Rencontre d'un certain type avec le monde de l'édition
I Introduction
Des contingences particulières, nous ont permis ces temps-ci de nous rendre compte que certains sujets évoqués depuis des années par ARTivision sont à l'ordre du jour désormais dans une revue ésotérique, où l'on nous parle de trous polaires et de voyage en terre creuse, etc.. mais ce qui est plus extraordinaire, il est fait aussi mention d'une affaire de mer libre de glace en plein pôle nord et aussi d'excavations polaires, dans un roman de George Sand de 1865. Comment ne pas saisir la balle au bond, pour vous entretenir de ces choses bien plus surprenantes, qu'on ne saurait l'imaginer.
II Genèse de l'affaire
a) Remarquable rendez-vous spécifique avec "Le Monde de L'inconnu ".
Le Vendredi 15 Juillet 05, nous avons eu le privilège d'acheter dans une Grande Surface un exemplaire de la revue "Le monde de L'inconnu" n° 314 de Juin-Juillet 2005 et dont la couverture ci-contre, elle même, est déjà tout un programme et nous invite franchement à vouloir avoir en main cette revue.
Aussi nous allons y découvrir certains éléments que le site ARTivision, avec ses faibles moyens, s'est évertué à mettre en exergue, il y a quelques lustres, et éléments qui ont dû à l'époque déclencher chez les biens-pensants de larges sourires sous cape. Certains de ces messieux n'ont pas hésité à écrire à ARTivision, pour dire leur le fond de leur pensée très orthodoxe, sans se douter qu' ARTivision, avait bien d'autres informations très pointues en réserve qui pouvaient les mettre au pied du mur. Alors n'ayant pas de réponse à formuler au sujet de ces réserves, ce fut par la suite, de leur part, le silence complet.
Commençons voulez-vous par cet entrefillet tiré de la rubrique " Les news de l'étrange" :
La photo illustrant cet entrefillet est superbe et nous ne l'avions pas dans nos dossiers. Il s'agit évidement d'un croquis représentant une coupe transversale de la Terre creuse, dont le plan passe par le centre des ouvertures polaires et du soleil central. Cette image représente la couverture du livre de Dianne Robbins paru au début de Décembre 2003 , ISBN 1412005299. Rappelons que Dianne Robbins a co-écrit avec Aurélia Louise Jones, l'ouvrage surprenant " Telos: révélations de la nouvelle Lémurie" , sujet qui justement sera évoqué dans cette revue dans un autre article.(Voir plus bas)
Cette juxtaposition du livre de Dianne Robbins et de cet entrefilet concernant Steeve Currey, montre parfaitement que le journaliste de la revue qui a élaboré cet entrefilet, a fait des recherches conséquentes sur cette incroyable affaire de Terre creuse, et nous avons aussi plaisir à lui rappeler que dans son propre numéro 295 de Janvier-Février 2002 (qui est hélas semble-t-il épuisé), nous avons évoqué sur 6 pages le sujet. Voici donc à titre essentiellement documentaire, d'abord la couverture de ce n° 295 suivie des deux premières pages 26 et et 27 de notre article :
Comme vous le voyez, là aussi, ARTivision a su ouvrir la voie, de la découverte de l'incroyable.
En ce qui concerne l'expédition de Steve Currey , nous avions déjà évoqué ce sujet dans notre article :
Et pour vous éviter d'aller patrouiller dans les méandres du Web, voici en condensé, ce dont il était question :
Début de citation
"
Prolongement spécifique en date du 12/02/04, concernant un projet surprenant.
Plusieurs internautes nous ont demandé, si nous avions eu vent d'une expédition ayant pour but de rejoindre le centre de la Terre pour bien vérifier qu'elle est creuse.
Voici à ce sujet, une missive que nous avons reçue d'un ami canadien, et voici aussi notre réponse annexée.
---- Original Message
From:j........n
To: fred.idylle
Sent: Friday,
December 05, 2003 1:52 AM
Subject: Voyage
organisé...
Re-Bonjour Fred
Je ne sais pas si tu es au
courant mais un certain Steve
Currey organise un voyage (sous forme d'expédition) a
l'intérieur de la terre. Leur moyen de transport et bien c'est pas trop
compliqué: un brisseur de glace à énergie nucléaire russe !!!
Pour réserver, c'est pas trop
compliqué il faut payer la modique somme de 20 000$ US.
Départ: 26 juin 2005 et Retour Prévu: 19 juillet 2005
Toute l'information se trouve sur le site:
Amitiés glacée... Ici il fait froid, l'hiver s'installe...
Julien
Et voici notre réponse:
---- Original Message
From:fred.idylle
To: j........n
Sent: Friday, December 05, 2003 3:48 PM
Subject: Voyage
organisé...
Cher JULIEN
Je réponds à ta missive de ce jour.
Ce n'est la première fois que des
particuliers tentent de rejoindre l'intérieur
de la Terre. Mais les Services Secrets des gouvernements concernés veillent et sauront faire ce qu'il faut pour les en dissuader ( pièges, sabotages,
éliminations physiques d'individus comme pour l'affaire John kennedy
..etc..).... A moins qu'officiellement, l' on ait décidé en Haut Lieu
de "vendre la mêche" pour des raisons
supérieures que nous ignorons...
Aussi je demeure vis à vis de cette information dans une vigilante expectative, mais tout cela me plonge cependant dans une grande perplexité.
N'oublie pas surtout de m'envoyer, si tu les retrouves évidemment, les fameuses
références du "Globe and Mail" au
sujet de la photo que ce journal aurait présentée en 1960, montrant un paysage verdoyant filmé par un aviateur en plein Pôle Nord, et note même la page si possible car une information publiée en première page, n'a pas la même valeur que celle perdue dans les pages
intérieures.
Vives amitiés tropicales et à bientot
Fred "
Fin de citation
Comme vous le voyez, nous avions à l'époque mis en garde les éventuels participants à cette expédition du risque qu'ils prenaient. Evidemment c'était parce que nous avions reçu des informations très pointues , qui prouvaient que nos gouvernements étaient parfaitement au courant de cette affaire de trous polaires et de Terre creuse et qu'il convenait d'être très prudent car cette expédition , va permettre de désavouer inéluctablement , ceux qui nous cachent une vérité aussi incroyable, pour des simples raisons de sécurité nationale et de stabilité de leurs systèmes écomomiques déjà en perte vitesse et où leurs profits s'ésoufflent grandement.
Donc, il est logique de penser qu'ils feront tout pour décourager à tout prix, les plus audacieux, de réaliser ce projet téméraire.
Il faut donc aussi savoir qu'en ce qui concerne le Webmaster de ce site ARTivision , même si on le payait pour participer à cette expédition, il refuserait tout net , car d'une part, il n'a pas du tout l'âme d'un pionnier, ni le goût du risque pour se lancer à l'aventure dans des zones très périlleuses, pour prouver ce qu'il peut découvrir dans ses dossiers sans bouger de chez lui, et grâce aussi surtout à l'inestimable concours toujours plus efficace, des internautes passionnés par cette affaire.
Cependant (ARTivision l'a souvent précisé) , il est une chose incontournable, à savoir que Temps des Révélations, est bien arrivé. Aussi nous ne pouvons pour clore ce paragraphe, que formuler nos vœux les plus sincères et de réussite, à Steeve Currey dans son audacieuse entreprise, et souhaitons qu'il reçoive la protection des Maîtres, afin qu'il puisse déjouer tous les pièges que l'on pourrait lui tendre, pour que cette planète découvre enfin qu'il y a bien plus de choses merveilleuses à trouver, que le désolant spectacle que nous offrent nos médias avec leur cortège de crimes, d'assassinats, de méfaits irréflchis de kamikazes manipulés, dont le sacrifice actuel s'avérera totalement dérisoire, vain, et inutile, quand les sublimes vérités, que l'on nous cache en Haut Lieu , seront enfin mises au jour...A bon entendeur salut...
Passons maintenant, si vous le voulez bien, en second point, toujours tiré de la revue n° 314, au paragraphe suivant venant de l'article tout aussi extraordinaire intitulé: " Ces aliens qui vivent sous nos pieds":
Est-il besoin, pour revenir au titre de l'article : "Ces aliens qui vivent sous nos pieds" , de rappeler que la confirmation de cette extraordinaire assertion est venue pour ARTivision de la part de l'entité transcandante Soria , qui nous a fait l'honneur de nous citer dans un de ses ouvrages et aussi de répondre parfois à certaines de nos questions. Le clou de l'affaire est exposé dans notre article très corsé intitulé:
Mais surtout, dès le 9 octobre 2001, nous y avons commencé la traduction, très difficile d'approche, d'un texte hors normes (voir le site :
qui est la confession avant sa mort d'un officier de sécurité de la base militaire DULCE aux USA nommé Thomas Edwin Castello.
Ce texte semble justement se rapporter aux avertissements extraordinaires de Soria, et nous avons hélas progressé hélas très lentement dans cette traduction. Nous avons, bien sûr, effectivement invité les internautes qui maîtrisent parfaitement l'anglais et le français, de nous aider à poursuivre le reste de la traduction, mais hélas jusqu'à présent, nous n'avons rien vu venir, comme si tout cela ne revêtait qu'un caractère anecdotique, alors que son importance dépasse tout ce que les meilleures auteurs de Science-Fiction n'ont jamais imaginé.
