L'incroyable
aventure de Rose C.
I Introduction
Rassurez-vous, il ne s'agit
pas de la "Rose
Calvert" du fameux film "Titanic" de
James Cameron, qui a su si bien
nous faire revivre, en
1998,, une tragédie
mémorable. Nous avons attendu cependant bien longtemps
avant de lancer sur le Web, l'histoire qui va vous être
contée ici, car elle est si fantastique, qu'elle
dépasse de loin tout ce que vous pouvez imaginer en
matière d'aventures et d'enseignements cosmiques.
Mais il faut désormais faire vite, si l'on apprend que
la principale intéressée de l'histoire aura 72 ans en l'an 2000 et que les gens qui l'on connue jeune femme, ne
doivent plus être bien nombreux pour confirmer les faits
inimaginables de cette histoire, dont on trouve pourtant
des corrélations remarquables dans la théorie révolutionnaire,
la plus avancée, jamais émise,
de deux savants soviétiques : Mikhail Vasin et Alexander
Chtcherbakov et dont
l'hypothèse a été cependant formulée dès 1968 par Jean SENDY (à
qui nous rendons ici hommage)
à la page 110 de son livre "La Lune clé de la Bible" paru chez Julliard.
Rose C. pouvait-elle connaître, cette théorie en Juillet 1970, année où le magazine Spoutnik
la publia pour la première fois en russe ? Rose C.
A-t-elle parlé de son aventure ( du 10 Avril 1952) à quelqu'un d'autre avant 1970 ? A-t-elle
aussi pu lire le livre de J. SENDY en 68 ? Seules les
personnes l'ayant connue entre 52 et 68 peuvent nous le confirmer. Si l'on pouvait en trouver une seule, cela serait une preuve avancée
que tout cela n'est pas de la Science Fiction.
L'ésotériste bien connu Guy Tarade qui a
préfacé le Livre publié sous le titre "Rencontre avec les
Extra-terrestres" de ROSE.C
aux Editions du Rocher au début de
1979 et racontant l'histoire qui
résumée ci-dessous, prétend avoir connu Rose C depuis "plusieurs années" et pourrait donc confirmer notre interrogation,
s'il lui arrivait de rentrer dans notre site, qui est
d'ailleurs un forum
ouvert où chacun doit apporter sa
petite pierre. Le Web sert avant tout à cela. Nous invitons donc toute personne ayant des
informations à ce sujet de nous en faire part, car il y
va de notre saine
recherche de la vérité et
même vous allez vous en rendre compte par la suite, de notre meilleure
compréhension de notre Univers.
II La genèse de l'
affaire.
C'est le 10 Avril 1952, on le sait déjà, que Rose qui avait 24 ans, à l'époque, ayant confié sa fille en
vacances, à ses beaux parents, et sur les conseils de
son père, quittait sa maison de la banlieue nîmoise
(après avoir fait quelques provisions pour deux ou trois
jours et acheté un catalogue de mode ) pour se rendre,
accompagnée, chose d'une importance capitale, de deux chiens, avec sa bicyclette, à quelques kilomètres de
là, dans une petite habitation familiale provençale où
se dressaient deux constructions, le grand et le petit
"mazets". En Provence, on nomme un "mazet", une petite construction, perdue dans la
garrigue, et ne comportant qu'une seule grande pièce
avec une cheminée, un évier ainsi qu'un mobilier très
sommaire (placard, lit, table, chaises). Pour atteindre
sa destination, Rose devait quitter la route nationale,
puis emprunter des sentiers escarpés et sinueux. Après
deux bonnes heures de marche, en poussant son vélo, elle
arriva vers une heure de l'après midi. Les chiens
tiraient la langue et Rose alla immédiatement leur
chercher de l'eau au puits. Après s'être installée au grand mazet et avoir nourri les chiens , Rose se cassa une
petite croûte se reposa un peu, puis se rendit au petit mazet longtemps fermé, où elle devait récupérer
la laine d'un vieux matelas pour en faire des paquets
afin d'en reconstituer un plus grand pour sa fille à
Nîmes. Poussière, toiles d'araignées et crottes de
rats, s'étalaient un peu partout, mais le vieux matelas
était là enroulé dans une bâche protectrice. Rose
l'inspecta un peu et aussi les environs feuilleta un peu
son catalogue, mais comme il se faisait déjà un peu
tard pour commencer à défaire le matelas, elle décida
de regagner le "grand mazet" en
abandonnant sur une vieille commode le catalogue et
verrouilla d'un tour de clef la porte et plaça la clef sous une
pierre plate non loin de là.
