Consultations pour cet article :
ARTivision est une page Web de l'association ARTivities
F.IDYLLE &COPY 1997

Pour tout contact avec ARTivision
fred.idylle@wanadoo.fr

Bonne lecture !
Communiquez nous vos commentaires.
Merci d'avance.

NASA: Autres éléments tangibles
qui nous interpellent.


I Introduction.

    Nous avons déjà abordé dans d'autres articles le fait que certaines photos de la Nasa présentent des anomalies structurelles ou des caractéristiques géométriques très curieuses qui ne sauraient être, à notre avis mises à l'actif du très pratique hasard, souvent évoqué pour éviter de se remettre en question.
    Nous allons donc aujourd'hui analyser d'autres photos de la Nasa, pourtant souvent exposées  dans des livres remarquables et des revues sérieuses qui cependant  n'y ont jamais mis en évidence, les détails que nous avons le privilège de vous présenter  ci- dessous:

II La genèse de l'affaire.


a) Mystère n°1

    Commençons si vous le voulez bien, par cette très exceptionnelle photo de la Nasa où l'on aperçoit un corps lumineux, prétendu représenter le Soleil, en plein ciel d'un paysage lunaire, photo extraite d'un petit fascicule d'un certain Alain Dupas, intitulé la Saga de l'espace de l'Éditeur Gallimard dans la collection "Découvertes Gallimard  Techniques" publié en 87. Voici ce document :

Premier problème : L'ouvrage en question nous présente cette photo en page 77, comme étant le module lunaire Intrepid du vaisseau Apollo 12 qui s'est posé nous dit-on le 17 Novembre 1969, dans l'océan des Tempêtes avec à son bord les astronautes Charles Conrad et Alan Bean . Il est aussi dit que ce véhicule conçu spécifiquement pour accomplir un aller et retour depuis une orbite à quelques 100 Km d'altitude autour de la Lune, pèse 16 t au début de sa mission, mesure 7 m de haut et 9,5 m de large à sa base.
       Or dans son récent ouvrage intitulé "Lumières sur la Lune (Le grand doute!) "  l'ami Philippe Lheureux en page 58, nous dit que cette photo (en noir et blanc dans son livre ) de la Nasa n° AS14-66-9306 provient de la mission Apollo 14.    Entre Apollo 12 et Apollo 14, il faut donc choisir et comme en 87, on n'avait pas Internet pour mieux vérifier l'information, nous pouvons supposer que c'est l'auteur Alain Dupas du fascicule qui s'est trompé. A vérifier donc . Mais n'empêche qu'une telle erreur n'aurait jamais dû se produire si l'auteur avait contacté directement la Nasa pour avoir le droit d'imprimer ce document.

Deuxième problème : Ce soleil semble vraiment étrange par la forme du reflet qu'il crée sur le sommet du Lem (véhicule de descente sur la Lune) et surtout par l'aura circulaire qui s'en dégage: Comme la Nasa n'a jamais avoué la présence d'une atmosphère sur la Lune et que la communauté scientifique ne l'a pas fait officiellement, non plus, on peut donc admettre que ce que l'on pensait dans les années 50, à ce sujet, est encore valable.

      Voici donc un texte qui montre bien où se situe le hic:

Sciences et Avenir  n° 153 Nov. 1959
Futures visions Lunaires ?


     Maintenant la chose est certaine: Dans quelques mois nous aurons en main de bonnes photos de la face lunaire.
       Après la victoire de Lunik III,  l'Urss ne s'en tiendra pas là . Et les américains veulent envoyer un messager automatique faire de plus près encore le tour de la Lune. Ce que n'a pu nous révéler cette tentative-ci, telle autre nous le révélera. Car, maintenant que la compétition est engagée sur ce terrain des images lunaires, les choses vont aller très vite: pensons au nombre de satellites qui ont été lancés une fois que le départ eut été pris, voici seulement deux ans, dans cette voie.
       La face qui nous semble interdite n'est pas seule à poser encore des problèmes. Un survol de notre satellite permettant la prise de clichés tout proches sera un pas décisif pour leur solution. Tout au moins, cette étape sera-t-elle nécessaire pour préparer les voies à l'étape décisive de l'alunissage humain : on ne peut imaginer  en effet de faire  débarquer des explorateurs sans une préparation minutieuse, sans des reconnaissances préliminaires par machines interposées.
    D'ailleurs, on en viendra bientôt à l'étape encore plus importante - déjà préparée aux Etats-Unis; avec la fusée "Saturne"dont les essais doivent commencer au début de l'année - où des appareils seront précautionneusement  déposés sur le sol lui-même . Ce jour là, nous pouvons espérer avoir des  documents photographiques décisifs. A  tout le moins, des mesures physiques qui en diront autant pour les astronomes qu' un bon cliché pour les profanes.
       C'est le moment de nous préparer à la première grande révélation astronomique. Ce que des esprits scientifiques pouvaient refuser d'imaginer gratuitement  nous devons le regarder bien en face: Que seront les paysages lunaires?
      Jusqu'ici, c'est comme par jeu que certains astronomes se sont plus à les concevoir. Sur quels  éléments certains pouvaient-ils raisonner ?
      D'abord la nudité du sol est évidente, ni fleuves, ni mers, ni forêts. Pas de nuages. Un monde strictement minéral
.       D'autre part , la certitude de l'absence d'atmosphère. D'où découlaient de nouvelles certitudes  : toute érosion aussi  bien éolienne que  fluviales, est à exclure : la lumière du soleil ne pouvant se  diffracter sur les molécules atmosphériques comme elle le fait chez nous, en donnant au ciel son apparence azurée, le ciel est noir , même en plein jour, et les étoiles y scintillent sans cesse; le fait que toute diffraction est impossible mène à comprendre que tout objet est divisé en deux moitiés bien opposées, l'une franchement éclairée l'autre franchement dans l'ombre, sans que des molécules gazeuses donnent un certain moelleux aux ombres portées; enfin, élément décisif pour compléter notre tableau, la lumière est terriblement forte, terriblement crue car les feux du soleil ne sont filtrés par rien.
  Fin de citation.

