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F.IDYLLE &COPY 1997

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L'incroyable aventure de Rose C.

I Introduction

  Rassurez-vous, il ne s'agit pas de la "Rose Calvert" du fameux film "Titanic" de James Cameron, qui a su si bien nous faire revivre, en 1998,, une tragédie mémorable. Nous avons attendu cependant bien longtemps avant de lancer sur le Web, l'histoire qui va vous être contée ici, car elle est si fantastique, qu'elle dépasse de loin tout ce que vous pouvez imaginer en matière d'aventures et d'enseignements cosmiques. Mais il faut désormais faire vite, si l'on apprend que la principale intéressée de l'histoire aura 72 ans en l'an 2000 et que les gens qui l'on connue jeune femme, ne doivent plus être bien nombreux pour confirmer les faits inimaginables de cette histoire, dont on trouve pourtant des corrélations remarquables dans la théorie révolutionnaire, la plus avancée, jamais émise, de deux savants soviétiques : Mikhail Vasin et Alexander Chtcherbakov et dont l'hypothèse a été cependant formulée dès 1968 par Jean SENDY (à qui nous rendons ici hommage) à la page 110 de son livre "La Lune clé de la Bible" paru chez Julliard.

  Rose C. pouvait-elle connaître, cette théorie en Juillet 1970, année où le magazine Spoutnik la publia pour la première fois en russe ? Rose C. A-t-elle parlé de son aventure ( du 10 Avril 1952) à quelqu'un d'autre avant 1970 ? A-t-elle aussi pu lire le livre de J. SENDY en 68 ? Seules les personnes l'ayant connue entre 52 et 68 peuvent nous le confirmer. Si l'on pouvait en trouver une seule, cela serait une preuve avancée que tout cela n'est pas de la Science Fiction. L'ésotériste bien connu Guy Tarade qui a préfacé le Livre publié sous le titre "Rencontre avec les Extra-terrestres" de ROSE.C aux Editions du Rocher au début de 1979 et racontant l'histoire qui résumée ci-dessous, prétend avoir connu Rose C depuis "plusieurs années" et pourrait donc confirmer notre interrogation, s'il lui arrivait de rentrer dans notre site, qui est d'ailleurs un forum ouvert où chacun doit apporter sa petite pierre. Le Web sert avant tout à cela.  Nous invitons donc toute personne ayant des informations à ce sujet de nous en faire part, car il y va de notre saine recherche de la vérité et même vous allez vous en rendre compte par la suite, de notre meilleure compréhension de notre Univers.

II La genèse de l' affaire.

  C'est le 10 Avril 1952, on le sait déjà, que Rose qui avait 24 ans, à l'époque, ayant confié sa fille en vacances, à ses beaux parents, et sur les conseils de son père, quittait sa maison de la banlieue nîmoise (après avoir fait quelques provisions pour deux ou trois jours et acheté un catalogue de mode ) pour se rendre, accompagnée, chose d'une importance capitale, de deux chiens, avec sa bicyclette, à quelques kilomètres de là, dans une petite habitation familiale provençale où se dressaient deux constructions, le grand et le petit "mazets". En Provence, on nomme un "mazet", une petite construction, perdue dans la garrigue, et ne comportant qu'une seule grande pièce avec une cheminée, un évier ainsi qu'un mobilier très sommaire (placard, lit, table, chaises). Pour atteindre sa destination, Rose devait quitter la route nationale, puis emprunter des sentiers escarpés et sinueux. Après deux bonnes heures de marche, en poussant son vélo, elle arriva vers une heure de l'après midi. Les chiens tiraient la langue et Rose alla immédiatement leur chercher de l'eau au puits. Après s'être installée au grand mazet et avoir nourri les chiens , Rose se cassa une petite croûte se reposa un peu, puis se rendit au petit mazet longtemps fermé, où elle devait récupérer la laine d'un vieux matelas pour en faire des paquets afin d'en reconstituer un plus grand pour sa fille à Nîmes. Poussière, toiles d'araignées et crottes de rats, s'étalaient un peu partout, mais le vieux matelas était là enroulé dans une bâche protectrice. Rose l'inspecta un peu et aussi les environs feuilleta un peu son catalogue, mais comme il se faisait déjà un peu tard pour commencer à défaire le matelas, elle décida de regagner le "grand mazet" en abandonnant sur une vieille commode le catalogue et verrouilla d'un tour de clef la porte et plaça la clef sous une pierre plate non loin de là.