Arrivée au Grand Mazet, la
nuit tombée, elle alluma deux bougies, installa une
vieille couverture pour les chiens sous la table, ferma
volets et portes et se glissa dans le vieux lit pour
goûter d'un repos bien mérité.
Combien de temps a-t-elle
dormi ?; elle ne saurait le dire, mais elle fut
réveillée par le
grognement et l'agitation des chiens, grattant la porte avec leurs pattes pour
sortir. Rose pris sa lampe de poche, se rhabilla
rapidement et pensant qu'il s'agissait un couple de
lapins passant à côté , elle décida d'entrouvrir la
porte, ce qui permis aux chiens de se faufiler l'un
derrière l'autre et de filer en direction du "petit mazet" et ils disparurent dans la nuit.
Ne les voyant pas revenir, après un bon bout de temps,
Rose après bien des hésitations, se décida à aller
voir en se disant que le petit mazet n'avait vraiment
rien qui puisse attirer un voleur, et comme elle
connaissait chaque petit recoin du terrain, elle pourrait
toujours se cacher quelque part pour observer ce qui se
passait.
Saisissant sa lampe de poche et son
imperméable, elle sortit
furtivement en évitant le moindre bruit. En s'approchant
d'un petit mur , elle se redressa un peu, sur la pointe
des pieds afin d'essayer de distinguer quelque chose,
quand soudain, elle fut éblouie par un éclair de lumière blanche qui illumina tout autour d'elle en un fraction
de seconde. A peine avait-elle repris ses esprits qu'une
voix murmura tout près d'elle:
" Que
faites-vous ici ? "
"Et vous même
?" répliqua-t-elle
en regardant dans la direction de la voix, où elle
distingua alors un
homme de taille normale,
d'environ 1m70, vêtu de sombre et qui n'avait manifesté aucun geste d'agressivité.
"Elle est bien bonne
celle-là! Je suis ici sur mes terres et c'est à moi de
demander ce que vous y faites à pareille heure !"
. Poursuivit-elle.
Les chiens reconnaissant la
voix de leur maîtresse, arrivèrent en jappant et
repartirent aussitôt, mais un bruit d'herbe foulée se
fit entendre derrière Rose qui en se tournant eu la plus belle frayeur
de sa vie. Un être
gigantesque de
2m30 à 2m40, se tenait près
d'elle et l'attrapa
par le cou avec des mains énormes sans trop serrer, ni lui faire de mal. Puis il
la relâcha en prononçant quelques mots dans une langue
inconnue en direction de l'homme normal qui déclara:
"D'après lui, vous
avez très peur. Il ne faut pas. Nous n'avons pas
l'intention de vous faire du mal. Ne craignez-rien."
Malgré ces paroles
rassurantes, Rose fut
liquéfiée de frousse et
fut incapable, ni
de répondre, ni de crier, ni même de bouger. C'est alors qu'arriva un autre géant, qui dialogua dans cette même langue, avec les
deux autres. Et l'homme normal reprit:
"Surtout
rassurez-vous, vous n'avez rien à craindre de nous ,
nous sommes pacifiques. Mes amis demandent, si vous
n'aviez pas quelques vieux livres à nous donner ?
N'importe quels livres...".
"Je possède quelques
livres, mais ils sont en mauvais état." dit Rose péniblement.
"Voudriez- vous avoir
l'amabilité de nous les donner? Ce serait un immense
service que vous nous rendriez là !
Un immense service pour
vieux livres dévorés par les rats!... Cela fit sourire
Rose et tout en tremblotant, elle se posa la question de
savoir qui étaient ces gens, d'où venaient-ils pour
réclamer une chose aussi insolite ? Alors ces livres ? dit à nouveau l'homme normal qui avait de la
suite dans les idées.
"Ils sont dans ce
mazet. Allons-y, si vous y tenez tellement ?" répliqua Rose.
En se dirigeant vers le bâtiment du petit mazet, un autre géant apparu et chose bizarre les chiens allèrent à lui en remuant la
queue, comme s'ils avaient
l'habitude de rencontrer des géants à tous les coins de
rues.