      Nous avons comme à notre habitude, mis en évidence, en rouge, les mots clés à prendre en considération avec attention, dans cette déclaration. En voici une autre:

Texte tiré du "livre jaune n°6" des Editions Félix 65 Grand rue 06140 TOURETTES sur LOUP France

Fable N°2 : la Lune n'a pas d'atmosphère



     La science a toujours été d'accord sur le fait que la Lune est suspendue dans le vide interstellaire. Ce n'est pas étonnant. Une si faible force d'attraction, un sixième de celle de la Terre, ne peut pas retenir d'atmosphère. U.S. News & World Report a publié un article en 1969, qui décrit le monde dépourvu d'air qui règne sur la Lune:
- L'attraction est trop faible pour retenir l'oxygène, l'azote et d'autres gaz qui permettent la vie.
- Sans atmosphère, il ne peut pas y avoir d'eau à la surface
. - On peut voir les étoiles de jour comme de nuit, mais elles ne scintillent pas, puisqu'il n'y a pas d'air.
- Le soleil ressemble à une boule incroyablement lumineuse et le ciel autour est noir comme en pleine nuit.
...fin de citation....


     Mais voici aussi la déclaration extraordinaire d'une entité qui se dit extraterrestre nommé  POMAR et qui semble en connaître (sans perfide jeu de mot), "un rayon" sur la question et qui prétend venir de la planète ATOUN:
.....S'il vous était donné de le regarder hors de votre atmosphère vous seriez stupéfaits de le voir comme une balle violette aux reflets verts opaques, parfois iridescents d'une multitude de couleur où domine le bleu profond. Vous auriez aussi pour la première fois l'impression que le Soleil est "obscur"et que l'énergie de chaleur et de lumière qui semble émaner de lui, n'est qu'un aspect de la radiation effective de l'astre.
....En fait, le Soleil ne représente pas autre chose qu'un centre d'émanation une source d'ultra-micro-ondes radioactives à une fréquence extrêmement haute concentrant un potentiel de haute valeur...

       Il est gonflé ce Pomar n'est-ce pas, pour aller à l'encontre de tout ce  qui fait  l' orgueil de notre savoir scientifique sur le soleil ?

      Voir les détails minutieux de cette déclaration à :http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/Byrdalice.html

     Mais pour compléter ce tableau "ensoleillé", voici un récent message que nous devons à l'aimable internaute Cédric, dont les commentaires ont fait grandement avancer notre article sur la "Terre symétrique"

--- Original Message
From:Cedricm33@aol.com
To:fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Monday, January 14, 2002 7:27 AM
Subject: Effusion d'indices troublants

Mardi 8 janvier 2002, 7h07

Le Soleil composé surtout de fer et non d'hydrogène, selon un chercheur

WASHINGTON (AFP) - Le Soleil est composé majoritairement de fer et non d'hydrogène, a affirmé lundi un chercheur américain en présentant les résultats de son étude lors de la réunion annuelle de l'American Astronomical Society organisée à Washington.

Pour Oliver Manuel, professeur de chimie nucléaire à l'université du Missouri à Rolla, une partie de l'énergie du Soleil est produite par la fusion d'hydrogène en hélium à la surface de l'astre, mais l'essentiel de son énergie provient de son noyau riche en fer.

Cette théorie controversée s'appuie sur l'hypothèse également minoritaire parmi les astrophysiciens que le système solaire est né de l'explosion d'une supernova et non de la formation d'une nébuleuse solaire, un nuage de poussière et de gaz (principalement d'hydrogène et d'hélium).

"Nous pensons que le système solaire est issu d'une étoile et que le Soleil s'est formé sur le noyau d'une supernova" après un collapse stellaire, a expliqué le Dr Manuel. "

fin du message.


Et voici notre réponse en date du 21/01/02

   Comme quoi les hypothèses les plus généralement admises par la communauté scientifique sont parfois, un jour, brutalement remises en question et il ne faut pas s'en étonner outre mesure. Seulement cette information en subodore une autre :  Si l'on a admis que l'énergie rayonnée par le Soleil provient des réactions nucléaires qui se produisent de manière permanente dans les régions  centrales de l'astre, grâce à leur température de plus de 10 millions de degrés  et où il y a, dit-on, transformation progressive  de l'hydrogène  en hélium avec production sous forme de  rayons X d'une quantité d'énergie équivalant environ à 8 millièmes de la masse d'hydrogène consommée, si donc l'hydrogène est absent depuis des milliards d'années, la réaction de transformation en question aurait dû déjà s'éteindre depuis, sinon elle ne va pas tarder à s'arrêter et donc notre beau  Soleil ne devrait plus vivre longtemps encore contrairement à ce que l'on nous dit.  A moins que l'on trouve une autre équation intégrant l'élément Fer ou l'ion Fer, capable de nous remplacer celle si commode qui transforme hydrogène en hélium.

