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Notez que, dans cette dernière image, apparaissent bien, les mots clés : " des dieux" .
a) La
missive envoyée à Micro Hebdo.
Article mis en page le 11/01/03 et revu le 12/01/03 puis le 16/01/03 puis le 31/01/03 puis le 15/02/03 puis le 08/06/03 et enfin le 13/04/05.
Quittons maintenant cette revue d'informatique dont la qualité professionnelle est de premier ordre, et dont l'innocence en matière d'ésotérisme n'est pas du tout condamnable.(Précisons cependant que nous avions justement aussi, écrit le 21 Février 2001 à cette revue pour qu'elle nous propose un contact ou un logiciel performant capable de modéliser en 3 D la superstructure du Paris Match 1028 dont vous avez la photo ci-dessous et nous attendons toujours une réponse. La curiosité est aussi une vertu qui se cultive et que l'intuition permet parfois de mettre en exergue, quand on est mûr pour cela, autrement on passe à côté de certaines merveilles de la nature... n'est-ce pas ?).
Par contre lorsqu'il s'agit FR3, il ne peut être question d'innocence et nous stigmatisons régulièrement sur ARTivision en la circonstance, l'attitude réactionnaire de certains médias qui ont pignon sur rue.
b) La
missive réservée à FR3.
Nous nous excusons d'abord évidemment auprès des internautes qui
nous font l'honneur de parcourrir régulièrement le site ARTivision et qui
connaissent déjà certaines images, mais il faut penser ici à ceux qui ne les
ont jamais vus et qui seraient plutôt indisposés de passer de liens en
liens pour aller les voir et d'autre part à force de voir ces images circuler, elles finiront par entrer dans les mœurs... n'est-ce pas ainsi que fonctionne la publicité ...?
La revue en question ci-dessus, nous promettait donc ( La revue Science&Vie n° 1023 de Dec. 2002 pages 168 à 175, nous présente le même thème sous le titre: La préhistoire comme si vous y étiez.) la sortie prochaine d'un film diffusé par FR3, (Que nous avons eu le loisir de découvrir le 8 janvier à 20 heures sur la Chaîne RFO Tempo) concernant l'Odyssée de l'espèce retraçant la période de huit millions d'années qui s'étend de la naissance du premier primate à celle de notre plus proche cousin vieux de 30 000 ans l'homme de Neandertal.
Cette Odyssée de l'espèce dont le titre est manifestement copié sur celui de Stanley Kubrik et d' A.C. Clarke " 2001 L'odyssée de l'espace", nous présente en superbes images de synthèse, il faut l'avouer, la théorie évolutionniste toujours prisée par les scientifiques bien assis de l'intelligentsia et qui ne jettent pas le moindre coup d'oeil sur les découvertes actuelles, qui remettent en cause leurs pseudo-certitudes acquises évidemment depuis Darwin, par accumulation d'hypothèses successives admises sans preuve aucune. Précisons bien que, s'il existe de nombreuses races de chiens, et de chats et qu'il s'en crèe toujours de nouvelles, c'est évidemment qu'il existe une sorte d'évolution à l'intérieur de l'espèce, mais sauf intervention humaine par manipulation génétique pour l'obtention directe d'une sorte de chimère, on n'est pas près de voir un chat devenir un chien ... Quant au poisson sorti de l'océan primitif pour devenir l'homme après mille et une transformations aléatoires, il faut vraiment être un faiseur de miracles pour en admettre la véracité.
D'autre part, qu'il ait existé quelques primitifs, vivant dans des grottes à une certaine époque, comme il en existe encore à notre époque dans des contrées reculés d'Australie ou d'ailleurs, nous n'en disconvenons pas, mais dire que l'art a pris naissance, il y a seulement 30 000 ans, est une affirmation qui sera de plus en plus démentie par d'autres découvertes dont on parle déjà sous le boisseau alors que l'on sait bien que le mur de Bimini ou la grande Pyramide avaient, autour de 12000 ans, déjà vu le jour.