"Mais enfin , qui
êtes vous donc ? D'où venez-vous? Comment êtes-vous
venus jusqu'ici ?" interrogea
Rose.
"- Nous venons de
la-haut" dit l'homme
moyen en désignant le ciel.
" -Vous venez de la
Lune ?" répliqua Rose
qui s'aperçut en regardant vers le ciel que c'était la
pleine Lune.
"Pas du tout, nous
venons de beaucoup plus loin."
-Vous êtes des
martiens ? demanda Rose...
"Nous ne
venons pas de Mars ! "
fut la réponse.
-Mais
enfin comment êtes-vous venus jusqu'ici. ?
"Avec ça.!.." dit l'homme normal en braquant un court
instant, le rayon d'un appareil (sans doute une lampe) sur un coin du terrain.
Mordious! fut le juron provençal de Rose, qui lui
demande à voir un peu mieux. La lampe s'alluma de
nouveau et Rose pu apercevoir suffisamment, une sorte d'énorme chose
circulaire, d'un gris mat,
ressemblant à de l'ardoise, et ayant la forme d'un immense
canotier, en suspension à environ un mètre
du sol, sans support.
"Alors ces
livres ?" réclame
encore l'homme qui décidément y tenait . Rose
récupéra la clé sous
la pierre plate et ouvrit la porte.
L'homme normal projeta le rayon de sa lampe à
l'intérieur et entra le premier. Rose le suivit et
pensait que les grands resteraient dehors. Mais ils
entrèrent aussi en se baissant considérablement, ce qui
fait que le petit mazet était plein à craquer. La lampe éclairait comme en plein jour et
Rose en profita pour jeter un clin d'œil sur ses
étranges visiteurs . Les grands avaient la peau brune et
ressemblaient plutôt à des hindous non faméliques, mais bien en chair. Ils
étaient tous vêtus d'une sorte de combinaison d'homme
grenouille, avec aux pieds des sortes de pataugas. Ces
pieds mesuraient au
moins du 60. L'un des
géants avait planté sur le front, une moitié de bille de
verre noir et
autour de son coup pendait une courroie à laquelle
était accrochée à la hauteur de l'estomac, une boîte noire avec
des boutons multiples.
"Mais pourquoi
parlez-vous français, et pourquoi n'êtes-vous pas aussi
grand que les autres?" interrogea
Rose en s'adressant à l'homme normal, et c'est là que
notre histoire prend une tournure très
particulière:
- Mais tout simplement,
parce que je suis français, et je suis avec eux depuis
20 de vos années terrestres. Une nuit que je marchais
dans la campagne, je les ai rencontrés et je vis depuis
dans leur monde à eux.
- Mais vous étiez un
enfant alors, car vous paraissez à peine agé de 30 ans
!
- J'avais 25 ans.. dit -il.
Rose fit un calcul
élémentaire 25
+ 20 = 45
-Vous n'avez pas 45 ans !
en tout cas, vous n'en avez pas l'air!
- Mais je ne les ai pas.
Le temps ne compte pas pour nous comme pour vous !
Rose n'en revenait pas et
était plutôt éberluée. On n'en serait à bien moins,
surtout si l'on n'avait pas plongé dans les méandres de la théorie de la
relativité d'Einstein, peu divulguée à l'époque.
- Que venez-vous chercher
ici ? demanda Rose en
faisant croire qu'elle comprenait cette notion du "temps élastique".
- Regardez vous même,... dit-il en lui présentant le contenu d'un sac
que portait l'un des grands personnages. Et Rose
aperçut, des repousses d'oliviers, d'amandiers, de thym,
diverses feuilles et des pierres etc...
- Mais cela ne vaut pas un
si long voyage! répliqua
Rose.
- Mais si...; nous
récoltons les mêmes choses en plusieurs endroits de la
planète. Cela nous permet d'évaluer les dégâts
occasionnés par les bombes que vous avez fait exploser
au Japon, il y a 7 de vos années !
- Mais ce n'est pas nous, ce sont
les américains !
- Pour nous, c'est quand même vous
! Sur le moment, Rose fut
bien vexée, mais 25 ans plus tard après la valse des
bombes atomiques, (celle
soviétique, déjà le 29/08/49 et Rose l'ignorait), puis anglaise quelques mois
après son aventure(3/10/52), puis française (13/02/60), puis Chinoise (15/10/64) etc...
elle dû alors convenir qu'il avait raison.
