La mystérieuse créature du Devonshire
Introduction
Cette
fabuleuse histoire, que j’ai découverte adolescent il y a une vingtaine
d’années, en lisant les « Histoires
Magiques de l’Histoire de France » de Guy
Breton et Louis Pauwels, m’a
longtemps fasciné pour au moins deux raisons.
La première
évidemment était liée à son caractère « abracadabrantesque »
digne du mystère de la chambre jaune. En moi-même, je me disais que ce
mystère ne devait pas être aussi insoluble que l’affirmaient tous ceux
qui s’étaient penchés sur cette affaire.
La
seconde résidait dans
l’impression de déjà-vu que j’avais ressentie en lisant cette
histoire. De manière irrésistible, ces mystérieuses empreintes évoquaient
de délicieux souvenirs d’enfance où vers l’âge de 6-7 ans, je me
livrais avec d’autres têtes brûlées de mon quartier à certains jeux
trépidants. L’un de nos préférés consistait à relever sur le sol
poussiéreux d’une usine désaffectée des traces de toutes sortes
d’animaux que nous pouvions trouver. Armés d’impressionnantes
branchettes et dotés d’une sacrée dose d’imagination, nous partions
à la recherche du monstre en suivant ces empreintes. Un jeu de piste qui
nous permettait de nous identifier à nos héros de bande dessinée du
moment tels Tarzan ou le Fantôme du Bengale.
Bien
des années ont passé mais je n’avais pas oublié cette histoire qui
continuait à exciter mon imagination. C’est en fait l’outil Internet
qui allait contribuer à faire bouger les choses. La découverte de
certains sites étonnants me firent découvrir de
nouveaux éléments conceptuels absolument renversants. Ces derniers
m’ont ainsi permis d’entrevoir un début de solution, qui, j’en suis
persuadé, risque de vous entraîner dans un univers fantastique avec des
conceptions physiques et philosophiques complètement différentes de
celles auxquelles vous n’êtes peut-être pas habitués. Je vous
conseille donc d’accrocher vos ceintures neuronales. C’est parti !
La
genèse
Entre
le 7 et le 8 février 1855, un fait étrange survint dans le Devonshire,
une province du sud-ouest de l’Angleterre. Après qu’une violente tempête
ait balayé toute la région, les habitants découvrirent au petit matin
d’étranges empreintes sur la neige. Des empreintes comme nul n’en
avait jamais vues et qui ne correspondaient à aucun animal connu. Elles
avaient la forme d’un petit sabot de cheval et trouaient la neige avec
une incroyable régularité rectiligne. On estima que ces traces s’étaient
étalées sur plus de 160 km !
Sources :
http://www.bartleby.com/81/4932.htm
Les
empreintes mesuraient chacune environ 10 cm de long sur 7 cm de large et étaient
généralement espacées de 20 à 37 cm. Elles étaient de plus alignées
comme si la créature n’avait qu’une patte et sautillait à
cloche-pied. A moins que, comme le fait remarquer Yves
Lignon dans son ouvrage « Quand la
Science rencontre l’étrange » ( Ed. Belfond ), cette créature
n’ait été dotée de deux pattes du même côté !
Plus
surprenant encore, la neige à l’intérieur des empreintes paraissait
avoir été complètement enlevée, comme si un laser ou un fer rouge avait
été utilisé. La logique aurait voulu que, sous la pression, la neige ait
été retrouvée écrasée avec des détails visibles sur le pourtour de la
trace. Or, dans ces dernières, la neige avait bel et bien été enlevée !
Un
étrange incident relaté dans plusieurs ouvrages ( voir bibliographie )
eut lieu dans le village de Blayford,
toujours dans le Devonshire. A environ 6 heures du matin, les habitants de
ce village entendirent un hurlement sinistre de chien suivi d’un silence
non moins angoissant. Dans la matinée, un garçon de ferme, parti
constater les dégâts causés par la tempête, tomba sur les restes déchiquetés
d’un chien, sans doute celui qui avait hurlé au petit matin de façon si
atroce. Les habitants de Blayford déclarèrent qu’ils n’avaient jamais
rien vu de pareil et qu’il était impossible qu’un homme ou un animal
ait été à l’origine de telles blessures. En supposant que cette
histoire soit véridique et que ce chien ait été bien attaqué par la créature
qui laissa ces mystérieuses empreintes, il est tentant d’établir un
parallèle avec l’histoire de la fameuse Bête
de Gévaudan. Cette dernière laissa elle aussi des blessures
hors-normes, n’ayant rien à voir avec celles d’un loup ou de tout
autre animal. Nous y reviendrons un peu plus loin quand nous aborderons les
tentatives d’explications.
A
l’annonce de cette affaire, des journalistes et des zoologistes de toute
l’Angleterre accoururent sur les lieux pour tenter d’élucider ce mystère.
Voici ce qu’écrivit un journaliste voulant relater les incohérences de
ces empreintes. Elles ne « marquent aucune pause. Quelle qu’elle
soit, la créature inconnue marchait sur des sabots à pas courts,
sautillants, d’une façon inexplicable sans arrêt ni repos, et elle
parcourut ici plus de 30 kilomètres durant la nuit tragique du 7 février,
franchissant des rivières, escaladant les murs de plusieurs maisons et
marchant sur les toits pour finalement aboutir au petit cimetière du
village sans oser y pénétrer… » ( tiré de « Nouvelles
histoires magiques » d’après Louis
Pauwels et Guy Breton aux Editions Albin Michel et J’ai Lu )
Dans
un journal londonien, l’Illustrated London News,
un zoologiste fit le récit suivant : « Ce mystérieux
visiteur n’est généralement passé qu’une fois à travers
chaque jardin ou chaque jour, et il l’a fait dans presque toutes les
maisons de nos différentes villes, ainsi que dans les fermes éparses aux
alentours ; cette piste régulière passe, dans certains cas, sur les
toits, sur des meules de foin, ou escalade des murs très élevés (dont un
de 4,50 m) sans déplacer la neige ni d’un côté ni de l’autre, et
sans que soit modifiée la distance entre les empreintes, comme si
l’obstacle n’avait pas gêné cette étrange créature. Les jardins
entourés de haies hautes ou de murs, et avec des portes fermées, furent
visitées aussi bien que ceux qui n’étaient pas clos. »
On
note ailleurs que « deux habitants d’une commune ont suivi une
ligne d’empreintes pendant trois heures et demie, en passant sous des
rangées de groseilliers et d’arbres fruitiers en espaliers ;
perdant ensuite les empreintes et les retrouvant sur le toit de maisons
auxquelles leurs recherches les avaient menés ». Plus loin, il
ajoute que ces empreintes « passaient par une ouverture circulaire
d’une trentaine de centimètres de diamètre et dans une conduite de
drainage de 15 cm ; enfin qu’elles traversaient un estuaire de près
de 3,500 km de large… » ( toujours tiré des « Nouvelles
Histoires Magiques de l’Histoire de France » de Breton
et Pauwels ).