      Affaire à suivre donc avec attention.

      fin de citation


      Pour en revenir  alors à notre photo ci-dessus, nous ne comprenons  pas du tout pourquoi, par exemple, la plaque "UNITED STATES" est si bien visible alors qu'elle devrait être, avec son environnement immédiat, dans le noir absolu,  d'après la hauteur du soleil. Or d'après ce que nous révèle  de P. Lheureux dans son livre, les astronautes n'avaient à leur disposition; ni flash, ni déflecteur, pour renvoyer de la lumière sur cette plaque et autour d'elle. De plus ce soleil nous présente une aura très déformée dont un bord latéral gauche possède  une échancrure notoire surprenante et de plus le sol lunaire de l'arrière plan  de la photo est beaucoup plus sombre que celui de l'avant-plan alors qu'il n'y a pas de nuages sur la Lune pour justifier cette différence de luminosité. Nous aimerions donc être "éclairés", tant soit peu, sur ces mystères horripilants. Messieurs les spécialistes, vous avez la parole...

b) Mystère n°2

     En deuxième point, nous allons analyser cette photo tirée du Paris Match 1138  du 27 Fév. 1971 et dont la légende explicative de la revue est la suivante: "Les Ornières zigzagantes de la brouette: le chemin sinueux qui part du Lem est la trace de la "brouette" lunaire  en aluminium. Il témoigne de l'effort épuisant des astronautes . Ceux-ci en effet  devaient  au cours de  leurs deux sorties  modifier  à chaque instant leur itinéraire  afin d'éviter les rochers et les cratères. D'autre part, ils étaient terriblement gênés par les rebondissements de la brouette dont les pneus se trouvaient trop gonflés dans l'apesanteur, et pourtant le poids du véhicule qui aurait été de 40 Kg  sur terre, n'était sur la lune que de  6,75 Kg."

 

    Vous constatez donc en premier lieu qu'il n'est pas fait mention dans le commentaire ci-dessus (et non plus d'ailleurs, dans tout le reste du texte de l'article du Paris Match) du disque lumineux qui brille de toute sa splendeur dans le coin supérieur gauche de la photo et qui ne peut en aucune manière, être le soleil, car les rayons lumineux éclairant la scène, viennent sur le document, beaucoup plus grand de Paris Match, d'une source lumineuse située beaucoup plus à gauche de ce petit disque. Aucune explication satisfaisante n'a jusqu'à présent été donnée sur la présence insolite de ce disque dans ce paysage lunaire d'Apollo 14. Si vous croyez qu'il s'agit bien du soleil, et que nous sommes victimes  d'une illusion d'optique(souvent mise en avant pour noyer le poisson), alors, voyez à droite une autre photo, où il ne peut plus y avoir d'équivoque, car deux "soleils" sont alors présents. Cette photo célèbre de la Nasa peut être vue page 94 de l'ouvrage "Des Astres, de la vie et des hommes" de Robert Jastrow aux Editions du Seuil du début de 1971.On y voit l'astronaute Aldrin lors de la mission Apollo 11, qui déploie  un dispositif destiné à mesurer le vent solaire. De même, aucune explication n'est  apportée par l'auteur du livre sur la présence de ces "deux soleils" pourtant extrêmement brillants sur le fond noir du ciel. Avis aux amateurs...


      De plus, il est dit dans le commentaire de Paris-Match ci-dessus, "que les astronautes devaient modifier à chaque instant leur itinéraire afin d'éviter les rochers et les cratères". Or, il semblerait d'après la flèche rouge 1 en bas à droite, que, a contrario, ces astronautes aient braqué à angle droit leur brouette pour la faire passer justement dans une crevasse notoire. Bizarre n'est-ce pas ? A moins que " le chemin sineux" en question, ait été dessiné, après coup sur le sol lunaire et que sans qu'on s'en rende compte, il a traversé cette crevasse bien inopportune. A vous de juger!!

    Mais aussi comme on aimerait voir au bout de la fléche n°2 ces traces des roues de la brouette qui retournent au (où partent du) du LEM. Mais hélas elles brillent, par leur absence et certains sceptiques diront qu'elles sont probablement cachées par un contrefort du terrain ou que leurs orientations les privaient des rayons lumineux pouvant les faire ressortir comme c'est le cas ailleurs. A vous de juger !!.

      Quant aux rebondissements intempestifs de la brouette, dus aux pneus trop gonflés dans l'apesanteur lunaire, bravo aux ingénieurs de la Nasa qui n'ont pas su calculer ce petit détail, pour éviter les rebonds, surtout après les données recueillies des missions 11 et 12 sur la nature du sol lunaire.

c) Mystère n°3


     A propos de la brouette en question, voici d'ailleurs la photo prise sur Terre, de cette brouette et des astronautes Alan B. Shepard et Egar D. Mitchell à l'entraînement nous dit-on, en Arizona à Cottonwood où le site du cratère Fra Mauro a été reconstitué (Science & Vie n° 641 fev. 1971)

  


     Nous constatons que cette brouette est bien massive avec tous les appareils qu'elle transporte , donc pas très facile à manier et devrait effectivement laisser des traces profondes sur le sol lunaire ce que prétend nous montrer la photo aux traces lumineuses ci-dessus.
       Mais justement voici la brouette (scientifiquement appelée le MET: Modular Equipement Transporter) en question sur une photo voisine du même Paris Match 1138 :



    La légende qui accompagne cette photo est : "L'instant du décollage. Shepard et Mitchell vont voir disparaître brouette et instruments. Sur le sol couvert des empreintes de leurs pas, ils aperçoivent l'ombre de leur antenne parabolique"
    Il semblerait donc que la caméra ait été dirigée volontairement vers le sol pour filmer cet appareil désormais inutile et sans grand intérêt alors qu'un panorama du paysage lunaire serait bien plus enrichissant. On voit en effet sur cette photo de la brouette "abandonnée", deux traces assez nettes sur le sol lunaire (voir flèche double n°1), mais traces hélas qui s'arrêtent brusquement alors que la brouette est bien plus loin et n'est pas reliée à elles. Comment a-t-elle pu donc rouler jusqu'à son emplacement final si rien ne le montre sur le sol? Mieux il semblerait qu'elle ait été tirée selon un angle très fermé sur une roue ( flèche 2 ) alors que l'autre roue de droite, elle,  n'a laissée aucune trace parallèle sur le sable meuble où des empreintes de pas se sont si bien imprimées. Cette brouette a-t-elle été posée là, par un dispositif de levage ? La roue de gauche a-t-elle frotté le sol, légèrement, lors de la mise en place ? A vous de juger....