Rose ouvrit alors une
vieille armoire remplie de bric à brac, de toiles
d'araignées et où madame rat avait installé sa famille
au grand complet. Elle se sentit obligée de révéler à
ces étranges visiteurs, qu'elle ne vivait pas dans cette baraque, mais qu'elle habitait une jolie maison
ailleurs. Puis elle sortit quelques vieux livres couverts
de poussière dont l'un était gros et épais :"le Comte de Monte
Cristo" d'A.
Dumas. Elle souffla sur le paquet pour chasser un peu la
poussière et l'offrit à l'homme normal, ainsi que des
vieux journaux et le catalogue tout neuf qu'elle avait
acheté la veille, car "le français" lui
demanda poliment s'il pouvait aussi l'emporter. Seuls les
débris du livre "les Misérables de V. Hugo" que les rats avaient vraiment
massacré, restèrent dans le placard.
C'est alors que Rose pour
faire croire qu'elle allait nétoyer le coin, dit qu'
elle détruirait les rats le lendemain. Et la réponse la
fut :
- Vous ne devez pas tuer
ces animaux, laissez-vivre !
Rassurée, Rose, qui
évidemment ne l'aurait pas fait , reprit:
- Je ne les tuerai point, mais au contraire
je vais leur porter du pain ! Et la réponse fut:
- Vous ne devez pas leur
porter de la nourriture. Ce sont des animaux habitués à
se suffire à eux même, les nourrir les rendrait
tributaire de vous; laissez-les se débrouiller seuls.
Rose pensa, "Il ne veut pas que je les
tue, ni que je les nourrisse. Quel drôle de type "
. Mais des années après, elle
allait comprendre ce que cela voulait dire. (L'écologie a en effet pris de l'essor depuis.)
Mais une question brûlait
ses lèvres :
-Vous avez pas pensé à
votre famille, quand vous êtes parti avec eux ?
- Je n'avais pas de
proches parents . Personne n'a dû s'inquiéter pour moi,
à part peut-être mes élèves car j'étais instituteur.
Voilà donc une révélation
intéressante, car il ne doit
pas y avoir beaucoup d'instituteurs qui ont disparu brusquement en 1932, sans que l'Education Nationale ne
s'en trouve informée. Donc voilà une piste à vérifier, et
nous invitons donc les internautes qui ont les moyens de
faire cette recherche, de se faire connaître au plus
vite. Merci d'avance).
La suite du dialogue va maintenant prendre une tournure tout à fait
exceptionnelle.
-Vous n'avez jamais
regretté d'avoir quitté la Terre ?
- On a tout à gagner à
la quitter, savez -vous ? Rose
sur le moment ne saisit pas bien le contenu de cette
affirmation.
-Voulez-vous venir avec
nous ?
Rose se mis de nouveau à
prendre peur en pensant qu'ils pourraient l'enlever dans leur machine
diabolique. Elle revit en pensée, son père âgé et sa fille toute blonde et
répliqua :
- Je veux rester ici !
A ce moment là, le géant à la bille
s'adressa à l'instituteur qui demanda à Rose:
- Il veut savoir qui est
le vieil homme et qui est l'enfant ?
C'est ainsi que Rose
s'aperçut que ce géant au moins, était un parfait télépathe. Elle leur expliqua donc les détails de sa
famille et tout
aurait pu s'arrêter là, si
Rose n'avait pas constaté que les chiens se tenaient gentiment aux pieds du géant à la bille qui semblait être le chef du groupe.
-Vous avez l'air d'aimer
les chiens, en avez-vous là-haut ? demanda innocemment Rose
-Tout ce que vous avez sur
Terre, nous l'avons aussi, car ce sont leurs lointains
ancêtres qui ont tout amené. Seulement tout est plus
grand. Ainsi les chats ressemblent à de petits tigres et
les arbres sont immenses . Même les hommes descendent
d'eux...
- Impossible! sur Terre, il n'y
nulle part des hommes aussi grands que ceux là !
- Mais parce qu'au fil des
générations, tout a rapetissé .
- Mais dans ce cas
pourquoi avoir forcé des hommes à vivre dans un lieu
qui les diminuait ? demande
Rose en ironisant.