Des affaires
similaires furent signalées un peu
partout dans le monde : en Ecosse en 1839, aux Iles Kerguelen en 1840,
en Hollande en 1913, en Belgique en 1945 ou encore au Brésil en 1954.
Mais la plus
intéressante est sans conteste celle de 1950 que raconta Mr
Wilson au Docteur Dingwall. Une petite précision : il n’y a pas de
preuves confirmant l’authenticité de ce témoignage. Cela ne veut pas
dire non plus qu’elle ne soit pas véridique. Selon la formule consacrée,
« à vous de juger en votre âme et conscience ! »
L’histoire
de Mr Wilson
L’histoire
se déroule dans une petite ville de la Côte Ouest du Devonshire (Hé oui,
comme en 1855 ! S’agit-il d’un hasard ?) où Mr Wilson avait
décidé de passer ses vacances. Un jour qu’il se rendit sur la plage, il
découvrit juste au-dessous d’une falaise une série d’empreintes qui
traversaient le sable en ligne droite jusque dans la mer. Il fut d’emblée
impressionné par la netteté des traces en forme de sabot qui semblaient
avoir été découpées par un instrument tranchant. Elles étaient espacées
d’environ 1,80 m et paraissaient appartenir à un gros animal bipède.
Wilson les compara avec ses propres traces de pas et, comme elles s’enfonçaient
plus profondément dans le sable, il en déduisit logiquement que la créature
dépassait les 80 kilos.
Mr Wilson fut
surtout frappé par l’absence d’éclaboussures que laissent normalement
des empreintes dans le sable. Comme si « chaque empreinte avait été
découpée dans le sable avec un fer à repasser ». Précisons que ce
dernier affirmait ignorer tout de la précédente affaire du Devonshire qui
eut lieu un siècle plus tôt.
A l’instar
des chercheurs de 1855, les questions du Dr Dingwall restèrent sans réponse :
« Quelle créature possible, terrestre ou maritime, a pu faire ces
empreintes ? De quelle taille pouvait-elle être pour avoir une aussi
longue enjambée ? Quel genre de sabot a pu faire des empreintes aussi
nettement découpées ? Si c’était un animal marin, pourquoi
aurait-il eu des sabots ? Si c’était un animal terrestre, pourquoi
serait-il entré dans la mer ? Ou alors avait-il des ailes ? »
Le Dr
Dingwall rappela l’affaire du « Diable du
Jersey » qui survint aux Etats-Unis en 1908, le long de la Côte
du New Jersey netre Newark et la Cap May. Il déclara : « Là
encore, on eut des descriptions de traces comme celles des sabots d’un
poney dans la neige épaisse, et de nouveau, les récits disent comment les
traces menaient à des clôtures de grillage puis contibuaient de l’autre
côté même lorsque les barreaux n’étaient qu’à quelques centimètres
les uns des autres. »
A
partir de ces éléments, comment expliquer en effet qu’un animal puisse
passer à travers les clôtures ou franchir les toits comme s’il n’y
avait pas le moindre obstacle ? S’agissait-il de « Garou-Garou
le passe-muraille » ? Les cinéphiles reconnaîtront le
film de Jean BOYER avec Bourvil dans le rôle principal.
Tentatives
d’explication
De
nombreuse hypothèses furent émises aussi bien par les journalistes que
par les scientifiques qui étudièrent cette affaire.
Certains
d’entre eux évoquèrent des phénomènes atmosphériques ou météorologiques
tels que l’averse de grêlons. Comme si ces derniers avaient la faculté
de s’abattre en ligne droite avec la forme d’un sabot.
Un
journaliste pas plus inspiré affirma que les traces provenaient d’un aéronef
ayant laissé traîner son câble d’amarrage muni d’un anneau à
l’extrémité. Evidemment, compte tenu des particularités évoquées précédemment,
cette hypothèse ne pouvait pas être retenue.
De
nombreux auteurs préférèrent retenir la thèse animalière. Le kangourou
enfui du zoo, l’âne,
l’oiseau de mer, le blaireau et même le mulot des bois furent ainsi les
animaux qui revinrent le plus régulièrement. Bien entendu, encore une
fois, aucun d’entre eux ne pouvait convenir aux caractéristiques déjà
émises.
En
désespoir de cause, l’un des scientifiques de l’époque alla jusqu’à
déclarer : « Ces millions d’empreintes constituent une énigme
absolue. Ni un homme, ni un animal, ni une machine n’est en effet capable
de laisser de telles marques. Ce phénomène est inexplicable. En conséquence,
le mieux, à mon avis, est de l’oublier. » Cette réaction épidermique
n’est pas sans ressembler à l’attitude de rejet de nos scientifiques
actuels face au phénomène Ovni.
Devant
le peu d’explications satisfaisantes, les paysans du Devonshire cédèrent
aux superstitions ambiantes de l’époque et attribuèrent les traces mystérieuses
aux « Pas du Diable ».
A
défaut de trouver au moment des faits une réponse définitive, Charles
Fort usa quant à lui d’un bon mot qui obtint un certain succès :
« Ces empreintes n’ont pu être faites que
par un millier de kangourous unijambistes chaussés d’un très petit fer
à cheval … ». Il fallait y penser !