Nous avons dans un article intitulé "Intercommunications naturelles spécifiques chez les êtres vivants et retour à la dimension cosmique de l'humain" fait état des pouvoirs totalement inexpliqués et pourtant parfaitement vérifiés des calculateurs prodiges comme Mr Paul Lidoreau qui étaient capables de faire instantanément des calculs si compliqués, qui avant l'invention de nos ordinateurs modernes auraient nécessité des semaines de travail pour les effectuer. Pourquoi alors rejeter les pouvoirs d'autres sensitifs qui eux, comme le fabuleux Edgar Cayce prétendent pouvoir explorer ce que les initiés appellent les annales akashiques: En auto-hypnose, dans une "Lecture" n° 5748-6, on a posé à Edgar Cayce, la question claire et nette suivante : " Quelle fut la date de construction de la Grande Pyramide ? " et la réponse immédiate fut , elle aussi d'une précision qui nous laisse pantois pour quelqu'un qui n'était qu'un modeste photographe, peu instruit à son époque, des recherches archéologiques poussées effectuées par des spécialistes :
" Sa construction dura cent ans. Elle fut commencée, et terminée sous le règne d'Araaraat, avec Hermes et Ra, c'est à dire Ra-ta qui se fit appeler ainsi à la fin de sa vie. Elle a duré de 10490 à 10390 avant que le Prince de la Paix n'entre en Egypte..."(Voir l'Univers d'Edgar Cayce de D. K de Bizemont chez Robert Laffont ou en J'ai Lu n°2786). Le Prince de la Paix étant Jésus-Christ cette construction de la Grande Pyramide, nous ramène à plus de 12000 ans et cela contredit évidemment toute la chronologie officielle admise.
Mais ce qui est plus grave, c'est que les pontifes qui admettent cette théorie évolutionniste intégrale pourtant spécifiquement bancale, ne souffrent pas que la moindre contestation apparaisse dans les circuits de l'information, qu'ils ont sournoisement mis en place, et ils ont des procédés parfaitement huilés pour évincer tout intrus succeptible de mettre en cause leur autorité. Nous vous présentons donc ici un texte très important à ce sujet que nous avait expédié, il y a de cela plusieurs mois, l'ami Joël Baran et texte qui attendait son heure pour sortir de l'ombre. Cette heure semble bien arrivée aujourd'hui, et nous remercions et félicitons ainsi vivement les Editions Moan, les Cheyroux, 24580 Plazac, d'avoir osé publier un tel texte dans leur revue Nexus. Cependant comme il y a un copy-right, si vous voulez publier ce texte dans un ouvrage destiné à la vente, vous devez en demander l'autorisation à son auteur Will Hart dont l'émail est :
Voici en français grâce à la traduction d'André Dufour le remarquable texte en question, intitulé : " l'Archéologie censurée" :
Après ce préambule explicatif et très opportun de Mr Will Art qui est en parfaite symbiose avec le point de vue du site ARTivision, pourriez-vous nous expliquer, quelle hypothèse est la plus folle entre celle qui admet, à l'origine, que l'homme fut cette sorte de cœlacanthe dont les nagoires pectorales et pelviennes se sont transformées en grossières pattes qui ont, par la suite, donné nos jambes, (alors que l'on sait que l'on a trouvé des cœlacanthes, il n'y a pas bien longtemps pratiquement identiques à ceux qui existaient il y a 65 millions d'années :Voir notre article sur le poisson fossile) et l' hypothèse qui affirme que les mythes des anciennes civilisations parlant de Dieux célestes venus sur Terre apporter la connaissance aux hommes, avaient raison , et qu'il aurait fallu avoir une sacrée dose d'imagination, à l'époque pour nous inventer tout ce que l'on découvre dans, par exemple, les extraordinaires épopées des mythologies grecque et romaine...? Si vous hésitez encore à choisir entre ces deux concepts, nous, nous avons déjà choisi depuis longtemps, et Messieurs les infographistes de la 3D, maintenant que vous vous êtes exercés à reconstituer des primates qui n'ont peut-être jamais existé, tout au moins comme vous les avez conçus, ou qui étaient bien mieux lotis en intelligence qu'on le croit, il faudrait passer à quelque chose de plus tangible et par exemple voir à reconstituer cette superbe curiosité qui apparaît sur la face cachée de la Lune sur le Paris Match 1028 du 18 Janv. 1969 et que personne n'a vue à l'époque de la sortie de la revue, car on n'était pas prêt pour cela et qui pourtant fut repérée en 1973 par notre ami alors imprimeur de son état, Mr Michel Girard:
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A ce propos, faisons ici, une petite digression, car il est peut-être utile de signaler particulièrement à Messieurs les journalistes ou autres reporters de FR3, que les témoins clés de cette mystérieuse affaire du Paris-Match 1028 doivent être désormais passablement âgés et que par conséquent, si l'on n'agit pas très vite pour les retrouver (comme dans cette fantastique affaire des ummites: voir notre article à ce sujet), on risque de plus recontrer grand monde bientôt pour savoir ce qui s'est vraiment passé.
En effet en prenant contact dès que possible avec les protagonistes qui ont signé leur nom dans l'article sur la Lune du P.M. 1028 en l'occurence : Mme Monique Valls et Françoise Smith puis, Mrs Jacques le Bailly, Pierre Martory, Phillipe de Bausset et Paul Slade, on pourrait déjà d'une part peut-être, préciser les conditions exactes d'acquisition du négatif du cliché utilisé pour imprimer cette superbe photo du globe lunaire en pages 32 et 33 de ce P.M. 1028, photo qui fut unique en son genre, et jamais plus encore présentée dans cette revue.
D'autre part si, Messieurs les reporters de FR3, la chance est vraiment avec vous et donc que vous êtes, c'est bien le cas de le dire ici " bénis des dieux ", vous pourriez mettre la main sur les archives de L'Agence World Book dont la société a disparu hélas, de la scène publique quelques temps après avoir parait-il prêté cet extraordinaire négatif à Paris-Match, qui le lui aurait semble-t-il, tout de suite après, restitué ..!!!
A ce moment là seulement deux conclusions pourraient s'imposer:
1°) Soit la superstructure (que l'on voit sur la photo ci-dessus) est le résultat d'une poussière où d'un grattage accidentel, ou encore d'une autre cause banale ayant agit sur l'impression de l'image présentée finalement par ce PM 1028, alors cette affaire se dégonflera d'elle même et seuls quelques artistes pourraient encore avoir envie de la monter en épingle sur leur toile.
2°) Soit cette superstructure est bien localisée sur le négatif et cette affaire prendra alors une importance colossale, digne de révolutionner toutes nos conceptions sur la vie extra planétaire et aussi sur le Passé de l'humanité.
Donc le jeu, en vaut bien la chandelle, et Mrs les reporters, votre reconstitution en 3D de cette superstructure du PM 1028 restera, là, assurément dans les mémoires.
Notre prédilection sur ARTivision va pour l'instant au second cas, vu que nous avons reçu d'un aimable internaute, une missive extraordinaire, où il affirme qu'il a eu en main, en provenance indirecte de la NASA, près d'une dizaine de clichés incroyables qui exposaient des structures tout à fait insolites placées sur la face cachée de la Lune, comme celle du P.M. 1028.
Donc Messieurs les reporters d'FR3, le destin de cette affaire du P.M. 1028, est désormais entre vos mains et nous, nous n'avons plus rien à dire dans cette missive à ce sujet, conscient du fait que nous avons fait notre devoir de simple relai de l'information. (fin de la digression)
Mais, Mrs les infographistes de la 3D, il y a aussi ceci, qui ne demande pourtant pas autant d'effort que des bonhommes poilus à reconstituer, et que cependant aucune revue spécialisée, dans l'exposition des images de la NASA, n'a osé montrer à l'époque. On se demande pourquoi ? Encore une affaire de curiosité mal aiguisée?
