Les
univers parallèles: Peut-on y plonger vraiment?
I Introduction
Il peut se faire que
certains faits arrivés à des personnes pourtant très
sensées soient si difficilement
croyables que ces personnes
nous les racontent après bien des hésitations pour ne
pas passer pour des malades mentaux. Et il faut aller
fouiller dans des revues spécialisées dans l'ésotérisme pour accéder à ces événements hors du
commun. En tout cas ce n'est pas la peine d'aller
consulter, pour l'instant, les publications dites
sérieuses comme par exemple : "Le Monde" ou "La Recherche", pour les y découvrir. Ainsi donc,
nous abordons aujourd'hui les contacts avec des univers
parallèles qui a priori, vous allez vous en rendre
compte, ne semblent pas seulement réservés au monde du rêve.
II La genèse de l'
affaire.
Cette affaire se déroule
en deux
volets:
Premier Volet
En 1977, nous
avons enregistré à Paris une émission intitulée "Histoires Extraordinaires" conduite par le regretté Lucien Barnier, chroniqueur scientifique à l'époque de France-Inter, que nous vous transcrivons intégralement en
espérant que les protagonistes de cette affaire ou
quelqu'un de leurs amis tombent sur ce site (et c'est là le rôle
principal de l'Internet,) pour
nous en donner d'autres détails. C'était pendant l' hiver de 1967 au mois de Janvier que Mme Nathalie Nelson et son mari de Ste Cécile en Vendée qui habitaient alors une veille ferme au cœur
de la forêt, ont décidé un dimanche d'aller faire un
grand tour en voiture dans les environs. Madame Nelson raconte :
"Nous avons roulé une
bonne dizaine de km sur une route parfaitement connue, quand, tout d'un coup la
brume qui régnait autour de nous et aussi les arbres de
la forêt qui bordaient la route, ont disparu pour faire
place à un paysage d'été avec des pelouses, des
boutons d'or et des marguerites. Nous avons roulé un peu
dans ce magnifique paysage, et nous sommes arrivés à un village, que nous ne
connaissions pas, un village avec des maisons très anciennes
sans crépis,
avec des colombages de bois et de toits de tuiles qui paraissaient neufs et
où se dressait une église dont, chose frappante, le clocher n'était pas terminé. Il y avait une luminosité
extraordinaire un ciel bleu, pas un souffle d'air, les
arbres immobiles et aucune vie, aucun animal , ni
personne. Un
signe de mort dans un paysage magnifique. Nous avons alors arrêté la voiture et nous sommes descendus.
Nous avons marché pendant dix bonnes minutes, un quart
d'heure peut-être , on a regardé, les maisons,
les arbres, l'herbe qui avait une couleur verte
absolument éclatante.
Puis brusquement nous avons eu la même
crainte
: "Et si notre voiture
n'était plus là ?", car cette route où
nous avions pénétré, nous était totalement inconnue.
On a rebroussé chemin et on a trouvé la
voiture où nous l'avions abandonnée. Puis nous sommes
repartis en voiture en se disant que nous allions re-pénétrer dans ce village pour refaire le même périple et
retraverser les mêmes petites rues. Mais en redémarrant la
voiture, tout le froid paysage s'installa à nouveau, nous n' avons plus
rencontré le petit village et seule la route givrée se
déroulait de nouveau devant nous."
Une précision nous est
donnée par le rédacteur
de l'émission: Mme Nelson a
essayé de retrouver
en vain, à plusieurs reprises
ce mystérieux village et elle n'a pu trouver en
fouillant les archives
locales qu'un seul indice:
Il existait bien à cet endroit une bourgade abandonnée mais vers les années 1500,
bourgade qui a disparu sans qu'on sache exactement
pourquoi ?