Sur
un site américain, Alien Robots, dont
j’ai malheureusement égaré l’adresse , nous avons trouvé une thèse
originale. L’auteur du site fait intervenir une sorte de robot manipulé
à partir d’un ovni. Une sphère (voir l’image ci-dessous) serait pour
lui la conception idéale pour laisser le type d’empreintes telles
qu’elles ont été décrites dans le Devonshire.
Le
robot alien en forme de sphère
Image
extraite du site http://www.ufolady.com/robots.htm
( Un grand merci à Christian Georges
qui a pu retrouver pour nous cette adresse )
Ceci dit, même
en supposant la mise en place d’une expérience psychologique pour tester
les réactions de la population humaine, je vois mal personnellement
l’intérêt d’une telle technique d’investigation. Surtout en regard
des fabuleux moyens technologiques dont disposerait une civilisation
Extra-Terrestre, capable de s’affranchir des contraintes
spatio-temporelles. Certes, on pourra me rétorquer que la psychologie
Extra-Terrestre n’a peut-être strictement rien à voir avec celle des
Humains, à l’image des différences comportementales qui nous séparent
du monde animal. Ce n’est pas ma thèse préférée mais elle n’est
certainement pas à rejeter. C’est pourquoi il m’a semblé intéressant
de vous la présenter.
Pour au moins
deux cas cités précédemment, on a observé que le phénomène s’était
manifesté pendant ou peu de temps après une violente tempête. D’où
cette question : certaines conditions météorologiques auraient-elles
un rapport avec l’apparition de ces traces ? Charles
Fort avait amassé dans son livre, « Le
Livre des Damnés », une impressionnante collection
d’histoires étranges dont celle du Devonshire. Mais il relatait également
des histoires où les précipitations n’étaient pas seulement constituées
d’eau ou de neige mais aussi de diverses matières organiques, gélatineuses
ou putrides, de sang ( 1868 au Brésil ), de végétaux ( noisettes,
haricots, graines de moutarde et de cresson ),
de poissons, de batraciens ( voir le film « Magnolia » de Paul Thomas Anderson
), de souris, de serpents et même de morceaux de viande (en 1876 dans le
Kentucky ).
Image
extraite de la page http://www.chez.com/facteurx/pluies_insolites.htm
Charles Fort
suspectait dans ces phénomènes bizarres non pas l’intervention du
Diable mais celle de mystérieux êtres célestes.
Ceci
pour faire la transition avec Laura Knight-Jadczyk
qui gère avec son époux Ark un
site extrêmement intéressant http://cassiopaea.org/index.htm
. Laura Knight-Jadczyk est une américaine
de Miami, qui communique par le biais d’une planchette de Oui-Ja, une méthode
de Channelling parmi d’autres, avec les Cassiopéens, des Etres de Lumière
extrêmement évolués spirituellement, provenant selon leurs termes de la
6ème Densité ( et non pas Dimension ) SDA ( au Service des
Autres ). Pour donner une comparaison, ils s’apparenteraient aux fameux Pléiadiens
de Barbara Marciniak, plus connus en France
auprès des habitués de la littérature ésotérique. Précisons, toujours
d’après leur classification, que nous, les Humains, n’appartenons pour
l’instant qu’à la 3ème Densité avec une orientation SDS (
au Service de Soi ), à une réalité donc très matérielle.
Laura
Knight-Jadczyk, assisté donc de son mari Arkadius Jadczyk et de quelques
amis, ont consigné depuis 1994 des milliers de pages de dialogues hors du
commun, dont un certain nombre se trouve traduit en français et dont je
vous recommande vivement la lecture. J’ajouterai également pour finir la
présentation que leurs propos ressemblent fortement à ceux de Carlos
Castanéda, qui parlent entre autres de la main-mise planétaire par
des entités extra ou ultra-terrestres qui nous considèrent comme leur bétail,
de la même manière que nous considérons les animaux.
Mais que
disent précisément les Cassiopéens sur l’apparition de ces mystérieuses
créatures telles que la Bête du Gévaudan,
Jack-le-Bondissant (Spring-Heeled Jack ) qui
terrorisa l’Angleterre du 19ème siècle, l’Homme
Chauve-Souris ( the Mothman ) qui se fit surtout connaître aux
Etats-Unis en Virginie à partie de 1966 et plus récemment les Chupacabras
du Porto-Rico ?
La
bête du Gévaudan
(
image extraite du site http://www.chez.com/facteurx/index.htm
)
Jack-le-Bondissant
(Spring Heel Jack )
(Image
extraite du site http://www.geocities.com/monsterfreaks/index.html
)
Le
Chupacabra
(
image extraite du site http://www.chez.com/facteurx/index.htm
)
Les Cassiopéens
affirmèrent lors de la session du 9 juin 1995 qu’il s’agissait de créatures
tombées d’une fenêtre dimensionnelle. Avant d’aller plus
loin dans l’explication, nous allons ouvrir non pas une « fenêtre »
mais une parenthèse distrayante liée à l’actualité cinématographique.
En effet, vous n’avez sûrement pas dû échapper au matraquage
publicitaire de la dernière production Pixar-Walt
Disney, « Monstres et Cie ».
Pour ceux qui n’auraient pas encore vu ce superbe film d’animation, ces
monstres tout compte fait plutôt sympathiques pour la plupart d’entre
eux, vivent dans une sorte d’univers parallèle
relié au nôtre par une multitude de portes dimensionnelles, en référence
sans doute à Stargate, the Twilight
Zone ou encore au miroir d’Alice
au pays des Merveilles. Ainsi, pour reprendre le film, nous
annonce-t-on que les Bigfoots, les Yétis et autres Nessie, avant de se
faire bannir dans notre dimension, faisaient partie de ce bestiaire
loufoque qu’est Monstroland. L’autre
point commun réside dans le besoin de ces monstres de se nourrir d’énergie
psychique humaine basée sur la peur. Quand nous lisons les propos
de David Icke ( Le
plus grand Secret T. 1 et 2 ), des Pléiadiens, des Cassiopéens et
j’en passe, nous sommes frappés de constater que ce n’est guère différent
pour ces « Lizzies » de la 4ème
Densité qui nous « possèdent », pour reprendre l’expression
de Charles Fort.