Il est aussi précisé dans cet article du n° 314, ce paragraphe important :
" Monde souterrain : un fantasme récurent : Quel crédit peut-on apporter à ces informations qui tendent à asseoir l'hypothèse de bases OVNI sous l'écorce ? Car le mythe de la " Terre Creuse " est tenace, et de nombreux êtres humains ont de tout temps imaginé l'existence d'une forme de vie dans les entrailles de la Terre. Plusieurs auteurs ont ainsi envisagé très sérieusement l'existence d'une race inconnue ou oubliée dans les profondeurs. Un des ouvrages les plus marquants est sans doute " The Coming Race ", " La race à venir ", qui décrit un peuple souterrain doté de pouvoirs matériels et psychiques très supérieurs aux nôtres, qui aspire à remonter un jour à la surface pour... nous exterminer ! L'auteur de cette " fiction ", Lord Lytton, était soupsonné d'appartenir à plusieurs sociétés secrètes, ésotériques et hermétiques. Ferdinand Ossendowski parle quant à lui dans " Bêtes, Hommes et Dieux " du royaume d'Agartha et d'un mystérieux roi du monde. La capitale de ce royaume souterrain, Shamballah, serait située sous le désert de Gobi. Des lamas ont fourni une description précieuse de ce royaume, peut-être pas si légendaire que ça : " La science s'y est développée dans la tranquillité, rien n'y est menacé de destruction. Le peuple souterrain a atteint le plus haut niveau de savoir ? Maintenant, c'est un grand royaume, comptant des millions de sujets, sur lesquels règne 1e Roi du Monde. Ce roi connaît toutes les forces de la nature, il lit dans toutes les âmes humaines et dans 1e grand livre de la Destinée. Invisible, il règne sur 800 millions d'hommes qui sont prêts à exécuter ses ordres ".
Quoi qu'il en soit, l'existence supposée de bases extraterrestres souterraines et sous-marines permet de répondre à de multiples interrogations ufologiques. Elle élimine surtout le problème des voyages interstellaires, qui, sans bases souterraines, devraient être quotidiens étant donné le nombre d'observations recensées depuis 50 ans ! Les plates-formes terrestres donneraient ainsi l'opportunité â une entité venue de l'espace de s'établir sur le long-terme, en stockant ses vaisseaux dans les recoins de la planète bleue. On peut même imaginer que certains OVNI sont construits directement sur Terre, à l'abri des regards indiscrets... "
Les ouvrages cités dans ce paragraphe, ont fait en effet l'objet d'une présentation dans notre bibliographie sur la Terre creuse, déjà très détaillée et placé directement à :
Mais, il serait aussi peut-être plus utile, pour les puristes de présenter ici un texte analogue, mais qui remonte au premier trimestre 1978, et paru dans le n° 21 de la revue "Ouranos": Revue d'information et d'études sur les phénomènes Spatio-temporels et connexes. Ce texte est intitulé "Le Grand Mystère des Pôles ". On était donc bien, comme vous le voyez , déjà à l'époque dans le vif du sujet. (les couleurs et les mots en gras sont de nous évidemment) :
Le grand mystère des pôles
Il est de notoriété publique et officielle que le Pôle-Nord fut conquis par Peary, le 6 avril 1909 et le Pôle-Sud par Amundsen, le 14 décembre 1911, précédant son malheureux rival anglais Scott qui a péri à 15 km, d'un dépôt de vivres avec son équipe, sauf Atkinson qui retrouva les cadavres gelés de ses compagnons, le 8 novembre 1912.
Les nombreuses expéditions de l'Amiral Byrd et celles des années géophysiques internationales, en 1958-1961, semblent ne laisser aucun mystère sur l'Antarctique qui serait, selon les vues officielles, un continent de 14 millions de km2 , avec une calotte glacière de 4200 mètres maximum, le plus haut sommet atteignant 5140 mètres. L'Erebus et le Terror, volcans importants en activité, terminent où commencent la grande ceinture volcanique du Pacifique.
Pour la majorité des gens, la Terre possède cinq continents et ils ont raison. L'Antarctique n'est, en fait, pas un continent au sens propre du terme, mais un amas de grandes et de petites îles potentielles qui seraient séparées par des détroits qui se rempliraient d'eau si la glace fondait. Les points 0, au niveau de la mer, coupent en deux ce soi-disant continent de basses terres de 150 à 200 mètres, de fortes dépressions au-dessous du niveau de la mer apparaissent sur les radio-sondages. L'Antartique bordée par des zones terrestres élevées dans la région de la chaîne Transantartique baignée par la mer de Ross, comprenant à l'intérieur de grandes chaînes de montagnes, au vu de faibles hauteurs topographiques relevées en son centre droit, cartographié depuis le sud de l'Australie, nous donne l'impression d'être un immense cratère effondré à l'instar du Groenland dont l'affaissement topographique, au centre et au NordOuest, est indéniable.
Sur le plan géologique, il est impossible que l'Antarctique soit un continent unifié à moins que les couches se rencontrent au fond de la grande coupure sismique qui partage l'Antarctique en deux, au fond de l'éventuelle future mer, produite par la fonte des glaces. L'Antarctique, de la Mer de Weddell à la Terre Georges V, au sud de l'Afrique et de l'Australie, à part quelques poussées jurassiques, est principalement pré-cambrienne, cambrienne. La nette cassure se remarque de la Terre de Graham à la Terre Georges IV, qui est nettement jurassique-crétacée-tertiaire, rejoignant la Terre de Feu et les Andes sous-marines dont les sommets émergent par les Sehtland-Sud, les Orcades du Sud, les Iles Sandwich, la Géorgie du Sud et les Maloines. Dans cette zone de poussée Cénozoïque et du Mésozoïque supérieur, les faibles couches précambriennes et cambriennes se trouvent comme encerclées. Ce qui prouverait que cette forte poussée jurassique a fait s'effondrer l'Antartique en son centre droit.
Toute nouvelle terre non découverte auparavant a suscité, au cours des âges, un aspect mythologique bien défini de reconnaissance de la part de ceux qui, au travers de la Tradition, en ont conservé un souvenir déformé, en se réclamant d'une façon floue de certaines terres ou continents et de civilisations disparues, telles l'Atlantide, Hyperborée et la Lémurie. Ces hypothétiques "régions disparues" auraient-elles un lien commun avec l'Antarctique ?
L'Amiral Byrd qui a vu certaines choses, qui n'ont pas été reconnues officiellement, aurait pu nous appporter des éclaircissements si, là comme ailleurs, une sorte de conspiration du silence n'était pas intervenue. De certains éléments, on est en droit de se demander si les vëstiges d'une grande civilisation n'existeraient pas sous la glace en Antarctique ? Dans cette expédition, un dénommé Thomas R. Henry ne tente-t-il pas de nous dévoiler "les dessous d'un gros iceberg", en déclarant dans l'un de ses écrits, que l'Antarctique est une Terre pas comme les autres. On parle d'oasis de glace, de démons de glace, de lacs étrangement émeraudes, d' "obscurité blanche" où l'on perdrait son compagnon à deux mètres de soi. L'Armée chilienne aurait photographié des "véhicules inconnus" et des OVNI dans l'Antarctique.
Au regard de tous ces phénomènes, nous ne sommes pas loin des "blancs linceuls qui s'entrouvent", décrits par S. Coleridge et G. Dore, dans la "Ballade du vieux marin", des aventures d'Arthur Gordon Pym, d'Edgar Poe et du "Sphinx des glaces" de Jules Verne. Arthur Gordon Pym, après avoir passé une période terrible sur un bateau dans les Bermudes, naufragé à la hauteur de l'Afrique Occidentale est recueilli par une goélette faisant route vers les zones polaires très au Sud. Cette goélette avance en de hautes latitudes Sud, dans une région chaude et exceptionnelle avec des animaux et de la végétation étrange. Des indigènes détruisent le navire..J. Verne recommence et continue l'histoire de Poe dans le "Sphinx des glaces", œuvre très mal accuellie et comprise à l'époque, car elle laisse certainement un message pour notre décennie, et les quelques décennies à venir, avant notre pénétration dans le Verseau. Jules Verne voit ses héros entrer à 2° 45' sur le plan longitudinal à l'Est de la position Poe, et dans le couloir Ouest antarctique en se rétablissant sur la ligne de Poe. Ce qui forme un "V" du mouvement polaire, et, à quelques décimales près, nous trouvons tous les grands mouvements entre le pôle géographique et le pôle géographique moyen, entre le point vernal et le point vernal moyen et le grand axe céleste. Nous trouverions à la place, pour la précession luni-solaire de 50'37 ", la précession terrestre propre de 50'M", avec la non-compensation de 12", se rétablissant sur le cercle de précession centré sur le Pôle de l'écliptique tous les 25700 à 25900 ans, représentant également un bouclement sur le cercle zodiacal de 12 x 2160 ans.(Note du Web master :voir "La Lune clé de la Bible" de Jean Sendy )
Tous les mouvements terrestres propres, longitudinaux, latitudinaux, polaires, laissent un vide qui signifierait un allongement de l'écartement des longitudes entre les positions "poennes" et "verniennes". Dans son roman, Jules Verne, avec ses "dons de double-vue", voit l'île Tsalal anéantie, le voyage vers le pôle-Sud continue et son passage s'effectue d'une façon déviée, sur un iceberg. En consultant la carte de radio-sondage, on s'aperçoit, en effet, que le Pôle Sud serait à l'eau si la glace fondait, mais avec de faibles profondeurs, capables de faire échouer un navire. II y aurait une mer intérieure sous la glace et des détroits navigables. Dans leurs aventures, les rescapés de Jules Verne passent devant ce qui pourrait être "un sphinx qui attire le fer". Cette Terre Carte de l'Antartique "imaginée" par Jules Verne passent devant ce qui pourrait être "un sphinx qui attire le fer " . Cette terre
du Sphinx est ronde. Elle est aussi repérable sur les cartes de radio-sondage actuelles. En calculant les longitudes qui dérivent de 1 ° par cent ans à l'Est et, en ajoutant la précession terrestre non compensée de 12" depuis 1839, date de départ imaginée pour cette fantastique aventure, il serait alors possible de retrouver la Terre du Sphinx à l'endroit recherché. Notons encore que cette "chose", d'après Jules Verne, serait à l'origine des aurores boréales qui ne s'expliqueraient que par l'ouverture des Pôles (?). De "blancs linceuls qui s'entrouvrent" existent aussi dans l'Arctique, mais c'est dans l'Antarctique que le bruit court sur certaines "expériences".