     De plus cette brouette est posée sur un câble (on aimerait bien en connaître l'utilité ici ), qui se prolonge à gauche de l'appareil ( flèche n°3 ) bien plus loin sur la photo beaucoup plus large du Paris Match (dont nous avons été obligé de couper une grande partie). Mais ce qui surprend, c'est que ce câble est enfoui sous le sable à certains endroits et on le voit à peine passer pas loin du  bout de la flèche n°2, sortant du dessous de la roue de gauche de la brouette et il réapparaît de nouveau hors du sable au bout de  la flèche n° 4. Ce câble a-t-il été enfoui accidentellement à certains endroits, ou l'a-t-on déterré à la suite d'une mauvaise manœuvre ? Il est très important de le savoir, car dans la deuxième hypothèse cela signifierait sans l'ombre d'un doute que tout cela a été préparé à l'avance et l'on voit mal en effet, un astronaute passer son temps précieux à enfouir un câble sous le sol lunaire, alors qu'il est plutôt gêné aux entournures par son scaphandre, et qu'il ne peut pas se plier pour réaliser une telle opération, au demeurant parfaitement inutile sur la Lune..

Quelques photos supplémentaires en date du 5/09/02


    Pour aider l'internaute à mieux analyser cette affaire de cable enfoui dans le sol lunaire, voici quatre autres photos plus parlantes :

  


    Le cable ressort bien du sol au bout la flèche 1 après avoir disparu sous le sable au bout de la fleche 2, il ressort après une boucle au bout de la flèche 3 et est très nettement visible au bout de la flèche 4, il disparait à nouveau au bout de la flèche 5 où il semble avoir été piétiné et le sillon de sa trace est très net au bout de la flèche 6.

  


    Après ce long sillon où il est enfoui, ce cable "semble" réapparaître au bout de la flèche 7, puis disparaître enfin dans une profonde entaille du sol aux bouts des flèches 8 et 9. En résumé ce cable est plus souvent enfoui qu'au grand jour. Que les internautes qui peuvent découvrir où sont stoqués les clichés plus nets et originaux de la Nasa, sur cette affaire, pensent aimablement à nous en avertir. Merci mille fois d'avance.

    Le Mardi 5 Septembre 2002, nous avons reçu l'importante missive suivante :

--- Original Message -----
From: robert.bigeat
To: Fred Idylle
Sent: Thursday, September 05, 2002 10:55 AM
Subject: Re: Du nouveau sur Artivision

        Je vous remercie vivement de ce nouvel envoi. Pour ce qui concerne l'histoire du cable enterré à moitié lors d'Apollo 14, il faut savoir que lors de la précédente mission sur la Lune, Apollo 12, il y avait eu un problème avec un cable arraché et cassé par l'un des astronautes lors de l'installation de la station ALSEP. En effet les astronautes déposaient sur la lune une station scientifique comprenant divers appareils dont un sismomètre. Pour leur alimentation en électricité ces appareils étaient reliés à un générateur radio-isotopique au plutonium. Il étaient aussi reliés à un émetteur pour les liaisons avec la Terre. Des cables assuraient ces liaisons en étoile autour du générateur isotopique et de l'émetteur vers la Terre. Lors de l'installation de celle d'Apollo 12 un cable fut malencontreusement arraché privant un appareil scientifique de son alimentation électrique. Et ce n'était pas réparable sur la Lune. Il fut donc décidé afin de prévenir ce genre d'incident que les astronautes des futures missions enterreraient plus ou moins sommairement les cables.
Robert BIGEAT


      Et voici notre réponse du même jour:

---- Original Message -----
From: Fred Idylle
To: robert.bigeat
Sent: Thursday, September 05, 2002 5:31 PM
Subject: Re: Du nouveau sur Artivision

        Bien cher Robert       Merci pour votre précieuse information.  Elle éclaire parfaitement mon interrogation. Je pense que cela explique bien des choses. Mais comment peut-on enfouir convenablement un cable sous le sable alors que l'astronaute a déjà un mal fou  à seulement ramasser un outil tombé sur le sol ? Bien sûr, il peut utiliser un long outil. Mais quel boulot? D'autre part inversement le travail aurait été bien mal fait puisque ce cable est bien en suspension à certains endroits.
        Bref merci encore pour votre éclaircissement qui fera bientôt suite à mon parargraphe dans l'article.
  Fidélement et bien amicalement Vôtre:
  Fred 


       Voici aussi quelques mots de Philippe Lheureux qui vient justement de donner un prolongement à son livre sur la Lune en la matière de : http://lheureux.free.fr/bonus.html 

  ----- Original Message ----
From: Philippe Lheureux
To: Fred Idylle
Sent: Friday, September 06, 2002 12:01 PM
Subject: Re: Du nouveau sur ARTivision

     Cet internaute  a l'air de s'y connaître ! Demande lui,  aussi en passant, pourquoi l'échelle du Lem était trop courte ... Compte tenu de la couche de poussière, enterrer le cable (sommairement), sans doute d'environ 5cm, revient à ne plus le voir et donc à risquer de l'arracher beaucoup plus facilement que s'il reste visible. L'explication ne tient pas !