Une coïncidence
en appelant une autre, voilà que j’apprends qu’un film sur l’Homme
Chauve-Souris , Mothman en anglais, probablement inspiré de l’ouvrage de
John Keel , « The
Mothman Prophecies » s’apprête également à sortir sur nos
écrans. Curieux , n’est-ce pas ?
Le
Mothman
(
Image extraite du site http://www.chez.com/facteurx/index.htm
)
Cette
histoire est réellement passionnante et fait l’objet d’un article très
approfondi sur le site « FacteurX le Monde de l’étrange ».
L’adresse précise est la suivante : http://www.chez.com/facteurx/mothman.htm
. On peut simplement regretter que le Webmaster de ce site ne daigne pas
citer ses sources.
Mais revenons
à notre sujet. Le rapprochement avec le dessin animé est en effet tentant :
pourquoi la créature du Devonshire ne viendrait-elle pas d’un lieu équivalent
à Monstroland, situé dans une autre dimension ? Les Cassiopéens
disent que les « accidentés transdimensionnels » sont entrés
dans notre monde suite aux « explosions
d’ondes électromagnétiques accompagnées
d’une variation de limite de fréquence ».
Vous avez saisi ? Attendez la suite : « la
physicalité est entièrement transitoire et dépend partiellement de
variations de conscience ainsi que des attentes des observateurs ».
Et enfin, « la chute par une fenêtre
dimensionnelle représente une trans-énergisation des réalités représentée
également à partir de chacune des dimensions en question. Autrement dit,
comme le rideau dimensionnel a été déchiré, la moitié de ce qui est
ici et la moitié de ce qui est là-bas forment la réalité totale ».
Voyons
maintenant ce que nous dit Laura pour essayer d’expliquer ces révélations
qui dépassent notre compréhension, du moins en ce qui me concerne.
L’article de référence se trouve à cette adresse : http://cassiopaea.org/wave9_fr.htm
. ( traduction par Micheline Deschreiber )
« En
ce qui concerne « les explosions d’ondes électromagnétiques
accompagnées de variations de limite de fréquence » nous aurions
sans doute intérêt à nous rappeler ce que les Cassiopéens ont dit à
propos du « voyage
dans le temps » :
Tout
d’abord, nous devons donner plus d’explications à propos des voyages
dans le temps, parce que les deux concepts sont étroitement liés.
La
première étape est l’induction d’un champ électromagnétique
artificiel. Ceci ouvre la porte entre les dimensions de réalité.
(
NDA : ce qui pourrait expliquer l’histoire de Montauk rendue célèbre
par le film « Philadelphia Experiment » )
Ceci
pourrait certainement expliquer les anomalies électroniques dont Mr.
Partridge et l’assistant du shérif ont fait l’expérience dans le cas
de l’homme chauve-souris. Malheureusement, dans les autres cas
personne ne disposait de la technologie permettant de déterminer si
de telles anomalies électroniques se produisaient lorsque les monstres
faisaient leur apparition. Mais si de tels cas se présentent à
nouveau, ce sera une question intéressante à ajouter à la liste.
Ouvrir
les portes entre dimensions est une chose très délicate semble-t-il.
John
Keel,
un des écrivains d’histoires mystérieuses les plus célèbres, les plus
influents et les plus controversés, s’est beaucoup inspiré des travaux
de Charles Fort. Bien qu’il ait beaucoup écrit sur les OVNIs et
les phénomènes qui s’y rapportent, les idées de Keel à ce
propos suivent plutôt la ligne de l’occultisme que celle des
explications purement techniques. Il utilise le terme "Ultraterrestres" pour décrire les créatures étranges,
et cela correspond mieux que toute autre explication à ce que disent les
Cassiopéens.
Selon
John Keel, la longue histoire des interactions humains-créatures mystérieuses
prouve l’existence des « dieux » des temps anciens.
Pour Keel, les hommes en noir, les OVNIs, et même l’homme chauve-souris (
NDA : le Mothman ) sont des versions modernes des « démons et diables »
d’autrefois. Et il pourrait bien être près de la vérité.
La seule chose que je voudrais ajouter est que nous devons aller au-delà
de la connotation « surnaturelle » qui accompagne les mots
« diables » et « démons ».
…
Si
nous revenons à l’idée que le voyage dans le temps revient à transiter entre les
dimensions, tout comme le facteur OVNI est souvent vu en rapport avec des
« monstres », ou bien avec les « chutes au travers de
« fenêtres transdimensionnelles », nous pourrions nous
poser certaines questions à propos des activités présentes sur la Terre,
et sur la manière dont ces phénomènes pourraient être des indices d’un changement de réalité. En d’autres termes, ces « chutes par des fenêtres
interdimensionnelles » pourraient-elles être une conséquence de ces
activités ? Et si c’est le cas, pouvons-nous considérer de telles
anomalies comme des indices qu’il se passe quelque chose d’autre en ces
endroits et à ces moments ? »
Et
je m’arrêterai là. Si voulez en savoir plus sur cette hypothèse
fantastique du voyage dans le temps aux implications vertigineuses, je vous
invite à poursuivre par vous-même la lecture de cet article.
Parmi
les anomalies liées aux apparitions de ces étranges créatures, nous
pouvons ajouter les odeurs de soufre. Pour ce faire, nous allons reprendre
un extrait du livre « Enquête sur
l’existence d’êtres célestes et cosmiques »
aux Editions Filipacchi écrit par Gildas
Bourdais. Cet extrait s’inspire lui-même
de l’œuvre de John Keel.
P.
359 : « John Keel est
intarissable sur les apparitions abominables. L’une des premières du genre
( à notre époque ) a eu lieu en 1952, près de Sutton ( Virginie
occidentale ), au lieu-dit de Flatwoods, durant la vague de soucoupes
volantes de cette année-là. Les témoins virent d’abord une boule de
feu dans le ciel, qui alla s’écraser au sommet d’une colline. Les gens
accourus, pensant à un accident d’avion, aperçurent alors, flottant au
milieu d’une sorte de brouillard, un monstre terrifiant avec deux grands
yeux lumineux qui émettaient de puissants faisceaux de lumière bleu pâle.