  Arrivée au Grand Mazet, la nuit tombée, elle alluma deux bougies, installa une vieille couverture pour les chiens sous la table, ferma volets et portes et se glissa dans le vieux lit pour goûter d'un repos bien mérité.

  Combien de temps a-t-elle dormi ?; elle ne saurait le dire, mais elle fut réveillée par le grognement et l'agitation des chiens, grattant la porte avec leurs pattes pour sortir. Rose pris sa lampe de poche, se rhabilla rapidement et pensant qu'il s'agissait un couple de lapins passant à côté , elle décida d'entrouvrir la porte, ce qui permis aux chiens de se faufiler l'un derrière l'autre et de filer en direction du "petit mazet" et ils disparurent dans la nuit. Ne les voyant pas revenir, après un bon bout de temps, Rose après bien des hésitations, se décida à aller voir en se disant que le petit mazet n'avait vraiment rien qui puisse attirer un voleur, et comme elle connaissait chaque petit recoin du terrain, elle pourrait toujours se cacher quelque part pour observer ce qui se passait.

  Saisissant sa lampe de poche et son imperméable, elle sortit furtivement en évitant le moindre bruit. En s'approchant d'un petit mur , elle se redressa un peu, sur la pointe des pieds afin d'essayer de distinguer quelque chose, quand soudain, elle fut éblouie par un éclair de lumière blanche qui illumina tout autour d'elle en un fraction de seconde. A peine avait-elle repris ses esprits qu'une voix murmura tout près d'elle:

  " Que faites-vous ici ? "

  "Et vous même ?" répliqua-t-elle en regardant dans la direction de la voix, où elle distingua alors un homme de taille normale, d'environ 1m70, vêtu de sombre et qui n'avait manifesté aucun geste d'agressivité.

  "Elle est bien bonne celle-là! Je suis ici sur mes terres et c'est à moi de demander ce que vous y faites à pareille heure !" . Poursuivit-elle.

  Les chiens reconnaissant la voix de leur maîtresse, arrivèrent en jappant et repartirent aussitôt, mais un bruit d'herbe foulée se fit entendre derrière Rose qui en se tournant eu la plus belle frayeur de sa vie. Un être gigantesque de 2m30 à 2m40, se tenait près d'elle et l'attrapa par le cou avec des mains énormes sans trop serrer, ni lui faire de mal. Puis il la relâcha en prononçant quelques mots dans une langue inconnue en direction de l'homme normal qui déclara:

  "D'après lui, vous avez très peur. Il ne faut pas. Nous n'avons pas l'intention de vous faire du mal. Ne craignez-rien."

  Malgré ces paroles rassurantes, Rose fut liquéfiée de frousse et fut incapable, ni de répondre, ni de crier, ni même de bouger. C'est alors qu'arriva un autre géant, qui dialogua dans cette même langue, avec les deux autres. Et l'homme normal reprit:

  "Surtout rassurez-vous, vous n'avez rien à craindre de nous , nous sommes pacifiques. Mes amis demandent, si vous n'aviez pas quelques vieux livres à nous donner ? N'importe quels livres...".

  "Je possède quelques livres, mais ils sont en mauvais état." dit Rose péniblement.

  "Voudriez- vous avoir l'amabilité de nous les donner? Ce serait un immense service que vous nous rendriez là !

  Un immense service pour vieux livres dévorés par les rats!... Cela fit sourire Rose et tout en tremblotant, elle se posa la question de savoir qui étaient ces gens, d'où venaient-ils pour réclamer une chose aussi insolite ? Alors ces livres ? dit à nouveau l'homme normal qui avait de la suite dans les idées.

  "Ils sont dans ce mazet. Allons-y, si vous y tenez tellement ?" répliqua Rose.

  En se dirigeant vers le bâtiment du petit mazet, un autre géant apparu et chose bizarre les chiens allèrent à lui en remuant la queue, comme s'ils avaient l'habitude de rencontrer des géants à tous les coins de rues.

