège ou lorsqu'on le menace.
Témoin à charge
et détecteur de mensonge
Lorsqu'il brûla effectivement la feuille,
la réaction galvanique était plus faible. Plus tard, lorsqu'il fit semblant de
brûler la feuille, mais sans avoir vraiment l'intention de le faire,
il n'y eut aucune réaction, comme si
la plante savait qu'il s'agissait d'une fausse menace.
D'expérience en expérience, réalisées
avec une instrumentation raffinée, Backster devint convaincu que les plantes percevaient les sentiments
humains, et qu'elles éprouvaient quelque chose comme des
sentiments envers leur maître. Une expérience particulièrement spectaculaire, à
laquelle ont participé quelques agents de la police new-yorkaise, semblait
montrer que les plantes ont également une
mémoire.
Six sujets, les yeux bandés, tiraient
d'un chapeau un papier plié. Sur l'un des papiers était rédigé l'ordre
d'arracher et de détruire l'une des deux plantes se trouvant dans la pièce. Le
crime était ensuite perpétré en secret, sans que ni les sujets, ni Backster
lui-même, ne sachent qui était le coupable; le seul témoin était l'autre plante,
celle qui n'était pas détruite.
Ensuite, on fixait des électrodes sur
la plante témoin, et les suspects défilaient devant elle un à un. On observait
alors que lorsque le coupable s'en approchait, l'aiguille du galvanomètre
s'affolait. De deux choses l'une : ou bien la plante "reconnaissait" celui qui avait tué l'un des
siens, ou bien elle percevait, par une sorte de télépathie, la culpabilité que
l'on essayait de dissimuler. En tout cas, le criminel était démasqué.
Lors d'une autre expérience, qui a été
plusieurs fois répétée devant des jurys scientifiques, Backster réussissait
à transformer une plante en détecteur de
mensonge. Des électrodes étaient placées sur une plante, et un
homme - sans électrodes - s'asseyait devant
elle. Backster disait à l'homme qu'il allait lui citer une série d'années en lui
demandant si elles correspondaient à sa date de naissance, et qu'il fallait
toujours répondre "non".
Invariablement, Backster pouvait deviner l'année de naissance -
qui correspondait sur le graphique à une courbe galvanique bien marquée.
Quelque temps plus tard, Pierre Paul Sauvin un ingénieur électronicien,
américain également, réussissait à apprendre à un philodendron à arrêter un
petit train. Le train, lorsqu'il marchait sur ses rails, provoquait un choc
électrique, qui était ressenti non pas par la plante, mais par Sauvin lui-même.
La plante, réagissant à la douleur qu'éprouvait son maître, coupait, par
l'intermédiaire d'un relais le circuit du train électrique.
Une autre expérience, réalisée par
Backster pour éliminer tout facteur humain et subjectif, consistait à placer
dans une pièce close quelques crevettes vivantes sur un plateau basculant.
Lorsque le plateau basculait (en l'absence de toute
intervention humaine) les crevettes tombaient dans une casserole
d'eau bouillante. Dans une chambre voisine, close également, une plante branchée
sur galvanomètre émettait au moment de la mort des crevettes un tracé
soudainement turbulent.
Le tracé était différent de celui qui
enregistrait une émotion, et Backster se demanda s'il ne correspondait pas à
une sorte de perception par un groupe de cellules de
la mort d'un autre groupe de cellules. De nouvelles expériences
lui permirent d'établir que la même forme de réaction se retrouvait lors de la
mort "perçue" par la
plante, de bactéries, levures, cultures diverses, amibes, cellules sanguines, et
spermatozoïdes.
Cette dernière expérience rappelle
celle de chercheurs soviétiques, qui
ont démontré que des cellules vivantes pouvaient
"communiquer" à travers une
paroi de quartz. En fait, remarquent
les auteurs, il semble que ces communications ne se font pas par l'intermédiaire
d'ondes électromagnétiques, car elles ne sont interrompues ni par une cage de
Faraday, ni par une paroi de plomb.