A ce blanc mystère des Pôles s'ajoutent encore ceux des photographies prises par le satellite "ESSA 7" de la NASA, dans une série de 39953 clichés. Les Pôles seraient-ils des "fantômes" ? Que sont devenus les équipages des sous-marins atomiques qui ont disparu ? Qu'est devenu "L'U-Boot 33" qui, en 1916, a disparu dans l'Atlantique Sud avec une charge d'aniline ? Quel rempart cet explosif avait-il à vaincre ? Isis se recouvre d'un voile supplémentaire, rendant ainsi difficile la réponse à toutes ces questions. Pourtant une chose nous apparaît clairement, c'est que ni Peary ni Amundsen, n'ont trouvé les Pôles. En effet, les cartes de 1909 ou de 1911 ne comportaient pas cet écartement de longitude pressenti par Verne en 1839, écartement anormal qui touche l'axe terrestre et un ralentissement qui expliquerait les jours de 23 heures que l'on veut nous fabriquer actuellement. De même une possible et rapide période glacière que P.E. Victor, lui-même, a reconnu à la télévision suisse, en janvier 1977.
Mais, cet article ne se désirait aborder que quelques points de réflexion, posés par Verne, comme tant d'autres. II y a parfois, dans de tels romans, certaines vérités qui se cachent, seulement accessibles à "l'initié" en la matière. Nous n'avons fait que poser un nouveau point d'interrogation sur ces "blancs linceuls". Nous attendons beaucoup de nos lecteurs avertis à ce sujet.
Groupe de réflexion "Antarticus"
Comme vous l'avez remarqué, ce texte, qui fourmille de détails littéraires et de chiffres sur les pôles, nous parle bien déjà dès 1978, des nombreux ovnis circulant en direction de l'Antarctique et qui auraient même été photographiés par l'armée chillienne.
Mais, ce qui nous interpelle vraiment dans ce texte, c'est que son auteur ( Antarticus) , affirme que Jules Verne aurait parlé quelque part, pour expliquer les aurores boréales de " l'ouverture des pôles" . L'auteur de ce texte est, lui même, semble-t-il très surpris de cela, puisqu'il pose un gros point d'interrogation à ce sujet. Ce point d'interrogation notoire, prouve, au moins, que cet auteur n'avait certainement pas pris encore connaissance de l'ouvrage de R. Bernard "la Terre creuse" paru pourtant dès 1971 chez ALbin Michel et pratiquement introuvable en librairie actuellement.
Nous n'avons pas trouvé cette mention "d'ouverture des pôles", dans " le sphinx des glaces" de Jules Verne. Nous supplions avec déférence donc, tout internaute passionné par cette histoire et qui aurait découvert cette expression dans une œuvre quelconque de Jules Verne, de nous en dire deux mots, car cela est d'une importance capitale. En effet, si en plus de la connaissance de la mer libre (Voir justement notre article merlibre.html), Jules Verne connaissait aussi l'affaire des ouvertures polaires, on ne pourra pas réfuter alors que c'était un véritable initié de très haut rang .
Notre appel bien a été entendu, car dès lors, vous pouvez découvrir la suite de cette affaire sur notre page :
Passons en troisième lieu, si vous le voulez bien, toujours tiré de la revue n° 314, à l'encadré tout aussi passionnant :
Pour corroborrer ce qui est exprimé dans cet encadré, il nous semble opportun de préciser ici ce que disait dans les mêmes conditions Andrew Tomas dans un ouvrage de circonstance désormais incontournable : "Shambhalla oasis de Lumière", publié aux éditions Robert Laffont en 1976, soit 2 ans avant l'article, cité plus haut, sur les pôles, de la revue Ouranos :
" Dans un article écrit en Asie Centrale en 1935. Nicolas Roerich , (Note du Webmaster: Professeur , explorateur, peintre auteur de l'ouvrage "Heart of Asia" : coeur de l'Asie ), relate ses rencontres avec les indigènes qui lui ont parlé (les Gardiens : " Lorsqu'ils surgissent, en plein désert, lui dirent-ils, chacun se demande d'abord où fut le point de départ de ce long voyage dans cette immense région sans eau, et comment ils purent le réaliser, mais de longues, longues cavernes sans fin ont été découvertes ". Sans l'existence de ces tunnels, l'apparition des gardiens au coeur du Gobi poserait, en effet, une énigme.
Parler de véhicules circulant à travers des galeries creusées sous les déserts et les montagnes fait penser à la science-fiction, de plus, cette tradition remonte à une époque où le monde occidental ne possédait aucune machine. Mentionner des vaisseaux aériens aperçus dans la zone de Shambhala paraît également fantaisiste mais comme l'expédition de Roerich avançait au voisinage des montagnes de Karakoram, en 1926, ses membres virent tout à coup dans le ciel clair du matin, un disque qui scintillait au-dessus de cette région désertique. Son vol fut observé à l'aide de trois puissantes jumelles. Inopinément, l'engin changea son cap, du sud au sud-ouest, pour disparaître derrière les cimes enneigées de la chaîne de Humboldt (Humboldt Range). Aucun avion, aucun ballon n'aurait pu, en 1926, survoler cette partie isolée de la Chine occidentale. Des machines volantes d'un type inconnu étaient seules capables de réussir les manoeuvres aériennes rapportées par Roerich. A la vue du disque dans le ciel, les lamas qui participaient à son expédition s'exclamèrent : " Voici le Signe de Shambhala "..
L'alpiniste anglais, Frank Smythe eut une expérience identique au mont Everest, en 1933. A 9 000 mètres d'altitude, il vit deux sombres objets évoluer dans le ciel. L'un avait des ailes épaisses, l'autre une sorte de bec. Les deux vaisseaux aériens ou spatiaux, étaient nimbés d'un halo. Smythe fut profondément intrigué, cependant, après avoir identifié les pics et les glaciers qui 1'entouraient, il fut convaincu de n'être pas victime d'une hallucination. Les objets volants, vus par Roerich et Smythe étaient-ils des engins aériens ou spatiaux venus de Shambhala? C'est du moins l'explication que, déjà, je proposai à Shanghai en 1935, et elle est encore valable aujourd'hui, faute d'une conclusion plus satisfaisante."
Nous pourrions en dire bien plus sur cet ouvrage du grand explorateur que fut aussi Andrew Tomas, mais il convient évidemment de préférence de se procurer cet ouvrage remarquable pour pénétrer vraiment au cœur de ce grand mystère qu'est Shambhalla.
Mais, à propos de la Chine, nous ne résistons pas ici au plaisir de vous présenter cette information qu'un aimable internaute canadien Michel G.. du Quebec, nous a transmise dès le 2 Juillet 2005 :
Les scientifiques chinois prêts pour l'expédition de recherches au Pôle Nord
Station de Huanghe
Les scientifiques chinois sont prêts pour une exploration au Pôle Nord à la mi-Juillet, a récemment annoncé des officiers océaniques. Cette expédition, la plus grande en la matière lancée par la Chine, durera six mois et inclura la recherche sur la météorologie polaire, le contrôle de l'environnement et sur la glace de mer. Une équipe de 21 scientifiques chinois partira bientôt pour la station de Huanghe (Fleuve Jaune), installée en juillet dernier dans l'île norvégienne de Spitzberg et la première station de recherches scientifiques du pays dans la région arctique. La recherche préliminaire a été effectuée l'année dernière près de la station et une enquête globale débutera cette année, a indiqué Yang Huigen, directeur adjoint de l'Institut de recherche polaire de Chine à Shanghai et scientifique en chef de l'expédition. " La recherche scientifique chinoise a besoin d'innovation et doit éviter les modèles, autrement, elle finira par imiter les autres, plutôt que de prendre la tête de ce domaine " , a dit Yang qui a été au Pôle nord 4 fois et une fois en Antarctique. Pendant le voyage arctique de cette année, Yang continuera ses observations et recherches de l'aurore polaire qui ont déjà gagné deux prix académiques nationaux. Yang a découvert que l'aurore apparaît plus fréquemment à midi qu'à n'importe quelle autre heure pendant l'hiver en Antarctique.
