La Constante de Ninive.
I Introduction
C'est un nombre surprenant découvert sur des tablettes
sumériennes en écriture
cunéiforme (c'est à dire gravée avec un stylet en coin), mises
à jour en 1873 par un jeune anglais
nommé SMITH dans les environs de
Mossoul près de Bagdad en Irak. Ce
nombre sera appelé désormais appelé "la Constante
de Ninive", du nom de la colline où fut découvertes ces
tablettes dont le nombre était voisin, à l'époque, de 33 000.
II La genèse de l' affaire.
Ce nombre comportait, en le traduisant dans notre système
décimal, une longueur de 15 chiffres et
ce qui donnait:
N = 195
955 200 000 000.
Ce nombre représente donc exactement 195 955
milliards auxquels il faut ajouter encore 200 millions , plus que la distance de la Terre au Soleil, si l'on avait l'idée bizarre
de l'exprimer en millimètres.
Après l'avoir introduit dans un ordinateur, Maurice
Chatelain découvre que ce nombre N est égal à aussi à :
N = 70 x 60 à la puissance 7.
Puis il découvrit encore que
N valait très exactement 2268 millions de jours de
86400 secondes, car en un jour on a : 24 x 60 x 60 = 86400 secondes. Alors :
N = 2 268 000 000 x 86400.
La précession des équinoxes qui fait
tourner l'axe de rotation de la Terre autour du pôle de l'écliptique en
9 450 000jours soit environ tous les
25920 ans, était un phénomène bien connu
des sumériens, quoique ce soit un fait difficile à observer, car la
variation porte seulement sur 1 degré pour 72
ans . Cette longue période de 25920
ans étant par ailleurs divisée en exactement douze périodes zodiacales de 2160 années. (Après
l'ère des Poissons, nous entrons actuellement dans l'ère du Verseau donc pour 2160 ans).
C'est alors que Maurice Chatelain eu le choc de sa vie en découvrant que les 2268 millions de jours représentaient exactement 240 cycles de précession des
équinoxes de 9 450 000 jours chacun de 86400 secondes.
Autrement dit le nombre de Ninive représentait pour les sumériens,
240 cycles de rotation des saisons autour de la bande
zodiacale, mais exprimés en secondes de
temps, au lieu de l'être en jours ou en
années comme le font les astronomes modernes.
En résumé, ce nombre énorme, dit M.Chatelain, ne pouvait
être autre chose que la grande constante du système
solaire que les alchimistes, les astrologues, et les astronomes ont essayé
de découvrir depuis près de 2000 ans, alors que, aussi
extraordinaire que cela paraîsse, leurs ancètres la
connaissaient depuis plus de 3000 ans. Donc :
N = 240 x 9 450 000 x 86
400.
M.Chatelain découvrit aussi que :
N =
671 x 3 380 000 x 86 400. .
Mais nous dit-il, 3 380 000 de
jours représentent 19 conjonctions de Pluton-Neptune, 54 conj. de Neptune-Uranus, 204
conj. Uranus-Neptune, 466 conj.
Saturne-Jupiter, 4140 Jupiter-Mars, 10122 Mars-Vénus, 23382
Vénus-Mercure.
De plus M. Chatelain découvre que 2268
millions de jours représentent exactement 90720 x 25000 soit 25000
cycles de la révolution sidérale de
Pluton si celle-ci était de 90720
jours au lieu d'être de 90727 jours
comme le pensent les savants actuels. Mais étant donné que Pluton n'a même pas effectué un
cinquième de sa révolution autour du Soleil, une légère erreur de 7 jours dans nos calculs,
serait tout à fait excusable vu le peu de renseignements dont on dispose actuellement sur
Pluton.
III Les Constantes des Mayas.
D'autre part M. Chatelain découvre également, chose très étrange, que les mayas
possédaient aussi deux autres nombres encore plus
grands que N de Ninive.
- 34 020 millions de jours, soit 15 fois celle de Ninive.
-147 420 millions de jours, soit 65 fois celle de Ninive.
Ces constantes représentent de même, des périodes de
révolutions et de conjonctions des diverses planètes évidemment, encore plus longues que celles déjà
évoquées.
III Conclusion.
En conclusion, tout ceci ne laisse aucun doute sur les qualités fantastiques des astronomes sumériens et
mayas et nous donne une preuve
supplémentaire, du passé fabuleux qui s'attache aux civilisations
disparues de notre planète.
Article mis en page le 17/07/1998 et revu le 15/07/2001, puis le 25/05/05, puis le 05/03/06 , puis le 16/03/08 .
IDYLLE
Fred
fred.idylle@wanadoo.fr
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