Il semblerait même que lorsqu'une
"empathie" (faute d'autre terme ) (note du
webmaster: faculté intuitive de se mettre à la place d'autruit, de percevoir ce
qu'il ressent) est établie entre une plante et son maître,
ni la distance, ni les obstacles n'interrompent le
"rapport". Des expériences
lors desquelles le tracé de plantes était enregistré pendant que le
"maître" voyageait,
montraient des soubresauts galvaniques correspondant aux moments mêmes des
diverses péripéties du voyage. Sauvin a constaté, en rentrant dans son
laboratoire, après un week-end à la campagne, pendant lequel l'activité
galvanique de ses plantes était automatiquement enregistrée, des paroxysmes qui
correspondaient au moment même de ses ébats amoureux avec une amie.
Les chercheurs soviétiques (dont beaucoup semblent avoir un penchant pour les sciences un tant
soit peu occultes) ont accumulé une masse importante de données,
dont la plupart ont été systématiquement et pendant longtemps rejetées par
l'Occident, mais qui ont récemment stimulé quelques expériences, notamment aux
Etats-Unis. Il y a quelques semaines à peine, la très sérieuse revue américaine
Medical World News
publiait, en article de couverture, le résultat de travaux soviétiques aussi
bien qu'américains sur la "photographie de
Kirian", qui permet d'obtenir une image de l'aura de
plantes aussi bien que d'hommes, et parfois de diagnostiquer certaines maladies,
par exemple, une grippe, dès l'infection, pendant qu'elle est encore à l'état
latent.
Des cellules qui
communiquent entre elles
Les Soviétiques également ont été les
premiers (on le comprend) à inculquer à des
plantes des réactions conditionnées quasiment pavloviennes. Une équipe de
chercheurs à l'université d'Alma Ata, dans le Kazakhstan, a ainsi appris à un
philodendron à se méfier d'une certaine roche minéralisée, en soumettant la
plante à diverses tortures (brûlures, coupures, chocs
électriques) chaque fois que la roche en question était placée à
côté d'elle. Au bout d'un certain temps, la plante "s'affolait" dès que l'on plaçait cette roche
dans son voisinage - mais n'avait aucune réaction galvanique si l'on y
substituait une autre roche, ne contenant pas de filon métallique. Il est
possible, pensent les chercheurs soviétiques, que les plantes puissent un jour
être utilisées pour la prospection géologique.
Un psychologue moscovite,
le Prov. V.N. Pouchkine, et son
collaborateur, V.M. Fetisov, ont
vérifié avec soin les expériences de Backster, et en arrivent à peu prés aux
mêmes conclusions. Pouchkine et Fetisov ont réalisé l'expérience de la
perception des émotions par une plante grâce à l'intermédiaire d'une jeune fille
que l'on hypnotisait, lui suggérant divers états d'esprit. "Nous obtenions une réaction électrique, grâce à un encéphalographe
branché sur un géranium en pot, à chaque émotion que nous
suggérions."
Le géranium pouvait aussi
"détecter le mensonge" et
deviner, sans coup férir, un nombre entre 1 et 10 choisi par la jeune
fille.
En tentant d'expliquer ce qui se passait,
Fouchkine écrit :
" Il se peut qu'entre deux systèmes
d'information, les cellules de la plante et les cellules nerveuses, existe un
lien. Le langage de la cellule de la plante peut être en rapport avec celui de
la cellule nerveuse. Ainsi deux types de cellules totalement différentes les
unes des autres peuvent "se comprendre"
".
Lors d'une réunion à l'Institut de
Médecine Clinique et Expérimentale à Novosibirks, le Dr S.P. Shchurin et deux de ses collaborateurs de
l'Institut d'Automation et d'Electronique ont été recompensés par l'Etat pour
leur découverte de "conversation" entre deux groupes de cellules
humaines, chacune des cultures étant placée dans une boîte de quartz complètement hermétique. Alors que
le premier groupe était infecté par un virus, le second semblait éprouver les
mêmes symptômes. De même, les deux cultures étaient tuées lorsqu'une seule était
soumise à une dose mortelle de poison ou de radiation.
Un mystère : la
nature du "canal télépathique" par lequel
correspondent les cellules.
Avec un amplificateur électronique et
un photomultiplicateur, Shchurin parvint à détecter des variations dans le
rayonnement ultraviolet émis par les cellules infectées, variations perçues par
la culture de cellules voisine à travers la paroi de quartz.
Ce genre de communication semble pouvoir
s'établir également de plante à plante. Le Dr A.R.
Bailey, un sourcier britannique, a tenté l'année dernière
l'expérience suivante : il plaçait dans une serre hermétiquement close deux
plantes, dont on enregistrait l'activité électrique. Les deux plantes étaient
privées d'eau, et lorsque l'une d'entre elles était arrosée par un tuyau venant
de l'extérieur, l'autre avait une réaction galvanique instantanée.