Lucien Barnier, à qui le
rédacteur demande si un tel témoignage ne relève pas
de l'hallucination
pure et simple, se déclare
convaincu de la bonne foi du témoignage de Mme Nelson et
s'avoue incapable
d'en trouver une explication. Mais,
il fait remarquer que ce thème est assez fréquent dans
la littérature et en particulier dans la littérature
anglaise :
C'est l'histoire d'un médecin qui est parti à cheval visiter un malade dans
un village qu'il connaissait bien et au bout de la route
également brumeuse, il déboucha sur le village, mais la
maison du malade
lui était inconnue, et les gens parlaient une langue
étrange. C'est donc, nous le
voyons, une histoire assez semblable à celle qui
précède et à une autre que nous dévoilerons
ultérieurement dans le 2ème volet.
Le rédacteur passe alors
la parole à Mme
CHEST biologiste, de son état,
participant à l'émission et qui nous dit : J'ai d'abord pensé au
début de l'histoire à un système de micro-climat qui se
manifeste quelques fois dans une petite zone et qui peut
faire passer cette zone sans transition de l'hiver au
printemps. Mais dès qu'elle parle du 'village' cela ne marche plus.
Si l'on élimine l'hypothèse de
l'hallucination, qui semble peu vraisemblable,
puisqu'elle n'était pas seule et que son mari a vécu la
même aventure qu'elle, je n'ai donc pas d'explication si
ce n'est l'analogie que je pourrai faire avec le phénomène des trous
noirs
qui en astronomie sont des sortes vortex, des spirales tournant sur
elles-mêmes
où l'on constate que les relations spatiales sont
extrêmement condensées et où le temps se contracte et où la matière des
étoiles s'engouffre
irrémédiablement. Le problème est d'en sortir. L'histoire de
cette dame pose le problème de la réversibilité du
temps et
en tout cas d'un retour en arrière à une
vitesse phénoménale peut-être même dépassant la vitesse de
la lumière et
c'est ce qui me fait penser à ce trou noir. En tout cas
ce qui est remarquable, à mon avis, c'est qu'ils s'en sont
sortis.
Autrement dit Mr et Mme
Nelson ont eu beaucoup
de chance de quitter ce village,
car s'ils avaient cueilli ne serait-ce qu'une marguerite, que ce
serait-il passé ? Pourraient-il l'emporter dans leur voiture
? Cette fleur n'induirait-elle
pas une vibration
qui par résonance, les plongerait
dans ce monde parallèle moyenâgeux et les ferait
disparaître à jamais du notre et laissant sur le bord de
la route leur seul témoin véritable, mais hélas bien muet : leur voiture ?
S'il vous arrive un jour, où
vous vous promenez dans la campagne, une aventure semblable, réfléchissez avant de cueillir une fleur, même si sa beauté, vous y invite fortement.
Deuxième Volet
C'était le 10 Août 1901, deux respectables dames anglaises, Miss Charlotte Anne Elisabeth
MOBERLY, Principale du
collège St
Hugh's Hall à Oxford et Miss Eleanor France JOURDAIN
Voyez donc l'image ci-dessous:
Régisseur d'une
petite école très renommée près de Londres se promenaient à Versailles dans les Jardins avoisinant le Petit Trianon qu'elles voulaient aller visiter. Il était
environ 4 heures
de l'après-midi. Elles avaient
déjà parcouru longuement le château et se sentaient
gagnées par la fatigue quand elles abordèrent les
allées menant aux somptueuses « dépendances ».
Elles aperçurent alors, à
un moment donné, deux gardiens ou jardiniers à l'air
sombre et préoccupé, vêtus d'une livrée verte et
coiffés d'un tricorne.
" - Il doit y avoir une fête costumée, une rétrospective des
siècles de la monarchie, souffla Miss Moberly à sa
compagne."
Mais elles n'avaient pas le cœur à la joie. Au fur et à mesure qu'elles avançaient, une tristesse infinie les
pénétrait; une tristesse dont
elles ne parvenaient pas à déceler l'origine. Elles se
risquèrent à demander aux deux personnes en habits
verts, de leur indiquer le chemin du Petit Trianon.
- "Droit devant vous !
lança l'un d'eux d'un air bougon."