  "Mais enfin , qui êtes vous donc ? D'où venez-vous? Comment êtes-vous venus jusqu'ici ?" interrogea Rose.

  "- Nous venons de la-haut" dit l'homme moyen en désignant le ciel.

  " -Vous venez de la Lune ?" répliqua Rose qui s'aperçut en regardant vers le ciel que c'était la pleine Lune.

  "Pas du tout, nous venons de beaucoup plus loin."

  

-Vous êtes des martiens ? demanda Rose...

  

"Nous ne venons pas de Mars ! " fut la réponse.

  

-Mais enfin comment êtes-vous venus jusqu'ici. ?

  "Avec ça.!.." dit l'homme normal en braquant un court instant, le rayon d'un appareil (sans doute une lampe) sur un coin du terrain.

  

Mordious! fut le juron provençal de Rose, qui lui demande à voir un peu mieux. La lampe s'alluma de nouveau et Rose pu apercevoir suffisamment, une sorte d'énorme chose circulaire, d'un gris mat, ressemblant à de l'ardoise, et ayant la forme d'un immense canotier, en suspension à environ un mètre du sol, sans support.

  

"Alors ces livres ?" réclame encore l'homme qui décidément y tenait . Rose récupéra la clé sous la pierre plate et ouvrit la porte. L'homme normal projeta le rayon de sa lampe à l'intérieur et entra le premier. Rose le suivit et pensait que les grands resteraient dehors. Mais ils entrèrent aussi en se baissant considérablement, ce qui fait que le petit mazet était plein à craquer. La lampe éclairait comme en plein jour et Rose en profita pour jeter un clin d'œil sur ses étranges visiteurs . Les grands avaient la peau brune et ressemblaient plutôt à des hindous non faméliques, mais bien en chair. Ils étaient tous vêtus d'une sorte de combinaison d'homme grenouille, avec aux pieds des sortes de pataugas. Ces pieds mesuraient au moins du 60. L'un des géants avait planté sur le front, une moitié de bille de verre noir et autour de son coup pendait une courroie à laquelle était accrochée à la hauteur de l'estomac, une boîte noire avec des boutons multiples.

  "Mais pourquoi parlez-vous français, et pourquoi n'êtes-vous pas aussi grand que les autres?" interrogea Rose en s'adressant à l'homme normal, et c'est là que notre histoire prend une tournure très particulière:

  - Mais tout simplement, parce que je suis français, et je suis avec eux depuis 20 de vos années terrestres. Une nuit que je marchais dans la campagne, je les ai rencontrés et je vis depuis dans leur monde à eux.

  - Mais vous étiez un enfant alors, car vous paraissez à peine agé de 30 ans !

  - J'avais 25 ans.. dit -il.

   Rose fit un calcul élémentaire 25 + 20 = 45

  -Vous n'avez pas 45 ans ! en tout cas, vous n'en avez pas l'air!

  - Mais je ne les ai pas. Le temps ne compte pas pour nous comme pour vous !

  Rose n'en revenait pas et était plutôt éberluée. On n'en serait à bien moins, surtout si l'on n'avait pas plongé dans les méandres de la théorie de la relativité d'Einstein, peu divulguée à l'époque.

  - Que venez-vous chercher ici ? demanda Rose en faisant croire qu'elle comprenait cette notion du "temps élastique".

  - Regardez vous même,... dit-il en lui présentant le contenu d'un sac que portait l'un des grands personnages. Et Rose aperçut, des repousses d'oliviers, d'amandiers, de thym, diverses feuilles et des pierres etc...

  - Mais cela ne vaut pas un si long voyage! répliqua Rose.

  - Mais si...; nous récoltons les mêmes choses en plusieurs endroits de la planète. Cela nous permet d'évaluer les dégâts occasionnés par les bombes que vous avez fait exploser au Japon, il y a 7 de vos années !

  - Mais ce n'est pas nous, ce sont les américains !

  - Pour nous, c'est quand même vous ! Sur le moment, Rose fut bien vexée, mais 25 ans plus tard après la valse des bombes atomiques, (celle soviétique, déjà le 29/08/49 et Rose l'ignorait), puis anglaise quelques mois après son aventure(3/10/52), puis française (13/02/60), puis Chinoise (15/10/64) etc... elle dû alors convenir qu'il avait raison.

