I Introduction
Dans le courant de deuxième
quinzaine du mois de Déc. 2001, la chaîne "I
Télévision" diffusée par satellite a
présenté à plusieurs reprises dans le cadre de son émission "I
comme Icare", un important volet où
l'invité était le généticien Axel Kahn qui
nous a admirablement expliqué les avancées actuelles sur les
manipulations génétiques et entre autres choses ce clonage
humain qui nous inquiète tant. On nous a aussi parlé dans
cette émission des taches solaires bien intrigantes et surtout
du fameux Cœlacanthe
ce poisson venu tout droit des profondeurs de la préhistoire et
dont l'épopée fait l'objet de la sortie d'un
ouvrage de Christine Hénon
intitulé "Ce poisson notre
ancêtre ?" publié
aux Éditions PUF.
Des informations nous dit-on peuvent aussi être trouvées sur
le site: http://www.dinofish.com.
Parallèlement, nous avons appris, que le Jeudi 27 Décembre
2001, la chaîne ARTE ( que nous ne
captons pas hélas ici dans la Caraïbe) a consacré
une soirée Théma à
la cryptozoologie (de
"kryptos", caché, "zôon", animal, et
"logos", science en grec) : la science des
animaux cachés, soirée développée autour des travaux
du célèbre Bernard Heuvelmans
, docteur en zoologie de l'Université libre de Bruxelles,
disparu en Août 2001 à l'âge de 85 ans et dont nous avons
déjà parlé dans notre article au sujet du Yéti.
Une séquence de cette émission aurait été consacrée
également, on nous l'a rapporté, à ce Cœlacanthe, qui
va faire l'objet aujourd'hui de notre attention, et par la
même occasion nous exhumerons les histoires étonnantes
d'autres spécimens étranges qui ont émaillé le cours de nos
prétendues légendes. Mais ne sont-elles que des légendes?
II La genèse de l' affaire.
C'est
dans le n° 420 de Septembre 1952
de la revue "Science
et Vie ",
alors encore adolescent que
nous avons entendu parler la première fois de ce poisson
fossile appelé à l'époque du nom latin "LATIMERIA
CHALUMNÆ" dans
un remarquable article de Mr Roland
Legendre intitulé " Un
siècle de découvertes zoologiques".
p> Voyons
rapidement ce qui était révélé à ce sujet au sujet de ce
poisson.(Les
couleurs évidemment, comme d'habitude, sont de
nous, ):
" C'est encore l'Afrique qui apporta, en 1938, la découverte la plus intéressante du demi-siècle.
En décembre, on pêcha, au large de la côte sud-africaine, un poisson de 1,50 m de long
(et de plus de50 kg) :on ne sait dans quelle marmite il aurait peut-être fini, si le capitaine du bateau, M.
Goosen intrigué par ses formes, ne l'avait dirigé sur le musée de la ville du
Cap. Là, surprise immense on reconnut en ce poisson un
Crossoptérygien or c'est un groupe essentiellement fossile que l'on croyait éteint depuis le Crétacé supérieur. Ce groupe présente un intérêt énorme, car les évolutionnistes le considèrent, non sans raison, comme la souche de certains Batraciens. C'est ainsi que l'on se demande encore, à l'heure qu'il est, si ces poissons ne possédaient pas de poumons. Il aurait été facile de s'en rendre compte sur celui de 1938. Hélas! on oublia de le disséquer, ou mieux on négligea de regarder ses organes internes, quand on le vida pour l'empailler, de sorte que le seul Crossoptérygien qu'on ait trouvé vivant gît au musée du Cap tel un immense hareng-saur. On le baptisa Latimeria chalumnae d'après ses écailles, il devait avoir entre vingt et vingt-cinq ans. Cette découverte unique n'a pas donné tout ce qu'on pouvait espérer, et tous les zoologistes éprouvaient un serrement de cœur à la seule mention du Latimeria. (Photo
présentée à l'époque:)
Vous
avez bien noté, nous l'espérons , que des spécialistes du
Musée de la ville de Cap, n'ont pas eu l'idée de disséquer à
l'époque le spécimen ni même de conserver ses viscères dans
du formol pour les étudier au moins ultérieurement. Cela nous
montre bien que ce qui sort du cadre habituel d'étude des
"fonctionnaires accrédités" est souvent mis à
l'écart, et négligé, quand il n'est pas carrément
occulté ou même détruit comme dans la pitoyable affaire
Glozel.
Vous avez aussi noté nous le pensons l'affirmation que les
évolutionnistes considéraient à l'époque (et
sans doute encore actuellement)
que les Crossoptérygiens
étaient
considérés comme la souche de certains batraciens.
Autrement dit les parents reculés, de ce beau poisson auraient
été les ancêtres des premiers audacieux batraciens à
oser mettre le nez hors de l'eau comme notre gentille
grenouille. Mais lui le Cœlacanthe a
désespérément poursuivit sa vie marine, pendant près
de 65 millions d'années, sans être nullement
attiré par les parfums de l'air ambiant.
Puis , c'est alors la revue " Science
et Avenir "
qui prit le relaisde cette affaire dans son n°
85
de Mars 1954
où nous relevons l'article étonnant suivant:
Le
cœlacanthe est jugé à Huit clos
:une initiative arbitraire et inopportune.
" Quelques années avant la guerre, la découverte des restes desséchés d'un poisson sur les rivages africains soulevait une émotion considérable dans les milieux scientifiques. Cet être extraordinaire était identique en tous points à des fossiles découverts dans le calcaire du début de l'ère secondaire.
Un membre de cette famille de poissons fossiles devait partir à la conquête des continents et donner naissance à tous les vertébrés terrestres.
L'état de conservation déplorable de ce spécimen ne permit pratiquement pas d'observation intéressante.
Dans les derniers jours de 1952 (donc tous juste après l'article de " Science et Vie " précédent: note du webmaster)
un second spécimen était pêché par les indigènes de l'archipel des Comores (Union Française) et, grâce au signalement que le professeur Smith de l'Union Sud-Africaine avait eu l'idée de
répandre depuis plusieurs mois, fut identifié par un Européen et transporté au Cap. La grande presse relata l'événement avec fougue.
"Science et Avenir" dans une étude plus approfondie, situait à l'époque l'importance de cette découverte sur le plan paléontologique et biologique. Cet article se terminait par ces termes:
« Les nouvelles scientifiques ne voyagent pas aussi vite, tant s'en faut, que les informations spectaculaires dont s'empare la grande presse. A l'heure où nous mettons sous presse, nous n'avons pu encore obtenir aucun détail précis sur l'autopsie de cet être capital pour l'histoire de la vie. Il s'écoulera sans doute plusieurs mois avant que des rapports circonstanciés ne soient publiés. Nous nous sommes mis directement en rapport avec les plus grands spécialistes mondiaux de cette partie de l'histoire de la vie et avec le Muséum du Cap; dés que nous serons entrés en possession de détails complémentaires, nous les porterons aussitôt à la connaissance de nos lecteurs.»
Or, malgré les précautions prises pour le transport du cœlacanthe, l'état du poisson, lorsqu'il parvint au professeur Smith, laissait beaucoup à
désirer. Il ne fut pas possible d'entreprendre sur lui des travaux biologiques aussi poussés qu'on aurait pu le désirer. A part quelques notes ultra-techniques à portée très
limitée, rien de capital ne put être publié sur cette capture.
Cependant, alerté par cette première découverte, le Muséum d'Histoire Naturelle chargea ses correspondants à Madagascar de prendre les dispositions nécessaires pour encourager la capture et assurer la conservation de nouveaux cœlacanthes, dont l'espèce semblait ne pas être éteinte, autour de l'archipel des Comores.
C'est ainsi qu'arrivèrent récemment à Paris, au Muséum, deux
cœlacanthes un mâle et une femelle. La grande presse fut conviée à photographier l'un de ceux-ci, et l'événement revêtit un certain éclat.
Fidèles à notre rôle d'informateurs, nous nous
sommes mis en relations avec le laboratoire d'anatomie comparée du Muséum qui avait été chargé de l'examen des cœlacanthes. Avec l'autorisation du professeur Millot, qui en a la responsabilité, notre collaborateur J. Le Cuziat réalisa un reportage photographique.
Selon le processus normal de notre travail, il prit plusieurs clichés de plans généraux (dont les 2 photos qui illustrent cette page), puis un assez grand nombre de clichés de détail des différents organes sur le
cœlacanthe en cours de dissection.
Comme nous en avions fait la promesse au directeur du laboratoire, nous lui avons fait parvenir quelques jours plus tard un tirage de ces
photographies afin qu'il puisse, s'il le désirait. en conserver certains pour
sa documentation personnelle.
C'est alors que nous avons eu 1a surprise de nous voir interdire par celui-ci la publication d'un grand nombre de ces clichés et bien entendu, des plus intéressants parmi ceux-ci.
Étant donné le rôle même du Muséum d'Histoire
Naturelle, qui est de présenter au public les collections ou les pièces dont il est amené à disposer (c'est essentiellement, de par le principe même qui a présidé à
sa fondation, un "musée"; selon les statuts de ce
"musée", la fonction des scientifiques qui y travaillent est la présentation des
collections), une telle attitude nous semble profondément arbitraire.
Si l'objet de notre reportage avait été de photographier les
"découvertes" d'un chercheur, fruit de nombreuses années de travail, nous nous serions volontiers inclinés devant ses désirs pour lui permettre de mieux profiter de son travail personnel. Ici le problème est tout autre, la dissection du cœlacanthe, sans doute délicate appartient cependant à une technique classique; elle prend uniquement son importance de la valeur du spécimen.
L'interdit qui vient frapper la publication de nos documents sur lecœlacanthe
apparaît comme particulièrement arbitraire et inopportun. surtout au moment où les scientifiques français se font les champions du libéralisme en matière scientifique et que l'attention du monde entier a été attirée pour la première fois sur le cœlacanthe grâce à l'initiative du professeur Smith. En tout état de cause, cet incident met à la fois l'accent sur la valeur exceptionnelle des documents pris par notre photographe et sur l'importance des détails d'ordre anatomique révélés par le cœlacanthe.
