Lettre ouverte à la revue
"Ciel
& espace"
I Introduction
Nous avons à plusieurs reprises eu à
évoquer les images présentées par cette revue comme par
exemple dans notre article "Remue-ménage cosmique" où nous avons analysé deux photos
surprenantes du n°340 de Septembre 1998 de la revue "Ciel &
espace" concernant
Ganymède le plus gros satellite de Jupiter,
article dont l'adresse est ci-dessous:
soit à http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/remucos.html
ou à http://chez.com/idylle/docs/remucos.html
II La genèse de l'
affaire.
Premier volet
Mais nous avons appris le 12/02/01,
grâce
à la gentillesse de l'ufologue (Spécialiste
de l'étude des Ovnis et problèmes annexes)
Christian
Macé (qui nous a transmis une dépêche du Parisien
en date du 12/02/01),
que la
sonde Near (Near
Earth Asteroide Rendez-vous) allait se poser
incessamment sur l'astéroïde Éros
(qui peut passer, grâce à son
l'orbite elliptique jusqu'à près de 300 millions km de la Terre) et
que pour cette extraordinaire manœuvre,
les techniciens allaient devoir viser très juste car Éros
ne fait que 33km de long, sur 13 km de
large et 13 km d'épaisseur. La sonde Near
après avoir parcouru plus de 3
milliards de Km , s'est placée, il y a déjà un an,
en orbite autour de ce gros caillou et elle l' a déjà
photographié et analysé sous toutes les coutures en y
détectant de l'aluminium, du magnésium et du silicium.
Durant sa descente contrôlée, la sonde Near
enverra de nouvelles vues de l'astéroïde, qui pourront
être récupérées en direct sur le site Internet :http://near.huapl.edu
Le 13 /02/01 à 20H04
GMT, la sonde Near lancée le 17
fév. 1996 s'est effectivement posé en douceur sur Eros,
après avoir parcouru 3 milliards de Km et s'être mise mise en orbite
autour de l'astéroïde dès le 14 Février 2000.
On apprend aussi que les promoteurs de cette première spatiale
n'estimaient d'ailleurs qu'à 1%,
les chances de réaliser ce contact. (Le
Parisien du 13/02/01)
Remarque :Cet
événement pourtant exceptionnel n'a fait l'objet de la moindre phrase
dans le quotidien local de la Guadeloupe,
tout au moins, du Vendredi 9 au Mercredi 13
Fév. 2001 ce qui prouve encore une fois que certains
journalistes préfèrent nous entretenir de ce qui parle du train-train
quotidien, bien ancré au "plancher
des vaches", en escamotant parfois un "événement
cosmique" (nous allons monté plus
bas pourquoi) intéressant pourtant l'humanité entière.
Or, justement (et
ceci est à l'origine de cette lettre ouverte),
la revue "Ciel &
espace", dans son n°367 de Déc. 2000, qualifié par la revue elle-même, "d'exceptionnel", a publié page 88, une photo en couleur d'Eros qui nous laisse un étrange avant-goût de perplexité, vu les multiples autres photos "plus remarquables" d'Éros
que nous avons
sous la main.
Voyez vous-même la photo suivante de la revue en question:
Mais en
Avril 2000, cette même revue "Ciel & Espace" dans son
n°359 publiait d'excellentes
photographies d'Éros dont nous choisissons ci-dessous
une image parmi tant d'autres, tout en précisant
que les photocopies du scanner que nous utilisons ne sont
jamais aussi nettes que les originaux de la revue, revue qu'il convient donc de se procurer si
l'on veut découvrir davantage de détails, à moins de
s'adresser directement à la Nasa, si l'on a
cette opportunité.
Cela signifie que
ceux qui ont choisi, dans cette revue l'image
banale précédente d'Éros, l'ont fait en
connaissance de cause et ne peuvent aucunement avancer le fait,
qu'ils n'avaient pas mieux sous la main à
nous montrer.
