Cosmogonie
ésotérique
D'après une comogonie
très ésotèrique, la
vie n'est pas née par accident sur cette Terre comme l'affirme les plus grands astronomes.
l'Humanité s'est manifestée bien des fois, ailleurs que
sur cette planète qui n'est qu'une infime poussière de
la Création Ordonnée de l'Unique Infini où
reignent des lois cosmiques et qu'il convient de
connaître et de respecter. Longtemps avant même que le
système solaire fut en formation, il y avait des voyages
interplanétaires à l'intérieur des systèmes et entre
ceux-ci. Quand une planète est arrivée au stade qui permet qu'elle
devienne habitable par l'homme, des volontaires qui le désirent
en général, sont déposés sur la
planète avec tout l'équipement nécessaire. Mais pour
la Terre, il y eu d'abord un premier essai qui échoua. Les rares individus de la race originelle Tritéria qui ne voulurent pas repartir vers d'autres
cieux furent tous décimés. Il n'en reste aucun souvenir
dans nos mythologies, si ce n'est dans celle qui parle du Dieu Triton. Des siècles plus tard, les conditions de vie s'amèliorèrent, mais la Terre ne possédant qu'une
seule lune, ce qui créait un état naturel de
déséquilibre et à moins qu'une deuxième lune, dans
une ère future, apparaîsse, on décida d'attendre
encore avant de la peupler à nouveau. Mais même si la race
humaine, dans son ensemble, préfère vivre en paix et en harmonie
avec la création, ici et là, quelques uns laissent croître leur égo personnel
et leur agressivité en devenant avides d'assumer le
pouvoir. Ces sinistres individus sont à l'origine des
guerres meurtrières et dévastatrices qui détruisent
l'environnement. Aussi lors d'une réunion des Maîtres de la Sagesse Cosmique en un lieu, sans doute paradisiaque, il fut décidé de conduire ces égoïtes des
différentes planètes sur une planète capable de
maintenir la vie humaine. On ne pouvait en effet, ni les
détruire ni les enfermer car ceci est contraire à la Loi
Cosmique. Et, on pourrait déjà s'en douter, c'est
la Terre qui fut choisie.
Ainsi "ces fauteurs de troubles" furent rassemblés dans des vaisseaux et
transportés sur notre planète, sans équipement ou instrument d'aucune sorte
que l'on donnait habituellement aux volontaires. Là, sur
ce nouveau monde, ils allaient devoir se servir de leurs
connaissances et trimer durement pour utiliser uniquement
ce que la nature leur offrait. Tout cela dans le but de
les obliger à développer leurs propres talents et
surtout la vertu de la solidarité et de l'harmonie.
Voici la véritable origine des "douze tribus et des anges
déchus" de la
Genèse et qui furent des humains qui tombèrent de la
haute condition d'une vie céleste, à la dure réalité
de la vie terrestre.
Cela ressemble à de la haute science-fiction, n'est-ce pas. Mais l'auteur de ce texte affirme qu'il ne contient que des paroles véridiques. Vous trouverez ce texte dans le livre de G.Adamki intitulé en anglais "Inside the Space Ship" de 1955 et publié aussi en 1979, en
français, par Michel Moutet Editeur sous le titre
"A l'intérieur des vaisseaux de l'espace".
Voir alors nos articles :
Cette thèse, chose
extrordinaire, est pourtant totalement confirmée par une autre
source apparemment différente et venant d'une française
nommée Rose C., et dont les origines
très modestes, nous permettent de prévoir, à
l'époque, que les extraordinaires informations, qu'elle
nous dévoile, n'ont aucune connexion avec la
précédente.
Voir alors nos articles :
Fred IDYLLE
Aussi en souvenir de cette
épopée, voici un petit sonnet sans prétention, que ne
désapprouveraient peut-être pas, tout à fait, les
poètes de la Pléiade.
Sonnet
Réclusion
Cosmique
Extasiés,
ils sortaient de l'Héliosfusée,
Qui les
avait exclus de la belle planète,
Que,
toujours guerroyant, ils avaient bien usée,
Détruisant
toute chose par leurs coups malhonnêtes.
ILs
foulaient plein d'ardeur, ce sol presque moelleux,
Caractéristique
de l'impétueuse vie,
Qui avait
déjà fui, de leur berceau fielleux,
Et que
certains voulaient, d'une insatiable envie.
Mais
déjà, quel affront, par des actions stériles,
Ils
s'enfermaient à clef, dans leurs mornes chimères,
Reprenant
sur la Terre, leurs sinistres colères.
Et
refusant encore, cette paix si utile,
Ils se
mouraient flétris, par une angoisse amère,
Quand je me
réveillai, de mon songe éphémère.
-------------------------------------------Eddy Filler
Article mis en page le 18/02/1998, puis revu le 15/07/2001, puis le 30/05/05, puis le 22/02/08.
fred.idylle@orange.fr
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