Fin de citation
Comme
vous le voyez
cette nouvelle découverte de
cœlacanthes a suscité des controverses qui étaient sans doute fonction déjà à l'époque de l'orgueil démesuré affiché par ceux
qui avaient le privilège d'avoir en mains les précieux
rescapés pourtant patrimoine incontestable l'humanité
entière. Combien d'autres événements de même nature ou même
encore de nature bien plus importante pour l'évolution
culturelle de l'humanité, n'ont-ils pas été aussi
soustraits à une large publication des médias voire
même camouflés délibérément.
Cependant
le mois suivant dans son n° 86 d'Avril 1954
cette même revue "Science
et Avenir" allait publier un dossier tout à fait remarquable sur le secret
du cœlacanthe.Voici
donc quelques éléments de ce dossier :
L'introduction
nous rappelle cette affaire d'interdiction de publication et nomme
cette fois le responsable:
" Nos lecteurs se souviennent sans doute de
l'article que nous publiions le mois dernier, sur l'arrivée à Paris de nouveaux exemplaires du cœlacanthe. Au cours de cet
article, nous indiquions que notre photographe J. Le Cuzial avait réalisé sur l'un des spécimens disséqués au laboratoire d'anatomie comparée du muséum une série très remarquables de clichés. Mr. Millot directeur de ce laboratoire, prenait alors la responsabilité de nous interdire la publication de ces documents dans notre numéro de mars.
Désireux avant toute chose de ne pas altérer l'état des relations excellentes que nous entretenons avec l'ensemble du corps professoral du Muséum, nous avons donc attendu l'ouverture de l'exposition sur le cœlacanthe qui a eu lieu le 15 mars, pour réaliser cette publication, et c'est pourquoi nous nous excusons aujourd'hui auprès de nos lecteurs de ce retard, indépendant de notre volonté. "
Puis voici que nous entrons dans le vif du sujet et nous
espérons que les noms biscornus que vous allez rencontrer ne
vont pas trop vous rebuter.
" Ainsi que nous le précisions, dans notre dernier article, le cœlacanthe
que le professeur Smith eut, l'année dernière, entre les mains, avait été vidé comme une vulgaire dorade et rempli de sel. C'est dire tout l'intérêt de la dissection que poursuit actuellement M. Anthony, sous la direction de M. le professeur Millot dans le laboratoire d'anatomie comparée du muséum.
Par un excès d'enthousiasme journalistique, on a écrit que lecœlacanthe était un ancêtre direct de l'homme. Ceci comporte une légère inexactitude, le cœlacanthe est le dernier survivant de l'ordre dont sont issus tous les vertébrés terrestres, l'homme compris; que l'on nous permette une comparaison tant soit peu irrévérencieuse imaginons que dans 500 millions d'années le cheval ait donné naissance à toute une série de nouvelles espèces animales aussi différentes de lui que nous différons nous-mêmes du poisson (ce qui est plus que hautement improbable), que ce même cheval ait totalement disparu de la surface du globe, mais que l'on retrouve par hasard au coin d'une forêt quelques spécimens d'ânes. Bien évidemment, l'âne ne devra pas être considéré comme l'ancêtre direct des descendants du cheval, mais son étude anatomique sera des plus précieuses pour obtenir, avec une bonne approximation, la disposition des organes internes du cheval dont on posséderait par ailleurs de nombreux squelettes fossiles.
Il en est exactement de même en ce qui concerne le cœlacanthe. Au cours de l'ère primaire, plus précisément au Dévonien, le groupe des poissons, appelés crossoptérygiens, s'était déjà scindé en deux branches: celle des rhipidistiens et celle des actinistiens ou poissons
"aux nageoires
épineuses ", mieux connus sous le nom de cœlacanthe
c'est-à-dire " épines
creuses"
C'est parmi les premiers, les rhipidistiens, que l'on trouve la plus nette disposition à une existence semi-terrestre. Ils devaient se diriger vers les estuaires, peupler les lagunes et sans doute, à la faveur de certains assèchements saisonniers, être acculés à une vie semi-terrestre, pour donner naissance, bientôt, aux premiers amphibiens.
Pendant que les rhipidistiens réalisaient ainsi la conquête des continents, leurs très proches cousins, les cœlacanthes rataient le départ pour la grande aventure. Ils demeuraient dans le milieu marin et terminaient de s'y adapter; fort heureusement cette adaptation n'allait pas loin et c'est la raison pour laquelle nous les retrouvons, aujourd'hui, pratiquement identiques à leurs ancêtres dont les paléontologistes ont retrouvé d'assez nombreux restes fossiles en bon état."
Il semble cependant curieux que pendant ces millions d'années passées,
ce soit justement pour ces cœlacanthes que
l'adaptation n'ait pas été bien loin, donc en
d'autres termes que cette adaptation ait été freinée judicieusement
l'on ait, nous, la chance de les retrouver actuellement pratiquement identique à leurs ancêtres. L'intérêt que l'on a justement accordé à ce poisson fossile, qu'est ce fameux cœlacanthe, ne vient-il pas plutôt du fait qu'il semble être particulièrement retors à la théorie de l'évolution
si particulièrement prisée dans les sphères officielles.
Pour avancer plus profondément dans cette question cruciale, nous vous laissons le soin de découvrir, vous même, un livre qui nous parle des miracles incroyables qui se passent dans la structure de l'ADN :
Et pour parfaire, le tout avec des schémas en couleurs superbes, voici le site correspondant:
Nous vous faisons grâce des nombreux détails anatomiques du cœlacanthe décrits
dans cet article pour retenir ceci tout de même:
" Outre l'absence de narines internes, le crâne a, d'ailleurs, subi bien d'autres modifications par rapport à celui des rhipidistiens qui ont évolué vers la vie terrestre et dont nous
connaissons le squelette grâce à leurs restes fossiles. Les os maxillaires supérieurs ont disparu et les dents se sont raréfiées et surtout amenuisées. "
(voyez sur notre cliché, ci-dessous la disposition curieuse de la rangée dentaire supérieure)
Montrons
cependant l'une de nageoires pectorales
et deux nageoires pelviennes
placées côte à côte en avant de l'anus. Sauf la première
nageoire dorsale, elles sont toutes
pédiculées et on y voit l'origine des pattes
des vertébrés terrestres qui leur auraient permis de
sortir du milieu marin:
Mais alors
donc, par quel caprice malicieux de la nature ce cœlacanthe n'a t-il pas su profiter, pendant des millions d'années, de ces
pseudo-pieds dont-il est doté, comme d'autres de ces prétendus
confrères, pour se faire " la belle du milieu marin ", et
pour venir goûter aux délices de la vie au grand air ??....
Terminons
cette description par ceci :
"...
Autre trait d'un début d'évolution vers le sort commun des poissons (et donc en
direction divergente de la vie terrestre ) la structure épineuse des écailles, type ctenoïde, trait de spécialisation certain que l'on ne retrouve chez aucun poisson primitif et qui n'est apparu que plus tard.
Mais, à côté de spécialisations, dont certaines lui ont barré la route, menant à l'invasion des terres, les cœlacanthes
ont, évidemment, conservé dans leur anatomie interne, divers traits qu'ils possédaient en commun avec leurs cousins disparus les rhipidistiens, nos dignes ancêtres.
L'étude de leur système circulatoire, de leur appareil reproducteur, de leurs reins, de leur technique respiratoire peut donc nous en apprendre long sur le passé de notre lignée...
......En arrière,
(de la gorge), on distingue, non sans émotion, un petit organe vraiment énigmatique, sorte de bouton charnu, collé à la face inférieure du pharynx....
.... Seule l'étude histologique - l'analyse au microscope de sa structure cellulaire intime - pourra nous révéler sa nature. Est-ce une ébauche de poumon, troublante disposition
"préadaptation" sur laquelle les philosophes de l'évolution pourraient discuter à perte de vue? Ne serait-ce pas plutôt une glande
thyroïde?
La chose serait d'autant plus extraordinaire
que cette glande est diffuse,
c'est-à-dire disséminée sous forme rudimentaire, chez tous les autres poissons. Quand on songe que chez certains amphibiens actuels, l'amblystome ou axoloft notamment, une déficience thyroïdienne empêche les individus de se métamorphoser et d'opter pour une respiration aérienne et les condamne à mener toute
leur vie durant l'existence exclusivement aquatique d'un têtard à branchies (néoténie), on ne peut s'empêcher de faire un certain rapprochement. Le développement de cette glande endocrine n'a-t-il pas été un élément déterminant dans le processus qui a entraîné, autrefois, certains poissons à "sauter la barrière", à sortir partiellement de leur habitat aquatique?
A de telles rêveries, l'actuelle exploration de l'anatomie interne du cœlacanthe va donner peut-être, une certaine consistance. Et que de révélations inattendues ne nous réserve-t-elle pas encore."
Si nous comprenons, à peu près, les sous-entendus de ce
texte, c'est bien donc le développement de la glande tyroïde
qui a permis à nos
dignes ancêtres de
sortir de l'eau où ils évoluaient merveilleusement et de sauter la barrière pour respirer l'air frais du continent. Tout vient de l'océan et y
retourne sans doute. Quant à penser que la vie peut venir de l'espace, on en était
encore loin dans ces années 50...
Le 15 Mars 1954 donc, le Muséum d'histoire naturel de Paris a présenté une exposition montrant des poissons archaïques et qui sont aussi d'autres fossiles
vivants"
et entre autres choses, 4 spécimens de cœlacanthes bien
conservés, et une rétrospective montrant l'ancêtre de ce
poisson qui montre bien qu'il n'a pas changé jusqu'à nos jours et
qu'il est bien "un
attardé des mondes disparus".