- Cela n'a pas toujours
été ainsi. Préparer cette planète à recevoir la vie
n'a pas été aussi simple ! Il fallut ensemencer afin de
créer, puis amener une atmosphère, puis amener des
animaux et ce fut un travail de longue haleine. Ce n'est
que plus tard qu'on déporta les hommes, car ces derniers
n'étaient pas n'importe quels hommes ! Sur terre quand
vous punissez les voleurs, les bandits, les assassins,
vous les mettez soit dans des prisons, soit dans des
bagnes, bref, en des endroits où sans liberté, les
punis sont à la charge de la société laborieuse; Eux,
ces géants qui nous ont envoyé, ils ont résolu le
problème en aménageant une planète pour les punis. Ils
les déportaient donc après qu'ils eussent été
amputés d'une partie de leurs connaissances, ensuite ils
les laissaient libres , n'étant à la charge que
d'eux-mêmes. D'eux seuls dépendait alors leur survie.
Vous descendez-de ceux là !
Vexée d'apprendre qu'elle
descendait de
bagnards, Rose répliqua
immédiatement "Vous
aussi, il me semble": "Exact" fut la réponse.
- Et tout cela n'est rien ,
le plus dur pour eux fut d'amener un satellite convenant
à cette planète.
- Un satellite, vous
voulez dire une lune ?
- Exactement, et ce ne fut
pas si facile ! il y eu une erreur sans doute dans le
choix de cette lune, car un jour en amenant une cargaison
de punis, ils tombèrent sur des géants, trois plus
grands qu'eux, et la flore et la faune avait subi elles
aussi la même transformation. Beaucoup plus tard, le
satellite s'écrasa sur la planète, et il s'écoula du
temps, avant qu'ils puissent en trouver un autre qui
convienne à la Terre; Ils le découvrirent pourtant dans
un autre système solaire et le ramenèrent sur l'orbite
où vous pouvez le voir aujourd'hui".
Nous arrêtons ici la narration de cet incroyable aventure afin que vous cherchiez à vous
procurer le livre de Rose C, si
vous avez encore la
chance de tomber dessus, car ce
n'est pas le genre d'ouvrages que les médias aiment à
mettre en exergue puisqu'il défie notre plus élémentaire logique. (Notons en passant que ce scénario de "la Terre bagne-cosmique" est décrit d'une manière quasi
identique dans le livre de G. Adamsky "Inside the Space
Ships" de 1955
et traduit en français en Mai 1979 sous le
titre "A
l'intérieur des vaisseaux de l'espace" Chez M. Moutet. page 92)
De plus, il est nécessaire
que vous puissiez apprécier
l'humour continuel et provençal qui se dégage du livre
de Rose C et pour terminer,
nous vous dirons seulement que Rose n'était pas au bout
de ses surprises, car
en plus de la télépathie, elle connue aussi la téléportation de la
pierre plate, de la clef du petit Mazet et d'elle
même. Elle apprit que leur Lune est trois
fois plus grosse que la notre,
prit une sévère leçon sur notre éducation scolaire,
sur notre prétendue
connaissance historique, sur le
fait que tous les 12000
ans environ la Terre subit un cataclysme déclenché
par la bêtise des hommes et que
nous sommes bien mal partis, si nous continuons dans la
même stupide voie. etc... et enfin qu'à cause
d'expériences similaires, la Terre a subi un cataclysme
épouvantable, il avait exactement 11357 ans (en partant de 1952 bien sûr).
Rose a été profondément
affectée par son aventure, mais aujourd'hui, elle pense
encore, à toutes
les questions qu'elle aurait pu poser à ces visiteurs
hors normes, comme par exemple
simplement de demander à l'instituteur quel était son nom et dans
quelle école, il travaillait,
ce qu'il n'aurait pas hésité à dire, vue la gentillesse dont il a
fait preuve. Mais en 1952 nous n'avions pas les mêmes
préoccupations qu'aujourd'hui.
Cependant Rose a gardé une preuve irréfutable de son incroyable aventure: En recevant
certaines radiations quand les visiteurs l'ont touché de
près et après qu'ils s'en sont allés, Rose ressentit un vague raidissement dans toute la longueur de son annulaire droit, et deux mois après elle
s'aperçut avec effroi que son annulaire droit avait grandi et sa main se trouvait avec deux majeurs, ce qui à notre connaissance, est probablement
unique dans
l'histoire de la physiologie humaine.( Voir image ).