Chacun ses goûts, mais
nous, qui aimons apprécier les "choses
mystérieuses", aurions plutôt choisi cette image
:
Sur cette vue précédente ,
on aperçoit donc un cratère
gigantesque de près de 6 km de diamètre et
du fond de ce cratère des
rainures strictement parallèles dont l'une se
prolonge nettement à l'extérieur
sur près de 5 km.(Voir image suivante:)
Mais ce qui frappe surtout
le regard, c'est une structure blanchâtre très
insolite sur le flanc gauche de ce cratère ayant des barres
parallèles, coupant à angle
droit un axe central, qui va du bord extérieur
jusqu'au centre de ce cratère. Vers le bas de cet étrange nivellement
apparaît quelque chose de plus bizarre encore, un
quadrillage notoire et plus à gauche, on
entrevoit une croix hélas, un peu flou que seule "la
photo d'origine" peut nous permettre de mieux
appréhender car notre scanner n'est pas assez performant pour être
bien fidèle. (Voir l'image plus contrastée suivante:)
Nous aimerions
cependant recevoir de la part des "spécialistes
de l'étude de planètes", une théorie ou même une
simple explication sur la nature du phénomène cosmique connu (volcanisme,
éraflures de météorites arrivant tangentiellement etc...) capables
de nous informer sur la nature hors normes de cette érosion notoire sur
Eros. Il n'est pas besoin d'être un géologue confirmé
pour se rendre compte que l'explication (comme le propose
l'auteur de l'article sur Eros
de la Revue "Ciel
& espace" n°239 D'Avril 2000)
de ces bizarres structures par la mise à jour (à cause d'une rupture
de l'écorce d'Eros qui ne serait qu'un morceau d'astéroïde, issu d'un corps
céleste plus important ), de strates
sédimentaires, ne tient pas du tout, (à notre avis bien sûr), en raison de
la luminosité ponctuelle du phénomène qui prouve que ce "remue-mènage" est très récent et surtout
très localisé.
Voici d'ailleurs, à ce sujet deux autres photos plutôt parlantes:
Pour agrandir l'image précédente veuillez SVP
cliquer:(ICI)
Pour agrandir l'image précédente veuillez SVP
cliquer:(ICI)
Les
détails de ces deux dernières photos doivent
être, bien sûr, mieux analysées sur les
originaux disponibles sur le site: http://near.jhuapl.edu
(21 Août 2000 et 18
Dec.2000) que nous a transmis
le 18 Fév. 2001
l'ami ufologue Christian
Macé.
Prolongement
révélateur en date du
05/04/01
En Avril
2001 cette même revue "Ciel
& Espace"
publiait dans son n° 371
une nouvelle photo de d'Eros (certes
un peu moins simpliste que celle du n°367 montrée plus
haut ), où
l'on aperçoit cependant, page 30,
tout de même, quelques timides rochers
(en anglais boulders)
à
peine décelables, alors que cette revue aurait pu sans problème choisir
au moins l'une des deux photos précédentes , à notre
humble avis, bien plus explicites. On
dirait que les rédacteurs ne tiennent pas à recevoir un courrier trop
gênant au sujet des anomalies caractérisées que nous avons
détectées sur Eros. Voyez
vous même la photo ci-dessous :
A vous de juger... Mais si vous
voulez des informations plus conséquentes sur les photos précédentes et
bien d'autres concernant Eros, prière de se reporter à l'adresse
relative à "remucos" ci-dessous
en fin d'article.
Autre photographie
d'Eros en date du 2/05/2001 que nous reprenons de notre article
"remucos".
Terminons notre éventail, par la photo suivante, où nous
avons placé quelques flèches pour mieux visualiser certaines
structures significatives :
En effet si vous scrutez
le bout de la flèche n°1,
vous apercevrez une structure très
insolite en forme T, qu'il faudrait surtout bien analyser, tant
elle est surprenante, ainsi
que d'autres structures qui se
trouvent en bout de la flèche n° 2 un complexe très extraordinaire de structures
où
règnent un bassin étrange ayant
des angles droits
et jouxtant
un ensemble de blocs insolites presque cachés
hélas par l'ombre formée dans grand cratère.
En suivant la
crête supérieure du paysage, les flèches 3 et 4 montrent
aussi très nettement deux
formations insolites formés de blocs très
structurés avec bords
apparemment parallèles. Le rocher au bout de la flèche n° 5,
lui, par la
projection de son ombre au sol, nous montre qui a une forme très
géométrique.
Il y a bien plus à voir dans cette
image (comme certains bassins rectangulaires ou
presque carrés, rainures parallèles etc...), que nous vous
laissons le soin de découvrir par vous même .
Des agrandissements fidèles et un traitement
informatique, faits par des spécialistes pourraient s'avérer, ici
, très
utiles pour révéler, enfin, ce que l'on nous cache depuis des lustres.
Avis aux amateurs.