   Rose ouvrit alors une vieille armoire remplie de bric à brac, de toiles d'araignées et où madame rat avait installé sa famille au grand complet. Elle se sentit obligée de révéler à ces étranges visiteurs, qu'elle ne vivait pas dans cette baraque, mais qu'elle habitait une jolie maison ailleurs. Puis elle sortit quelques vieux livres couverts de poussière dont l'un était gros et épais :"le Comte de Monte Cristo" d'A. Dumas. Elle souffla sur le paquet pour chasser un peu la poussière et l'offrit à l'homme normal, ainsi que des vieux journaux et le catalogue tout neuf qu'elle avait acheté la veille, car "le français" lui demanda poliment s'il pouvait aussi l'emporter. Seuls les débris du livre "les Misérables de V. Hugo" que les rats avaient vraiment massacré, restèrent dans le placard.

  C'est alors que Rose pour faire croire qu'elle allait nétoyer le coin, dit qu' elle détruirait les rats le lendemain. Et la réponse la fut :

  - Vous ne devez pas tuer ces animaux, laissez-vivre !

  Rassurée, Rose, qui évidemment ne l'aurait pas fait , reprit:

  - Je ne les tuerai point, mais au contraire je vais leur porter du pain ! Et la réponse fut:

  - Vous ne devez pas leur porter de la nourriture. Ce sont des animaux habitués à se suffire à eux même, les nourrir les rendrait tributaire de vous; laissez-les se débrouiller seuls.

   Rose pensa, "Il ne veut pas que je les tue, ni que je les nourrisse. Quel drôle de type " . Mais des années après, elle allait comprendre ce que cela voulait dire. (L'écologie a en effet pris de l'essor depuis.)

  Mais une question brûlait ses lèvres :

  -Vous avez pas pensé à votre famille, quand vous êtes parti avec eux ?

  - Je n'avais pas de proches parents . Personne n'a dû s'inquiéter pour moi, à part peut-être mes élèves car j'étais instituteur.

  Voilà donc une révélation intéressante, car il ne doit pas y avoir beaucoup d'instituteurs qui ont disparu brusquement en 1932, sans que l'Education Nationale ne s'en trouve informée. Donc voilà une piste à vérifier, et nous invitons donc les internautes qui ont les moyens de faire cette recherche, de se faire connaître au plus vite. Merci d'avance).

  La suite du dialogue va maintenant prendre
une tournure tout à fait exceptionnelle.

  -Vous n'avez jamais regretté d'avoir quitté la Terre ?

  - On a tout à gagner à la quitter, savez -vous ? Rose sur le moment ne saisit pas bien le contenu de cette affirmation.

  -Voulez-vous venir avec nous ?

  Rose se mis de nouveau à prendre peur en pensant qu'ils pourraient l'enlever dans leur machine diabolique. Elle revit en pensée, son père âgé et sa fille toute blonde et répliqua :

  - Je veux rester ici !

A ce moment là, le géant à la bille s'adressa à l'instituteur qui demanda à Rose:

  - Il veut savoir qui est le vieil homme et qui est l'enfant ?

  C'est ainsi que Rose s'aperçut que ce géant au moins, était un parfait télépathe. Elle leur expliqua donc les détails de sa famille et tout aurait pu s'arrêter là, si Rose n'avait pas constaté que les chiens se tenaient gentiment aux pieds du géant à la bille qui semblait être le chef du groupe.

  -Vous avez l'air d'aimer les chiens, en avez-vous là-haut ? demanda innocemment Rose

   -Tout ce que vous avez sur Terre, nous l'avons aussi, car ce sont leurs lointains ancêtres qui ont tout amené. Seulement tout est plus grand. Ainsi les chats ressemblent à de petits tigres et les arbres sont immenses . Même les hommes descendent d'eux...

  - Impossible! sur Terre, il n'y nulle part des hommes aussi grands que ceux là !

  - Mais parce qu'au fil des générations, tout a rapetissé .

  - Mais dans ce cas pourquoi avoir forcé des hommes à vivre dans un lieu qui les diminuait ? demande Rose en ironisant.