Vous n'avez aucune idée de ce que c'est, et pourtant, c'est bien la Nasa qui nous a photographié en Octobre 2000 avec sa sonde Near, cette structure bizarre sur l'astéroïde Eros, où d'ailleurs cette sonde s'est posée au grand étonnement de chacun, car cet exploit, n'a été révélé qu'au dernier moment. Pourquoi tant de cachotteries de la part de la NASA? En scrutant de nombreuses autres photos d'Eros, vous découvrirez bien mieux encore... et bien sûr, d'autres raisons de faire de la 3D utile. Ces photos sont en partie placées à :
Mais terminons, voulez vous, par la Lune où ce serait encore encore plus facile pour vous de nous montrer cela en relief :
La structure blanchâtre très géométrique, qui a laissé derrière elle sur la Lune, une longue trace dont la largeur dépasse 25m, nous interpelle fortement et devrait susciter de larges commentaires, si l'on avait le loisir de la réaliser en 3D. Quant à dire, comme le Science et Vie n° 606 de Mars 1968, que c'est un rocher qui a simplement roulé sur le sol lunaire (avec pourtant les formes carrées que cette structure présente..et surtout que d'après une analyse plus poussée, ce rocher semble être sorti du fond d'un petit cratère voisin, après en avoir remonté la pente...), Bravo donc, quelle sublime idée?...
III Conclusion
Comme le hasard, fait encore bien les choses n'est ce pas? Parmi les milliers de cratères de la Lune, c'est justement dans celui choisi par Stanley Kubrik et A.C. Clarke, que l'on aperçoit, au bout de la flèche 1, une sorte tour très structurée, vue prise, nous le précisons, par le télescope de 2,50 m du Mont Wilson, (donc moins sujette à caution que certaines photos de la NASA ):
Cette pierre noire, qui ne vous a pas préoccupés dans votre "Odyssée de l'espèce" , est le symbole qu'ARTivision s'efforce de mettre en exergue dans ses articles et nous pouvons même dire que si vous ne réagissez pas rapidement, vous serez obligé de prendre le train en marche. Mais, plus vous allez retarder l'instant de vous y accrocher, plus la chute sera dure sur le ballast. Car il est aussi grand temps de réaliser désormais des films sur ce que toute une Humanité attend pour connaître son Vrai Passé ou mieux encore pour amorcer, enfin son Retour vers les étoiles, tant rêvé dans les mythes anciens, dans la digne recherche de son destin cosmique.
Complément spécifique en date du 15 Janvier 2003.
Puisque nous sommes en quête de représentations en 3D et que nous avons déjà suggeré qu'il s'imposait que l'on regarde du côté de Mars, ce qui s'y trouve en forme de "forteresse", il serait peut-être aussi utile de montrer d'autres perspectives du même genre que nous aimerions avoir aussi, le bonheur de voir en 3D.
Voici donc une autre photo de Mars parue en page 49 du numéro 14 Hors-série d'Avril 1974 de la Revue Science&Avenir et numéro réalisé par le célèbre et regretté Albert Ducrocq.
Apparemment, rien de saillant ne semble retenir notre attention dans cette photo. Mais si l'on observe l'ombre de la montagne en bout de la flèche n°1 et que l'on détermine ainsi, la direction des rayons du soleil, on comprend alors qu'au bout de la flèche n° 2, nous n'avons pas affaire à un cratère, mais bien à un dôme parfaitement circulaire. Mais ce dôme semble lui même surmonté de structures insolites peu nettes, il est vrai, mais surtout, il possède juste au bout de la fléche 2, une sorte de plateforme carrée sombre. Evidemment nous dira t-on, c'est une illusion d'optique due au positionnement de la sonde spatiale, qui a pris cette photo. La légende cette photo nous dit que :" La chaîne montagneuse, dont on voit ici les crêtes borde Copratès: Sur le versant sud, on discerne les stries dues à des avalanches de rochers vers le fond du canyon". Des rochers qui strient si admirablement des montagnes... Bravo...