Selon Qu Tanzhou, directeur du Bureau arctique et antarctique de Chine de l'Administration océanique d'Etat, la Commission nationale pour le développement et la réforme a approuvé un plan ambitieux afin de promouvoir la recherche scientifique polaire du pays. Le plan est soutenu par 860 millions de yuans (105 millions de dollars US) et le travail est prévu d'être fini vers la fin de l'année. La Chine a adhéré en avril au Comité de gestionaires de Science de Ny-Alesund (Ny-Alesund Science Managers Committee, Ny SMAC), connu sous le nom des " Nations Unies des études arctiques ", donnant du poids à l'envie du pays d'être au premier rang de la recherche arctique. La Chine a commencé ses recherches dans la région arctique dans les années 90 et y a effectué deux observations scientifiques en 1999 et 2003. Lors des deux dernières décennies, le pays a organisé 20 expéditions antarctiques. China.org.cn 2005/07/01
Fin de citation
Voilà donc encore une affaire d'expédition chinoise au Pôle Nord, qui semble tout à fait classique et orthodoxe. N'oublions pas que, si les chinois ont assurément lu l'ouvrage "Le troisième œil" du lama L.Rampa, dont ils ont pu vérifier au Tibet, l'exactitude de toutes les précisions géographiques et humaines, qui y sont décrites (les détracteurs de ce lama vont encore râler ici) ,... ils ont alors aussi, à coup sûr, décortiqué, comme il se doit, l'ouvrage du même auteur: "Twilight" , publié d'abord de Grande Bretagne chez Corgy Books n° 05520997675, en 1975, puis en français en fin de la même année sous le titre "Crépuscule" chez J'ai Lu n° A226 , dans la prestigieuse collection, hélas disparue :" L'aventure mystérieuse du cosmos et des civilisations disparues", et actuellement, ce livre porte le n° 1851 dans la collection "L'Aventure Secrète". Ce livre, sans aucunes ambages, parle, clairement de la Terre creuse et des ouvertures polaires, qui permettent d'y accéder . On sait d'ailleurs que les pays qui se respectent, sont bien au courant désormais de cette affaire de Terre creuse , et nous croyons donc fermement, que cette nouvelle expédition soi-disant scientifique du Dr Yang Huigen, (directeur adjoint de l'Institut de recherche polaire de Chine à Shanghai et scientifique en chef de l'expédition) n'est qu'un leurre, et que les chinois veulent aussi aller plus avant dans le coin, pour voir de plus près, ce que les occidentaux ne veulent pas leur révéler. A bon entendeur salut.
Justement à propos de mondes souterrains en quatrième point, toujours tiré de la revue n° 314, on nous presente 4 pages superbes "La fabuleuse cité de Telos ", dont une entrée est sous le Mont Shasta en Californie aux USA. Si vous n'êtes pas au courant de cette inimaginable affaire, précipitez-vous déjà dans un kiosque pour trouver pendant qu'il est encore temps ce n° 314 de la revue "Le monde de l'inconnu", véritable anthologie des thèmes évoqués par ARTivision depuis 1997.
Nous avons parlé de Telos dans notre article Byrdalicesuite.html, et encore une fois pour vous éviter d'aller perdre votre temps sur le Web, voici ce que nous disions à ce sujet :
Début de citation
" Il s'agit de l'ouvrage intitulé : Telos Révélations de la nouvelle Lémurie d'Aurélia Louise Jones et de Dianne Robbins publié aux Editions Ariane 2002, dont le site est à: http://www.ariane.qc.ca et l'e-mail est à : info@ariane.qc.ca et comme par hasard nous y avons aussi trouvé, quelques nouvelles révélations sensationnelles sur la Terre creuse.
Voici donc quelques lignes significatives pages 29 et 30, de cet ouvrage à ce sujet : (Les mots en relief sont évidemment de nous et c'est d'abord Adama un ancien lémurien qui nous parle) :
"Toutes les planètes sont creuses ; autant celles de ce système solaire que de l'ensemble de l'univers. Naturellement, elles ne possèdent pas toutes une densité tridimensionnelle, mais elles sont toutes creuses à l'intérieur. La plupart sont peuplées de sociétés appartenant à diverses dimensions, surtout à la cinquième et au-delà. Bien qu'il y ait encore plusieurs astres tridimensionnels au sein de la création, ils comptent pour peu parmi ceux qui sont à cinq dimensions. Ils ne sont pas tous habités à leur surface, mais tous abritent des peuples à l'intérieur. Mars, en l'occurrence, contient une civilisation ascensionnée de la cinquième dimension qui prospère en son centre, invisible et indécelable pour vos scientifiques. L'intérieur et la surface de Vénus portent aussi une population de la même dimension qui s'apprête à passer à la sixième; l'humanité ne peut la déceler, ni par ses facultés sensorielles ni par ses instruments. Voilà pourquoi vos scientifiques en ont conclu que ces mondes sont inhabités et impropres à la vie.
Les planètes sont créées par les Élohim, les architectes de la Création. Bien que chacune soit différente et douée d'un caractère unique, leurs écosystèmes internes et externes partagent une base similaire. L'architecture des planètes permet les déplacements à l'intérieur de leur structure.
La Terre comporte elle aussi ces caractéristiques. Au moment de sa formation, on a échafaudé un modèle interne spécifiquement pour elle, avec un certain nombre de tunnels naturels intégrés à ses multiples grilles énergétiques.
Par ailleurs, quelques peuples qui l'habitèrent jadis, bien avant les débuts de votre préhistoire, ont aussi amélioré le réseau de souterrains existant et l'ont encore étendu. Il y a plus de 200 000 ans, une ou deux sociétés très évoluées, provenant d'un autre univers, se sont installées dans la Terre ; c'est ce que vous appelez «la Terre creuse». Ces populations ont apporté de formidables améliorations aux réseaux de galeries. A ce jour, ces habitants s'y trouvent encore, mais dans un état complètement ascensionné. Pour la construction des tunnels, ils employèrent une technologie qui vous est inconnue mais qui rendit leur travail tout à fait aisé.
Ultérieurement, d'autres sociétés élirent résidence au sein de la Terre; plusieurs cités de lumière y furent édifiées. Chacune de ces sociétés venues vivre au coeur du globe terrestre creusa des passages supplémentaires connexes au réseau en place. À l'intérieur de la Terre, ces tunnels d'une grande précision, fruits d'un savoir sûpérieur, assurent des déplacements aisés et rapides. Les galeries actuelles permettent à chaque citoyen de l'intérieur du globe terrestre de passer de son domicile à n'importe quel endroit dans la Terre creuse en moins de trois ou quatre heures. Ceux qui sont capables de se téléporter en font également usage ; ils atteignent ainsi leur destination en quelques minutes ou ~econdes. Les sociétés plus récentes ont toujours bénéficié de l'apport des cultures anciennes pour la conception de leurs tunnels. Ainsi, on peut affirmer que le réseau souterrain fut bâti à différentes époques par diverses cultures. Les Lémuriens qui habitent l'intérieur du mont Shasta sont considérés comme les «nouveaux venus». Ils n'y sont installés que depuis environ 15 000 ans, une arrivée plutôt récente par rapport aux autres communautés qui y résident depuis beaucoup plus longtemps. Nous avons commencé à ériger notre ville, il y a environ 3 000 ans avant l'engloutissement de notre continent....
"
Mais il y a aussi cette affaire de trous aux pôles que nous révèle en page 114, un certain Mikos un autre lémurien :
"Toutes les planètes possèdent des ouvertures aux pôles nord et sud. Nous avons migré par celles-ci et découvert notre petit "nid" à l'intérieur. Le cœur de la planète est si propre, si pur et si paisible, que depuis cette époque nous n'en sommes jamais sortis.
Au cours des âges, nous avons amplifié et amélioré le réseau de galeries menant aux cités souterraines et à la surface, afin de faciliter les déplacements de nos concitoyens et des vôtres. Bien que les tunnels n'aient été que rarement employés par des voyageurs de chez vous, ils serviront prochainement, lorsqu'un nombre croissant d'entre nous se mêlera à vous et que nous nous rendrons mutuellement visite. La face externe de votre planète est donc parsemée d'entrées de tunnels conduisant à nos cités et à leurs agglomérations. C'est ainsi que sont constituées la plupart des planètes de votre galaxie; les gens se déplacent librement entre le noyau et la périphérie, en vue d'échanger des inforrnations et d'apprendre les uns des autres...