Elles parvinrent à un kiosque rond d'inspiration chinoise et furent
bien surprises, encore, d'y découvrir, confortablement
assis, un homme
vêtu d'un manteau ample,
coiffé d'un chapeau à larges bords. Il se leva à leur
approche et les dévisagea longuement. Il était laid à faire peur
et l'expression de son regard
était odieuse. Comme il s'apprêtait à ouvrir la
bouche, elles furent saisies de panique, empoignèrent
leurs jupes à pleines mains et détallérent à toutes
jambes. Mais une voix, tout près d'elles, les arrêta:
- Ce n'est pas par là
Mesdames, mais par ici
.
Elles étaient, cette fois, en présence d'un
parfait gentleman. Mais un gentleman vêtu à la mode du XVIIIe siècle. Il ajouta, en s'inclinant le plus civilement
du monde.
- "Vous n'allez pas
tarder à trouver la maison."
Le ton rassurant ne
parvenait pas à apaiser leurs angoisses. Elles avaient
de surcroît, la
sensation oppressante
d'évoluer dans un décor qui n'avait rien de réel.
Elles partirent, pourtant, dans la direction conseillée.
Elles franchirent un pont suspendu, qui
enjambait un petit
ravin, aperçurent une petite cascade et un rocher
couvert de mousse, et elles
pénétrèrent dans un jardin en pente en haut duquel se
dressait un "Petit Château Carré" (Le Petit Trianon ),
Voyez donc l'image ci-dessous:
Dans ce jardin, précise
l'une d'elles, une
dame blonde, vêtue d'une robe
d'été à l'ancienne au corsage largement échancrée,
était assise et dessinait. La dame n'était plus très
jeune. Mais que de beauté,
encore dans ses traits, que de prestance, de grâce et de
distinction dans son maintien !
Sa tête couverte d'un large chapeau blanc
d'où s'échappaient en vagues soyeuses les boucles
blondes de sa riche chevelure ; Il va de soit que leurs
regards furent attirés par cette inconnue, altière et
attendrissante tout à la fois qui fixait avec attention
à bout de bras l'objet sur lequel de toute évidence,
elle exécutait le croquis d'un bouquet d'arbres devant
lequel elle restait plantée, comme en extase. Les deux
Anglaises eurent
tout le temps de la détailler.
Puis elles la virent lever les yeux dans leur direction. Voyez donc l'image ci-dessous:
Tout en elle exprimait une
extrême
mélancolie. Elle n'eut ni un
sourire, ni un signe de tête pour ses visiteuses
inopinées.
Celles-ci poursuivirent leur route. Elles
tombèrent, ensuite , sur un palefrenier qui
sortait d'une remise en faisant claquer la porte. Puis sur une femme qui criait "Marion, Marion" et tendait à une fillette qui accourue
une tasse probablement de lait. Elles virent encore une charrue couverte de lierre; puis elles perçurent une musique de violons échappée, sans doute venant, des salons même
du Trianon.
Elles marchèrent quelque
temps encore, et leur angoisse imprécise les abandonna d'un coup. Elles retrouvèrent tout leur bel entrain. La
fatigue même était tombée; elles se moquèrent un peu
de leurs frayeurs et échangèrent quelques
plaisanteries. D'autres personnes les dépassaient ou les
croisaient ; mais des c'étaient des personnages plus
"rassurants" , cette
fois, de leur époque. Miss Moberly et Miss Jourdain
regagnèrent leur pays, mais au cours de visites
ultérieures à
Versailles elles constatèrent
que les sentiers qu'elles avaient parcourus en Août 1901,
n'existaient
pas, des bâtiments qu'elles
avaient vus intacts et apparemment habités telle la
remise où étaient la femme et la petite fille avaient disparu. Plus de gardiens ou jardiniers portant
livrées vertes et tricornes, plus de kiosque, ni de pont
sur un minuscule ravin, ni de cascade en miniature. Et
elles constatèrent même avec stupéfaction que la façade du Petit Trianon vue le
10 Août était modifiée. Quant à
la porte de la remise que le jeune homme avait claquée
si bruyamment, elle était
fermée par des verrous rouillés et couverte de toiles
de d'araignée. .
Pourtant elles avaient bien conversé
semble-t-il avec des personnages.
Mais ceux-ci s'adressaient-ils
vraiment à elles ?