      @micalement Phil
fin de citation


       Le débat sur cette affaire de cable est donc bien lancé. Les internautes ont alors la parole...

d) Mystère n°4


      Analysons maintenant toujours pour Apollo 14, la photo où l'astronaute Shepard tient avec la main gauche le mât du drapeau américain:


     L'astronaute  reçoit de  pleine face le soleil qui se reflète d'ailleurs sur sa visière. Son ombre et celle du mât posent cependant problème .  Au bout de la flèche  rouge n° 1, on voit que l'ombre du mât est tronquée et décalée à partir de l'ombre de la main de l'astronaute. A moins d'une anfractuosité cachée par terre, comment expliquer ce décalage notoire, le sol étant pourtant particulièrement uni à cet endroit...

        Mais au bout de la flèche rouge  n° 2,  on aperçoit un vide d'ombre, qu'un spécialiste du dessin en perspective pourrait trouver bizarre . On dirait qu'il manque une continuité dans l'ombre en question... Mais, nous ne sommes pas qualifiés pour en débattre..
.       Enfin la grosse flèche n°3 met bien en évidence le brusque changement de "rugosité" du sol  derrière l'astronaute, sol qui devient  alors comme le plateau d'une table de billard. A vous de juger.

Tentative d'explication scientifique au 28 04 02 .

       Nous avons reçu alors la missive suivante : 

----- Original Message -----
From: T......, Raphaël
To: 'fred.idylle@wanadoo.fr'
Sent: Sunday, April 28, 2002 8:39 AM
Subject: Concernant ton mystère numéro 4 sur ta page "http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/Nasatangible.html"

      Salut,
       Je me suis un peu plongé sur cette photo et j'ai imaginé qu'il ne s'agirait   en fait que d'un affaissement dans le sol, ce qui expliquerait en partie pourquoi les ombres sont tronquées...
       Je t'ai fait un petit croquis qui explique cela mieux  et le voici:


     a+


Et voici notre réponse à l' aimable internaute nommé ci-dessus:

----- Original Message -----
From: idylle fred
To: Raphael.T.....
Sent: Sunday, April 28, 2002 10:19 PM
Subject:
Re :Nasatangible

  Bien cher a+
    Bravo pour vos recherches pointues. Moi,  je n'y connais rien en photographie et mes remarques ne sont qu' interrogatives.
     Votre hypothèse est effectivement la plus vraisemblable et c'est bien dommage que le sol soit si uni dans le coin et que l'on n'y voit presque rien sur cette photo. L'analyse du négatif de la Nasa serait bien plus révélateur à mon sens. Bonne chance si vous arrivez à mettre la main dessus et il y a bien sûr d'autres négatifs bien plus précieux que celui là et que je recherche depuis des années, comme par exemple celui qu'avait utilisé Paris-Match pour imprimer la page 33 de son n° 1028 du 18 Janvier 1969.


e) Mystère n°5

     Voici maintenant Alan Shepard , le premier américain être lancé en 1961 par une fusée, qui semble au  garde à vous en sortant du Lem à moins qu'il ne tende le bras seulement  pour se protéger des rayons de soleil. Mais, dans la visière  de Shepard, le soleil parait être plutôt haut dans le ciel lunaire en contradiction avec l'ombre au sol bien allongée (Mais cela pourrait pourrait bien être dû à un effet déformant de la réflexion de ce casque)

.       Mais regardez surtout la pierre qu'indique la flèche rouge :

  


     Il semblerait que l'on y aperçoive des inscriptions  comme un L et un C et une tête de flèche, mais le C est barré par une sorte de rature en forme d'Y . Seuls des spécialistes  de la graphologie et la crytographie informatiques pourraient nous éclairer à ce sujet. Avouez cependant que tout cela est bien surprenant.

f) Mystère n°6

    Nous avons également mis la main sur les pages d'un Paris Match dont nous n'avons hélas pas noté la date de sortie, mais qui présente cette fois l'épopée d' Apollo 17 ( du 7 au 19 Déc. 1972) qui répond au titre "Le civil qui a vaincu la Lune":

  

    La légende accompagnant cette photo est: " Un rocher comme sur la Terre: ce monstrueux bloc de rocher est une autre découverte impressionnante.  Son aspect  déchiqueté et érodé contraste étrangement avec les formes lunaires habituelles, douces et arrondies, telles qu'on peut les voir se profiler à l'arrière plan. an retour de ce dernier voyage, Apollo 17 a ainsi emporté une moisson fabuleuse d'échantillons que le géologue Harrison H. Schmitt a choisis avec discernement. 270 Kilogrammes de roches ont été  jusqu'à ce jour prélevés sur la lune puis déposés 350 000 kilomètres plus loin sur la Terre. ".

    Mais analysons voulez-vous le bout de flèche rouge n° 1. N'y voyez vous pas une sorte d'inscription représentant un R , un et un Y ou un 4. La photo suivante où nous avons volontairement accentué le contraste est plus nette à ce sujet. Quant au bout de la flèche 2, ne dirait-t-on que l'on a gratté la pierre (voyez bien la forme géométrique de ce grattage) pour  y faire disparaître d'autres inscriptions, mais que l'on a cependant oublié sur les bords du grattage un V qui apparaît bien nettement, et au-dessous duquel pointent deux portions de droites bien parallèles.
    Évidemment tout cela pourrait être le fruit du hasard. Mais dans le cas où des spécialistes démontreraient qu'il s'agit vraiment d'une écriture que l'on a essayé de camoufler, il n'est pas besoin d'insister sur les implications extraordinaires que l'on pourrait en tirer. Aux spécialistes donc de répondre...