"
Mais en page 128, on trouve pour finir :
"Notre station spatiale se situe à l'intérieur de la Terre creuse, alignée directement sur les ouvertures aux pôles nord et sud. Contrairement à vous, nous ne sommes pas captifs de cette planète, mais pouvons aller et venir à notre guise. Nos déplacements ne sont pas entravés : nous pouvons voyager comme bon nous semble de par l'univers. Notre monde n'est pas sujet aux contraintes physiques, car nous appliquons les lois universelles de l'énergie et faisons usage des autoroutes déjà tracées partout dans le cosmos. Tout est cartographié, si bien qu'il est impossible de se perdre ; et tout ce qui existe est en communication constante avec tout. Il n'y a qu'à faire appel à ce réseau «vivant », qui émet sans interruption, pour le parcourir sans effort. Nous ne sommes pas isolés du reste de la vie dans l'univers comme vous l'êtes, et nous ne sommes pas non plus restreints dans nos déplacements."
Que dire de plus devant de telles révélations qui surclassent de loin, les imaginations les plus fertiles des auteurs de Science Fiction et arrêtons là donc, voulez-vous, toutes ces surprenantes explications sur la nature éventuelle de cette Terre creuse et nous vous invitons pour terminer, si ce n'est pas déjà fait, à vous procurer cet incomparable ouvrage d'un niveau tout à fait hors normes. "
fin de citation
Comme vous le voyez, cela dépasse tout ce que l'on peut imaginer et comme les anglosaxons dans les situations embarrassantes, nous dirons alors : No comment !
Nous terminerons cette exploration du n° 314 du "Monde de l'inconnu", par un cinquième volet qui est tout à fait à part des précédents qui avaient tous un lien entre eux : la notion de Terre creuse. Il sagit de l'article intitulé "La science peut-elle expliquer Dieu?"
Nous n'allons pas ici aborder toutes recherches scientifiques présentées dans cet article, mais les nombreux articles d'ARTivision, axés sur le sujet ( en considérant aussi les extraordinaires expériences concernant les intercommunications entre les plantes, les animaux, et les humains, voir notre article : dimcos.html), tendent à démontrer, qu' il existe un complexe vibratoire intelligent de haut niveau, qui structure la nature et plus généralement le cosmos, et que l'on peut l'appeler, l' Intelligence Omnicréatrice Suprême, le Très Haut, la Conscience Universelle, Dieu, etc...
Cette intelligence évolue dans diverses dimensions et évidement peut transmettre ses messages à quiconque est à l'écoute. ARTivision a pour cela, mis en exergue, il y a pas mal de temps, ce qui a été appelé le mysticisme cosmique pragmatique, qui a simplement pour rôle de nous montrer qu'il existe bien d'autres dimensions, et que l'on peut recevoir d'elles, certaines informations. C'est une recherche qui en appelle, uniquement à la conscience individuelle, et n'a rien à voir avec des mouvements sectaires de quelque nature que ce soit.
Rappelons à toutes fins utiles, les articles qui pourraient entrer dans cet ordre de pensée :
Le cinquième
article cité en rouge, un conte très
ésotérique intitulé " Rencontre insolite ou la
redécouverte des sentiers conduisant à l'Accomplissement " , est l'un des
articles, qui s'intègre le plus, nous le pensons vraiment, en effet, dans la démarche
culturelle du site ARTivision
. Nous avons eu , beaucoup de
plaisir à l'écrire et pour cause, car ce conte met en
exergue le fait, qu'il faut désormais transcender toutes ces querelles insignifiantes des
religions pour (si l'on veut
vraiment le changement) , opérer une
relecture cosmique de nos textes sacrés en y
retrouvant tout ce qui montre l'universalité de l'Esprit Cosmique et en oubliant franchement tout ce
qui a trait aux tueries, aux massacres, aux
divisions..etc... et nous espérons que l'on ne
pourra pas nier ces temps-ci, ce contexte d'universalisme, qui désormais émaille le
contenu des articles du site ARTivision.
Pour approfondir vraiment ce contexte d'esprit cosmique, prière de se "brancher" sur la page :
Fin de la première partie .
b) Autre rendez-vous spécifique avec l'ouvrage "LAURA ou Le voyage dans le Cristal " de George Sand .
Notre ami, grand collectionneur d'informations subtiles anciennes sur la théorie de la mer libre M. Hertzog (voir son incomparable intervention dans notre article chouchou merlibre.html), nous a fait parvenir des paragraphes importants de l'ouvrage étonnant de la femme de lettres George Sand ( 1804-1876), et ouvrage publié d'abord chez Michel Levy en (1865), puis en livre de poche : Petite Biblio, Ombres, 1993 et Pocket n° 6296, 2004 ISBN : 2-266-13697-6 , Collection Classique en 2004 (texte également accessible sur Gallica).
Voici donc la couverture moderne de cet ouvage:
Cette œuvre surprend par son caractère spécial, où règne un étrange mélange de fiction et de réalité et œuvre qui ne manquerait pas de ravir les gens qui affirment que les cristaux ont des pouvoirs vibratoires très particuliers, capables même, de nous faire basculer dans une autre dimension.
Nous ne pouvons pas hélas ici vous révéler le contexte de l'intrigue littéraire de ce roman, mais on doit savoir de Laura est une sorte jeune fille, médium très proche de la nature et qu' Alexis est un jeune homme minéralogiste et aussi d'une grande sensibilité parapsychologique.
Mais voici donc quelques passages qui nous ont interpelés :
Alexis s'entretient avec son "oncle Nasias" , sorte de fakir thaumaturge, à peine revenu de contrées exotiques:
Nasias
Tu es un écolier qui veut faire l'esprit fort, reprit mon oncle. Je te pardonne cela, c'est ainsi qu'on vous instruit, et je sais d'ailleurs que le fameux Tungsténius prétend tout expliquer sans tenir compte des instincts mystérieux qui sont plus puissants chez certains hommes que ces facultés d'observation trompeuse dont ton oncle est si vain. Sépare-toi dés aujourd'hui des arides dissertations de mon beau-frère, et n'écoule que moi, si tu veux l'élever au-dessus d'un vulgaire pédantisme. Tu es un voyant naturel, ne torture pas ton esprit pour le rendre aveugle. « Sache que je suis un voyant, moi aussi, et que, devant les sublimes clartés de mon imagination, je me soucie fort peu de vos petites hypothèses scientifiques. Des hypothèses. des analogies, des inductions, la belle affaire ! Je vous en ferai par milliers, moi, des hypothèses, et toutes bonnes, bien que se contredisant les unes les autres. « Voyons ! que signifient votre intensité du calorique et vos matières minéralogiques en fusion a trente-trois kilomètres de profondeur ? Vous procédez, du connu à l'inconnu, et vous croyez saisir ainsi la clef de tous les mystères. Vous savez qu'à la profondeur de quarante mètres la chaleur est de onze degrés, et qu'elle augmente d'un degré centigrade par trente-trois mètres. Vous faites un calcul, et vous raisonnez sur ce qui se passe à deux ou trois mille kilomètres plus bas, sans songer que cette chaleur constatée par vous n'est peut-être due qu'à la rareté de l'air au fond d'un puits, tandis que, dans les grandes dislocations intérieures qui vous sont inconnues, circulent peut-être des masses d'air, des ouragans considérables qui ont, depuis des milliers de siècles, alimenté certains foyers volcaniques, lorsque sur d'autres points ils avaient, avec l'aide des eaux, éteint à jamais l'énergie du prétendu foyer central. Vous savez, d'ailleurs, que cette chaleur centrale n'est en rien nécessaire à l'existence terrestre, puisque toute vie à la surface est l'œuvre exclusive du soleil. Donc, votre noyau en fusion est une pure hypothèse dont je ne m'embarrasse guère, et que, d'ailleurs, je paralyse localement, dans la supposition d'une ouverture vers les pôles. Pourquoi, si les pôles sont nécessairement aplatis en raison de la force centripète qui agit sur eux d'une manière continue, ne seraient-ils pas creusés plus profondément qu'on ne le suppose par la réaction de la force centrifuge agissant toujours vers l'équateur ? Et si les pôles sont creusés jusqu'à la profondeur de trente-trois kilomètres, ce qui est en réalité une misère, comment la chaleur y subsisterait-elle depuis le temps que le fond de cet abîme est en contact avec le climat glacé de la région qu'il occupe ?
Alexis
Permettez, mon oncle ; vous parlez de climat glacé aux pôles. Vous n'ignorez pas que l'on croit aujourd'hui à l'existence d'une mer libre au pôle Nord. Les voyageurs qui ont pu en approcher y ont vu flotter des brumes et voler des oiseaux, indices certains d'une masse d'eau dégagée des glaces, et jouissant par conséquent d'une température supportable. Donc, s'il y a là une profondeur notable, il y a nécessairement une mer, et, s'il y a une mer ou seulement un lac, il n'y a pas de cratère où l'on puisse descendre, et votre hypothèse, car c'en est une bien plus hasardée que toutes celles de la science, tombe dans l'eau, c'est le cas de le dire.