De plus, il y avait au
centre de la paume de Rose de la même main, une cicatrice d'un
centimètre et demi environ
alors qu'elle n'avait jamais eu de blessure au centre de
la main. Elle allait aussi s'apercevoir, qu'elle avait le
soir, des flashs
dans son cerveau et que sur un
fond violet apparaissaient
diverses inscriptions, que nous
ne détaillerons pas ici et que vous trouverez dans le
livre de Rose C. précité.
Voilà donc l'histoire de
Rose C, très succinctement racontée, et il nous
appartient donc maintenant d'en tirer toutes les
implications possibles, si son authenticité pouvait être établie.
En premier lieu nous nous
adressons à Rose
C, si elle est encore vivante,
ou aux personnes qui l'ont connue, pour savoir pourquoi
elle n'a pas eu l'heureuse idée de faire un jour
analyser les
éléments témoins de son
aventure extraordinaire: clef, pierre plate, traces sur le terrain qui
ont subi des radiations spécifiques, ce que la
science actuelle aurait peut-être pu découvrir, en plus
des radios de sa main qui sont absolument nécessaires pour établir l'élongation insolite de son annulaire.
De plus nous invitons
toutes les personnes ayant assisté à la conférence organisée par le
groupe VERONICA, le 14 nov 1974 de 14h30 à 16h au Centre Culturel Pablo Neruda de Nîmes et qui ont eu à connaître l'intervention inopinée de Rose C à cette conférence, affirmant que
les occupants des Ovnis "étaient tous des géants de
2m30 environ et que leur teint n'était pas vert, mais
bistré," de nous
contacter sur le web, dès que possible... Car cela
confirmerait sa
méconnaissance, à l'époque, des caractéristiques du
phénomène "Ovni"
et justifierait amplement toute la bonhomie,
dont elle a fait preuve dans cette étrange aventure.
Et surtout a-t-elle établi
la liste des
personnes à qui elle a raconté son histoire entre 1952 et 1970 date de publication de l'article du magazine
soviétique Souptnik dont on peut lire l'intégralité page 99 dans l'ouvrage de DON WILSON "Un Vaisseau spatial
nommé Lune" publié chez Albin Michel en Septembre 1979, mais en
anglais en 1975. Résumons en très peu de lignes cet
article:
L'origine de la Lune est l'un des plus grands
problèmes du cosmos intéressant directement la Terre. Trois
hypothèses principales
s'affrontent :
- Première
Hypothèse. La Lune faisait
partie de la Terre dont elle s'est détachée. Mais comme
on n'a pas trouvé l'énorme
emplacement, sur notre Terre,
où elle aurait pu s'extraire à la suite d'un choc avec
une planète grosse comme
Mars, on devrait ne plus penser
à cette hypothèse. C'est pourtant elle, qui a bizarrement la faveur de la
majorité des scientifiques actuels et qui devra être abandonnée. (Voir pourquoi,
dans notre article sur le Web "Les Mystères de la
Lune" et aussi la page
60 de la revue Science&vie
n° 1015 Avril 2002)
- Deuxième
hypothèse. La Lune est issue
du même nuage de poussière et de gaz que la Terre, et
est immédiatement devenue le satellite naturel de la
Terre.
Mais comment expliquer
alors la différence de composition des roches et
de densité de
3,33g par cm3 pour la Lune et de 5,5g par
cm3 pour la Terre et aussi nous le verrons ci-dessous, l'ancienneté incroyable de certaines roches lunaires.
-Troisième
hypothèse. La Lune a une autre
origine loin de la Terre, et comme une comète, elle s'en
s'est approchée. Et par un effet complexe des forces de gravité de la
Terre, elle s'est trouvé prise à
l'intérieur d'une
orbite géocentrique presque circulaire.
Le hic c'est que cette capture est
virtuellement impossible sans un freinage caractérisé
(voir aussi notre article sur les Mystères de la Lune).
Mikhail Vasin et Alexander
Chtcherbakov, eux, en Juillet 1970 proposèrent l'hypothèse osée suivante et qui pourtant fut celle
que Rose C. a eu à découvrir, on le sait, dès 1952, grâce à ses étranges
visiteurs :
" La lune serait un
satellite artificiel de la Terre, mis sur orbite autour
d'elle par des êtres intelligents qui nous sont
inconnus."