La scène dégageait en outre une odeur nauséabonde
qui leur irrita les yeux et la gorge. Cette
puanteur planait encore quand des journalistes vinrent quelques heures après.
Ce genre d’émanation est un trait typique de tous ces épisodes :
odeur soufrée, ou d’œufs pourris caractéristique de l’hydrogène
sulfuré. Mais, n’était-ce pas le soufre
qu’on associait autrefois aux apparitions diaboliques ? »
Dans
la Bande dessinée de Lob
et Gigi
consacrée aux Ovnis « Apparitions
OVNIS » (Editions Dargaud), nous
retrouvons une histoire à peu près similaire à la précédente, bien que
souvent considérée comme un canular par une majorité d’ufologues.
Le 19 août
1952, à West Palm Beach (Floride), Sonny
Desvergers, chef d’une troupe de scouts,
déclara s’être confronté à un Ovni, qui lui occasionna quelques brûlures
ainsi que des blessures. Il affirma également avoir vu une créature à
travers une porte qui se matérialisa dans le dôme hémisphérique de
l’objet. Mais il n’ira pas plus loin dans sa description. Tout juste
dira-t-il, et c’est cela qui nous intéresse, qu’il sentit sur les
lieux une forte odeur de soufre.
Beaucoup plus récemment, une affaire défraya la chronique au Brésil.
Cette dernière se déroula le 20 janvier 1996 à Varginha,
une grande ville industrielle du sud du Brésil. Voici le récit qu’en
fit le magazine allemand « Magazin 2000 » : « Trois
jeunes filles, les soeurs Liliane de FATIMA
(16 ans), Valquiria Aparecida SILVA (14
ans) et leur collègue plus âgée Katia de
Andrade XAVIER (22 ans) aperçurent un être bizarre sur un terrain
comportant de petits buissons, situé à quelques pâtés de maisons
seulement de leur maison. C'était un samedi, les jeunes filles revenaient
du travail, et leur chemin passait par cet espace vert. L'être, qui se
trouvait à peu de distance d'elles, était agenouillé et semblait blessé
; il avait en tout cas l'air de souffrir. Les jeunes filles observèrent
durant quelques minutes la créature, puis elles prirent leurs jambes à
leur cou, croyant avoir rencontré le Diable.
L’une
des créatures de Varginha
(
Image extraite du site http://www.chez.com/lesovnis/htm/vargf.htm )
Elles
se confièrent à deux ufologues locaux, le Dr Ubirajara
Franco RODRIGUES et Vitorio PACCACCINI,
et décrivirent l'être comme
étant brun sombre, d'une taille de 1,20 m à 1,50 mètre, glabre et avec
un cou grêle. Sa peau était recouverte d'huile sombre, graisseuse. Il
avait deux grands yeux rouges, sans pupilles, une très petite bouche, un
petit nez et trois proéminences sur la tête. Lorsqu'elle entendit les
cris de ses filles, la mère de Liliane et de Valquiria, Luiza, sortit de
sa maison et trouva les jeunes filles en état de choc.
Elle
essaya de les calmer. Peu après, elle retourna avec elles à l'endroit en
question, mais l'être avait disparu entre-temps. Au lieu de cela, Luiza
nota une odeur bizarre, intense (
NDA : certains auteurs parlent d’odeur d’ammoniaque ).
Dans l'intervalle, une jeune fille et une dame d'un certain âge, qui
avaient entendu les cris d'effroi des jeunes filles, et qui voulaient voir
de quoi il s'agissait, avaient remarqué que des pompiers communaux avaient
capturé l'être, et l'avaient emmené.
Après
en être arrivés à la conviction que les jeunes filles avaient dit la vérité,
RODRIGUES et PACCACCINI
interrogèrent d'autres habitants et, de fait, ils trouvèrent toute une série
de témoins qui avaient précisément vu l'être à cet endroit, et
d'autres êtres, aussi, identiques, à d'autres endroits. D'autres témoins
précisèrent qu'ils avaient également vu des camions militaires et
d'autres véhicules militaires, ainsi que des soldats, le matin du même
jour – entre 10 h 30 et 11 h –, à quelques pâtés de maison seulement
de l'espace vert où les jeunes filles avaient rencontré l'«
extraterrestre ». Les ouvriers agricoles Oralina
AUGUSTA et Eurico RODRIGUES expliquèrent
qu’ils avaient été réveillés le 20 janvier par le bruit de leur bétail.
( NDA : un lien avec les mutilations de bétail
aux USA ? ) Ils étaient sortis, pour voir d'où venait tout ce
tapage, lorsqu'ils remarquèrent la présence d'un objet
gris, ayant la forme d'un sous-marin et la taille d'un mini-bus, qui
volait au-dessus des pâturages à cinq mètres seulement d'altitude. Une
fumée blanche sortait de l'OVNI. »
L’histoire
complète, qui comporte bien d’autres éléments, est consultable sur le
site WEB du groupe Sentinelle à
l’adresse suivante : http://ovnis.free.fr/mag2000.htm
. Un autre site consacré aux Ovnis y a également consacré plusieurs
articles : http://www.chez.com/lesovnis/htm/vargf.htm
. Une cassette vidéo des Editions ALP/Marshall Cavendish « Créatures-Rencontres
ExtraTerrestres » vendue avec le magazine « Dossiers
Ovnis » retrace également toute cette affaire avec en supplément
un reportage sur les non-moins célèbres Chupacabras.
Pour
finir avec cette histoire, il se trouve que de nombreux ufologues rejettent
la plupart des récits impliquant des rencontres avec des créatures
non-terrestres semblant sortir d’un film d’épouvante. Ces histoires
semblent en effet tellement ridicules qu’ils craignent probablement le
discrédit de leur objet d’étude. Comme vous l’aurez certainement
compris, cet article ne prétend pas apporter de solution définitive mais
montrer au moins que certains éléments bien matériels peuvent mettre à
mal le caractère péremptoire de certaines positions. « A
l’échelle du cosmique, seul le fantastique a des chances d’être vrai. »
disait Teilhard de Chardin.