— Mais, imbécile que tu es, reprit avec une colère brutale l'oncle Nasias. tout bassin maritime est un cratère, je ne dis pas volcanique, mais un cratère, une croupe d'origine ignée, et, si tu crois à l'existence d'une mer polaire, tu m'accordes la nécessité d'une immense excavation pour la contenir. Reste à savoir si cette excavation est vide ou remplie d'eau. Moi, je dis qu'elle est vide, parce qu'un foyer d'expansion quelconque la vide sans cesse, et qu'elle donne passage aux phénomènes électriques des aurores boréales, phénomènes dont je sais bien que tu voulais me parler. J'admets qu'elle exhale une douce chaleur, car je t'accorde, si tu y tiens absolument, un noyau igné situé au centre, et très loin de la cristallisation géodique à laquelle je me flatte de parvenir. Oui, je m'en flatte, et je le veux ! J'ai assez parcouru le monde équatorial pour être bien certain que la surface terrestre est très pauvre en gemmes, même dans ces contrées relativement riches, et ma résolution est prise d'aller explorer celles où la force centripète retient et concentre leurs incommensurables gisements, tandis que la force centrifuge ne fait que repousser vers l'équateur de misérables débris arrachés aux lianes appauvris de la planète, comme ces esquilles d'os brisés que rejettent les blessures tuméfiées de l'homme.
J'avoue que mon oncle Nasias me parut complètement fou, et que, craignant de le voir entrer dans quelque accès de fureur, je n'osai plus le contredire.
— Expliquez-moi donc, lui dis-je, pour changer un peu la marche de la conversation, quel intérêt si puissant, quelle curiosité si ardente vous poussent à la recherche de ces gisements de gemmes que je ne veux pas qualifier.
Tu t'étonnes sans doute, mon cher Alexis, de l'imprudence de ma conduite ; mais sache que tout est prévu et que je n'agis point au hasard. Ce misérable équipage dont les vociférations nous rompent la tête est destiné à périr ici, car il me devient dès aujourd'hui parfaitement inutile et passablement incommode. J'entends poursuivre seul avec toi et une bande de chasseurs esquimaux, qui doit dès cette nuit nous rejoindre, mon voyage sur la mer à glace fixe jusqu'à la mer libre qui est le but de mes travaux. Apprête-toi donc à partir dans quelques heures et munis-toi de tout ce qu'il faut pour écrire la relation désormais intéressante de notre voyage.
Je restai quelques instants stupéfait.
— Y songez-vous, mon oncle ? dis-je enfin en m'efforçant de ne pas irriter par un accent d'indignation celui à qui j'avais confié si imprudemment mon sort ; n'êtes-vous pas satisfait d'avoir atteint sans encombre une limite que nul navire avant le vôtre n'avait pu choisir pour hiverner, de n'avoir encore perdu aucun homme, ni vu avarier aucune partie de vos provisions ? Comment pouvez-vous croire à la possibilité d'aller plus loin, durant la longue absence du soleil, par le froid le plus rigoureux que les animaux sauvages puissent supporter ? Comment vous flattez-vous de voir arriver des naturels, quand vous savez que ces malheureux sont maintenant blottis à plusieurs centaines de lieues vers le sud. dans leurs cabanes de neige chauffées à quatre-vingt-dix degrés ? Et, chose plus étonnante encore, comment admettez-vous l'idée de laisser périr ici un si vaillant et si excellent équipage, au mépris de toutes les lois divines et humaines ? Ceci est une de ces terribles plaisanteries par lesquelles vous avez juré de m'éprouver, mais à laquelle un enfant de quatre ans ne croirait pas ; car, si vous ne vous souciez pas de vos braves compagnons de voyage, vous vous souciez bien un peu, j'imagine, des moyens de revenir en Europe et d'un magnifique navire qui ne peut se passer d'entretien journalier et de sauvetage au besoin.
Les diverses stations et les éléments monotones de notre voyage ont laissé peu de traces dans ma mémoire. Je n'en saurais guère apprécier la durée, n'étant pas certain de la date de notre départ du navire. Je sais qu'un jour le soleil reparut, et que la caravane s'arrêta en poussant des cris de joie.
Nous étions sur la terre ferme, au sommet d'une haute falaise moussue ; derrière nous, les immenses glaciers des deux rives du détroit que nous avions franchi s'étendaient à perle de vue vers le sud, et devant nous, la mer libre, sans bornes, d'un bleu sombre, brisait à nos pieds, sur d'apres rochers volcaniques, avec un bruit formidable. Jamais musique de Mozart ou de Rossini ne fut plus douce à mon oreille, tant le morne silence et la solennelle fixité des glaces avaient exaspéré en moi le besoin de la vie extérieure. Nos Esquimaux, ivres de joie, dressaient les tentes et préparaient les engins de pêche et de chasse. Des nuées d'oiseaux de toute taille remplissaient le ciel rosé, et on voyait les baleines innombrables s'ébattre dans les flots tièdes de la mer polaire.
D'autres l'avaient signalée et consacrée avant nous, cette mer longtemps problématique, mais, presque seuls, à bout de forces et pressés de revenir sur leurs pas pour ne pas succomber aux fatigues et aux périls du retour, ils n'avaient fait que la saluer et l'entrevoir. Nous arrivions à cette limite du monde connu tous en bonne santé, riches de munitions, n'ayant perdu aucun de nos chiens, rien endommagé de notre précieux matériel. C'était un concours de chances tellement inouï, que les Esquimaux regardaient de plus en plus mon oncle comme un puissant magicien, et que moi-même, forcé d'admirer sa prévoyance, son habileté et la foi qui l'avait soutenu, je le contemplais avec un respect superstitieux.
Le soleil nous fit une courte visite ce jour-là ; mais son apparition dans un ciel tout marbré de tons rosés et orangés m'avait rendu la confiance et la gaieté. La mer s'éclaira longtemps d'un crépuscule transparent comme l'améthyste ; nous cherchâmes un lieu abrité du vent, et au pied d'un glacier d'une blancheur immaculée nous choisîmes un charmant vallon tapissé d'une mousse fraîche et veloutée où fleurissaient des lychnis, des hespéris, des saxifrages lilas, des saules nains et des bermudiennes.
Le lendemain, ayant reconnu que l'eau de la mer était aussi tiède que dans les climats tempérés, nous nous donnâmes les plaisirs du bain. Je montai ensuite sur un pic assez élevé avec mon oncle, et nous primes plus ample connaissance du pays inexploré que nous voulions atteindre.....
Ce pays, c'était le rivage ouest du détroit franchi qui s'étendait en droite ligne vers le nord sur notre gauche, tandis qu'à notre droite les terres septentrionales du Groenland semblaient fuir en ligne horizontale complètement déprimée. En face de nous, rien que la mer sans bornes. La côte occidentale, déprimée aussi sur un grand espace, se redressait en puissantes masses volcaniques, les monts Parry sans doute, déjà vus de loin et baptisés par nos devanciers, mais jamais atteints.
Nous n'avons rien fait, me dit mon oncle, si nous n'allons pas jusque-là ; nous avons deux bonnes pirogues, et certes nous irons ; que t'en semble ?
— Nous irons, répondis-je ; n'y dussions-nous trouver, comme je le crois, que des laves et de la glace, nous irons certainement !
— Si nous n'y trouvions pas autre chose, reprit mon oncle, c'est que ton sens divinatoire et le mien se seraient oblitérés, et alors il faudrait s'en remettre à l'incomplète et tardive science pratique des hommes pour découvrir, dans cinq ou six mille ans peut-être, le secret du monde polaire ; mais, si tu doutes, moi, je ne doute pas : j'ai consulté mon diamant, ce miroir de l'intérieur du globe, ce révélateur du monde invisible, et je sais quelle richesse incalculable nous attend, quelle gloire, effaçant toutes les gloires passées et présentes de l'humanité, nous est réservée !
Après une station très douce, nous étions disposés à entreprendre la traversée de la mer polaire, quand nos Esquimaux, jusque-là si confiants et si joyeux, nous firent observer que vu le temps nécessaire au voyage du retour et la chaleur exceptionnelle de l'année, nous risquions d'être surpris par le dégel, qui rendrait la route impraticable par mer et par terre.
Mon oncle leur remontra en vain que ce qu'ils prenaient pour un été exceptionnel n'était que l'effet d'un climat nouveau pour eux et stable dans cette région ; qu'en cas de dégel subit, nous étions en situation d'attendre des semaines et des mois le moment favorable : ils se mutinèrent. La nostalgie s'était emparée d'eux, ils regrettaient leurs climats désolés, leurs tanières sous la neige, leur poisson rance et salé, peut-être aussi leurs parents et leurs amis. Bref, ils voulaient partir, et ils ne rentrèrent dans l'obéissance que devant la menace de Nasias, qui leur présenta son diamant en leur disant qu'il les ferait tous dessécher et cuire, s'ils renouvelaient leurs murmures. Nous n'avions que deux pirogues. Il nous fut très difficile d'obtenir qu'on en construisît d'autres avec les bois flottés et les écorces du rivage. Ces arbres enchantés effrayaient leur imagination. Et puis ils disaient que cette mer navigable et riche en poisson sur les côtes devait, à une certaine distance, contenir des monstres inconnus et des tourbillons perfides.
Le véritable sujet d'épouvante était au fond la crainte d'être emmenés par nous dans le monde des Européens, qu'ils supposaient situé dans le voisinage du cap Bellot, et de ne jamais revoir leur patrie. Mon oncle, malgré son prestige et son autorité, ne put en décider qu'une douzaine à nous suivre. Nous vînmes à bout d'équiper six pirogues, et, forcés d'abandonner à la troupe mécontente et incertaine tout notre matériel et toutes nos chances de retour, nous prîmes le large en nous abandonnant à la destinée.