Le 8 mai 2001 nous avons
reçu du spécialiste en traitement photographique :Yves
Vaillancourt l'agrandissement suivant :
Il est donc curieux que
cette structure très insolite ci-dessus, n'a jamais été
montrée en 3D par la Nasa et les médias spécialisés si avides
d'images chocs. Un grand merci donc à Yves
Vaillancourt pour sa remarquable contribution à notre
découverte d'Eros.
Nouveau prolongement
révélateur en date du
28/11/01.
Dans
son numéro n°379
de Décembre 2001 la
revue "CIEL
& espace" publie,
dans le cadre d'un dossier intitulé "Astéroïdes
la grande traque" sous
la plume de Jean-François
Haït, quelques rares
photos d'Eros plutôt banales, sans doute judicieusement choisies
pour éviter toutes questions inopportunes sur lesquelles nous
avons repérés cependant quelques détails insolites. Notons
d'abord qu'en interrogeant Robert
Farquhar directeur de la
mission de Near-Shoemaker, ce dernier nous apprend que
"La sonde Near a
survolé Eros à 2,7 km d'altitude à peine .
Cela nous a permis de prendre près de 160
000 photos à haute
résolution de sa surface sans compter les données des
spectrographes infrarouge, X et gamma qui nous renseigneront sur
la composition de l'astéroïde"
. Comme nous aimerions analyser quelques unes de ces photos qui
n'ont pas fait l'objet de publication sur Internet?
Mais
analysons maintenant, voulez vous, les
propos, page 48 de J-F Haït, au sujet de la surface
d'Eros: " Celle d'Eros
semble avoir été peu
altérée au cours de
ses pérégrinations..."
Alors là nous ne comprenons pas pourquoi la revue a choisi
justement de nous présenter cette
vue d'artiste d'Eros
criblée de cratères souvent alignés et dont le relief est
très accentué.(voir
l'image1 ci dessous :)
Notez bien que l'artiste a
représenté vers le haut , vers le milieu, une série de 3
crevasses longitudinales strictement parallèles encadrées par deux lignes
parallèles de plusieurs cratères équidistants. Regardez
également les zones légèrement blanchâtres sur la
droite, on y distingue en sous-plan des structures assez
surprenantes où règnent les angles droits et blocs parallèles.
Bravo donc à "l'inspiration"
de cet artiste.
Mais voyons maintenant
ce que nous révèle l'auteur du dossier sur les fameux boulders
(rochers blancs) cités
plus haut que l'on avait jusqu'àlors très peu vus
dans les articles de cette revue "Ciel
& et espace",
concernant Eros. "
Les images de Near-Shoemaker posent encore nombre de questions.
Par exemple pourquoi ces
rochers, résultats
d'impacts, et cette poussière à leur surface se trouvent-ils là
alors que la gravité d'un tel objet est aussi faible"
Donc
vous le voyez bien ces rochers souvent dressés verticalement
posent bien problème aux spécialistes de la revue qui ne voient
en eux que des résultats
d'impacts causés en
principe par le choc avec d'autres matériaux venus d'ailleurs.
Soyons sérieux cette hypothèse ne tient pas du tout la route vu
la netteté des structures de ces blocs. Mais voyons tout de même
ce que nous dévoile enfin cette revue à ce sujet: (voir
l'image 2 suivante:)
Notez bien
les ombres portées de ces blocs et les structures situées entre
les deux petits blocs blancs en haut à droite où règnent des
forment géométriques notoires. Notez aussi vers milieu du
bas de l'image un bloc à
bord indiscutablement parallèles
, hélas un peu voilé, mais dont nous aimerions bien
calculer la longueur si nous avions l'échelle de cette photo.
Enfin sur la
partie gauche de la photo d'Eros présentée, on distingue les
traces de cette poussière citée plus haut et ici elle prend des
formes géométriques particulièrement curieuses où règnent les
lignes orthogonales.
(Voyez donc l'image n° 3 suivante:)
Notez aussi les nombreux
rochers alignés et en forme de triangles en bas à gauche de
l'image.
Deuxième
volet.
Dans ce même n°367 de Déc. 2000 cette revue nous présente aussi une image que nous avons
vainement recherchée dans nos dossiers et que nous venons
de retrouver grâce à l'ingéniosité et
l'efficacité très active notre ami Roch Saüquere qui concerne les
retrouvailles entre l'homme et la machine sur l'Océan des Tempêtes sur la Lune. En effet les astronautes Charles
Conrad et Alan Bean, d'Apollo 12, auraient retrouvé le 19 Nov. 1969, la sonde Surveyor 3 qui s'était posée en douceur sur la Lune en 1967. Un des
buts de la mission étaient précisément de visiter ce qui restait de cette
sonde-robot et
d'y prélever certaines parties métalliques et en particulier la caméra.