Laura
Knight-Jadczyk avait eu vent bien évidemment de cette histoire d’odeur
de soufre que l’on reliait également aux « manifestations
sataniques de démons et sorcières » du passé. Elle posa donc une
question à ce sujet :
Session du 07-05-95 (
Q
pour question de Laura ou d’un anonyme et R
pour réponse des Cassiopéens ) :
Q: (L) Pourquoi associe-t-on une intolérable odeur
de soufre aux corps d’extraterrestres et autres phénomènes et entités ?
R: Interactions chimiques.
Q: (L) Donc, si un extraterrestre meurt en troisième
densité et pourrit en troisième densité, cela provoque une réaction
chimique qui crée du soufre ou des composés de soufrés?
R: Bravo!
Q: (L) Est-ce que cela signifie, comme je le pense,
que les extraterrestres sont construits chimiquement en quatrième densité?
R: A peu près.
Cette
réponse nous permet d’enchaîner sur une nouvelle question, qui suscite
bien des polémiques entre ufologues. Sur les sujets que nous venons d’évoquer,
certains auteurs comme Jacques Vallée , John
Keel ou Jean Sider n’y voient que
des manifestations non physiques, provenant d’autres dimensions, et
excluent la présence d’Extra-Terrestres, en chair et en os. Le problème
c’est que nous risquons de tomber dans le piège de la Chimère. Comment
prouver le contraire d’une telle thèse si le phénomène nous paraît à
un tel point insaisissable ? Alors, comme dirait un certain « Hamlet »
remodelé à notre sauce futuriste, physique or not physique ?
Là
encore, les Cassiopéens apportent une réponse des plus intéressantes.
Session du 12-08-95
traduite par Micheline Deschreiber :
( Q
pour question de Laura et R pour réponse des Cassiopéens ) :
…
Q: (L) Donc, il y a réellement des matériaux et vaisseaux extraterrestres
qui ont été confisqués ou trouvés et examinés par le
gouvernement?
R:
En doutez-vous?
Q: (L) Parfois je me demande si tout ça a été concocté par le gouvernement
pour nous rendre tous fous !
R:
Ah, c’est un concept intéressant, mais nous pouvons vous assurer que ce
n’est absolument pas le cas.
Q: (L) Mais si ces vaisseaux émergent dans notre réalité ( NDA :
la 3ème Densité ) depuis la quatrième densité, comme
je suppose que c'est le cas pour certains d'entre eux, comment peuvent-ils
rester ici? Est-ce qu’ils deviennent tout-à-fait
physiquement matériels et restent ici ?
R:
S’ils tombent en panne en troisième densité alors ils sont « gelés »
en troisième densité. Très simple.
Q: (L) Et est-ce que la même chose se produit pour les créatures?
R:
Précisément.
Q: (L) Donc, dans un sens très réel, ils sont très réels et physiques...
R:
Ils sont très réels et physiques en quatrième
densité aussi . La différence est que la physicalité en
quatrième densité n’est pas la même qu’en troisième densité.
Mais cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de physicalité en quatrième
densité. Pour se détacher complètement de la physicalité, il faut
atteindre la sixième densité ou plus haut encore. Tout ce qui est
dessous implique un aspect de la physicalité ou un attachement à la
physicalité ; et en cinquième densité, la zone de contemplation,
qui est simplement un recyclage de ceux qui sont en première, deuxième,
troisième et quatrième densité, dans le plan éthérique. Ils sont
ramenés et recyclés dans un des mondes physiques. Les niveaux de
densité de un à quatre, impliquent de moins en moins de physicalité
comme vous la connaissez, mais il y a néanmoins de la physicalité. Cependant,
la physicalité de troisième densité reste constante en troisième
densité. Lorsqu’un être, ou un vaisseau, ou un instrument
manufacturé ou conçu en quatrième densité arrive dans la troisième
densité, il est capable de passer de la réalité
de la troisième densité à celle de la quatrième. Mais
quand il est endommagé, ce qu’il en reste, reste en troisième densité.
Ces rapports à propos d’objets ou de structures physiques (créatures
ou objets) qui disparaissent de la troisième densité pour aller en quatrième,
concernent, dans tous les cas, un objet ou un être, ou une construction
qui n’est pas en mauvais état. Ils sont tous tout-à-fait opérationnels
dans le monde de la quatrième densité. C’est
seulement la visite en troisième densité qui a des effets restrictifs,
comme vous mesurez le temps à son passage, il disparaît quelque part en
quatrième densité. Cependant, si l’objet est
endommagé, ou cassé, ou en panne, il reste en troisième densité.
…
Fin de l’extrait.
Avant
de continuer, je vais me permettre de faire une petite mise au point. Je
sais que certains vont sans doute me reprocher de vouer un culte exagéré
à ce matériel. Certes, je suis loin d’avoir tout lu et encore moins
d’avoir assimilé la totalité de leurs révélations. Je suis conscient
également qu’il peut subsister des erreurs de transcription ou
d’interprétation et pourquoi pas une forme subtile de manipulation. Ce
n’est donc pas un avis définitif. J’estime néanmoins, après avoir
fait le tour de dizaines de livres, que c’est peut-être par rapport à
d’autres sources d’informations celle qui se rapproche le plus de la vérité.
En tout cas, celle qui me convient le mieux actuellement. Cela ne m’empêche
nullement de garder l’esprit ouvert à d’autres conceptions et c’est
bien là l’essentiel. Les recruteurs de sectes peuvent donc aller voir
ailleurs. Fin de la mise au point.
Jacques
Vallée, John
Keel ou encore Jean
Sider nous proposent un scénario désespérément
sombre de notre situation où nos marges de manœuvre seraient pratiquement
inexistantes face aux « Forces obscures » qui nous manipulent.
John Keel va même plus loin. D’après cet auteur, « nous
sommes des robots biochimiques sous contrôle et à la merci de forces qui
peuvent s’emparer de nos cerveaux, détruire notre mémoire et nous
utiliser comme bon leur semble ». Un
scénario, ma foi, digne du film « Dark
City » d’Alex
Proyas.
Les
Cassiopéens atténuent cette vision en rappelant la présence d’Entités
à connotation nettement moins négative, les SDA ( au Service des Autres )
dont ils font partie, qui tentent de limiter la trop forte prédominance
des Entités SDS ( au Service de Soi ). Cette configuration correspond
peut-être aux fameuses batailles cosmiques décrites dans la plupart des récits
mythologiques, y compris la Bible.