Mais voyons encore mieux...
Sur la photo de gauche, nous voyons encore un dôme au bout de la flèche n° 1, mais cette fois apparaît nettement une sorte d'ouverture carrée donnant l'impression d'une porte d'entrée d'un souterrain, comme d'ailleurs, nous le montre le dessin voisin qui est tiré du Science&Vie n° 625 d'octobre 1969 d'un article intitulé "Comment on vivra sur la Lune.".
Le bout de la flèche 2, présente encore un dôme avec des structures insolites tout autour que seul le vrai négatif de la Nasa, nous permettrait sans doute de mieux visualiser. La question qui se pose est donc de savoir comment expliquer la présence de ces dômes en ces lieux, sur Mars ? La légende de la photo de gauche nous dit cette fois : "Dans Tarsis, ce volcan (13° N, 91°) portant le N° 7, présente une caldeira irrégulière (Note du webmaster: non visible sur notre portion de photo). On notera la platitude de la bouche et les stries de la paroi dues à un ravinement interieur après extinction. Cette formation se trouve à proximité immédiate de la Chaîne des grands volcans." Donc messieurs les spécialistes, si vous trouvez les originaux de la Nasa, ayez la gentilesse de penser à nous...
Mais poursuivons, par la photo suivante, toujours tirée du n° spécial en question et dont la légende est : " Au nord du Coprates, une structure d'effrondement (5 °S ;77 °) se manifeste par des parois abruptes et un fond dont la nature tourmentée contraste avec l'aspect très plat du plateau environnant "
Voyons maintenant cette vue plus générale dont la légende est :" Près de Mare Australe (70° S; 358°) nous découvrons dans Hellespontica Depressio, le ravinage d'une région accidentée par la fonte de masses polaires"
Nous découvrons ici au bout de la flèche n°1, une série de trous parfaitement alignés au pied du contrefort du plateau supérieur. On aimerait bien savoir si ce sont aussi des ravinements de rochers qui sont à leur origine ..! et surtout quelle est aussi l'origine de la formation des structures géométriques notoires où pullulent les angles droits et des rayures à bord parallèles que l'on trouve partout sur cette photo et par exemple, parmi tant d'autres, au bout des flèches 2, 3, et 4 .
Mais terminons voulez-vous, ce très court survol de Mars, par ce festival d'incongruités que représente la photo suivante dont la légende est :" A l'extrémité de Copratès ce réseau de failles d'origine techtonique (10° S 105°) apparaît près de Phoenix lacus, comme un témoignage des séismes ayant agité l'épaisse croute martienne lors du cataclysme dont naquit le cayon. Alors que cette zonne de failles est très accidentée, on remaquera la bordure, intacte et parfaitement lisse du plateau de Syria dans la partie supérieure de l'image " .
Il n'est pas besoin d'être un expert en photographie pour tomber à la renverse devant ces structures insolites souvent alignées qui émaillent les différents points cardinaux de cette image.
Quelle est, par exemple, la nature de cette structure rectiligne au bout de la flèche 1, qui démarre comme par hasard de la gauche d'un joli dôme qui accompagne les nombreux autres dômes qui trônent sur cette image ? Même question plus génante encore en bout de la flèche n°2 où, apparaît un chevauchement très insolite de deux structures, qui ne peuvent là, en aucune manière selon nous, être assimilées à des failles tectoniques, comme le prétend la légende ci-dessus. Voyez enfin en boutt de flèche n° 3, d'autres structures tout aussi surprenantes...