Il s'agissait de vérifier l'état de conservation de ce
matériel, après deux ans et demi d'exposition aux
micrométéorites, aux radiations cosmiques, au vent solaire et
aux poussées thermiques allant de -180 ° à + 120°.
Le 19/11/01,
nous avons retrouvé dans le Paris Match n° 1073, que nous pensons être
du 18 Nov. 1969 (il manque la
couverture), cette portion de bande dessinée
réalisée spécialement par le grand dessinateur Hergé
pour Paris Match à l'occasion de l'arrivée d' Apollo
XII sur la Lune:
Vous avez bien noté
n'est-ce pas les termes employés: Elle est
maintenant "Ocre pâle"
et aussi : elle a été cuite
par le soleil. Où
sont donc passées les photos couleur en question de la de la Nasa ?
Décidément les anciens numéros de Paris Match possèdent des perles
d'informations très révélatrices à analyser méticuleusement.
Or
dans le numéro
1076 sorti le 20
Déc. 69 la
revue Paris-Match a
publié 10 pages
spéciales
détachables consacrées à l'épopée d'Apollo
12 sur la Lune en Nov.69,
pages spéciales que nous avons heureusement conservées et intitulées
"32
heures sur la Lune -D'Apollo
11 à Apollo 12, un formidable bond en avant
",
et où nous lisons le passage suivant:
" La rencontre des
explorateurs lunaires et du robot est un instant émouvant .
"Pour nous, il est
plus précieux que le plus beau diamant",
dit Conrad qui constate que la carapace du Surveyor parait avoir
été cuite par les 120 ° du midi lunaire.
Ensuite Bean et Conrad détachent la caméra de Surveyor, des
câblages, un panneau de verre et la main du bras articulé du
robot. Avant de partir, ils photographient (ci dessous) les
trois traces de pieds de Surveyor, le 17
Avril 1969, lorsqu'il
rebondit avant de s'immobiliser sur le sol lunaire. Elles annonçaient
l'empreinte historique
des pas d'Armstrong en juillet dernier..."
Vous avez bien noté l'expression "avoir
été cuite" et
aussi l'expression "annonçaient
l'empreinte"
que nous préférons ici remplacer par l'expression
"corroborait
l'empreinte".
Voici donc la
photo en question retrouvée par l'ami Roch:
Voici
donc la photo que nous avons du pied de Surveyor :
Comme
vous le voyez, les photos de ce Paris-Match montrant l'astronaute qui touche Surveyor
3, et le pied de ce
dernier ont de superbes couleurs que ne nous montre
pas bizarrement
la photo en noir en noir
et blanc de
la revue"
Ciel & Espace"
de Déc. 2000 en
question. Voici cette image :
Vous retrouverez
également ces photos sur les sites de la Nasa où les
couleurs jaunâtres, brillent par leur absence.
http://nssdc.gsfc.nasa.gov/imgcat/html/mission_page/EM_Apollo_12_page1.html
http://nssdc.gsfc.nasa.gov/imgcat/html/mission_page/EM_Apollo_12_page2.html
Donc, il semblerait que les
photos précédentes en couleur de Paris-Match
n'existent pas et c'est pourquoi cette revue
"Ciel et espace",
qui aurait, nous l'admettons tout de même, les moyens
de retrouver le cliché
d'origine en couleur de cette photo, ne l'a pas présenté et
il est
ahurissant de constater que c'est Paris-Match qui a
volontairement "colorisé"
son cliché "pour faire mieux".
Donc comme vous le voyez "le choc
des photos'" est plutôt bidon ici . Mais
cette histoire de Surveyor (qui
aurait été cuit par les 120 degrés lunaire) est-elle
aussi "bidon"
??. Un tel événement mérite tout de même que l'on s'interroge
à son sujet, mais la revue "Ciel
& espace" a oublié, hélas, de nous en
parler.
Nous avons d'ailleurs, retrouvé
cette photo noir et blanc de Surveyor 3, dans une ancienne revue américaine
intitulée "People Press UFO Report"
dans son n° de Mars 1975:
Voici cette photo:
Comme le papier de cette revue
avait la même qualité que le papier journal,
il est évident que la photo ci-dessus est moins lumineuse que celle de
la revue "Ciel et espace",
mais cependant 25 plus tard,
cette revue ne nous apprend rien de plus
aujourd'hui sur ce "jaunissement
notoire", pourtant insolite révélé
par le Paris Match en question. Affaire à suivre donc. Aux
spécialistes de répondre."Surveyor
a t'il vraiment subi
un changement de couleur insolite
après ses deux années de séjour sur le sol lunaire
et pourquoi exactement? S'agit-il
d'une "oxydation"
que l'on veut cacher ?