Sans rentrer dans les
détails de cette théorie
révolutionnaire des savants soviétiques, la Lune serait formé d'un blindage (extrêmement résistant que les grosses
météorites n'arrivent même pas à percer, car le fond
de certains cratères est convexe au lieu
d'être concave) d'environ 32 Km d'épaisseur et d'un
revêtement extérieur de 4800 m et serait bourrée
à l'intérieur d'appareils
et de machines qui auraient servi à son déplacement et
à sa stabilisation merveilleuse.
Elle a en effet une rotation obligée,
c'est à dire qu'elle tourne sur elle même dans le même temps
qu'elle tourne autour de la Terre
soit environ 27,3 jours, ce qui fait qu'elle nous présente toujours la même
face ( Il y aurait
parait-il, près de 50 autres satellites
naturels dans le même cas dans le système
solaire) et de plus elle est si bien placée entre la
Terre et le Soleil (son
diamètre apparent est 400 fois plus
petit que celui du soleil et sa distance à la Terre est
aussi bizarrement justement 400 fois
plus petite que la distance de la Terre au
Soleil) que cela nous permet d'admirer de magnifiques éclipses qui
n'existent pas sur les autres planètes.
Nous ne pouvons ici donner
toutes les raisons qui ont porté ces savants
soviétiques à admettre une telle théorie, pourtant si peu orthodoxe, mais pour en savoir plus, l'internaute aura la
bonne curiosité, s.v.p, de se reporter au livre de DON Wilson
précité.
III Conclusion.
Nous voilà donc arrivé à
la conclusion
inquiétante de cet article:
- Soit cette dame Rose C. (qui ne connaissait en 1952
rien à l'astronomie puisqu'elle n'avait jamais entendu
parler de l'étoile Sirius), a eu, à cette époque, une
idée géniale, qui lui aurait
permis d'écrire un
best seller de science-fiction
avec bien plus
de succès que celui du livre
qu'elle a publié en 1979, sous le conseil de
ses amis, alors qu'elle a gardé le silence pendant des
années.
- Soit que savants russes aient lu un reportage quelque part, s'il en existe un, publié dans une revue
quelconque, de l'histoire de Rose C., ou qu'ils aient lu
aussi peut-être le livre de Jean SENDY et qu'ils s'en
sont servis pour appuyer leur théorie fantastique (cas
pas impossible, mais très improbable, vu la censure sur
l'information qui régnait à l'époque en URSS).
- Soit, pour noyer le poisson gênant, (mais
c'est assez difficile de noyer un poisson dans la mer) et beaucoup le diront, c'est par hasard que cette concordance d'idées a eu lieu et que
Rose C, a , sans scrupules, tout imaginé dans cette
affaire.
- Soit enfin que l'aventure de Rose C est authentique et nous devons en tirer rapidement les conséquences notoires
qui s'imposent.
Notons en passant que cette
incroyable hypothèse est aussi totalement accréditée par une autre voie parfaitement ésotérique (puisque les informations sont obtenues par
channelling), venue du Canada à la page 198 du livre "Terre
Clé Pléiadiennes de la bibliothèque vivante" de Barbara
MARCINIAK publié en 1998 aux Ed. ARIANE.
Pour ceux qui n'ont pas eu encore la chance
d'avoir en main ce livre remarquable, citons ces quelques
mots:
"La Lune est un satellite
fabriqué. Elle fut ancrée à l'extérieur de
l'atmosphère terrestre pour agir comme un appareil de
méditation et de surveillance, comme un
super-ordinateur, ou un oeil dans le ciel. Elle affecte
toutes les formes de vie sur cette planète, bien
au-delà de ce qui vous est actuellement perceptible.
Votre histoire fait état de deux Lunes orbitant la
Terre. Vous n'entendez pas cela souvent, mais certains
savent..."