L’aide
de ces Entités, toutefois, ne signifie pas assistance stérile où nous
n’aurions plus qu’à attendre que les choses se fassent toutes seules.
Cela constituerait une grave entorse au principe fondamental du
Libre-Arbitre. Ou en d’autres termes, ces « Etres » peuvent
nous aider à apprendre à pêcher le poisson mais ne comptez pas sur eux
pour nous le livrer tout prêt sur un plateau. Ce qui semble somme toute
logique quand on réalise les dégâts et les effets pervers d’une
surabondance d’assistance auprès de certaines couches désœuvrées
de la population. Quand évidemment une certaine forme de manipulation des
esprits ne vient pas en plus s’y mêler. Il suffit de constater le succès
de certains programmes télévisuels ou de certains journaux à scandales,
ne visant qu’à flatter nos bas-instincts et à se désintéresser des réels
problèmes écologiques, économiques et politiques.
D’après les Cassiopéens, il serait possible
d’envisager une autre ligne de conduite. Ils la résument avec cette
affirmation :
« La
Connaissance protège, l'Ignorance expose au péril. »
( « Knowledge Protects, Ignorance Endangers. » )
tout en insistant sur l’importance capitale du partage de
l’information.
Voici
ce qu’ils disent précisément ( Q
pour question de Laura ou d’un anonyme et R
pour réponse des Cassiopéens ) :
Session
du 14-07-96 traduite par Micheline
Deschreiber :
Q: (L) Ummm... Donc, quand une personne est hypnotisée et
contrôlée de l'extérieur, puisque c'était notre sujet de discussion,
cette personne reste hypnotisée et contrôlée jusqu'à ce qu'elle
apprenne elle-même à y mettre fin?
R: Oui.
Q: (L) Alors, pour utiliser une analogie avec une
porcherie, elle doit s'y vautrer et souffrir jusqu'à ce qu'elle en ait
assez?
R: Pour utiliser l'analogie avec une bicyclette:
existe-t-il un outil qui puisse éviter à un enfant d'apprendre à rouler
à bicyclette afin de savoir comment on roule à bicyclette?!?
Q: (MM) Est-ce qu'on n'a pas plus de libre-arbitre à
mesure qu'on assimile la connaissance ?
R: Oui!! Oui!!
Q: (L) Donc, en d'autres mots, la connaissance et la prise
de conscience nous rendent conscients que nous avons un libre arbitre, et
nous rendent conscients des actions qui sont vraiment des actes de libre
arbitre; dès lors, quand on connaît ou soupçonne la différence entre
mensonges et tromperie d'une part, et vérité de l'autre, alors, on est en
mesure de contrôler sa propre vie ?
R: Oui.
Quant
à savoir de quoi exactement la Connaissance est censée protéger, le
mieux est de vous inviter à consulter l’article suivant http://cassiopaea.org/greg2_fr.htm
où vous trouverez une réponse surprenante.
Conclusion
A
la lumière des révélations cassiopéennes, il me semble que la notion de
réalité multi-dimensionnelle, sans parler de celle de Densité, tient
assez bien la route. De plus en plus de scientifiques subodorent une réalité
bien plus complexe que prévue, et capable en outre de prendre davantage de
formes que nous ne pourrions l’imaginer.
Les
faits insolites, aussi étonnants qu’ils puissent paraître, méritent
donc qu’on leur accorde une attention particulière. Le fait que les témoignages
dérangeants soient systématiquement tournés en ridicule ou déformés
par les médias en général relèvent d’un problème grave dont la
plupart des gens ne sont pas conscients. Que se passera-t-il quand ils
s’apercevront qu’ils ont été dupés dans bien des domaines ?
Je
ne contredirai pas Laura Knight-Jadczyk quand elle affirme que « la
compréhension des anomalies demande du temps, des efforts et un esprit non
pas crédule mais ouvert. »
Il
y a une dernière anecdote que j’ai volontairement gardée pour la fin.
Saviez-vous que Conan Doyle,
le célèbre auteur de la série « Sherlock
Holmes », avait situé l’action de
son roman « Le Chien des Baskerville »
dans la région du Devonshire ? Mais oui, mais c’est bien sûr … !!!
Article achevé le
13 avril 2002
Joël
BARAN
Additif du 13 juillet 2002.
Parfois, des livres même relativement
anciens peuvent contenir quelques perles d'informations susceptibles d'être
reliées et réexploitées quelques décennies après leur parution. C'est
justement le cas avec l'ouvrage de Jacques
Bergier " Visa pour la Terre "
qui relate bon nombre de récits illustrant à merveille la notion d'accident transdimensionnel.
Dans le livre " Soucoupes Volantes et
Civilisations d'outre-espace ", nous verrons que son
auteur Guy Tarade se montre plus précis
et évoque dès 1969 " une manipulation de l'espace-temps par les équipages
d'Ovnis. Cette opinion est également celle de Louis
Schönherr, qui pense que les Ovnis ne sont pas nécessairement des
moyens de transport dans le sens conventionnel du mot, mais par exemple
pourraient être des stratagèmes techniques pour la
production de courbures locales d'espace, lesquelles s'étendraient
dans l'espace qui doit être contacté. Ceci ayant été accompli, les
Extra-terrestres d'autres espaces pourraient passer dans le nôtre ! C'est
une explication de ces cas où des entités sont, comme il est rapporté
dans différents témoignages, soudainement apparues près d'un ovni au
sol sans être sorties apparemment par une porte ou un sas." Il faut
noter que comme Charles Fort, Guy
Tarade suspecte l'intervention de certains Extra-terrestres dans le
but de nous soutirer quelque chose, en fait l'énergie psychique que nous
produisons. Plus de vingt ans après la parution de ces ouvrages, force
est de constater que des auteurs plus récents tels que Carlos
Castaneda, Barbara Marciniak ( les Pléiadiens
) ou Laura Knight-Jacdzyk ( les Cassiopéens
) ne disent pas autre chose.