"
Nous notons en passant
d'après Paris Match, que Surveyor 3 a bien
rebondi sur le
sol lunaire en laissant des traces de pieds très nettes et
profondes dignes d'un sol argileux
(voir justement la photo couleur de
Paris-Match ci-dessus) et peu
compatible avec un sol poussiéreux ou sablonneux grillé ou durci
par les conditions extérieures extrêmes qui règnent sur le
sol de la lune et que nous avons déjà mentionnées plus haut
(radiations cosmiques, vent solaire et
aux poussées thermiques allant de -180 ° à + 120°.)
On
se souvient en effet que malgré ses 16
tonnes, le Lem (Lunar
Excursion Module) n'avait,
lors de "l'alunissage",
pour Apollo 11,
aux abords de ses pieds, montré, chose étonnante, aucun
glissement ou ripage, sur
le sol lunaire, comme on le voit pour Surveyor 3. (Voir
à ce sujet la photo de la Nasa AS11-40-5902
que l'on peut analyser page 36 du livre de Philippe
Lheureux: "Lumière
sur la Lune" aux Editions
Carnot Nov. 2000.)
A vous de
vous faire une opinion, et de poursuivre vos recherches là-dessus.
Troisième Volet
Dans
ce même n°367 de Déc. 2000 de "Ciel &
espace" nous avons de plus eu droit à la présentation, sans
explication, d'une
des photos les plus surprenante des missions
lunaires, où l'on aperçoit, parait-il, l'astronaute
Conrad
circulant
sur le sol de l'Océan des Tempêtes, les bras chargés
d'appareils formant un laboratoire Lunaire de près de 200kg et
coûtant la bagatelle de 25 millions de dollars et qui comprenait un
sismomètre, un appareil de mesure de poussière, un magnétomètre,
un spectromètre, une analyseur d'ions et un instrument destiné à
l'étude des éventuels gaz très raréfiés qui s'échappent encore
de la croûte lunaire et qui formerait une atmosphère dont la
densité est soit disant bien plus basse, dit-on, que le
meilleur vide jamais réalisé sur Terre. Voilà donc cette photo:
Comme vous pouvez le remarquer
cette photo présente une superbe diffusion des rayons lumineux
du soleil, diffusion qui ne s'explique que par la présence d'une
épaisse atmosphère et non pas seulement par la diffraction de
ces rayons lumineux au travers du verre de l'objectif de
l'appareil photographique, comme on l'a si vite dit pour se
débarrasser du problème. Pour ceux qui doutent encore qu'il y
ait une atmosphère sur la Lune, voici un communiqué publié en
Nov. 1995, par la revue "Sciences
et Avenir" qui a pignon sur rue en matière
de vulgarisation scientifique:
Mais il y a de plus sur
cette photo extraordinaire la présence de deux
sources lumineuses totalement inexpliquées qui ont
eu pour effet de plonger dans la plus grande perplexité, tous
ceux qui s'interrogent vraiment sur les
tenants et les aboutissants de l'épopée lunaire et
sur les "cachotteries de la Nasa".
De plus ces deux sources lumineuses bizarres ont été gommées
comme par enchantement, sur la même photo en couleur page 66 de
même Paris-Match n° 1076 de Déc. 69. Alors, Bravo tout de même
à la revue "Ciel et espace"
d'avoir eu l'audace de monter ces sources lumineuses, pourtant
bien gênantes, puisque le "choc
des photos" n'a pas été en 69, assez
puissant, pour que Paris-Match
veuille nous les montrer.
A vous de juger tout cela !!
Vous avez la parole:
Atmosphère ou pas sur la Lune ?...
III Conclusion
Une fois
de plus, nous voyons que l'information qui nous arrive,
par les médias, subit souvent une "distorsion
relative", qui est discutable à tout moment
et qui nous montre bien que l'on ne nous dit pas tout (surtout
au sujet de ce qui est gênant).Nous
pensons aussi fermement, que ce n'est pas pour rien que la Nasa
s'intéresse à ce rocher Eros et que l'on ne dépense pas des millions
de dollars pour simplement aller gratter le sol d'un gros caillou. Nous
espérons que les "vraies photos qui
posent problème", sur Eros ne seront
pas encore une fois, camouflées par ceux là même qui devraient les
mettre en exergue. Nous avons d'ailleurs dans notre article intitulé
"remue-ménage cosmique"(voir
l'adresse à "remucos"
ci-dessous) explicité grandement,
quelques interrogations substantielles sur la question.