  - Cela n'a pas toujours été ainsi. Préparer cette planète à recevoir la vie n'a pas été aussi simple ! Il fallut ensemencer afin de créer, puis amener une atmosphère, puis amener des animaux et ce fut un travail de longue haleine. Ce n'est que plus tard qu'on déporta les hommes, car ces derniers n'étaient pas n'importe quels hommes ! Sur terre quand vous punissez les voleurs, les bandits, les assassins, vous les mettez soit dans des prisons, soit dans des bagnes, bref, en des endroits où sans liberté, les punis sont à la charge de la société laborieuse; Eux, ces géants qui nous ont envoyé, ils ont résolu le problème en aménageant une planète pour les punis. Ils les déportaient donc après qu'ils eussent été amputés d'une partie de leurs connaissances, ensuite ils les laissaient libres , n'étant à la charge que d'eux-mêmes. D'eux seuls dépendait alors leur survie. Vous descendez-de ceux là !

  Vexée d'apprendre qu'elle descendait de bagnards, Rose répliqua immédiatement "Vous aussi, il me semble": "Exact" fut la réponse.

  - Et tout cela n'est rien , le plus dur pour eux fut d'amener un satellite convenant à cette planète.

  - Un satellite, vous voulez dire une lune ?

  - Exactement, et ce ne fut pas si facile ! il y eu une erreur sans doute dans le choix de cette lune, car un jour en amenant une cargaison de punis, ils tombèrent sur des géants, trois plus grands qu'eux, et la flore et la faune avait subi elles aussi la même transformation. Beaucoup plus tard, le satellite s'écrasa sur la planète, et il s'écoula du temps, avant qu'ils puissent en trouver un autre qui convienne à la Terre; Ils le découvrirent pourtant dans un autre système solaire et le ramenèrent sur l'orbite où vous pouvez le voir aujourd'hui".

   Nous arrêtons ici la narration de cet incroyable aventure afin que vous cherchiez à vous procurer le livre de Rose C, si vous avez encore la chance de tomber dessus, car ce n'est pas le genre d'ouvrages que les médias aiment à mettre en exergue puisqu'il défie notre plus élémentaire logique. (Notons en passant que ce scénario de "la Terre bagne-cosmique" est décrit d'une manière quasi identique dans le livre de G. Adamsky "Inside the Space Ships" de 1955 et traduit en français en Mai 1979 sous le titre "A l'intérieur des vaisseaux de l'espace" Chez M. Moutet. page 92)

  De plus, il est nécessaire que vous puissiez apprécier l'humour continuel et provençal qui se dégage du livre de Rose C et pour terminer, nous vous dirons seulement que Rose n'était pas au bout de ses surprises, car en plus de la télépathie, elle connue aussi la téléportation de la pierre plate, de la clef du petit Mazet et d'elle même. Elle apprit que leur Lune est trois fois plus grosse que la notre, prit une sévère leçon sur notre éducation scolaire, sur notre prétendue connaissance historique, sur le fait que tous les 12000 ans environ la Terre subit un cataclysme déclenché par la bêtise des hommes et que nous sommes bien mal partis, si nous continuons dans la même stupide voie. etc... et enfin qu'à cause d'expériences similaires, la Terre a subi un cataclysme épouvantable, il avait exactement 11357 ans (en partant de 1952 bien sûr).

  Rose a été profondément affectée par son aventure, mais aujourd'hui, elle pense encore, à toutes les questions qu'elle aurait pu poser à ces visiteurs hors normes, comme par exemple simplement de demander à l'instituteur quel était son nom et dans quelle école, il travaillait, ce qu'il n'aurait pas hésité à dire, vue la gentillesse dont il a fait preuve. Mais en 1952 nous n'avions pas les mêmes préoccupations qu'aujourd'hui.

  Cependant Rose a gardé une preuve irréfutable de son incroyable aventure: En recevant certaines radiations quand les visiteurs l'ont touché de près et après qu'ils s'en sont allés, Rose ressentit un vague raidissement dans toute la longueur de son annulaire droit, et deux mois après elle s'aperçut avec effroi que son annulaire droit avait grandi et sa main se trouvait avec deux majeurs, ce qui à notre connaissance, est probablement unique dans l'histoire de la physiologie humaine.( Voir image ).