Puis nous avons ensuite eu l'occasion de découvrir qu'il
était encore fait mention du cœlacanthe dans
l'incroyable premier ouvrage,(encore très controversé par ceux qui manquent d'informations
ésotériques pointues),
du Lama
T. Lobsang Rampa
intitulé "The
Third Eye ",
publié en 1955 à Londres, où nous lisons pour les puristes
le passage: " ...So
were those who had seen"living-fossil"
fish. Yet the latter have recently been discovered and a specimen
taken in a refrigerated aeroplane to the U.S.A. for study. These
men were disbelived. They were eventually proved to be truthful
and accurate; So will I be.".
Cet ouvrage est paru en France seulement en 1957
chez Albin
Michel
sous le titre "Le Troisième Oeil", et
où nous lisons la traduction du passage précédent :
" Comme
ceux qui prétendaient avoir vu des
poissons-fossiles vivants . On a pourtant découvert de ces poissons récemment et
un spécimen en a été envoyé aux États-Unis dans un avion réfrigéré pour y être étudié . On
n'avait pas cru ces hommes ; et pourtant un jour, la preuve a
été faite qu'ils étaient sincères et qu'ils avaient dit la
vérité. Il en sera de même pour moi."
Comme vous le voyez, ce lama qui a défrayé la chronique
littéraire, n'était pas uniquement plongé à l'époque, dans la " méditation cosmique", et il s'intéressait particulièrement aussi, aux découvertes ichtyologiques.
Enfin, si vous voulez vraiment des détails croustillants sur la
découverte de 1938 et de quelques autres découvertes du même
genre d'autres cœlacanthes
plongez dans l'article remarquable de Mr James Dugan intitulé "Un poisson appelé cœlacanthe
: L'événement le plus surprenant du siècle en matière de science
naturelles", publié en Janvier 1956 dans la revue bien connue "Sélection du Reader's Digest" que, pour ne pas allonger démesurément cet article, nous vous plaçons en fichier joint à : (
( Voir article du "Sélection du Reader's Digest")... On y reparle du professeur Millot, le spécialiste qui avait interdit que l'on publie certaines photos du cœlacanthe, et pour terminer cette affaire concernant
ce poisson si étonnant, nous avons cependant mis en exergue dans cet article les phrases
suivantes qui ne manqueront pas, nous le pensons, d'être très
discutées dans un avenir très proche, dans les fructueux débats
qui ne vont pas manquer de pointer sur la "théorie
de l'évolution"
en fonction des découvertes récentes :
" Mr Milliot qui possède maintenant 9 spécimens (En
1956 évidemment :Note du Webmaster)
en bon état, déclarait alors qu'il faudrait peut-être deux ans
avant d'en connaître tous les détails anatomiques. Il a cependant
été frappé par les variations des nageoires pectorales et latérales.
- L'orientation de ces nageoires diffère absolument d'un
spécimen à l'autre. Cette constatation projette une lumière
nouvelle sur ce problème anatomique de toute première importance :
comment les nageoires du poisson
primitif ont-elles pu se transformer, chez les vertébrés
terrestres, en pattes dont le bras humain est un dérivé ?
Le
professeur Millot juge aussi que le cœur de "L. c. Smith" constitue une
vivante illustration d'un stade primitif de l'évolution de notre cœur.
Les tissus de cet animal nous donnent une impression étonnamment familière.
- N'importe quel étudiant en médecine un peu doué pourrait identifier du premier coup, au microscope, la plupart de ses organes. Les cellules sont disposées comme dans le corps humain. Les savants viennent de s'atteler à la tâche colossale de découvrir comment ce poisson a pu survivre à l'extinction de toutes les formes connues appartenant à la même période.
M. Millot a constaté de grands écarts de température dans les eaux où l'on a pêché des cœlacanthes, et il estime qu'ils doivent leur survivance, en partie tout au moins, à leur, à leur adaptation aux différences de température autant qu'à leur robustesse anatomique et à la grande profondeur de leur habitat. "
Donc vous voyez bien, que Mr Millot (qui
devrait avoir plus de 100 ans actuellement s'il est encore vivant)
comme beaucoup de ses confrères de l'époque et certains autres
jusqu'à nos jours s'interrogent sur le fait de savoir "comment les nageoires du poisson primitif ont-elles pu se transformer, chez les vertébrés terrestres, en pattes dont le bras humain est un dérivé ? .
Mais où sont donc passés, les milliers de spécimens
précieux, chaînons manquants, qui devraient assurer la
transition entre nous et ces cœlacanthes d'il y a plus de 65 millions d'années ? A vous de juger donc !...
La réponse ne va tarder sans doute à venir, quand seront dévoilées les incroyables
découvertes faites récemment sur les planètes voisines de la Terre...
Décidément, comme l'okapi, le Paon du Congo, le grand panda d'Asie, le dauphin
d'eau douce et bien d'autres spécimens qui furent l'objet avant leur découverte d'âpres controverses, ce poisson est venu à temps, ne le pensez-vous pas, pour bousculer les idées toutes faites de ceux qui prétendaient, nous imposer leur savoir hypothétique sur notre lointain passé.
Prolongement complémentaire:
Le
1er Fév. 2002 , nous avons
découvert dans nos archives, alors que nous cherchions tout à
fait autre chose, l'entrefilet suivant extrait du n° 476 du
Sciences et Avenir d'Oct. 1986 page 12:
CŒLACANTHES VEDETTES
DE L'ECRAN
Des chercheurs japonais ont réussi à
filmer sous l'eau deux cœlacanthes vivants. C'est une première parce que ces poissons sont des animaux
"préhistoriques". La capture du premier
cœlacanthe, en 1938, avait d'ailleurs provoqué une petite révolution: on connaissait à l'époque des
Crossoptérygiens (groupe auquel appartiennent les cœlacanthes) uniquement sous forme fossile, les derniers datant de la fin de l'ère secondaire.
Cette fois-ci, les deux gros spécimens
(60 et 65 kg) ont été capturés au large de l'archipel des Comores, dans l'océan Indien, à quelque
300 m de profondeur, puis remontés à 50 m de la surface pour la réalisation du film. Malheureusement, ils n'ont été les héros que d'un jour. Ils sont morts peu après probablement à cause du rayonnement solaire: ils vivent normalement par des fonds de
700 m environ. Mais les chercheurs ne désespèrent pas de pouvoir un jour rapporter un cœlacanthe vivant dans leur laboratoire afin de l'étudier de plus près; on pourrait ainsi mieux comprendre le processus d'évolution vers les amphibies : les
Crossoptérygiens sont en effet le groupe de transition entre les poissons osseux et les vertébrés terrestres.
Le Cœlacanthe un
véritable fossile vivant.
Fin de l'entrefilet
Remarquons
cependant que depuis
1986, les progrès attendus pour
comprendre
ce processus d'évolution
n'ont pas avancé d'un pouce et bien au contraire, il semblerait que certains savants le
remettent, ces temps-ci, sérieusement en question.
III Du cœlacanthe.... aux autres
étrangetés sous-marines et terrestres.
Le
31 Décembre 2001 nous avons eu le grand plaisir
de visualiser l'émission sur
la cryptozoologie de la chaîne
ARTE citée plus haut, et qui a été heureusement relayée ici par la chaîne d'outre-mer
Tempo . Nous avons donc été particulièrement
intéressé par la séquence du film montrant l'étrange animal
mesurant près de huit mètres qui a échoué, il y a des
années aux abords du village de Querqueville sur les côtes
de Normandie. Un certain
Dr
Petit sous-directeur à
l'époque du
Laboratoire Des
Pêches Coloniales du Muséum a analysé cette bête et a constaté qu'elle avait une tête de chameau, un oeil uni !!!, des nageoires de chimères, une peau de phoque, une chair de raie, des poils d'éléphant. Le savant aurait déclaré, nous dit le narrateur, qu'il ne pouvait se prononcer de façon définitive, mais il semblerait que l'animal pouvait faire partie des salaciens
(écriture
non garantie ne figurant pas dans notre dictionnaire)
sorte de poisson gigantesque à la peau cartilagineuse et dans la famille duquel se trouve le crodroptérigien.
(idem:écriture non garantie...) (Voyez les photo n°1 et 2 montrant la tête et le coup de l'animal en question hélas pas très nettes, vu l'ancienneté du document d'origine:).
Voici maintenant une nageoire latérale et une queue plutôt épaisses:
Puis
une autre partie du corps et les fameux poils d'éléphant
:
Et
de nombreux curieux observent les manipulations opérées sur
l'animal:
Nous pensons donc que les réalisateurs de cette émission, ont su
vérifier leurs sources afin que l'on ne les accuse pas de montrer
des films bidonnés et nous affirmons aussi que cette histoire aurait dû à
l'époque recevoir un retentissement plus considérable, si les
responsables scientifiques avaient pris les mesures qu'il fallait
pour qu'au moins le squelette et les organes de ce bizarre animal
soient conservés dans un musée. Mais on sait bien désormais,
et
ARTivision
, nous en parle parfois, que ce qui dérange est souvent vite
mis sous le boisseau.
Nous avons aussi bien noté dans cette émission les deux
témoignages des pêcheurs d'un petit village
Terre
Neuve ,
Charles Bungay
et
Gordon Clark qui un 1er Mai
(année
non précisée) (et heureusement pour
leur crédibilité que ce ne fut pas le 1er Avril) ont
vu à travers la brume deux sortes de masses noires qui, pour eux, ne
pouvaient être que des caisses de rhum, abandonnées par des
trafiquants à l'approche des gardes côtes et alors qu'ils
avançaient en se réjouissant du butin, dans la direction de ces masses
sombres, ils ont eu la plus grande peur de leur vie en voyant sortir
de l'eau une tête affreuse qui a regardé dans leur
direction : "
Elle avait des yeux
gros comme des oranges et de couleur noire. Ces yeux semblaient vouloir nous transpercer. Cette
tête grosse et longue ressemblait à quelque chose entre le cheval
et le chameau .. un truc du genre canasson avec un gros
museau.. C'était vraiment pas joli à voir.. Là on est parti aussi
vite que possible...