Finalement, tout cela ne nous invite-t-il pas cependant, vraiment, à tenter de faire de la fructeuse modélisation en 3D... et de demander au moins, à la revue "Science et Avenir" de fournir aux chercheurs intéressés, les références exactes des clichés de la Nasa, utilisés dans ce numéro 14 Hors série, pour sortir ces images qui nous interpellent tant? Aux spécialistes de répondre...Nous, il ne nous reste plus qu'à attendre leur décision...
Prolongement révélateur ésotérique en date du 30 Janvier 2003.
Il serait peut-être judicieux de placer ici, un texte (que nous découvrons ce jour même) tiré du troisième livre, très surprenant d'une certaine entité transcendante nommée Soria et channellisée par la française Régine Françoise Fauze et texte qui colle comme par hasard parfaitement avec les sujets qu'ARTivision expose en prédilection et qui font justement l'objet de cet article que vous venez de lire.
"...Ici, je vais profiter de l'occasion qui m'est offerte pour vous dire ceci : «Tous vos dieux et déesses mythologiques furent des visiteurs de l'espace en mission temporaire sur votre sol. » Leur histoire demeure encore vivante dans vos livres en ce qui a trait a leurs manifestations passées. Votre mémoire présente range ces existences anciennes dans une catégorie que vous appelez ironiquement mythe. Si votre mémoire ancestrale conserve le souvenir plus précis de ces dieux et déesses, elle n'a pas retenu tous les êtres vivant autour d'eux et en provenance des mêmes étoiles. Chaque grande épopée accompagnant les humanités a vu atterrir les vaisseaux voyageurs que vous désignez actuellement par le mot ovnis.
À ce sujet, il y a fort longtemps que votre Terre n'accueille plus de visiteurs de l'espace consciemment et en instituant des échanges. Vous vous apprêtez toutefois â renouer avec une de ces époques. Les précédentes ont d'abord connu une phase d'essor entre les intéressés, puis une autre de dissension entraînant enfin un repli des visiteurs stellaires. Le dernier repli fut à l'origine de la décision de la pose des cercles d'isolement. Le départ de chaque vague de visiteurs a aussi entraîné une période de décadence de l'humanité résidente. Sur l'Atlantide, ce fut l'amorce de la disparition physique de cette portion de terre et de la décision d'une partie de ses habitants d'entrer dans les entrailles de cette planète. La dernière civilisation à adopter la même attitude fut, du temps de l'Égypte, au faîte de son histoire. Actuellement, vous n'en étudiez que la phase décadente ; les pharaons installés dans l'aisance des communications et des échanges entre le ciel et la Terre n'ont pas laissé de traces.
Régulièrement, nos amis intraterrestres viennent visiter certains sites géographiques de votre surface. Des sites stratégiques ayant une influence entre les points d'entrée des mondes subtils et les vôtres, ajoutant des signes afin de vous engager dans une recherche précise. C'est ainsi que vous trouvez de nouveaux endroits marqués de pictogrammes dits anciens. Au fil de ces traces laissées volontairement, ils vous content l'histoire de vos civilisations anciennes. Pour entrer en communication avec vous, ils recourent à la télépathie, à l'intégration des leurs dans votre société, à des échanges avec les gardiens des portes d'accès et à des inscriptions dans et sur votre sol. La télépathie étant en fait employée pour ensemencer d'enseignements vos matrices subtiles, rares sont ceux qui entrent en contact direct par ce biais. En tout cas, c'est un privilège certain, car user de ce mode de communication avec eux ne peut avoir lieu que dans les moments exceptionnels. Ces civilisations attendent toujours l'arrivée de la conscience de l'humanité résidente sur le cercle normal de la conscience humaine...
Extrait des pages 185 et 186 de Voyage tome III aux Editions Ariane, premier trimestre 2002.
Ce texte n'est-il pas une aubaine pour nous ? Merci donc encore une fois à Super Hasard de nous l'avoir mis sous la main en temps utile... Quant à ceux qui disent que c'est encore de la désinformation...qu'ils s'en contentent pour l'instant. Mais attention, plus tard, plus dure sera la chute...sur les rails du train qui s'emballe.