Il
n'empêche que nous avons noté dans ce numéro de
Déc. 2000
de "Ciel &
espace", (
qui mérite donc bien le
qualificatif d'exceptionnel,
vu les interrogations qu'il nous a permis de soulever ),
des informations
révélatrices très
utiles et même péremptoires. Nous avons apprécié, par
exemple, l'évocation succincte, page
38, de l'un des
événements cosmiques, les
plus inclassables, survenu
en Sibérie le 30 juin
1908 et que
notre ami le Dr Fabrice
Bardeau, a bien voulu
développé plus amplement sur notre site aux adresses
suivantes:
http://perso. wanadoo.fr
/artivision/docs/barsiber.html
ou
http://www.chez.com/idylle/docs/barsiber.html
Il y a
aussi cet article page 42,
intitulé "Comment
Tintin est-il allé sur la Lune",
où l'on fait un utile rappel sur l'ouvrage
d'Albert
Ducrocq
prénommé :
"L'humanité
devant la navigation interplanétaire
" et édité en Octobre
1947
par CALMANN-LEVY
Editeurs dans la collection "Science
et Humanité"
dirigée par Roger Simonet.
En effet cet ouvrage,
que nous gardons précieusement avec une certaine nostalgie, car
il nous avait été offert, il y a bien longtemps déjà, à la distribution des prix en
terminale, et qui résume toutes les connaissances astronautiques et
planétaires de l'époque, nous sera en effet fort utile, quand nous
allons parler de certains "contactés",
qui ont osé contredire "les
certitudes de leur temps"
et par delà leur époque
même, celles que nous affirmons actuellement.
A
bientôt donc sur le Web...
Si vous voulez plonger dans
d'autres mystères planétaires, cliquez s.v.p sur les articles d'Artivision ci-dessous:
http://perso. wanadoo.fr
/artivision/docs/myslune.html
ou http://perso. wanadoo.fr
/artivision/docs/match.html
ou http://perso. wanadoo.fr
/artivision/docs/luneorth.html
ou http://perso. wanadoo.fr /artivision/docs/mars.html
ou http://perso. wanadoo.fr
/artivision/docs/mercure.html
ou http://perso. wanadoo.fr
/artivision/docs/remucos.html
ou http://perso. wanadoo.fr
/artivision/docs/Nasajury.html
ou http://perso. wanadoo.fr
/artivision/docs/lettreouverteSA.html
ou http://perso. wanadoo.fr
/artivision/docs/lettreouverteSVJ.html
ou http://perso. wanadoo.fr
/artivision/docs/Gille.html ou http://perso. wanadoo.fr
/artivision/docs/RoseC.html
Si vous voulez plonger dans
d'autres mystères planétaires, cliquez s.v.p sur les
adresses de sites ci-dessous:
http://www.multimania.com/autocoup/lune4.html/
ou http://www.cryogen.com/heliord/
ou http://www.multimania.com/sapiens/
PS. Le
jeudi 15 février 2001,
l'Agence France Presse publiait le
communiqué suivant enfin relayé
par France-Antilles:
ESPACE
La sonde NEAR toujours en service
La NASA a
décidé Mercredi de prolonger de dix jours la vie de la sonde NEAR
Shoemaker, qui s'est posée lundi sur
l'astéroïde Eros, afin de tenter d'engranger une moisson supplémentaire de mesures sur ta
composition du sol de l'astre, a annoncé l'agence spatiale américaine. Après un long voyage de cinq ans, dont une année en orbite autour de l'astéroïde, et 3,2 milliards de kilomètres parcourus, la sonde
NEAR a en effet survécu à son atterrissage sur
Eros, une
manœuvre jamais tentée auparavant dans l'histoire de la conquête spatiale.
Posée sans dommages sur cette petite planète morte en forme de pomme de terre oblongue d'environ 33 kilomètres de long sur l3km de diamètre,
NEAR est toujours en communication avec le centre de contrôle.
Fin du communiqué.
Article mis en page le 12/02/01 et revu le
25/10/01et aussi le 6/12/01.
IDYLLE
Fred
fred.idylle@wanadoo.fr
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