  De plus, il y avait au centre de la paume de Rose de la même main, une cicatrice d'un centimètre et demi environ alors qu'elle n'avait jamais eu de blessure au centre de la main. Elle allait aussi s'apercevoir, qu'elle avait le soir, des flashs dans son cerveau et que sur un fond violet apparaissaient diverses inscriptions, que nous ne détaillerons pas ici et que vous trouverez dans le livre de Rose C. précité.

  Voilà donc l'histoire de Rose C, très succinctement racontée, et il nous appartient donc maintenant d'en tirer toutes les implications possibles, si son authenticité pouvait être établie.

  En premier lieu nous nous adressons à Rose C, si elle est encore vivante, ou aux personnes qui l'ont connue, pour savoir pourquoi elle n'a pas eu l'heureuse idée de faire un jour analyser les éléments témoins de son aventure extraordinaire: clef, pierre plate, traces sur le terrain qui ont subi des radiations spécifiques, ce que la science actuelle aurait peut-être pu découvrir, en plus des radios de sa main qui sont absolument nécessaires pour établir l'élongation insolite de son annulaire.

  De plus nous invitons toutes les personnes ayant assisté à la conférence organisée par le groupe VERONICA, le 14 nov 1974 de 14h30 à 16h au Centre Culturel Pablo Neruda de Nîmes et qui ont eu à connaître l'intervention inopinée de Rose C à cette conférence, affirmant que les occupants des Ovnis "étaient tous des géants de 2m30 environ et que leur teint n'était pas vert, mais bistré," de nous contacter sur le web, dès que possible... Car cela confirmerait sa méconnaissance, à l'époque, des caractéristiques du phénomène "Ovni" et justifierait amplement toute la bonhomie, dont elle a fait preuve dans cette étrange aventure.

  Et surtout a-t-elle établi la liste des personnes à qui elle a raconté son histoire entre 1952 et 1970 date de publication de l'article du magazine soviétique Souptnik dont on peut lire l'intégralité page 99 dans l'ouvrage de DON WILSON "Un Vaisseau spatial nommé Lune" publié chez Albin Michel en Septembre 1979, mais en anglais en 1975. Résumons en très peu de lignes cet article:

  L'origine de la Lune est l'un des plus grands problèmes du cosmos intéressant directement la Terre. Trois hypothèses principales s'affrontent :

- Première Hypothèse. La Lune faisait partie de la Terre dont elle s'est détachée. Mais comme on n'a pas trouvé l'énorme emplacement, sur notre Terre, où elle aurait pu s'extraire à la suite d'un choc avec une planète grosse comme Mars, on devrait ne plus penser à cette hypothèse. C'est pourtant elle, qui a bizarrement la faveur de la majorité des scientifiques actuels et qui devra être abandonnée. (Voir pourquoi, dans notre article sur le Web "Les Mystères de la Lune" et aussi la page 60 de la revue  Science&vie n° 1015 Avril 2002)

- Deuxième hypothèse. La Lune est issue du même nuage de poussière et de gaz que la Terre, et est immédiatement devenue le satellite naturel de la Terre.

  Mais comment expliquer alors la différence de composition des roches et de densité de 3,33g par cm3 pour la Lune et de 5,5g par cm3 pour la Terre et aussi nous le verrons ci-dessous, l'ancienneté incroyable de certaines roches lunaires.

-Troisième hypothèse. La Lune a une autre origine loin de la Terre, et comme une comète, elle s'en s'est approchée. Et par un effet complexe des forces de gravité de la Terre, elle s'est trouvé prise à l'intérieur d'une orbite géocentrique presque circulaire.

  Le hic c'est que cette capture est virtuellement impossible sans un freinage caractérisé (voir aussi notre article sur les Mystères de la Lune).

  Mikhail Vasin et Alexander Chtcherbakov, eux, en Juillet 1970 proposèrent l'hypothèse osée suivante et qui pourtant fut celle que Rose C. a eu à découvrir, on le sait, dès 1952, grâce à ses étranges visiteurs :

   " La lune serait un satellite artificiel de la Terre, mis sur orbite autour d'elle par des êtres intelligents qui nous sont inconnus."