Vous
avez noté encore, nous l'espérons cette référence à la tête de
chameau ...
Notons cependant la missive en date du
26 fevrier 2003 de l'ami très documenté
M.H.
----- Original Message -----
From: Hertzog91
To: Fred Idylle
Sent: Wednesday, February 26, 2003 2:07 PM
Subject: Réponse au dernier courrier
Bonjour cher ami,
L'affaire du "monstre" de Querqueville est un cas bien documenté qui a fait école. Le 28 février 1934 sur la grève de Querqueville on découvre un corps de 6 mètres de long, dont 90 cm pour le cou et 150 cm dans sa plus grande épaisseur. Tout de suite l'affaire fait grand bruit. Les hypothèses ne manquent pas : cétacé, serpent de mer, plésiosaure, monstre marin inconnu... Prevenu le 1er mars, le docteur George Petit arrive le 3. Il déclare :
« Je reconnus aussitôt qu'il sagissait, non point d'un Mammifère marin, comme on l'avait supposé, mais bien d'un Poisson plagiostrome de l'ordre des Sélaciens » [...] « A une cinquantaine de mètres du cadavre, il me fut possible d'examiner des fragments d'instestins qui conservaient encore la valvule spirale caractéristique des Sélaciens, et une glande rougeâtre, lobulée, qui fût appelée tour à tour ovaire et pancréas, mais qui se trouve être, en réalité, la rate. Et je prélevai pour les emporter au Muséum, quelques pièces à conviction, dont le crâne et la partie antérieure de la colonne vertébrale. A l'issu de mes observations sur l'épave, j'eus l'impression que le "monstre" de Querqueville devait être un Squale-pélerin (Cetorrhinus maximus Gunn.) ».
Divers recoupements et des recherches bibliographiques lui permirent de confirmer sa première anlayse. Des futurs échouages similaires lui donnèrent encore raison. Il s'agissait en effet de requins-pèlerin qui perdent durant décomposition de leur corps certaines parties (aileron supérieur, partie inférieure de la gueule, ...) en qui donnent ainsi l'apparence d'une silhouette de plésiosaure ou de monstre marin plus vraie que nature.
On peut faire confiance à feu Bernard Heuvelmans quand il confirme la justesse de l'analyse du Dr Petit.
Source :
-Le grand serpent de mer, Bernard Heuvelmans, Plon, 1975 (2e édition revue et complétée) pp. 101-103
-Les monstres marins, Nelson Cazeils, Ouest-France, 1998 pp. 50-52
Amicalement,
Michel Hertzog.
fin de message
Nous avons cependant dans nos archives en cassettes vidéo, un ancien enregistrement d'une émission où l'on parlait justement d'animaux rescapés de la préhistoire et Bernard Heuvelmans avait déclaré catéoriquement à l'époque
qu'il n'y avait pas de yéti au Tibet, ce qui nous avait particulièremant surpris. N'avait-il pas lu à l'époque
Le troisième Oeil du
lama L. Rampa dont nous reparlerons ou simplement voulait-il prendre le contre-pied de son compatriote
Hergé au sujet de ce qu'il dit dans son album
TINTIN AU TIBET ?
Qui vivra verra...!!
Si nous avons retenu le témoignage vu ci-dessus de ces deux pêcheurs du petit village de Terre Neuve, c'est parce que la même histoire fantastique est arrivée dans le début des années 70 à
, deux
pêcheurs guadeloupéens, qui en ont été horriblement choqués. Nous sommes
impardonnables d'avoir égaré la coupure du journal France-Antilles
qui relatait cet événement extraordinaire. Mais mieux, quelques années
plus tard ce sont
deux
autres pêcheurs des petites îles voisines
Les
Saintes, qui eurent à affronter les assauts fantasmagoriques d'une créature de
légende. Ces malheureux pêcheurs n'auraient-il pas aussi eu affaire à ce monstre dont
Bernard
Heuvelmans nous présente une illustration faite par le dessinateur
John Pique d'après les dires d'un témoin en 1949 et illustration que nous extrayons en
page 24 du n°spécial 300 intitulé "
les
Grandes énigmes de L'Univers"
en date
4 au 10 Janv. 1978, de la revue hélas disparue
Nostra Magazine ?
Voyez donc la jolie forme suivante qui justifie
parfaitement, ne le pensez-vous pas, le terrifiant émoi
qui s'est emparé des pêcheurs en question :
Nous avons écrit au responsable du journal
"France-Antilles" pour savoir s' il existe un moyen pratique de retrouver ces témoignages dans les colonnes de ce journal. Mais hélas aucune réponse ne nous est encore parvenue...
Événement exceptionnel en date du 02/02/02
.
Voilà une date que nous sommes pas prêt d'oublier, d'une part, avec la
juxtaposition des
02
qu'elle présente
(et nous ne
serons sans doute plus là, quand elle se représentera dans
un siècle), et d'autre part parce
qu'un concours inouï de circonstances, que certains
rationalistes qualifieront encore de fortuites, nous a permis
de mettre la main dans nos archives sur cette affaire d
e pêcheurs
saintois, que nous avons évoquée plus haut. Jetez donc un coup d'œil
sur l'image suivante dont le texte traduit parfaitement
le
caractère hors normes de cette histoire qui remonte à
1987.
Mais ce qui est tout aussi extraordinaire dans cette affaire, c'est que l'auteur Ary Ebroin est un grand écrivain spécialiste dans l'art culinaire antillais et l'étude des traditions caraïbes. Un de ses ouvrages (que
nous avons sous la main), nous parle justement, de poissons, qu'il convient de bien connaître avant d'aller les déguster. Cet ouvrage s'intitule "Poissons venimeux et vénéneux des Antilles Françaises et de certaines îles de la Caraïbe", édité par Emile Désormeaux à Fort de France en 1972.
Ary Ebroin à qui nous dédions donc cet article, nous a quitté l'année dernière et une importante assistance l'a accompagné à sa dernière demeure. Que Joie, Sérénité et Paix, désormais, l'accompagnent Outre-tombe.
Bravo donc encore une fois à "Super Hasard", de nous avoir permis de retrouver cette incroyable information, en si peu de temps, après avoir regretté si vivement de l'avoir perdue...
Bernard
Heuvelmans s'est en effet penché
avec rigueur sur la piste de ces animaux marins de légende dans son
ouvrage
" Le grand serpent de mer",publié chez Plon, et surtout dans
son ouvrage intitulé,
"Dans
le sillage des serpents de mer, " où il a dépouillé près de 600 témoignages oculaires recueillis
entre 1639 et 1964. Si Bernard Heuvelmans soustrait environ 58% de cas litigieux de ces témoignages
(faux témoignages, confusion avec des animaux connus...)
et il reste encore
350 cas, qu'il classe en 9 types, qui
vont du serpent de mer au long cou et au corps en cigare, jusqu'au crocodile géant long de 10 à 20 m, observé dans les mers tropicales.
Nous savons que l'homme a peu exploré les abysses sous-marines de notre planète et que régulièrement nous découvrons de nouvelles espèces inconnues, de petites créatures qui vivent au fond des mers, souvent d'ailleurs près de sources chaudes volcaniques.
Mais, on le sait, c'est
la littérature traditionnelle qui nous offre le plus de matière à étonnement en nous parlant de
Tritons, de
néréides, de sirènes, de poisson-moine ou de poisson-évèque, de dieux mythologiques, venus des fonds marins pour apporter la civilisation aux hommes. Les Dogons, ce peuple vivant au cœur de l'Afrique n'affirment-ils pas que leurs
ancêtres étaient des amphibiens et c'est pour cela qu'ils célèbrent l'anniversaire de leur arrivée sur Terre sous le nom de
"jour du Poisson"
et cela fait encore penser à la
tradition
Sumérienne qui nous parle d'
OANNES
l'homme poisson, qui
apparut à plusieurs reprises sur les plages
du
Golfe Persique pour
civiliser et
éduquer les hommes.
Dans un article
remarquable sur la question intitulé justement
"l'énigme
des hommes poissons" paru dans le
n° 426 du 11
Juin 1980 de la revue
Nostra,
hélas disparue actuellement ,
Jean Louis de Degaudenzi, nous expose admirablement ceci :
" La science nous assure que la vie est née de la mer. D'abord simple cellule indifférencié, puis mollusque, poisson, et, enfin, cœlacanthe qui, sur ses nageoires en mutation de jambes, gagna la côte. il y devint quadrupède, mammifère, puis les espèces se multiplièrent et, de l'une d'entre elles, naquit enfin l'être humain intelligent. la
thèse est séduisante mais, de l'aveu même d'une partie de
la communauté savante, elle est bien loin de rendre compte de tous
les mystères qui occultent notre lointain passé.
Il manque en effet plus d'un maillon à la chaîne. Certaines découvertes ne
corroborent absolument pas une conception linéaire stricte de
l'évolution. Il y a eu des accidents ou plus exactement des
interventions qui ne paraissent pas tout à fait naturelles. Et
certains êtres qui semble-t-il, ne descendaient pas du cœlacanthe
n'ont pas attendu d'être sorti de l'eau pour être plus intelligents que
les hommes et s'imposer à eux comme des dieux, ces fameux
dieux poissons dont nous parlent les mythologies.
En prétendant que la vie est venue de la mer, la science actuelle s'est rapprochée sans le vouloir des anciennes croyances dont elle a pourtant, jadis, bien souvent combattu l'influence. Pratiquement toutes les cosmogonies au monde enseignent que les premiers êtres sont nés des eaux primordiales. Mais il ne s'agit pas exactement d'hommes, ni même de héros. Ce sont des dieux souvent venus d'ailleurs par l'intermédiaire du moins de leur propre maître, de leur propre créateur qui habite le néant ou les étoiles.