.      Sur la même roche nous avons aussi notés beaucoup de structures possédant des angles droits, comme par exemple celles  de la photo suivante :


    La flèche 1 nous montre d'abord un sorte forme circulaire très étrange et qui pourrait être un outil oublié dans ce coin, et la flèche 2 n'a pour but que de montrer une structure contenant plusieurs angles droits alors qu'il y  a des tas d'autres structures du même genre formant même des trous carrés que vous n'aurez aucun mal à déceler. On dirait que cette roche a été carrément sculptée... D'ailleurs son sommet parait bien plat pour une roche lunaire, car sur la Lune, il n'y a pas en principe d'érosion susceptible de la raboter de la sorte. Mais voici deux autres vues, bien parlantes:

 

     Sur l'image de gauche la flèche montre que l'ombre portée sur le sol de la structure (où apparaissent sans discussion des bassins sombres de forme carrées ou avec d'autres géométriques est elle même bien formée d'angles droits ce qui prouve que l'illusion d'optique est ici à écarter.
      Voilà enfin une dernière photo de la région soi-disant visitée par Apollo 17. La colline en arrière plan brille admirablement alors que celle placée directement derrière l'astronaute est plutôt sombre. A moins que ce soit encore un coup de coloriage de Paris Match, nous pensons que seuls  des nuages sur la Lune pourraient être à l'origine d'un tel phénomène en cachant une partie du sol lunaire  où se trouve justement l'astronaute. Mais  ce dernier  pourtant est parfaitement éclairé sur cette photo, (mais  nous avons coupé son ombre sur le  sol pour réduire l'image). Cette montagne pourrait-elle aussi, être constituée d'un  matériau blanchâtre comme la craie ? Mais la Nasa n'a jamais évoqué ce fait...Alors que faut-il en déduire ???

     Mais à propos d'Apollo17 voici justement du nouveau :
    En effet le 29 Nov. 2002 nous avons recu de l'ami Z.Omar4 une missive très interressante nous signalant la sortie du n° 391 de Décembre 2002 de la revue CIEL&espace où un volet de 16 pages détachables était consacré à l'aventure d'Apollo 17 sous le titre: "Apollo 17: L'aventure Lunaire redécouverte -La mission extraordinaire-".
     Z.Omar4 nous faisait alors part de ses interrogations au sujet des caractéristiques étranges qu'il avait découvertes sur certaines des nombreuses photos de ce dossier.
     Le 4/12/02 nous avons pu mettre la main sur cette revue et pour ne pas alourdir, encore plus cet article que vous êtes entrain de lire, nous vous donnons nos appréciations au sujet de ce nouveau dossier de CIEL&espace, dans un sous-article placé directement à:
http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/Nasatangiblesuite.html

g) Mystère n°7

    Nous avons aussi découvert aussi la photo suivante, à la page 87 de l'ouvrage de Robert Jastrow cité plus haut, une admirable photo de la Lune prise par le télescope de 2,50 m du Mont Wilson, (donc photo moins sujette à caution que certaines photos de la Nasa ):

>

     La flèche n°1 montre une superbe tour (qui doit être gigantesque et les spécialistes se feront, nous l'espérons, un plaisir de nous en dire plus) posée sur un socle carré et entourée de structures à formes géométriques connues remarquables. Cette tour est située  semble-t-il dans le cratère Rutherford sur le 61° de latitude sud et le 9° de longitude Ouest et placé au sud-est  de la  grande formation de Clavius.  D'ailleurs toute la région est pourvue de ces formes géométriques  (voyez les autres flèches placées seulement en exemple car on ne peut compter les bizarreries et les angles droits de cette photo). Des spécialistes du dessin informatique en  3D devraient certainement  découvrir là matière à étonner même les revues les plus difficiles à convaincre... Et il serait judicieux de comparer cette zone photographiée au télescope avec celle présentée par les sondes et les astronautes de la Nasa qui l'ont survolée à plusieurs reprises. Affaire suivre donc de très près.

     De toute façon, toute étude quelconque qui se voudrait sérieuse, ne peut être menée sans que son auteur n'ait réussi à se procurer au moins une copie du négatif utilisé par l'Editeur d'origine de cet ouvrage de Robert Jastrow en l'occurence l'Editeur anglais Harper and Row à New York, et dont le titre anglais est : Red Giants and White Drarfs. Nous n'avons pas réussi, hélas, à prendre contact avec cet Editeur anglais. De même les Editions du Seuil qui ont publié ce livre en français et que nous avons contacté le 30/06/2003, n'ont pas su nous dire où se trouvait actuellement ce négatif et pourtant nous avions bien précisé que notre recherche était de la plus haute importance et possédait une très haute priorité. Bravo par anticipation donc, aux intrépides internautes qui réussiront à ce procurer une copie du précieux négatif en question.

h) Mystère n°8

    Nous avons aussi découvert sur le site: http://nssdc.gsfc.nasa.gov/imgcat/mission_index.html#Apollo_15 l'article suivant:

    Earth's Moon - Apollo 15
Surface picture of astronaut, rover and rim of Hadley Rille on the Moon




Apollo 15 astronaut James Irwin and the rover at the edge of Hadley Rille on the Moon. David Scott took this Hasselblad picture looking northwestward from the flank of St. George crater. The rille has been widened and made shallower over time by wasting from the walls. Talus blocks are visible on the walls and on the floor of the rille. (Apollo 15, AS15-85-11451) Full resolution size: 305k


     On voit bien sur l'arrière plan droit, en haut, une sorte de fuselage qui ne peut en aucune manière faire partie d'un paysage lunaire avec sa forme bien géométrique notoire. Quand aux explications présentées en anglais à coté, nous  n'y avons  rien compris car on y parle de murs (des murs sur la lune!!!) et de rille ( ce mot n'existe pas dans notre dictionnaire) que nous  n'assimilons pas du tout dans ce contexte.
       Ne pensez-vous pas comme nous, que cette photo a été prise sur Terre, sur zone d'entraînement,  où il y avait une piste d'atterrissage pas bien loin et que l'on ne s'est pas rendu compte que le fuselage d'un avion dépassait quand la photo a été prise ? Voilà, à notre avis, l'explication la plus logique. Les photographes de la Nasa ont fait bien d'autres erreurs, alors pourquoi pas celle-là.