Miss Moberly et Miss
Jourdain étaient de celles qui s'évertuent à revivre,
au cours des soirées d'hiver les merveilles de leurs
itinéraires de vacances. Elles lurent quantité
d'ouvrages sur Versailles. Et leur cœur faillit
s'arrêter quand elles tombèrent au détour d'une page
sur un portrait
de Marie-Antoinette. C'était
la belle étrangère du perron et des arbres du Trianon.
Elles fouillèrent fébrilement les bibliothèques, les
cabinets de lecture et les archives, épluchèrent les
récits et mémoires de tous les contemporains de Louis XVI, découvrirent d'autres estampes,
images, et portraits... Au terme de leur chasse
fiévreuse, le doute n'était plus permis :elles avaient
bel et bien passé une
demi-heure environ de leur vie dans un siècle révolu, elles avaient croisé la route et le regard de la souveraine guillotinée
depuis plus d'un siècle.
Elles apprirent aussi que
l'homme laid qui les avait effrayées était le Comte de Vaudreuil, une victime de la petite vérole. Elles trouvèrent, même des lettres où il était
question de la petite Marion et de
la vieille
charrue abandonnée contre un
arbre et Miss Jourdain fut même capable de reproduire
quelques notes
de musique de l'air de violon
entendu. Dix ans après leur promenade à Versailles,
elles décidèrent de publier en 1911 sous deux pseudonymes cachant leur vraie identité, un livre intitulé "An adventure" .
Des journaux aussi sérieux
que Le Daily
Telegraphe et le Times
en reproduire d'abondants extraits si bien que de
nombreux chercheurs et érudits se mirent en campagne. On
peut d'ailleurs affirmer que, depuis cette époque
maintenant lointaine, les spécialistes des disciplines
les plus diverses n'ont jamais cessé de s'interroger sur
la "vision" des deux anglaises: S'agit-il d'un
"voyage
dans le temps" ?
Nos deux héroïnes ont-elles vu des fantômes? Peut-être. Ont-elles eu une authentique
apparition de personnages
qui ont réellement existé ? Qui le sait? Qui le saura
jamais?
Mais il faudrait longtemps
s'interroger sur les éléments qui ont permis la
manifestation fortuite d'un phénomène aussi rarissime.
On s'est évidemment
intéressé tout spécialement à la date du 10 août, à laquelle les Anglaises avaient fait leur
inoubliable promenade.
Or, le 10 août 1792, Marie-Antoinette était enfermée à la Conciergerie. Et ce 10 août 1792, elle
n'était pas seule dans sa prison. Nombre des témoins de
l'agonie qu'elle vivait alors, ont raconté qu'elle ne
cessait, à ce moment là, de penser aux moments heureux
passés au Petit Trianon et de
les évoquer. Alors a-t-elle projeté , ce jour là, ses rêveries dans le temps pour qu'elles soient captées par nos deux
promeneuses anglaises, 108 ans après avoir été guillotinée ?
En tout cas, tous les
historiens qui, en 1911
et plus tard, se sont
penchés sur les textes laissés par les écrivains de
l'époque révolutionnaire, sont d'accord pour dire que
les deux promeneuses ont fourni, avec une exactitude inattaquable des descriptions de faits, d'êtres et de
choses dont elles n'avaient
eu aucune connaissance préalable en particulier au château de Versailles de 1770, soit 131
ans au préalable.
Ont-elles été les seules
à assister à ce phénomène? Apparemment non, puisque
parait-il, deux autres anglais, les Cooke qui habitèrent la région de Versailles de 1907 à 1909, confirmèrent avoir vu eux aussi la mystérieuse dame entrain de dessiner ainsi qu'un personnage en
costume de XVIIIe siècle. En 1928 deux autres anglaises d'excellentes réputations ont rapporté
également un récit du même genre, lors d'une de leur promenade à
Versailles. Sans doute des
visiteurs français ont pu aussi voir certaines choses,
mais à qui
iraient-ils le raconter s'ils
ignoraient qu'une telle aventure avait déjà été
vécue ?
III Conclusion.