1) Extrait de " Visa pour la
Terre " ( Jacques Bergier - Editions J'ai Lu - 1974 )
Rien qu'aux Etats-Unis, rien que pour les années
1954 à 1969, John A. Keel, l'un des chercheurs les plus pondérés dans
cette affaire, compte quarante-quatre cas d'êtres au moins humanoïdes
qui abordent des passants dans la campagne américaine. Non seulement ils
n'attaquent pas, mais on les trouve fréquemment en train de pleurer ou de
sangloter comme quelqu'un qui est perdu. Après
quoi on ne les revoit plus. Les témoins vont chercher la police ou les
gendarmes ou les services de prévention des incendies et forêt, et on ne
retrouve plus personne.
Entre Fort, John Keel, des institutions
comme le laboratoire paraphysique de Downton, Wiltshire ( Angleterre ),
qui publient depuis 1968 un annuaire des faits inexpliqués, il serait
facile d'obtenir au moins trois mille cas bien solides. Inversement, il y
a des cas de disparitions tout-à-fait inexpliquées. Là, ce n'est pas
par milliers mais par dizaines de milliers qu'il faut compter les cas,
rien qu'au XIXème et au XXème siècle.
Non seulement des hommes, des femmes et
des enfants, mais encore des navires, des sous-marins et des avions
disparaissent.
La frontière entre notre terre et d'autres
pays paraït être invisible mais plus facile à franchir qu'on ne le
croit. Aussi bien dans le sens d'ailleurs vers ici que dans le sens d'ici
vers ailleurs. Ce franchissement est à tel point facile qu'il peut être
involontaire. Cela n'exclut pas du tout la possibilité de voyages
volontaires. Il y a probablement des voyageurs autorisés ( ... )
Mais à côté de tout, il
doit y avoir des malheureux soudainement arrachés à leur environnement
et apparaissant dans le nôtre. C'est ceux-là qu'on entend pleurer, qu'on
voit errer désemparés, que l'on recueille quelquefois. Et
inversement, il doit y avoir des êtres de notre milieu qui soudainement
disparaissent et qui, quelquefois, ne reviennent jamais. Dans le cas où
ils reviennent, on ne comprend pas le chemin qu'ils ont suivi ni ce qu'ils
ont fait dans l'intervalle. (...)
Voici quelques exemples, empruntés à
John Keel, qui est généralement très bien documenté :
Le 22 août 1967, un jeune américain de
dix-neuf ans, appelé Bruce Burkan, disparaît
à Asbury Park, dans le New-Jersey. Il était
parti sur la plage en maillot de bain pour mettre des pièces de monnaie
dans un parcmètre. On le retrouva à Newark le 24 octobre 1967, assis à
un arrêt d'autobus. Il ne se souvient de rien. Il a des vêtements qui ne
lui vont pas, et sept cents dans sa poche. Il ne comprend absolument pas
ce qui lui était arrivé. ( ... )
2 ) Extraits de " Soucoupes
Volantes et Civilisations d'outre-espace " ( Guy Tarade - J'ai
Lu - 1969 )
Page 261 : " Eliphas
Levi, qui avait eu accès aux plus hauts secrets de la Kabbale, écrivait
au siècle dernier ( NDA : au 19ème ), dans " La
Clef des Grands Mystères ", que les Géants ( NDA
: sans doute les fameux Néphilim dont on doit sans doute le retour de
notoriété aux ouvrages de Zecharia Sitchin. Laura Knight-Jacdzyk en
parle également à plusieurs reprises dans son site. ) qui occupèrent
la Terre lors du dernier grand cataclysme étaient des USURPATEURS
! C'est-à-dire originaire d'un autre monde ! Ayant conquis le
globe, ils l'avaient soumis à leurs lois ! En tant que race, nous "
appartenons " à " quelqu'un "qui veille sur son bien ! Notre
planète constitue sans doute un objet de convoitise pour des êtres d'un
autre espace, qui désirent accaparer l'énergie que nous produisons. Nos
" Dieux ", qui résident ailleurs dans le cosmos, veillent à ce
que des loups ne pénètrent pas dans la bergerie. Même si le fermier ne
partage pas la demeure de son troupeau, il assure sa sécurité ! "
Page 293 : "
La présence de ces engins est relatée de tout temps dans l'histoire des
hommes. Il y a là quelque chose d'assez irritant. On conçoit difficilement
l'existence de gens assez intelligents pour construire des machines
volantes perfectionnées, et assez stupides pour refuser tout contact avec
les êtres qu'ils visitent ! Les contacts existent, nous en sommes persuadés,
mais à un échelon bien déterminé. Nous sommes
sans doute la " ruche " de quelqu'un, et le miel que nous
fournissons est d'un type bien particulier. Ceux qui l'utilisent
connaissent nos " apiculteurs ", que nous connaissons sans
doute, mais conditionnés depuis des siècles pour accomplir des desseins
qui nous sont imposés, nous " dormons " littéralement tout éveillés,
incapables de saisir la réalité. "
Joël
Baran
Sources Internet :
·
http://cassiopaea.org/wave9_fr.htm
·
http://cassiopaea.org/greg2_fr.htm
·
http://ovnis.free.fr/mag2000.htm
·
http://www.chez.com/facteurx/pluies_insolites.htm
·
http://www.chez.com/facteurx/mothman.htm
·
http://www.chez.com/lesovnis/htm/vargf.htm
Bibliographie :
·
« Nouvelles
Histoires Magiques de l’Histoire de France » par
Guy BRETON et
Louis PAUWELS
aux Editions J’ai LU.
·
« Le
livre de l’inexplicable » par
Jacques BERGIER
et le
Groupe Info aux Editions Albin Michel.
·
« Quand
la science rencontre l’étrange »
par Yves LIGNON
aux Editions Belfond.
·
« Le
Livre des Damnés » par Charles
Fort aux Editions Durante.
·
« Enquête
sur l’existence d’êtres célestes et cosmiques »
par Gildas
BOURDAIS aux Editions
Filipacchi.
·
« Ovnis :
la levée progressive du secret »
par Gildas BOURDAIS aux
Editions JMG.
Pour
tout contact : Joël
BARAN
Article mis en page par Idylle Fred le 14/04/02 et revu le 15/04/05.
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