Tout se passe comme si la mer était pour eux l'élément idéal sur notre planète, un milieu qui, mieux que la terre ou l'air libre, convient exactement à leur nature initiale. S'ils en sortent, c'est uniquement pour aller à la rencontre des hommes auxquels ils apprennent la civilisation. Cela fait, très souvent, ils repartiront vers les profondeurs à moins qu'ils ne préfèrent regagner les étoiles où se trouvent ceux qui leur sont encore supérieurs et qui les ont créés. Quels sont donc ces êtres des aurores de l'humanité, qualifiés de divins en raison de leurs pouvoirs par les premiers hommes et particulièrement bien adaptés à l'univers aquatique? D'où viennent-ils vraiment et peut-on les compter pour de simples mythes quand on prend en considération que, dieux-poissons ou surhommes aquatiques, ils apparaissent un peu partout en même temps d'un bout à
l'autre de la planète?
Le fondateur de la
civilisation de Sumer
L'un des plus connus est Oannès, fondateur de la civilisation de Sumer. Plusieurs auteurs de l'Antiquité l'ont décrit mais c'est à Bérose que l'on doit son signalement le plus précis. Il a un jour surgi des eaux de l'océan Indien. Son corps est celui d'un poisson , couvert d'écailles. Sa tête est aussi celle d'un animal aquatique mais, en dessous, il possède une autre tête, renfoncée, qui est humaine celle-là. Deux pieds humains surgissent du bas de son corps qui est couvert de larges écailles paraissant métalliques tant elles brillent d'un éclat inaccoutumé. Ce "monstre marin" parle et ce qu'il dit est intelligible aux indigènes vivant à l'embouchure du Tigre et de l'Euphrate.
Ces primitifs le révèrent comme un dieu. Auparavant, ils vivaient comme des sauvages dans des huttes, chassant avec des armes rudimentaires et s'adonnant à la cueillette. Il leur enseigne à fabriquer des briques d'argile pour faire de véritables maisons. Il leur apprend à faire de l'agriculture. Il leur confie des graines sélectionnées qu'il a rapportées d'on ne sait où. Après cela, Oannès entreprend de leur faire étudier la musique, l'arithmétique, la géométrie et la science des étoiles. Il structure aussi leur société jadis anarchique et leur donne des lois. En un mot, il en fait des hommes.
D'autres auteurs que Bérose apportent des précisions sur cet étrange civilisateur. Oannès séjournait peu de temps parmi ceux qu'il avait entrepris d'enseigner. Il regagnait presque chaque nuit l'océan et il en ressortait le matin. En arrivant sur la plage, il ôtait cette carapace de poisson qui le recouvrait un peu.. comme on ôterait de nos jours un scaphandre. Et, le soir, il s'en revêtait à nouveau pour retourner dans l'eau. Son apparition et sa disparition, lit-on encore, concordaient avec d'étranges manifestations lumineuses sous la surface de la mer.
Alors qui était cet étonnant homme-poisson, ce scaphandrier de la préhistoire devrions-nous dire ? Les lumières sous les eaux correspondent à ce que nous appelions de nos jours des OSNI( objets sous-marins non identifiés ). Toujours d'après Bérose, il n'est pas seul. D'autres êtres semblables à lui viennent l'aider dans sa tâche auprès des hommes mais il demeure leur chef. On pense inévitablement en lisant le récit de ces événements et ces descriptions à quelques colonies d'extraterrestres installées sous l'océan Indien (ou venant peut-être de Mu si le continent n'a pas encore sombré dans les flots, mais c'est géologiquement peu probable). revêtus de scaphandres métalliques qui leur permettent de s'ébattre sans problèmes sous l'eau et amenés à proximité des côtes par des submersibles qui émettent de la lumière.
On retrouve ces êtres, nous l'avons dit, un peu partout dans le monde et vers la même époque, c'est-à-dire au moins quatre millénaires avant Jésus-Christ. Chez les Grecs et, en général, tous les peuples qui entourent la Méditerranée, les dieux et surhommes poissons sont légions comme s'il avait existé là d'importantes colonies de créatures amphibies d'une autre race que l'humanité et d'une civilisation bien supérieure. Le plus célèbre est évidemment Poséidon fondateur de
l'Atlantide à laquelle il apporta son savoir immense et sa puissance. Il est accompagné de tritons, de néréides ... qui constituent ses premiers sujets avant que les hommes d'Atlantis ne le reconnaissent pour roi.
En Finlande, les eaux sont peuplées de dieux-salamandres " qui retirent leur peau d'écaille quand ils viennent auprès des hommes et leur ressemblent, alors, à la différence qu'ils sont plus grands et plus beaux et qu'ils ne peuvent mourir que quand leur roi le
permet. (kalevala)".
Vaïnamoïnen , le grand dieu chanteur du Kalevala, paraît être l'un d'entre eux. Il vient des mers et, dans quelques versions de la légende, c'est là qu'il retournera une fois sa mission accomplie. A des milliers de kilomètres de là, au Japon, Ekko-Hah présente les mêmes caractéristiques qu'Oannès. Sa présence à lui aussi concorde avec l'apparition d'étranges phénomènes lumineux dans le périmètre de ce qu'on appelle toujours, aujourd'hui, à cause de ces mystérieux OSNI, la mer du Diable.
Dans son Universum Piscium Histona ( Histoire entière des poissons) de 1554 Guillaume Rondelet décrit l'un d'eux : " Nous parlerons de ce monstre marin que dans notre siècle, on a pris en Norvège après une grande tourmente, auquel tous ceux qui le virent lui donnèrent incontinent le nom de moine car il avait la face d'homme, mi-rustique mi-gracieux, la tête rase et lisse; sur les épaules,comme un capuchon de moine, deux longs ailerons au lieu de bras, le bout du corps finissant en une queue large "
L'étrange description d'un être aquatique
" Il se pourrait qu'il s'agisse en l'occurrence d'un phoque de ceux que l'on appelle lions. Mais une autre description de monstre& consignée par Rondelet et le grand Ambroise Paré lui-même laisse moins de doute. Elle ressemble étrangement au signalement de certains ufonautes qui ont été observés au Brésil en particulier ou sur les côtes japonaises . Il s'agit de ce que les deux auteurs appelèrent poisson-évêque : Dans la mer Baltique, vers les côtes de Pologne et de Prusse, on prit environ en l'an 1433 un homme marin qui avait entièrement la figure d'un évêque ayant la mître en tête (crâne pointu), la crosse en main (?), avec tous les autres ornements dont un évêque a coutume d'être revêtu lorsqu'il célèbre la sainte messe. L'être était vivant et entretint même quelques rapports avec les gens de son temps! ".
(Voir les gravures du poisson-moine et du poisson-évêque ci-dessous:)
Et voici en mieux le poisson évêque
(note du
webmater)
"Le roi le voulant faire enfermer dans une tour, il témoigna que cela ne lui agréait, et les évêques ayant prié le roi qu'on le laissât retourner en mer, il les en remercia par gestes. Il y fut reconduit par deux évêques, lui, marchant au milieu d'eux et s'appuyant de ses mains sur leurs épaules.
La gravure qu'en a donnée Paré mérite tout notre intérêt de même que son évocation d'une autre créature qu'il appelle Soldat de la mer: " Sa tête, écrit-il, est couverte d'un cuir fort dur et épais, de forme presque semblable à l'habillement de tête de nos gendarmes, que l'on appelle casque ou salade. Il a deux bras forts et robustes, les mains bisulgues, c'est-à-dire divisées en deux. ".
Jusqu'au XIX e siècle, on observe souvent, surtout dans les mers nordiques, des hommes marins que les Norvégiens baptisèrent Haffstramb et quand ils paraissaient de sexe féminin Masguguer. Ces êtres peuvent avoir de longues chevelures, souvent blanches, des barbes et leur visage est bien humain. Il ne faut pas les confondre avec les
tritons et les sirènes habituellement évoqués par les légendes. C'est un autre peuple de la mer. Tritons et sirènes mériteraient eux-mêmes une étude approfondie. L'universalité de la croyance en ces créatures pose en effet problème et il est fort probable qu'elles correspondent aussi à autre chose que des allégories mythiques.
Voici donc une partie de la première page de l'article en question où nous apercevons
une superbe sirène, à faire perdre la tête à certains "dieux",
même plutôt blasés.
Et voici les tritons d'après la même revue:
Nous
retrouvons ces gravures de Tritons publié dans l'ouvrage de
Gesner à Zurich en 1560:le triton de Pausanias de Schott ayant
quelques modifications minimes tandis que celui de Pausanias reste
inchangé (note du webmaster)
Voici encore une gravure d'époque :
Aujourd'hui, les peuples de la mer sont plus prudents. Peut-être notre civilisation folle les rebute-t-elle ou bien sont-ils à jamais partis soit dans les abysses soit ailleurs. Mais on aura beau nous assurer qu ils n'étaient que des légendes, trop de choses nous font croire qu'ils recèlent l'un des plus fantastiques secrets de notre lointain passé. "
Fin de citation de l'article de Mr Jean
Louis de Degaudenzi.
Précisons
encore une fois que nous ne sommes pas ici pour affirmer que tous ces
êtres fabuleux existent ou pas, mais seulement pour exposer certains
textes que les médias qui ont pignon sur rue évitent soigneusement
de nous présenter.
Nous
ne terminerons pas cet exposé sans vous relater cette vieille
légende danoise d'après l'ouvrage de
Frank
Hamel "les
animaux humains" paru
chez
Albin Michel
dans la prestigieuse collection
"les
chemins de l'impossible " en
Jan. 1972 page 164:
"Selon
une vieille légende danoise, une sirène serait venue annoncer la
mort prochaine de la reine Dagmar, femme de Valdemar II Le
Victorieux."
Mais il y a aussi d'après
F.