Les plantes, aussi invraissembiable que
cela puisse paraître, manifestent également un certain éclectisme musical. Plusieurs
expériences dans ce domaine ont été réalisées avec une rigueur toute
scientifique par une musicienne de Denver, Dorothy
Retallack, en collaboration avec un professeur de biologie,
Francis F. Broman . Trois
"chambres
environnementales" chacune de 20 m de long, 6 m de large et
9 m de haut, permettant un contrôle précis de la lumière, de l'humidité et de la
température, étaient utilisées dans une expérience sur des philodendrons, radis,
maïs, géranium, et violettes africaines, et ensuite une variété d'autres
plantes. Toutes les plantes étaient placées dans des conditions identiques, Si
ce n'est qu'une chambre expérimentale était totalement silencieuse, une autre
contenait un haut-parleur émettant de la musique classique, et une troisième, de
la musique "rock".
Les plantes adorent
Bach et le Jazz classique
On constatait - sans pouvoir expliquer le
phénomène - que les plantes dans la seconde chambre poussaient en se penchant
vers la source de musique classique, alors que celles dans la troisième se
penchaient dans la direction opposée, comme si elles tentaient de fuir la
musique moderne.
Mme Retallack et le Pr. Broman
démontraient par la suite que les plantes en général n'aimaient pas les
percussions, et préféraient, de loin, les violons. Les musiques
"mathématiquement
évoluées", avait des effets positifs, alors que certaines
cacophonies, au bout de quelques jours, pouvaient tuer une plante.
Les morceaux préférés : un extrait de
l'Orgelbüchlein de Bach,
qui faisait que les plantes se penchaient vers la source de musique avec une
inclinaison de 35 degrés, et une version de "veena"
indoue, jouée par Ravi Shankar, qui
provoquait un angle d'inclinaison de quelque 60 degrés, comme si les plantes
tentaient de se diriger directement vers le haut-parieur
Il semble aussi que la musique peut
augmenter le rendement d'une culture. Eugène
Canby, un ingénieur et agriculteur canadien de Wainfleet
(Ontario), ayant entendu parler des
expériences dans ce domaine, a installé des haut-parleurs autour d'un champ de
blé expérimental, pour émettre des sonates de violon de Johann Sebastian Bach,
et constater quelques mois plus tard une récolte de 66 % supérieure à la
normale.
Un agriculteur et botaniste américain,
George E. Smith, de Normal,
Illinois était sceptique quant à ces résultats, mais néanmoins tenta
l'expérience en faisant jouer dans l'une de deux serres, identiques en tous
points, le disque "Rhapsodie en
Bleu" de Gershwin pendant 24 heures sur 24. Il enregistra
une augmentation de 35% de sa récolte de maïs, et 20 % environ de sa
récolte de soja, dans la serre "musicale".
L'ouvrage de Tornpkins et Bird est
remarquablement bien documenté et annoté, présentant un compendium de ce qui a
été réalisé jusqu'à présent dans ce domaine mystérieux, ou certaines observations dépassent les limites de la
crédibilité. Mais, se demandent-ils, ne refusons nous pas à
admettre les résultats d'expériences réalisées depuis quelques années,
simplement parce que leurs résultats sont
tellement contraires aux conceptions qui nous sont habituelles
?
Un approfondissement de ces
connaissances nouvelles pourrait pensent-ils donner lieu à des
applications pratiques extraordinaires. Par exemple, puisque
les communications qui ont été constatées ne se
font pas par l'intermédiaire de rayonnements connus ou d'ondes
electromagnétiques, sont-elles, assujetties à la limite de
la vitesse de la lumière, ou sont-elles instantanées, réflétant une sorte d'équilibre permanent existant dans la nature
? Si c'est le cas, ce canal de communication pourrait être
exploité, notamment pour maintenir un contact immédiat avec un astronef distant
de la terre, voire pour tenter de détecter la présence de la vie sur d'autres
planètes.
Une autre application, d'ordre plus
pratique et immédiat, consisterait à reviser certaines notions de
l'agriculture moderne en fonction de ces découvertes récentes.
Dans la pyramide de la vie, écrivent
les auteurs, les plantes jouent un rôle primordial, car les animaux et les
hommes ne peuvent pas, à partir des divers éléments contenus dans le sol,
synthétiser les protéines nécessaires à la vie.