Bien que le temps fût magnifique, une forte houle régnait sur cette mer, où nulle embarcation ne s'était encore hasardée et ne se hasardera peut-être jamais. Les forces de nos rameurs et les nôtres furent bientôt épuisées, et nous dûmes nous abandonner à un fort courant qui tout à coup nous entraîna vers le nord avec une rapidité effrayante.
Nous doublâmes les monts Parry sans pouvoir aborder, et, au bout de trois jours d'une désespérance absolue de la part de nos gens, qui pourtant ne manquaient de rien, ne souffraient pas du froid et n'embarquaient pas de lames dans leurs excellentes pirogues, nous vîmes poindre au soleil levant un pic d'une élévation prodigieuse que mon oncle estima devoir surpasser de beaucoup les sommets de l'Himalaya.
Nous pourrions bien sûr en dire plus sur cette exploration, mais cela pourrait vite indisposer le lecteur.
Mais voyons pour terminer voyons ce que l'on trouve à la page 93:
Il fallut naviguer ainsi plusieurs jours et plusieurs nuits ; enfin cette cime effrayante parut s'abaisser : c'était un signe d'approche bien certain. Peu à peu surgirent de l'horizon d'autres montagnes moins hautes derrière lesquelles la cime principale se masqua entièrement, et une terre d'une étendue considérable se déploya à nos regards. Dès lors, chaque heure qui nous en rapprochait fut une heure de certitude et de joie croissantes. Nous distinguions, avec la lunette, des forêts, des vallées, des torrents, un pays luxuriant de végétation, et la chaleur devint si réelle, que nous dûmes nous débarrasser de nos fourrures.
Et à la page 115: C'est Laura qui s'entretient avec Alexis:
Tandis que mon véritable père consentira certainement à te l'accorder quand il saura que je t'aime. Tu as fait bien du chemin et bravé bien des périls, mon pauvre Alexis, pour chercher le bonheur qui t'attendait à la maison. Veux-tu que nous y retournions tout de suite ?
- Oui, tout de suite, m'écriai-je.
- Sans voir l'intérieur de la géode ? sans traverser le monde des gemmes colossales éclairées du rayonnement éternel de la lumière électrique ? sans gravir au faîte de ce cône d'obsidienne ou d'amphibole plus élevé que l'Himalaya ? sans t'assurer qu'il fait au pôle Nord une chaleur tropicale, et que le noyau central du globe est d'une agréable fraîcheur ? Il serait pourtant bien curieux de constater toutes ces choses, et bien glorieux de pouvoir les affirmer à la barbe de notre oncle Tungsténius et de tous les savants de l'Europe !
Il me sembla que Laura se moquait de moi, et pourtant je ne voulus pas en avoir le démenti....
Et à la page 120:
Ignorant ce qui se passait entre Laura et lui, je m'étais retiré fort troublé dans ma chambre, où, après avoir vainement essayé de me calmer en lisant alternativement un conte des Mille et Une Nuit et la relation du voyage de Kane dans les mers polaires, j'avais écrit sous l'influence du délire pendant plusieurs heures.
Nous y voilà. Tout s'explique en partie : L' auteur George Sand, de ce livre bien étrange , que nous vous invitons évidemment à découvrir plus avant,, avait certainement pris connaissance des récits de l' expédition du Dr Kane, vers le pôle nord, en 1853.
Nous attirons cependant votre attention sur le fait que, nous aussi, nous avons évoqué, comme par hasard, dans notre article
merlibresuite.html, le concept
de la géode, dont il est partout question, dans l'ouvrage de George Sand.
...A vous désormais donc, d'apprécier tout cela....
A propos de géodes, pour les amateurs du genre, très opportunément, il se trouve que la Chaîne de télevision
RFO Tempo, nous en parle en ce moment même, et nous en présente des dizaines d'une beauté extraordinaire, accompagnés de cristaux énormes découverts au Brésil . Ce documentaire a été réalisé en
Janvier 2002 par
Patrick Voilot d'après le livre
"L'aventurier des pierres précieuses", publié aux Éditions
"Le Pré aux Clercs". Les images sont de
Christian Bidot.
III Conclusion générale.
Nous avons dans cet article voulu montrer que, la connaissance
d'une mer libre de glace au Pôle Nord, et surtout les notions
d'ouvertures polaires et de Terre creuse, si difficiles à admettre, il y a quelques années,
(et mises en exergue sur la pointe des pieds en Sept 2000 par ARTivision ), prenaient de plus en plus corps dans la presse ésotérique facilement accessible dans nos kiosques
( voir le n° 314 de la revue "Le Monde de L'inconnu"). Mais cela est bien plus étrange, dès
1865, un grand écrivain français
(George Sand), avait, par
une préscience surprenante, imaginé les tenants et les aboutissants de
la théorie des ouvertures polaires, que nous personnellement, n'avons connue qu'en
1972, après la lecture de l'ouvrage désormais incontournable
La Terre creuse de
R. Bernard.
Autre prolongement révélateur spécifique en date du 15/08/05.
A propos de cristaux , certaines forces,
pleines de lumière, nous en parlent
ces temps-ci, car ces cristaux subissent des préparations pour transmuer cette planète,
dans une autre dimension.
Il s'agit cette fois, de l'entité nommée
Flex, qui s'exprme, dans
un ouvrage d'initiation intitulé :
"La délivrance par le Soleil" de
Nathalie Chintanavitch paru aux Éditions
Ariane, en 2004 et dont voici la couverture :
Comme les propos de
Flex, s'alignent admirablement avec ce que nous avons justement présenté ci-dessous, nous allons vous en transcrire quelques éléments significatifs
( Les couleurs en gras sont de nous évidemment)
:
" Savez-vous que les cristaux et les minéraux constituent d'excellents relais d'énergie? Ce sont à la fois des vecteurs et des condensateurs de lumière. Certains cristaux, comme la pierre de soleil et l'opale de feu, servent de relais à l'énergie solaire. Nous vous parlerons des cristaux de feu : leur puissance est vaste et peut même devenir destructrice si elle est mal contrôlée. Nous en connaissons la maîtrise, mais cela fera l'objet d'un autre de nos enseignements....
....La Lune est un astre bienveillant qui arrose la Terre de sa lumière céleste et veille au bon équilibre des énergies primordiales féminines et masculines en l'homme: Sa présence est en quelque sorte complémentaire à celle du Soleil et leurs épousailles permet une autorégulation énergétique en maintenant l'équilibre de la Terre. L'énergie lunaire qui coule en ces temps présents vers vous intervient dans le processus d'expansion de la vibration féminine affluant sur votre humanité.
Cette énergie revitalise en chacun la fréquence qui le relie à la Terre-Mère, en profondeur aussi, et s'incruste vibratoirement en vos corps pour vous transporter en allégeant le fardeau de lourdeur qui vous entoure. L'énergie de la Mère revient en force, je vous le dis, et reflète des aspects nouveaux de sa lumière qui s'alignent sur la nécessité d'accélération du processus de transformation, fidèlement au Plan divin.
Tout comme l'énergie solaire s'écoule en vous, vous devez être attentifs aux effets de la présence de l'énergie lunaire qu'il vous faut aussi intégrer en substance vitale. C'est l'agencement et la combinaison de ces deux énergies, celles de l'astre solaire et de l'astre lunaire, qui renforceront votre réceptivité au divin qui cherche à s'exprimer autour de vous et en vous, en vibrations de plus en plus intenses, mais aussi votre ouverture à nos sphères de lumière stellaire.
En ce qui concerne le rayon lunaire, son énergie relais cristalline est ce que vous appelez la pierre de lune. Celle-ci porte bien son nom, n'est-ce pas? La pierre de lune est porteuse du rayon lunaire et de l'énergie primordiale féminine. Elle agit en profondeur chez l'être humain, mais aussi sur la Terre, qui dispose, en ses entrailles, de nombreux groupes de cette pierre aux reflets irisés.
(Note du Webmaster:Voici le peu que nous avons trouvé à ce sujet sur un catalogue d'une libraire ésotérique:
. Souhaitons alors, qu'il s'agisse de la même pierre)
Le sol de la Terre est rempli de cristaux de toutes sortes dont certains vous sont encore inconnus: dans un temps très proche, vous serez amenés à découvrir leur existence et les qualités dont ils sont porteurs.
Votre planète porte en elle 13 vortex souterrains d'énergie relais du rayon lunaire formés d'une quantité inimaginable de pierres de lune. Ceux-ci correspondent aux 13 cycles lunaires de votre calendrier. Ces lieux font partie des mondes souterrains, mais leur état est tout à fait physique. Bien que la pierre de lune soit très prisée sur votre " marché " - nous parlons ici de sa valeur en termes économiques -, nous ne craignons pas que les sites souterrains soient détruits, car ils sont très éloignés, en profondeur, des mines et carrières existantes et déjà exploitées.
Ces énergies relais sont donc bien protégées. Vos frères intraterrestres connaissent ces endroits et sont chargés de leur surveillance et de leur bon fonctionnement en tant que catalyseurs émetteurs-récepteurs de l'énergie du rayon lunaire. Le rayon lunaire est accueilli en ces vortex, puis rediffusé à la surface, en une dose supportable, par la trame de lumière terrestre. Cette trame de lumière est en réalité le treillis énergétique de votre Terre, qui permet une circulation équilibrée du fluide énergétique.