  Sans rentrer dans les détails de cette théorie révolutionnaire des savants soviétiques, la Lune serait formé d'un blindage (extrêmement résistant que les grosses météorites n'arrivent même pas à percer, car le fond de certains cratères est convexe au lieu d'être concave) d'environ 32 Km d'épaisseur et d'un revêtement extérieur de 4800 m et serait bourrée à l'intérieur d'appareils et de machines qui auraient servi à son déplacement et à sa stabilisation merveilleuse. Elle a en effet une rotation obligée, c'est à dire qu'elle tourne sur elle même dans le même temps qu'elle tourne autour de la Terre soit environ 27,3 jours, ce qui fait qu'elle nous présente toujours la même face ( Il y aurait parait-il, près de 50 autres satellites naturels dans le même cas dans le système solaire)  et de plus elle est si bien placée entre la Terre et le Soleil (son diamètre apparent est 400 fois plus petit que celui du soleil et sa distance à la Terre est aussi bizarrement justement 400 fois plus petite que la distance de la Terre au Soleil) que cela nous permet d'admirer de magnifiques éclipses qui n'existent pas sur les autres planètes.

  Nous ne pouvons ici donner toutes les raisons qui ont porté ces savants soviétiques à admettre une telle théorie, pourtant si peu orthodoxe, mais pour en savoir plus, l'internaute aura la bonne curiosité, s.v.p, de se reporter au livre de DON Wilson précité.

III Conclusion.

  Nous voilà donc arrivé à la conclusion inquiétante de cet article:

- Soit cette dame Rose C. (qui ne connaissait en 1952 rien à l'astronomie puisqu'elle n'avait jamais entendu parler de l'étoile Sirius), a eu, à cette époque, une idée géniale, qui lui aurait permis d'écrire un best seller de science-fiction avec bien plus de succès que celui du livre qu'elle a publié en 1979, sous le conseil de ses amis, alors qu'elle a gardé le silence pendant des années.

- Soit que savants russes aient lu un reportage quelque part, s'il en existe un, publié dans une revue quelconque, de l'histoire de Rose C., ou qu'ils aient lu aussi peut-être le livre de Jean SENDY et qu'ils s'en sont servis pour appuyer leur théorie fantastique (cas pas impossible, mais très improbable, vu la censure sur l'information qui régnait à l'époque en URSS).

- Soit, pour noyer le poisson gênant, (mais c'est assez difficile de noyer un poisson dans la mer) et beaucoup le diront, c'est par hasard que cette concordance d'idées a eu lieu et que Rose C, a , sans scrupules, tout imaginé dans cette affaire.

- Soit enfin que l'aventure de Rose C est authentique et nous devons en tirer rapidement les conséquences notoires qui s'imposent.

  Notons en passant que cette incroyable hypothèse est aussi totalement accréditée par une autre voie parfaitement ésotérique (puisque les informations sont obtenues par channelling), venue du Canada à la page 198 du livre "Terre Clé Pléiadiennes de la bibliothèque vivante" de Barbara MARCINIAK publié en 1998 aux Ed. ARIANE. Pour ceux qui n'ont pas eu encore la chance d'avoir en main ce livre remarquable, citons ces quelques mots:

  "La Lune est un satellite fabriqué. Elle fut ancrée à l'extérieur de l'atmosphère terrestre pour agir comme un appareil de méditation et de surveillance, comme un super-ordinateur, ou un oeil dans le ciel. Elle affecte toutes les formes de vie sur cette planète, bien au-delà de ce qui vous est actuellement perceptible. Votre histoire fait état de deux Lunes orbitant la Terre. Vous n'entendez pas cela souvent, mais certains savent..."