Hamel cette autre légende
:
" En l'an de grâce 1576 à la fin de l'automne, nous raconte la
chronique de Frédéric II du Danemark, vint à la cour qui se tenait
à kalundborg,
un simple paysan qui déclara qu'une fort belle dame lui était
plusieurs fois apparue alors qu'il travaillait à ses champs situés au
bord de la mer. A partir de la taille, vers le bas, elle
ressemblait à un poisson. Elle l'avait enjoint très solennellement
d'aller annoncer au roi que Dieu avait béni sa reine et qu'elle était
enceinte d'un fils (plus tard Christian IV
) qui serait un des plus grands souverains
du Nord...
Dans
les iles Shetland,
on prétend que les sirènes habitent parmi les poissons, au plus
profond des océans, dans des demeures de perles et de corail. Elles
ressemblent à des êtres humains mais les surpassent grandement
en beauté. Lorsqu'elles désirent visiter la terre, elles
revêtent le "ham" ou habit d'un certain
poisson, mais si une fois sur terre elles égarent le vêtement, elles
perdent avec lui tout espoir de retourner dans leur royaume. "
On
sait aussi que dans la mythologie grecque, le fringuant,
Ulysse dû se faire attacher au mât de son navire et obligea ses marins à se boucher les oreilles avec de la cire pour ne pas succomber aux chants mélodieux de ces sirènes. Ulysse pouvait entendre ce chant,mais pas ses marins qui n'exécutèrent donc pas ses ordres dictés par l'envoûtement musical de lavoix des sirènes qui lui intimaient le désir de diriger son navire vers les rivages maudits de leur île.
En fin, dans son ouvrage intitulé les
"Archives
du savoir perdu" paru en
Oct. 1972 chez
Albin Michel dans la toute aussi prestigieuse collection
"Les énigmes de L'univers" du célèbre ésotériste
Guy
Tarade, nous découvrons en français d'époque, un texte parlant de la découverte en
1636 d'un homme marin. Voici en substance, un modeste résumé en français plus
moderne:
" Au 17 siècle l'érudit Duc de Retz écrivit au savant Peirex pour lui faire part de l'apparition d'un homme marin à
Belle-ile le texte suivant daté du 26 Mars 1636 trouvé à AIX à la
Bibliothèque de Méjanes :
" Un
jour celui qui commandait la paroisse de Sauzon fut avertit par
des pêcheurs de l'île qu'à la mer à la pointe
nommée les Poulains sise vers le nord ouest , il avaient vu ,
croyaient-ils, un homme marin.
Lui qui pendant trente ans avait commandé des vaisseaux et avait
fort navigué, se moqua de ce discours et fit avertir les
habitants de cette paroisse et même les autres que, si ce
poisson-là réapparaissait, on devrait faire ce qu'il faut
pour pour le prendre dans des filets et que s'ils réussissait à le
faire, le seigneur leur offrirait beaucoup plus que la
valeur de leur chaloupe et de leurs filets et que tout ce qu'ils
gagneraient de toute leur vie.
Ce
commandement à peine émit que deux jours plus tard, on vint l'avertir
que l'homme marin était sur un rocher du côté ouest
d'un lieu nommé d'Arbonne, mais que les chaloupes étaient
toutes parties ailleurs à la pêche et qu'il n'en restait plus pour
approcher l'être en question. On essaya donc de s'en rapprocher le
plus possible à cheval et les habitants s'y joignirent ensuite.
Il était sur un rocher au soleil et semblait assis. On ne pouvait voir
la partie de son corps qui disparaissait dans l'eau. Le reste jusqu'au
nombril était très bien proportionné à part les mains qui
semblaient extraordinairement grandes et blanches au bout des
bras un peu courts.
Son corps avait la grosseur d'une barrique de vin et le reste suivant
proportionnellement. ses cheveux tombant jusqu'au épaules
étaient fort gras et blanchâtres. Sa barbe de même aspect lui allait jusqu'à l'estomac. Ses jeux étaient
fort gros et rudes. sa peau n'était ni blanche ni basanée elle
semblait rugueuse... Le dos, le dessus des mains et ses bras
étaient d'une peau grisatre et sans écailles...
Mais ils ne purent voir ni ses cuisses, ni ses jambes, ni ses pieds,
et savoir s'ils étaient de forme humaine ou en queue de
poisson quoique certains affirmaient ce c'était plutôt le dernier
cas.
Le
lendemain, le capitaine de l'île qui était en charge de la paroisse
de Sanson fit armer toutes les chaloupes et se joignît lui même aux
pécheurs munis de leurs filets pour essayer de le prendre.
Il se laissa approcher d'aussi près qu'ils le voulurent et même
et même il semblait prendre un certain plaisir à voir les hommes et
les femmes principalement quand elles étaient habillés
de linge de couleur car parfois il battait des mains en émettant un
certain sifflement que l'on prit pour du rire.
Ils
l'attrapèrent alors dans les filets, mais quand il voulurent
l'approcher pour le hisser dans les chaloupes, il les déchira
sans aucune peine et plongea dans la mer. Une chaloupe qui suivit sa
trace pour l'agrafer il s'en agrippa et la renversa très
aisément au grand dam de ceux qui l'occupaient. Ceci jeta un
épouvantable désarroi parmi les autres pécheurs que le
capitaine ne put jamais les faire retourner sur le lieu du drame.
Il apparut encore pendant 15 à 20 jours, mais si loin dans la mer ou
dans des endroits si inaccessibles que l'on ne pouvait l'atteindre
d'aucun projectile.
Enfin une fois, il fut plus confiant et il s'approcha de la pointe du vieux
Château .
Le capitaine de l'île étant averti de cela, s'en approcha le plus
subtilement possible et lui déclencha un tir d'arquebuse qui, on ne
le sut pas l'a peut-être blessé ou non , mais aussitôt
il replongea dans la mer et depuis n'a plus jamais
réapparu.
Simultanément
à son apparition à Belle-île des habitants de ce lieu qui
allaient à Vannes pour affaires affirment qu'en plein jour, ils ont
vu un être semblable, sauf qu'il n'avait point de barbe et
avait des cheveux forts longs et qu'ils confirment
assurément qu'au lieu de jambes , il avait deux queues de poisson
faites comme un saumon, et qu'il stationnait sur un rocher
nommé le Béniguet. " "
Fin de citation
Que dire de plus devant ce luxe de détail de cet incroyable
événement. Chacun en tirera les conclusions qu'il jugera
bonnes à sa convenance. Mais si c'est une histoire inventée, il faut
avouer que son auteur avait beaucoup d'imagination et à rendre bien jaloux
notre grand Jules Verne.
D'ailleurs puisque Mr Jean Louis de Degaudenzi, a bien voulu vous parler plus haut d'
OSNI ces objets sous-marins non identifiés qui ont été aperçu circulant sous la mer, nous ne savons pas s'il y a un rapport avec ce qui suit, mais vous jugerez vous même :
Dans un ouvrage intitulé
"Pour entretenir la Flamme" paru aux
Editions de l'homme (Ottawa) en 1972 en anglais chez
Gorgi Book dès 1971 le lama déjà cité Lobsang Rampa au chapitre 9 parle nous parle de L'
Atlantide en des termes peu équivoques:
" Oui l'Atlantide a existé et il existe encore aujourd'hui des vestiges vivants. Ceux-ci sont profondément enfouis dans une certaine partie du monde...je souhaiterais pouvoir vous dire certaines des choses que je connais absolument, parfaitement, mais certaines d'entre elles ne peuvent pas êtres divulguées en ce moment. Je connais la vérité au sujet des sous-marins Thresher et Sorpion (Note du webmaster: deux sous-marins américains: le premier a disparu corps et bien le 10 Avril 1963 avec 129 hommes à bord et le second le 21 Mai 1968 avec 99 hommes. Mais il y a eu aussi les deux sous-marins français : le Minerve le 27 Janvier 1968 avec 52 hommes et l'Euridice le 4 mars 1970 avec 57 hommes, perdu également corps en bien) et je sais ce qui leur est arrivé et pourquoi. Si l'histoire pouvait vous être comptée, elle ferait courir des frissons glacés le long de votre épine dorsale, Mais ce n'est pas encore le momment de parler à ce propos ...Vous pouvez m'en croire cepandant, le mystère du Thresher et du Scorpion est plus étrange que vous ne pouriez jamais le croire."
Comme vous le voyez et
ARTivision le répète souvent,
la réalité semble dépasser ici, de très loin la fiction et pour ne pas en dire plus maintenant à ce sujet, comme les anglais nous dirons :
No comment.
Nous ne terminerons pas cet exposé sans faire un bref petit crochet dans
le domaine de la
tératologie qui est la discipline qui étudie les monstres qui apparaissent par-ci par-là sur cette planète et dont on ignore parfois
l'existence.
Ainsi
donc dans un autre ouvrage de Guy Tarade intitulé
"les
Dossiers de l'étrange" paru en Avril 1971également Chez R. Laffont, on peut trouver
pages 166 et 167, les paragraphes suivants qui nous relient encore aux
histoires de la mer:
"
En Mai 1961 une sirène naissait à l'université de Catane... (On aimerait justement, avoir plus de détail sur ce cas: note du webmaster)... Le 20 Mai 1968, une paysanne de 26 ans accouchait , en Bolivie, d'un bébé-poisson ! C'est à San Juan, ville située à environ à 700 kilomètres de la capitale bolivienne, que se produisit l'événement. Le nouveau- né, couvert d'une peau écaillée, possédait deux ailerons qui tenaient lieu de bras. A la place des pieds, il y avait une queue séparée en deux parties . Ses yeux étaient ronds et petits, et sa bouche était semblable à celle
d'un poisson.
Les
médecins de la ville se sont contentés de rapporter la nouvelle,
sans donner d'explication au phénomène. Précisons que le monstre
vit encore. " (En Avril
1971: note du webmaster)
Nous passons sur bien d'autres phénomènes monstrueux décrits dans cet
ouvrage et relevons cette dernière phrase:
"
...les lois de la génétique sont encore très mal connues ; un
fait parait cependant établi: une sorte d'involution se
manifeste actuellement dans le règne humain, et les monstres
envahissent la Terre... "
Ces mutations seraient-elles attribuables aux retombées radioactives
comme l'auteur le présume par la suite?