Conclusion


     Nous venons encore une fois de faire un court voyage au cœur de l'insolite concernant la Lune et nous pourrions en faire, autant pour Mars. Nous invitons alors les internautes qui sont armés pour le faire, à approfondir plus avant les mystères évoqués (et de ne pas  oublier de nous parler de leurs découvertes ) pour que jaillissent enfin, cette incroyable vérité qui intéresse toute l'humanité et qui la relie, assurément,  à son destin cosmique.

Prolongement révélateur en date du 21/02/02

    Le 20/02/02 nous avons reçu de l' ami  Frendelvel le message suivant:

----- Original Message -----
From:Frendelvel
To idylle fred
Sent: Wednesday, February 20, 2002 1:18 PM
Subject: Re: revelations à Clavius

Cher Fred

    J'ai pris le temps de regarder de plus près cette zone lunaire car l'impression d'une colonne est en effet assez saisissante. Toutefois cette colonne au centre du cratère Rotherford devrait alors des dimensions gigantesques puisque le cratère Rotherford fait 48 km de diamètre.
  Voici la zone des cratères Clavius et Rotherford vue par la sonde Lunar Orbiter 4 en 1967 (4-130-h3.jpg).

   

   Cette photo correspond à peu près à la zone encadrée de la seconde image. Clavius est le grand cratère, tandis que Rotherford est le petit cratère interne cerclée en rouge pointillé.
  La forme de colonne est déjà nettement moins évidente.
  Alors que la photo de Lunar Orbiter est prise pratiquement à la verticale du lieu, celle du Mont Wilson est prise très en biais. Par conséquent s'il y avait une immense colonne  au centre de Rotherford, elle ne devrait pas apparaître dirigée vers le haut, mais vers le bas-gauche.
     Voici maintenant des photos de la sonde Clémentine en 1994.
    Le cratère Rotherford est toujours encerclé en rouge.

 


   Il semble donc à priori que cette "colonne " soit due à un effet d'ombre.
  Par ailleurs c'est en explorant ainsi piste après piste que l'on finira par trouver quelque chose.
  Bien cordialement.
..........
   Bravo donc à Frandelvel pour les informations précieuses et rapides qu'il nous apporte sur le cratère Clavius et son petit voisin Rutherford. C'est là que l'on voit combien l'internet est un précieux média.
   En ce qui concerne les images transmises, nous constatons d'une part que l'image de Luna orbiter 4, tout en montrant un pilier bien moins structuré que celui du Mont Wilson, présente juste à sa gauche une forme très en relief en W évasé, tandis que l'image de sonde Clémentine, où la résolution est plus grande, ne nous montre plus du tout ce W et de plus le pilier est devenu comme par enchantement une colline aux formes bien arrondies. Ceci nous rappelle l'histoire du visage de Mars qui de 1976 à 1998 s'est considérablement avachi, comme le montrent les photos suivantes :



    Mais dans l'ouvrage publié en 1982 intitulé "Unsual Mars surface features" par Vincent Dipietro, Gregory Molenaar et Dr John Brandenburg et publié par Mars Research P.O. BOX 284 GLENN DALE, MARYLAND 20769 , nous avons découvert cette image qui ne semble pas venir d'une illusion d'optique et dont certains éléments(comme les sphères près de l' il et des sortes de  dents que montrent les flèches) ont totalement disparu par la suite. D'ailleurs, nous avons aussi découvert le site  : http://www.ebtx.com/theory/marsface.htm d'après lequel la National Security Agency aurait "falsifié" le fameux "visage" pour le rendre plus "naturel"

  

     D'autre part, nous avons découvert comme par hasard le 22/02/02, une autre photo de Clavius  prise par un télescope de 305mm Schmidt-Cassegrain:

    Bien que l'intérieur de Rutherford soit malheureusement dans l'ombre, le bout de la flèche fait apparaître cependant une structure bizarre, jointe à une flèche pointue, qui ne semble pas être du tout apparente  sur les photos de la sonde Clémentine.  Sans doute, c'est encore un effet d'optique qui nous  cache la structure en question : A vous de juger.

  En terminant, nous avons une petite pensée pour le regretté de Stanley Kubrickdont l'admirable film "2001 L'odysée de L'espace" nous a fait rêver en son temps. Or le scénario de ce film est d' Arthur C. Clarke (membre de l'Académie Astronautique, inventeur des satellites artificiels, prix kalinga de vulgarisation) qui avait imaginé, comme par hasard, que c'était justement dans le cratère Clavius que l'on avait découvert un monolithe en forme de parallélépipède, signe du passage sur la Lune, d'une civilisation très avancée. L'auteur a pourtant choisi, ce cratère parmi des milliers d'autres. Comme le hasard fait bien les choses, ne trouvez-vous pas?

     Pour les puristes disons que A.C. Clarke avait déjà parlé de cette pierre noire dans une nouvelle précéde intitulé" La sentinelle" et dont nous parle cet aimable internaute:

----- Original Message -----
From: f.........s@s.........a.fr
To: Fred Idylle
Sent: Wednesday, February 12, 2003 12:30 PM
Subject: Réf. : Re: Réaction à votre site