  Dans un autre ouvrage, absolument de même nature, paru au premier trimestre 2000, chez l'Editeur S.O.I.S. et intitulé "Alliance" d'Anne Givaudan, auteur de nombreux livres best-sellers à contenance très spirituelle, dont certains en collaboration avec Daniel Meurois, nous révèle qu'autrefois notre Lune était en mouvement sur elle-même, puis elle fut immobilisé, et par la suite, elle a bel et bien été "stabilisée" par des "entités de haut niveau", sur lesquels nous ne pouvons actuellement, donner plus de détails ici. Citons aussi cependant, ces quelques mots:

  "Votre lune est depuis longtemps maintenue artificiellement sur son axe, ainsi vous ne voyez toujours qu'une de ses faces, tandis que l'autre que vous nommez parfois la face cachée, sert de point de rencontre aux différents vaisseaux venant des planètes confédérées. Ces bases permettent des regroupements et des départs vers d'autres mondes tels que le vôtre par exemple."

  On reste n'est-ce pas, confondu, par ces deux autres analogies issues de sources apparemment divergentes de celles en provenance de Rose C..

  Méditons cependant, en terminant cet exposé, sur cette leçon transcendante de modestie et de savoir-vivre, que nous ont laissé, ces gens venus d'ailleurs, avec de si puissants moyens, ces géants, qui pourraient nous écraser comme des mouches et qui pourtant viennent ramasser des roches et des végétaux de notre planète, tout en respectant la vie de petits rongeurs, et qui disent que la Terre est magnifique et s'inquiètent du sort que nous lui réservons, alors qu'actuellement plus de 40 foyers de guerre la déchirent, les affamés y prolifèrent, la pollution frénétique la menace, sans parler des coups tordus que nous y réservent encore les apprentis sorciers.

  Une citation de mémoire, pour finir, semble de circonstance ici : "A l'échelle du Cosmos , seul le fantastique a des chances d'être vrai ." Pierre TEILHARD de CHARDIN (1881-1955).

Dernières nouvelles: Le vendredi 28 Février 2000, nous avons eu le privilège de recevoir, de Madame Rose C., en personne, un coup de fil, dont la provenance se situait pourtant, à 7000km de nous, et nous avons aussi rappelé cette dame, le dimanche suivant. Elle nous faisait alors, entre autre chose, part de ses ennuis de santé.
  Le
Mardi 18 Avril 2000, un très sympathique internaute, nous apprenait son départ pour l'Autre Monde au début de la deuxième semaine d'Avril.   Nous avons aussi appris et cela est d'une importance capitale pour établir, en partie, l'authenticité de cette affaire hors norme, qu'un observateur écrivain, que nous ne pouvons pas citer sans son autorisation, a déclaré:
1°)"J'ai constaté de visu le fameux doigt. Je peux affirmer qu'il n'y avait pas de trucage."
2°)"Qu'un enquêteur très officiel du GEPAN a également été surpris par cette sorte de métamorphose..."
3°)"Quelques mois avant sa mort, son doigt avait encore allongé !"

 Autre nouvelle exceptionnelle:

 Alors que nous avions présumé plus haut, que l'élongation insolite de l'annulaire de Rose C, devait être unique en son genre, le Dimanche 26 Novembre 2000, nous avons reçu grâce à la gentillesse et la perspicacité d'un internaute prénommé Freddy (tocanimbus@aol.com), une information capitale, concernant deux autres cas, chose aussi incroyable que cela puisse être, de métamorphose du même annulaire droit, survenue sur deux autres personnes (Catherine M. et J-M Ridoux), qui affirment elles aussi, avoir eu une rencontre du troisième type. Pour plus détails sur cette nouvelle affaire, qui relance à un niveau incommensurable notre histoire déjà fantastique de Rose C, prière de se reporter aux articles, avec photographies, de Joël Mesnard dans les numéros 314 de 1992 et 351 de 1998 de l'excellente revue ufologique: "Lumières dans la Nuit" dont nous donnons l'adresse ci-dessous:

Lumières dans la Nuit

BP 3

86800 Saint-Julien-L'Ars

   Ainsi, chacun pourra aller vérifier, de lui même, que nous n'avons rien inventé dans cet inimaginable rebondissement.

 

  Pour ne pas allonger considérablement cet incroyable article, nous l'arrêtons ici pour en faire une suite intitulée "Rose et la Lune artificielle" que vous trouverez directement aux adresses:

http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/Roselune.html

http://www.chez.com/idylle/docs/Roselune.html

 

 

   Article mis en page le 4/12/1999, et revu le 14/07/2001, puis le 5/05/02, puis le 30/05/05.

IDYLLE Fred

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