En cette période, vous remarquerez que beaucoup d'entre vous sont attirés par la pierre de lune; son commerce s'est fortement développé et des bijoux de toutes sortes contiennent cette pierre du rayon lunaire. Les Terriennes ressentent une attirance envers celle-ci, pour son énergie, et vous êtes de plus en plus nombreux à la porter sous forme de bague, de collier ou de bracelet. Oui. vous ressentez la nécessité de fusionner avec cette vibration lunaire, cette énergie féminine, fluide, douce et aimante qui fait défaut à la plupart car vous avez appris à vivre en fonction de la tonalité inverse, soit la polarité yang de l'humanité en détresse. Accueillez maintenant la douceur lunaire.
II est judicieux pour vous, mes frères de la Terre, de savoir accueillir l'énergie de la pierre de lune en soi et de l'accepter en tant qu'énergie relais du rayon lunaire. Vous n'avez pas forcément besoin de disposer de celle-ci dans son état physique et matériel; vous pouvez recevoir en vous son énergie "phisique" et l'utiliser à votre convenance afin de vous en revêtir.
Toutefois, il est certes plus facile de travailler avec la pierre "physique". Apprenez à recevoir son énergie et à la diffuser en vous. Sa vibration calme, apaise, adoucit et nourrit la force d'Amour qui vit en vous. La pierre de lune est une extension du rayon lunaire, dont elle porte les qualités d'Amour. Ne dites-vous pas qu'elle est la pierre des amoureux? Les amoureux de la vie!
La deuxième énergie relais du rayon lunaire dont je souhaite vous entretenir est l'eau. L'eau des mers et des océans qui parcourent la planète, l'eau des lacs et des rivières, mais aussi l'eau en vous, en votre être physique.
Partant, je parlerais plutôt d'élément liquide, dans lequel j'englobe aussi tout votre système lymphatique et sanguin.(Note du Webmaster : l'entité Soria s'exprime sur ARTivision au sujet de l'eau, approximativement dans les mêmes termes)
Les eaux primordiales reflètent les qualités de la Mère divine et donnent naissance à la vie UNE. Votre Terre-Mère est porteuse de cette énergie féminine, et ses océans en sont les gardiens et régulent le flux du rayon lunaire vers la Terre. Vous connaissez l'influence du rayon lunaire sur les eaux de votre planète, les systèmes de marées et leurs effets. N'avez-vous jamais pensé qu'il ne s'agissait pas seulement d'une action à sens unique de la Lune sur les océans, mais plutôt d'une interaction, d'une action commune et d'un échange énergétique entre la Lune et l'eau?
Car il s'agit bien de cela. La Lune diffuse ses rayons vers la Terre et alimente de ses vibrations les eaux des océans qui, à leur tour, régulent et diffusent l'énergie lunaire à l'humanité et renvoient sa beauté vibratoire à l'astre lunaire.
Ainsi, l'eau de votre sphère vous abreuve de la lumière du rayon lunaire. Vous baignez dedans!
La troisième énergie relais, vous la connaissez tous: c'est vous. Comme vous êtes porteurs de l'énergie solaire et cristalline, vous portez également en vous l'essence de la vibration lunaire et féminine. Et cette essence est nourrie par le rayon de votre Lune. Pourquoi votre moral et votre vitalité fluctuent-ils autant en fonction de cet astre? Certains d'entre vous sont fortement sensibles aux pleines lunes. La Lune agit sur vous comme vecteur de ses énergies et vous emplit, par là même, de sa substance brillante et douce.
Tout comme votre plexus solaire est le siège de votre Soleil et capte ses énergies, il est aussi le capteur de l'énergie lunaire, l'amenant jusqu'à votre bas-ventre, où se situe son centre. Par ces propos, je tiens à vous montrer que votre plexus est un centre primordial de votre corps humain, car il peut à la fois capter, diffuser l'énergie et vous guider par la sensibilisation intuitive dont il est le générateur. 11 peut vous servir de radar pour délimiter ce qui est tolérable pour vous, énergétiquement, et ce qui l'est moins. Votre plexus est un formidable allié ! Prenez en soin et apprenez à travailler avec lui dans votre avancement dans la lumière....
"
Il nous faut cependant, arrêter là, ces propos admirables, car nous ne voulons pas subir les foudres de l'Éditeur de ce livre, qu'il vous appartient de vous procurer si vous voulez en savoir bien plus et consulter en plus tous les schémas des
chakras humains et de leurs relations avec les énergies supérieures.
Il n'en reste pas moins vrai que l'entité transcendante
Flex , nous a bien parlé
des bons intraterrestres, qui veillent au bon fonctionnement des centres catalyseurs émetteurs-récepteurs de l'énergie du rayon lunaire. Tout cela rejoint bien, ce que nous disions plus haut sur la cité souterraine :
Telos.
...A vous donc de juger, une fois de plus, toutes ces concordances.
Prolongement révélateur spécifique en date du 02/12/05.
Le
30/11/05, nous avons eu le plaisir de recevoir de l'ami internaute
Jean-Phillipe G, un texte de 24 pages tiré du site d'origine :
Intitulé :
Les passeurs : Convergence vers la réalisation :
Chroniques d'Arcturius :
rendre notre monde meilleur...
Pour accéder directement au texte en question cliquez svp à :
Ce texte est intitulé :
Telos et a été présenté par
Aurélia Louise Jones, le
Mercredi 30 Novembre 2005. C'est une canalisation d'Arcturius n° #767.
Rappelons qu'
Aurélia Louise Jones est la coréalisatrice de l'ouvrage extraordinaire :
" Telos - Révélations de la nouvelle Lémurie " , avec
Dianne Robbins et qui est publié aux
Editions Ariane 2002.
Et voici, parmi une foule de révélations de ce long texte, ce que nous y extrayons à propos
des cristaux lémuriens :
"
Comment utiliser les cristaux lémuriens pour un travail optimal ?
Les cristaux lémuriens sont à employer comme les autres. Ils ont une énergie très féminine, des rayures qui contiennent de l’information. Et aussi ils peuvent absorber d’autres infos que vous pouvez programmer. J’ai fait des activations d’ascension. Je cherchais un cristal lémurien pour des cérémonies, j’ai trouvé un cristal pas très beau, il avait des tâches, il était nébuleux, j’ai hésité à l’utiliser, mais il était gros et je l’ai employé quand même. Depuis 3 ans, les gens viennent et prennent le cristal sur leur cœur pour leur ascension. Le cristal a absorbé tout l’amour et les belles prières de chaque personne.
Le cristal s’est éclairé. Il devient de plus en plus beau avec les prières et l’amour de chaque personne qui est passée chez moi. Plusieurs centaines de personnes ont mis leur énergie. Moi, j’ai l’énergie d’amour de chaque personne et je peux mettre tout le monde sur mon cœur par l’entremise du cristal. C’est encodé, ils reçoivent et retransmettent....
Dimanche 23 Octobre 2005.
Discussion sur les portraits……
Pour reconnaître un cristal lémurien, regarder les rayures, c’est un encodage, une information écrite sur ces rayures. Nous n’avons pas la technologie pour les lire, mais à l’intérieur de la terre, dans les centres intra-terrestres, tout est écrit sur des plaques de cristal. Sur une toute petite surface tout est écrit par exemple l’équivalent de 200 vies. Un si grand nombre d’infos, c’est difficilement imaginable. Adama me dit que dans les années futures, quand nous aurons changé de dimension, ils nous donneront cette technologie. A Telos, sur des plaques de cristal, toute la vie de la Terre a été écrite dans toutes les langues en plusieurs copies, par des télosiens, ce fut un travail énorme. Un jour nous aurons toute cette info et vous connaîtrez la vraie histoire de votre planète. Il nous en manque de grands morceaux, nous n’en connaissons qu’à peine 5% et c’est en partie erroné.
La publication des livres actuels est temporaire, dans 25 ou 30 ans, les livres seront différents : un cristal lémurien à six facettes..."
Fin de citation.
Rappelez-vous cependant, que dans notre conte
pseudoésotéricothéologique,en date du
10/05/03 et placé à :
, il est écrit alors :
" Vous avez parfaitement appréhendé, les manifestations de la Vie, que nous offrent plantes, animaux, etc.. mais si cette Vie peut se manifester dans des conditions les plus extrêmes, il n'en reste pas moins vrai, qu'elle est inscrite dans les plus infimes recoins de la matière et par exemple, à un certain niveau de compréhension, vous découvrirez que les cristaux eux-mêmes sont bien vivants . "
Comme vous le voyez, le site
ARTivision , a su, en temps utile, prendre les devants, sur le sujet
de ces cristaux, qui n'ont pas fini de nous étonner.
A bon entendeur salut !
Article mis en page par Idylle Fred le 17/07/05 et revu le 18/07/05 , puis le 21/07/05, puis le 22/07/05, puis le 25/07/05, puis le 28/07/05, puis le 29/07/05, puis le 31/07/05 , puis le 09/08/05, puis le 15/08/05, puis le 27/08/05, puis le 03/12/05 .
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