Mais les cultures intensives,
l'utilisation abusive d'engrais artificiels, dénaturent le sol, et transforment
les plantes qui y poussent, au point parfois de îes rendre nocives.
Or, remarquent Tompkins et Bird,
l'agriculture moderne ignore totalement ce dont les plantes ont vraiment besoin,
et ce dont elles sont capables. Il semblerait par exemple, qu'elles soient
capables de transmuter les éléments!
Cette possibilité
extraordinaire, qui n'est accessible que depuis peu et d'une façon
limitée à la science moderne qui a réussi à maîtriser quelques réaction
nuoléaires, était suggérée déjà en 1873 par un allemand, le baron Albrecht von Herzeele, auteur de
"L'origine des substances
inorganiques", ouvrage dans lequel il décrivait
comment dans certaines graines et jeunes plantes,
poussant dans de l'eau distillée, le contenu de potasse, phosphore, magnésium,
calcium et souÇre, augmente au-delà de la disponibilité
de ces
éléments.
Tompkins et Bird
citent l'interview publié dans "Science et
Vie" en 1959 du Prof. Pierre
Baranger, directeur du laboratoire de chimie organique de
l'Ecole Polytechnique à Paris, alors
que celui-ci avait refait des milliers de fois les expériences du Herzeele, pour
en arnver à la conclusion que chaque jour, sous nos
yeux, les plantes transmutent les éléments.., Les auteurs, qui
ont également interviewé le Prof. Baranger, remarquent que cette découverte peut
avoir une portée extraordinaire en ce qui concerne certaines pratiques agricoles
devenues courantes et qui sont peut-être nocives.
Transmutation
des éléments
Selon le Prof. Baranger, rien ne nous
empêche de croire que certaines plantes peuvent produire des éléments rares,
ayant une importance dans l'industrie, car elles sont capables de
transformations au niveau sub-atomique que nous n'avons pas encore maitrisé. On
pourrait aussi déterminer avec précision quelles plantes peuvent apporter à tel
ou tel sol ce qui y manque, pour en conserver la fertilité sans l'intervention
d'engrais qui le dénaturent.
Un autre biologiste français,
Louis Kervran, maintient également
que les "forces de la vie"
peuvent effectuer des transmutations d'éléments inaccessibles à la
physique moderne, un peu comme une clef qui ouvre un lourd coffre fort que l'on
ne peut pas forcer avec de la dynamite.
Dans "Alchimie rêve ou réalité", publié en 1973 à
Rouen par les étudiants de l'Institut National Supérieur de Chimie Industrielle,
Kervran écrit que la transmutation des
éléments n'est pas réalisée par l'accrochage d'électrons
périphériques, mais par l'intermédiaire d'une
altération fondamentale nucléaire provoquée par des enzymes
- une notion qui ne va pas manquer, dit-il, d'irriter le chimiste. La science qui
expliquerait ce phénomêne n'est pas la chimie, mais son langage serait, en fin
de compte, fort simple : ainsi, si l'on a du sodium, avec
11 protons, représenté par le
symbole 11Na, et de l'oxygène, avec 8 protons,
8
O, il suffit d'ajouter les protons pour obtenir le
chiffre 19, chiffre qui se retrouve
dans le symbole du potassium 19K . De méme, les plantes pourraient créer du
calcium 20Ca, à partir du potassium, 19K, et de
l'hydrogène, 1H. Ou bien à partir du magnésium, 12Mg, et de
l'oxygène, 8O ou bien de la silice, 14 Si, et du
carbone, 6C. Ce seraient donc les acteurs de la vie
biotique, les plantes et les micro-organismes, qui maintiendraient l'équilibre
des divers éléments du sol.
Selon le Dr Hashimoto, qui dirige un
centre de recherches électroniques ainsi que les services de recherche de
l'importante firme industrielle Fuji Electronic
Industries, il y aurait, au-delà du monde tri-dimensionnel que
nous connaissons, un monde à quatre dimensions, non matériel et dominé par
l'esprit. C'est dans ce monde-là que les plantes, et toutes les créatures
vivantes, seraient en communication entre elles...
Alexandre
DOROZYNSKIE
Article
mis en page le 15/11/1999
IDYLLE
Fred
fred.idylle@wanadoo.fr
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