Qui
vivra verra?
Un de nos amis, réparateur de télévision, il y a déjà près d'une
vingtaine d'années se présenta à l'improviste chez une personne qui
n'avait pas pu récupérer son poste dans son atelier. Alors qu'il
pénétrait dans une cour, il vit une dame entrain de brosser dans un
bassin le dos de deux enfants, dos qui présentait l'aspect une vraie
carapace de tortue. En approchant du bassin, notre ami demande
à la dame avec naïveté, croyant que les enfants portaient une sorte
de déguisement escamotable :
"Mais
pourquoi donc n'enlevez-vous pas cette carapace pour baigner les
enfants". Elle lui
répondit que les enfants étaient nés avec cela et
qu'il n'était pas possible de soustraire ces carapaces de leurs dos.
Notre ami en resta muet d'ahurissement et il apprit ensuite que
ces enfants ne sortaient jamais de la maison et vous pensez-bien que
cet ami n'a pas pu revenir sur place pour prendre des photos de ces
malheureux enfants.
Dans
un autre ouvrage spécialisé dans le domaine du monstrueux bestiaire
intitulé
"Le
musée de la bestialité" publié en octobre 1969 aux Editions AZUR-Co, après un chapitre
entier sur
les sylphes, les faunes et les satyres
Roland
Villeneuve nous expose page
89 , la position scientifique sur le sujet des croisements entre
espèces différentes: "
Le problème des Satyres conduit comme on le voit à de hautes
spéculations sur notre destinée. Celui du résultat des
rapports sexuels avec les animaux n'a pas moins passionné les
esprits. On sait aujourd'hui qu'un spermatozoïde animal est
incapable de féconder un oeuf humain et vice-versa; ce qui réduit à
néant les opinions touchant à la procréation des
hybrides."
On sait cependant que des progrès considérables ont été
réalisés ces temps-ci, en matière des manipulations génétiques ce
que pouvait sans doute pas imaginer il y a 32 ans, R. Villeneuve. Voir
à ce sujet, l' article de Science&Vie n°710 de Nov
76 page 56 intitulé: "premier
gène totalement artificiel et premier hybride femme-plante" ou
cet autre article page 44 du n° 777 de juin 1982
intitulé: "Fabriquer
un homme-singe pour expliquer nos origines"
Certes la nature a plus d'un tour dans son sac et d'ailleurs qui peut être
certain qu'il n'existe pas d'autres entités tridimensionnelles (extraterrestres
ou pas)ou même venus des mondes à quatre dimensions ou plus et qui pour des
raisons inconnues, s'évertueraient,(comme
nous mêmes sommes capables désormais de le faire)
à créer ces monstres à des fin d'expériences ?
Terminons
cette plongée dans le bestiaire fantastique par ce court
entrefilet page 95, choisi parmi des centaines d'autres:
-Conrad Gesner dont
vous avez plus haut vu deux tritons son livre écrit
dans son De quadrupedicus
viviparis qu'on prit un jour dans la foret saxonne un étrange animal ayant figure
humaine. On le domestiqua ; il parvenait à émettre quelques sons
rauques mais se jetait sur toutes les violer publiquement.
-Van Helmont
déclare avec grand sérieux qu'une truie engendra six petits ayant chacun une tête d'homme.
fin de citation
Ce cas s'est reproduit en Déc 1978 au Honduras avec en plus une
manifestation orale de l'animal:
Comme vous le voyez, aucune
photo n'a hélas été présentée. Comme on aurait aimé voir cela ?
Les revues avides de photos chocs, auraient pu faire le
déplacement pour nous offrir au moins une photo.. n'est-ce pas? Où
sont donc ces intrépides journalistes intrépides qui n'ont
peur de rien pour satisfaire la curiosité de leurs lecteurs et qui risquent leur vie pour nous montrer ses affreuses images des inlassables guerres qui pullulent sur cette planète?
Eh bien nous, avec nos faibles moyens, nous allons cependant vous en montrer de ces
photos de cochon à tête singe, mais ce site étant un site strictement
personnel qui fonctionne gratuitement et sans publicité, nous vous demandons, comme
d'habitude, d'être indulgent sur le manque de netteté des clichés
présentés.
En effet, si nous avons choisi ce dernier entrefilet de l'AFP relayé par France-Antilles, qui parle de cochons à "tête de singe", c'est que nous avons eu, personnellement, à découvrir les mêmes phénomènes ici, dans notre petite île de la Guadeloupe.
Évidemment aucune étude n'a été entreprise pour savoir, s'il
pouvait s'agir d'une malformation ou d'un croisement. Voici donc
les coupures de journaux que nous avons conservées cette fois-ci:
Comme la photo n'est vraiment pas claire, en voici quelques autres du même
spécimen que nous avons sorti, de son bocal de formol, près de 13 ans après sa naissance vers la fin des années 50 (autour de 58). Aucune photographie n'avait hélas été prise à l'époque, quand il était fraîchement mort né et quand la tête n'avait pas été encore aplatie par le verre du bocal.
Voici d'abord deux photos de l'animal vautré dans son bocal de formol
après plus de 13ans:
Voici
maintenant l'animal au moment précis où nous l'extrayons de son
bocal :
Ou encore plus tard, on a remis çà en 1983, dans notre même petite île de la
Caraïbe :
Comme vous le constatez, le journaliste, là encore, a été incapable de
nous présenter une photographie claire et nette du spécimen en question. A
vous de juger....
IV Conclusion
Après le mystérieux cœlacanthe qui n'a pas voulu évolué pendant des millions d'années, et qui nous interpelle sur les tenants et les aboutissants de la théorie de l'évolution, voilà que les légendes elles, nous rappellent que d'autres êtres fabuleux ont défrayé la chronique en leur temps, mais c'est le quotidien qui nous apprend parallèlement que des
êtres tout aussi mystérieux surgissent épisodiquement parfois des recoins plus ou moins cachés de la nature et de la société, afin que nous puissions nous interroger, certes sur la réalité
de notre passé, mais sans doute aussi sur notre devenir, hélas plutôt alarmant.
PS en date du 15 /07/02.
Le
Dimanche 14 juillet 2002 nous avons eu privilège d'enregistrer
une émission de la "Chaîne Planète
Sat" intitulé "le Chaînon manquant"
produit par la "BBC Horizon "www.bbc.co.uk/horizon réalisé par Emily Samson et émission dont le
préambule résume justement tout ce qui vient de vous être
exposé ci-dessus à propos de la théorie de l'Évolution et de la découverte du fameux cœlacanthe.
Nous ne résistons pas donc au plaisir de vous transcrire quelques
lignes de ce préambule:
"Dans
la longue histoire de la vie sur terre , il est un chapitre encore
plus passionnant que les autres, celui qui nous conte, la
naissance de nos jambes. Des scientifiques pensent qu'il y a très
longtemps, un poisson s'est hissé sur la terre ferme. Alors des
membres lui sont venus et il a marché . Un événement
majeur dans l'histoire de la vie sur Terre , car cet
animal est notre ancêtre. Et comment et pourquoi ses membres se
sont-ils développés ? La question reste l'un des grands
mystères de l'Évolution. Les plus grands scientifiques ont
tenté de la résoudre pendant plus d'un siècle. Pour les guider
dans leur recherche , ils n'avaient que les travaux de Charles Darwin , le père fondateur de la théorie de l'Évolution. Pour Darwin, la réponse était là, dans la roche: Quelque part des fossiles cachés depuis des millions d'années détenaient la clé du mystère. Les paléontologues
n'avaient plus qu'à parcourir le monde à leur recherche.
Mais de tels fossiles sont extrêmement rares.... Plus les scientifiques avançaient, plus il devenait évident qu'un fossile fondamental manquait. Toute la théorie de l' Évolution semblait suspendue à
ce fossile capable d'expliquer pourquoi des membres firent un jour leur apparition et c'est ainsi que commença la quête du Chaînon manquant. "
Fin de citation
Comme nous vous l'avons fait remarqué le cœlacanthe si merveilleusement découvert et si impatiemment attendu par les tenants de la théorie de l'Évolution en été plutôt une contre-preuve. Nous n'entrerons pas dans les détails pointus qui démontrent que cette théorie (comme beaucoup d'autres d'ailleurs) est entrain de battre sérieusement de l'aile, mais pour ceux qui veulent vraiment en savoir plus, à un niveau jamais encore dévoilé, nous les invitons à lire et mieux à décortiquer les chapitres 1
et 2 intitulés le "Mythe de l' Évolutionnisme" du livre (La vie vient d'une intelligence supérieure) de notre ami Jean
SIDER paru en Juin 2002 dans la collection Science-Conscienc JMG Éditions (8 rue de la mare 80290 Agnières tel 0322901103.) et dont voici la page de couverture :
PS en date du 20/07/02.
Grâce à l'heureuse initiative
d'une internaute, que nous remercions vivement ici, nous avons pu
découvrir un site rempli de messages transcendants, c'est à dire
d'une richesse extraordinaire qui nous arrivent depuis 1984 d'un
channel nommé Monique
et messages dont la provenance, à notre avis , ne peut
qu'appartenir à des dimensions très supérieures. Sur la page
Web :
nous avons découvert les révélations
suivantes, déjà exprimées dans notre article Byrdalice (les couleurs sont de nous évidemment et ici Monique répond à un interlocuteur)
Est-ce que les Sirènes, les Yétis et autres monstres du Loch Ness existent ?
Il existe des êtres
marins immenses que vous ne pouvez percevoir, car ils vivent
dans le plus profond des abîmes. Ils vivent dans l'obscurité
totale. Ce sont des êtres qui n'ont pas encore une
conscience de vie...