Dans un autre ouvrage,
absolument de même nature, paru au premier trimestre
2000, chez l'Editeur
S.O.I.S. et
intitulé "Alliance" d'Anne Givaudan, auteur de nombreux livres
best-sellers à contenance très spirituelle, dont
certains en collaboration avec Daniel Meurois, nous révèle qu'autrefois notre Lune était en mouvement
sur elle-même, puis elle fut immobilisé, et par la
suite, elle a bel et bien été "stabilisée" par des "entités de haut niveau", sur lesquels nous ne
pouvons actuellement, donner plus de détails ici. Citons
aussi cependant, ces quelques mots:
"Votre lune est
depuis longtemps maintenue artificiellement sur son axe,
ainsi vous ne voyez toujours qu'une de ses faces, tandis
que l'autre que vous nommez parfois la face cachée, sert
de point de rencontre aux différents vaisseaux venant des
planètes confédérées. Ces bases permettent des
regroupements et des départs vers d'autres mondes tels
que le vôtre par exemple."
On reste n'est-ce pas,
confondu, par ces deux autres analogies issues de sources apparemment divergentes de celles en provenance de Rose C..
Méditons cependant, en
terminant cet exposé, sur cette leçon transcendante de modestie et de
savoir-vivre, que nous ont
laissé, ces
gens venus d'ailleurs, avec de si puissants
moyens, ces géants,
qui pourraient nous écraser comme des mouches et qui
pourtant viennent ramasser
des roches et des végétaux de notre planète,
tout en respectant la vie de petits rongeurs, et qui disent que la Terre est magnifique et s'inquiètent
du sort que nous lui réservons,
alors qu'actuellement plus de 40 foyers de guerre la déchirent,
les affamés y prolifèrent, la pollution frénétique la
menace, sans parler des coups
tordus que nous y réservent encore les apprentis sorciers.
Une citation de mémoire,
pour finir, semble de circonstance ici :
"A
l'échelle du Cosmos , seul le fantastique a des chances
d'être vrai ." Pierre TEILHARD de CHARDIN (1881-1955).
Dernières
nouvelles:
Le vendredi 28 Février 2000,
nous avons eu le privilège de recevoir, de Madame Rose C., en personne, un coup de fil, dont la provenance se situait
pourtant, à 7000km de nous, et nous avons aussi rappelé
cette dame, le
dimanche suivant. Elle nous
faisait alors, entre autre chose, part de ses ennuis de
santé.
Le Mardi
18 Avril 2000, un très sympathique internaute, nous apprenait son départ pour l'Autre Monde au début de la deuxième semaine d'Avril.
Nous avons aussi appris et cela est d'une importance capitale
pour établir, en partie, l'authenticité de cette
affaire hors norme, qu'un
observateur écrivain, que nous ne pouvons pas citer sans
son autorisation, a déclaré:
1°)"J'ai constaté de
visu le fameux doigt. Je peux affirmer qu'il n'y avait
pas de trucage."
2°)"Qu'un enquêteur
très officiel du GEPAN a également été surpris par
cette sorte de métamorphose..."
3°)"Quelques mois avant
sa mort, son doigt avait encore allongé !"
Autre nouvelle exceptionnelle:
Alors
que nous avions présumé plus haut, que l'élongation
insolite de l'annulaire de Rose C, devait être unique en
son genre, le Dimanche 26 Novembre 2000, nous avons reçu grâce à la
gentillesse et la perspicacité d'un internaute
prénommé Freddy (tocanimbus@aol.com),
une information
capitale, concernant deux
autres cas, chose aussi incroyable que cela puisse être,
de métamorphose du
même annulaire droit, survenue sur deux autres
personnes (Catherine
M. et J-M Ridoux), qui affirment elles aussi, avoir eu une
rencontre du troisième
type. Pour
plus détails sur cette nouvelle affaire, qui relance à
un niveau incommensurable notre histoire déjà
fantastique de Rose C, prière de se reporter aux
articles, avec photographies, de Joël Mesnard dans les numéros
314 de 1992 et 351 de 1998 de l'excellente revue
ufologique: "Lumières
dans la Nuit" dont nous donnons l'adresse ci-dessous:
Lumières
dans la Nuit
BP
3
86800
Saint-Julien-L'Ars
Ainsi, chacun pourra aller
vérifier, de lui même, que nous n'avons rien inventé dans cet inimaginable
rebondissement.
Pour
ne pas allonger considérablement cet incroyable article, nous
l'arrêtons ici pour en faire une suite intitulée "Rose
et la Lune artificielle"
que vous trouverez
directement aux adresses:
http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/Roselune.html
http://www.chez.com/idylle/docs/Roselune.html
Article mis en page le 4/12/1999, et revu le 14/07/2001, puis le 5/05/02, puis le 30/05/05.
IDYLLE
Fred
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