Que conclure au sujet de
ces deux volets fantastiques qui précèdent, si ce n'est
que la réalité
dépasse de bien loin la fiction
et qu'il convient de s'interroger sur nos velléités de comprendre et de
régir ce Monde en soumettant ceux
qui y vivent à notre vue sclérosée, stéréotypé et forcément
réduite de l'Univers. C'est donc
bien le moment de prendre une leçon de modestie et
pour terminer, de citer la célèbre phrase d'Hamlet de Shakespeare: "Il y a plus de choses au
ciel et sur Terre, Horatio, que n'en rêve votre
philosophie."
Références :
- Revue NOSTRA n° 16 du 16 Juillet 1972.
- Revue SELECTION de Décembre
1977 page 96.
- Revue L'INCONNU n° de Mai 1979 page 60.
- Livre intitulé: Les fantômes de Trianon. Monaco
1959 Edition du Rocher.
- Livre intitulé :Les fantômes de Trianon. Nouvelle
Edition de 1978 de C.A.E Moberly et E.F. Jourdain.
Edition présentée et établie par Robert AMADOU et
préfacé par Jean Cocteau.
P.S. Une citation qui
pourrait s'imposer en la circonstance:
" Le temps n'existe pas. Toutes les
choses existent simultanément. Tous les événements se
produisent en même temps. C'est toi qui te déplaces et
non le temps. Dans le temps, il n'y a aucun mouvement. Il n'y a qu'Un Seul
Instant... Lorsque tu vis une chose vraiment magnifique,
tu dis que c'est comme si "le Temps s'arrêtait". Il
s'arrête vraiment. Et quand tu t'arrêtes toi aussi, tu
fais souvent l'expérience de l'un de ces instants qui
définissent la Vie."
( D'après le C.A.D. nº2
aux Editions ARIANE.Aout 1997)
IV Prolongement
révélateur ahurissant.
Le 13 janvier 1990, Le Dr
Alfred Bielek physicien diplômé de Princeton
et d' Harvard (fin des études en
1939) prétend, dans un livre (The
Philadelphia experiment)
et dans une
conférence réalisée le 13 Janvier 1990, au Mufon
Metroplex à Dallas dans l'Etat du Texas, avoir été avec son
frère engagés dans la Marine américaine
(La Navy) et avoir participé
à différentes expériences destinées à rendre invisible
divers objets. Certaines de ces
expériences ont parfaitement réussi, mais d'autres ont été
de vrais désastres avec mort du personnel et projection
dans le temps, de certains
expérimentateurs dont son frère et lui même personnellement.
Un film vidéo de 1984 en français, a même été tiré de ces
expériences et est intitulé "The
Philadelphia Expériment"
produit par John Carpenteret réalisé par Stewart Raffill dont voici la jaquette :
Il y a aussi le livre de Charles
Berlitz et de William
L. Moore intitulé, "Opération
Philadelphie" aux
Editions Maritines & d'Outre-Mer, 1980 et celui des mêmes auteurs en collection de poche J'ai Lu et sorti en Juin 1991 dont voici les couvertures:
Nous ne pouvons ici
détailler les incroyables
et mêmes, nous l'affirmons encore ahurissantes,
révélations
faites par ce docteur, dont vous trouverez la traduction de sa
conférence et de divers interviews sur les sites remarquables
suivants que nous vous invitons à consulter, à près avoir
pris rendez-vous chez votre cardiologue si votre cœur est
fragile:
Interview 1990 :http://frendelvel.multimania.com/albiel1.htm
Interview 1992: http://frendelvel.multimania.com/albiel12.htm
Forum avec fransyl:
http://www.multimania.com/fransyl/ufo/amontauk.htm
Autre adresse : http://www.multimania.com/frendelvel/index.html
Interview 1997 : http://www.leadingedgenews.com/article.html
Si tout ceci est vrai, alors
nous cela nous prouve que nous avons eu raison de créer le
site ARTivision
, dont la mission première est de vous faire
rêver un peu, tout en montrant, que la
réalité, peut dépasser parfois, même vos rêves les plus fous.
Article mis en page le 20/03/2000, et revu le 15/07/2001, puis le 13/03/03, puis le 30/05/05 .
IDYLLE
Fred
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