Ce ne sont pas des êtres,
ce ne sont pas des poissons, je n'arrive pas à discerner leur
forme. Je vois des masses assez sombres et je ne vois pas leur
forme. Ils me disent :" Sur votre monde,il y a une infinité de vies que vous n'avez pas encore découvertes. ll y a même des hommes qui vivent et que vous n'avez pas encore découverts. Cela peut vous surprendre, mais cela est vrai. Tout n'a pas été complètement exploré sur votre monde. Vous croyez avoir tout vu, vous pensez tout connaître et vous n'avez pas encore complètement fait le tour de votre propre planète."
Maintenant je suis projetée dans les
montagnes. Je vois un homme. Je ne sais pas si c'est un Yeti mais
il a l'aspect d'un homme. Il est très grand. Je le vois entrer
profondément dans les entrailles de la terre, il
est en relation avec les êtres qui habitent à l'intérieur de
notre sphère. Ils me disent :
"Ce sont des humains
primaires qui ont habité votre monde avant les
bouleversements et qui ont été aidés par les êtres d'en
bas pour survivre. Il y a aussi de tout petits êtres qui
vivent en partie sur votre monde et en partie
à l'intérieur. Ils prennent
parfois contact avec vous pour vous avertir ou pour vous
aider. Vous êtes tellement têtus et bornés que vous ne
voulez rien comprendre. Vous avez toujours l'impression que
votre imagination vous joue des tours, ou que l'on ne vous
croira pas ! Alors, beaucoup cachent les rapports qu'ils ont
eus avec ces petits êtres.
Il y a une vie à l'intérieur de la Terre , tout aussi
importante que celle de l' extérieur. Tout est plein, même
le vide est plein, plus que plein.."
Je n'avais jamais perçu autant de
vies, que ce soit sur notre Terre, à l'intérieur de notre Terre , dans
notre atmosphère ou sur le plan de l'astral de notre terre. C'est
une multitude de petits points brillants de vie.
Vous rendez-vous compte
à quel point vous perturbez tout ce qui vit sur ou à
l'intérieur de votre Terre, ce qui vit très près de vous, dans votre atmosphère, avec
vos pensées destructrices ? Ce n'est pas simplement la pollution chimique qui les
perturbe, ce sont vos pensées. Vous vivez en égoïstes en
pensant que sur ce monde ils n'y a que vous, que ce monde
n'a été fait que pour vous, qu'il vous appartient en
totalité, alors qu'il vous a simplement été prêté afin
que vous puissiez y vivre. Vous n'êtes que les locataires
de ce monde. Vous n'êtes
pas les propriétaires .
Seul Dieu est propriétaire de Sa Création, mais nul homme
n'est propriétaire de ce sur quoi il vit."
PS en date du 05/07/03.
Nous avons reçu en ce début de
Juillet 2003 deux informations qui s'harmonisent parfaitement avec notre article ci-dessus:
Voici la première:
----- Original Message -----
From: pillionnel
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Wednesday, July 02, 2003 5:01 PM
Subject: Yahoo! Actualités - Une créature gélatineuse non identifiée sur une plage chili
Voir le site:
http://cf.news.yahoo.com/030702/3/9til.html
Mercredi 2 juillet 2003, 7h15
• Rubrique : Insolite
Une créature gélatineuse non identifiée sur une plage chilienne
SANTIAGO DU CHILI (Reuters)
- Des scientifiques chiliens se perdent en conjectures après la découverte d'une énorme créature marine et gélatineuse rejetée sur une plage du Pacifique, au point qu'ils ont demandé l'aide de la communauté internationale pour les aider à identifier l'intrus.
La créature morte a été tout d'abord prise par erreur pour une baleine lorsque sa présence a été signalée voici une semaine, mais les experts qui se sont rendus sur les lieux ont déclaré que la masse grise de 12 mètres de long en cours de décomposition était un invertébré et non un cétacé.
"Nous n'avons jamais vu jusqu'à présent un spécimen aussi étrange, nous ignorons s'il pourrait s'agir d'un poulpe géant auquel il manquerait certains membres, ou s'il s'agit d'une nouvelle espèce", a déclaré Elsa Cabrera, biologiste marine et directrice du Centre de protection des cétacés à Santiago.
Les photographies prises montrent une masse ronde, aussi longue qu'un autocar. Les poulpes géants vivent à la profondeur de 3.000 mètres et ne remontent à la surface qu'à leur mort. On a déjà découvert des spécimens mesurant 18 mètres.
Cabrera a indiqué qu'elle prenait contact avec des organisations chiliennes et étrangères dans l'espoir qu'ils puissent aider à identifier l'animal échoué.
Fin du premier article
Et voici le deuxième :
vendredi 4 juillet 5h58 HNE
Sur le site: http://cf.news.yahoo.com/030704/3/9u11.html
Une nouvelle race de poisson découverte en Amazonie
SAO PAULO, Brésil (Reuters)
- Des scientifiques disent avoir découvert en Amazonie une nouvelle race de poisson, ce qui n'est pas arrivé depuis plus d'un siècle, et espèrent pouvoir classifier cet animal ressemblant à une anguille d'ici la fin de l'année.
"C'est une nouvelle espèce qui va nous obliger à créer un nouveau genre et toute une famille animale",a expliqué à Reuters Jansen Zuanon, responsable de la recherche en biologie marine de l'Inpa, l'Institut national de recherche sur l'Amazonie, au Brésil.
Ce poisson a été découvert en 1999 par une chercheuse suisse de l'Inpa, Ilse Walker, qui menait des études sur les crevettes dans les plaines inondées proches de Manaus, la capitale de l'Etat de l'Amazonie. Depuis, une équipe de quatre scientifiques a étudié plusieurs spécimens.
"Il n'a toujours pas de nom", a expliqué Jansen Zuanon. "Nous l'avons appelé le poisson mystérieux car il ne rentre dans aucun groupe. Il a un corps allongé avec un mélange de caractéristiques très différents de ceux des autres genres de poissons d'Amazonie".
"Une nouvelle famille de poissons n'a pas été répertoriée depuis vraisemblablement 150 ans", alors que la découverte de nouvelles espèces est courante, a précisé le biologiste.
Cette découverte est le dernier exemple en date de la diversité de l'Amazonie, une région forestière tropicale plus étendue que l'Europe de l'Ouest qui abrite près de 30 % des espèces animales et végétales de la planète.
Le poisson a un corps allongé comme une anguille mais il a aussi des nageoires. C'est un carnivore long de 15 cm dont la queue ressemble à celle de l'arapaima gigas, ou pirarucu, un des plus grands poissons d'eau douce qui peut atteindre cinq mètres de long pour 200 kg.
Curieusement, il dispose de 10 branchies au lieu de deux ou trois habituellement, ce qui fait penser aux scientifiques qu'il peut respirer en surface.
"Pour ce que nous en savons, il se nourrit de crevettes et d'insectes aquatiques, se reproduit au début de la saison des pluies et dispose de cette faculté respiratoire inhabituelle (qui fait qu'il) ne dépend pas seulement de l'oxygène qui se trouve dans l'eau", explique Zuanon.
Fin de l'article
Prolongement spécifique en date du 14 Juillet 2006.
La revue TOP SECRET n° 25 de Juin-juillet 2006 en page 20, nous présente dans sa rubrique "Le journal des observations" un entrefilet extraordinaire. Nous ne pouvons pas résister au plaisir de vous le présenter. Voilà d'abord l'image qui frappe :
Le texte qui accompagne cette photo étant peu lisible, nous l'avons digitalisé et voilà ce que l'on obtient :
" NESSIE photographié en Argentine.
Le 15 avril 2006, le Cryptozoologiste Scott Corrales a présenté les dernières photographies d'un monstre célèbre en Argentine répondant au nom de Nahuelito, et hantant le lac Nahuel Huapi. Cette créature parfois désignée sous le nom de "plésiosaure de Patagonie" fait parler d'elle depuis longtemps. Les autorités locales se sont intéressées à cette histoire dans les années 20, mais les premiers rapports et témoignages remontent encore au siècle précédent.
Pour en revenir à l'origine de ces photos, ce serait en fait un lecteur anonyme qui aurait déposé une enveloppe en salle de rédaction. L'enveloppe contenait trois photographies accompagnées d'une note : "Ce n'est pas un tronc d'arbre qui aurait une forme Capricieuse. Ce n'est pas une vague. Ce n'est pas non plus une sculpture. Nahuelito a montré son visage, samedi 15 avril à 9 heures du matin."
Le témoin précise dans sa note qu'il ne tient pas à révéler son identité personnelle afin de, s'éviter de futurs maux de tête, Il ajoute qu'il se contente de présenter les images, libre à chacun d'en tirer ses propres conclusions. Il faudrait calculer l'arc de cercle formé par le cou de la créature d'une photo sur l'autre, afin de mieux se rendre compte si l'on a affaire à des clichés authentiques ou bien à une plaisanterie de mauvais goût.
Source :http://inexplicata.blogspot.com/
Fin de citation
Il est clair que tant que les clichés originaux n'auront pas été analysés par des spécialistes en photographie, et que les conditions de la prise de vue de ces photos du prétendu Nahuelito, ne seront pas clairement définies, le contenu de cet entrefilet restera sujet à caution, car chacun sait qu'avec les moyens modernnes de l'informatique, on peut truquer n'importe quelle image. Vu l'importance du fait, l'auteur de ces photos a donc tout intérêt à prouver indiscutablement leur authencité et nous doutons fort alors qu'il veuille longtemps encore garder l'anonymat. C'est une affaire donc à suivre de très près et comme disent les anglo-saxons dans une situation aléatoire : "Wait and See".
Article mis en page le 13/03/01 et revu le 15/07/01, puis le 21/01/02, puis le 11/02/02, puis le 13/04/03, puis le 08/07/03, et puis le 15/04/05, et puis le 28/10/05, puis 19/05/06 puis le 14/07/06.
IDYLLE Fred