    Après une courte recherche sur "la sentinelle" sur le net, voici ce que
j'ai trouvé :
sur http://neocobalt.free.fr/auteurs/lasentinelle.html : "...En 1951, Avon
Periodicals publie La sentinelle The sentinel, par un auteur qui va bâtir
les fondations de sa carrière en freelance : Arthur C. Clarke bien sûr.
A la recherche d'un scénario de science-fiction, Stanley Kubrick fut séduit
par la nouvelle, désormais célèbre. Il commanda alors le script à Clarke,
et les deux auteurs développèrent ensemble le récit et en tirèrent le film et
le roman : 2001 l'odyssée de l'espace.
...La nouvelle The sentinel est disponible dans La Grande Anthologie De La
Science-Fiction, Histoires d'Envahisseurs, aux Editions Le Livre de Poche ;
publiée également en texte intégral aux éditions Librio - Les neuf
milliards de noms de dieu et autres nouvelles - traduit de l'anglais par
Iawa Tate -
Arthur C. Clarke, Londres, décembre 1948. "

Une autre référence sur
http://home.nordnet.fr/~aleyssens/auteur/clarke.htm :
"La sentinelle (Sentinel of eternity, 1951), in Planète 32, 1967, reprise
dans "Anthologie de la littérature de science-fiction", anthologie composée
par
     Jacques Sadoul, éditions Ramsay, 1981, reprise in "Histoires
d'envahisseurs", éditions Livre de poche, 1983, reprise in "Histoires de
science-fiction",
     éditions Livre de poche, 1984 "

J'ai bien peur d'être trop cartésien pour être convaincu par vos arguments,
mais en bon scientifique qui doute je trouve que c'est le genre de site qui
pose au moins les questions (même si je ne suis pas d'accord avec les
réponses apportées :-)

Cordialement,

F.... H....


     Et voici notre réponse en date du 13/02/03.

----- Original Message -----
From: Fred Idylle
To: f......h.....@........fr
Sent: Thursday, February 13, 2003 12:58 PM
Subject: Nouveau message des tropiques

    Bien cher internaute doublement béni

    Vos recherches subtiles révélées ci-dessus ont été déterminantes dans la trouvaille que je viens de faire dans mes propres documents : En effet je vous écrivais dans ma dernière missive: "Merci encore. Tout cela sera mis sur le Net et je pari que je trouverai bien quelqu'un qui m'enverra le passage clé que je recherche dans cet ouvrage d'A.C.Clarke. "

    Eh bien voilà ce que j'ai trouvé hier :


Histoire de la science fiction moderne

J'Ai LU (1975) page 265.

Angleterre

:
    New Worlds a maintenant une revue sœur, Science-Fantasy, dont le premier numéro date de l'été 1950. Cette nouvelle revue fut d'abord dirigée par Walter Gillings, puis, à partir du numéro 3 (déeembre 1951), par Ted Carneil. C'est dans ces pages que Brian W. Aldiss fit ses débuts avec Criminal record en juillet 1954. John Brunner y parut à partir de septembre 1955 avec The taIisman, mais il avait déjà été édité aux États-Unis dans Astounding, en mars 1953, sous le pseudonyme de John Loxmith. Deux textes retiendront plus particulièrement notre attention et, en premier, The sentinel, d'Arthur C. Clarke, paru dans New Worlds  en avril 1954. C'est cette courte nouvelle qui servit à Clarke de point de départ pour le scénario de 2001. A space odyssey ( 2001.L'odyssée de L'espace Éditions "J'ai Lu", 1970), que le film de Stanley Kubrick a rendu mondialement célébre. The sentinel raconte seulement la découverte d'un monolithe mystérieux sur la Lune et se termine de la part des explorateurs terriens dans une expectative pleine d'appréhension : « Peut-être que les constructeurs du monolithe veulent aider notre civilisation encore dans l'enfance. Mais ils doivent être très vieux, très très vieux, et les vieilles gens sont souvent jalouses jusqu'à la folie de la jeunesse... Si vous pouvez me pardonner une comparaison aussi triviale, nous avons brisé la glace d'une borne à incendie et nous n'avons plus qu'à attendre. Je ne pense pas que nous aurons à attendre très longtemps.

.....     Et voici aussi le traduction de Brigite André proposée dans le Planète N° 32 du Jan-Fév. 1967:

    " Peut-être veulent-ils aider notre civilisation, encore dans son enfance. Mais ils doivent être très très vieux et les vieux sont souvent maladivement jaloux  des jeunes.
   Maintenant, je ne peux plus regarder la Voie Lactée  sans me demander à partir  de quel banc d'étoiles les émissaires sont en route. Si vous voulez bien me pardonner un tel cliché, nous avons tiré la sonnette d'alarme et nous n'avons plus qu'à attendre .
     Je ne pense pas que nous attendions longtemps
"


     Comme vous le voyez ce qui est en bleu à la fin du texte "la sentinelle" peut parfaitement jouer le rôle du passage clé que je recherchais et qui se trouvait pourtant à portée de main dans mes dossiers.
     Je mets tout cela en ligne dès que possible et je vous remercie encore pour votre heureuse intervention dans les arcanes d'ARTivision.


     Très fidélement et bien tropicalement Vôtre.
F.Idylle


   Fin de missive

    Si vous voulez plonger dans d'autres mystères planétaires, cliquez s.v.p sur les articles d' ARTivision ci-dessous :

à   http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/myslune.html
ou http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/luneorth.html
ou http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/mars.html
ou http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/mercure.html
ou http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/Nasajury.html
ou http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/remucos.html
ou http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/lettreouverteSA.html
ou http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/lettreouverteSVJ.html
ou http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/lettreouverteCe.html
ou http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/Gille.html
ou http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/RoseC.html
ou http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/Terresym.html


  Si vous voulez découvrir d'autres sites analogues, cliquez s.v.p sur les adresses Web ci-dessous:

http://lheureux.free.fr
http://www.cryogen.com/heliord/
http://www.multimania.com/sapiens/


     Article mis en page le 17/09/2000 et revu le 28/10/2001 puis le 05/11/01 puis le 14/02/03 puis le 26/06/04 puis le 10/11/04 puis le 15/04/05 .

Fred Idylle

Retour à la page d'accueil