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Suite planétaire
de l'affaire E. Byrd
On pourrait penser que seule la planète Terre présente des caractéristiques insolites aux pôles. Analysons, voulez vous, quelques photos d'autres planètes.
Commençons voulez-vous
par la Planète Mars:
Déjà en 1892,
l'astronome anglais J. Norman
Lockyer notait au sujet de
cette planète: " La
zone de neige (qui
recouvre le pôle observé)
est parfois si brillante qu'elle semble faire saillie au-dessus de la planète, comme une sorte
de croissant lunaire ".
Voyez donc l'image ci-dessous de la calotte polaire en relief de Mars:
R.Bernard, nous
précise même, qu'il est arrivé, que la calotte polaire brillait comme
une nébuleuse alors que la
planète Mars, elle-même, était cachée par des nuages. Nous, vous
proposons donc ici, deux photos de Mars où l'on voit bien le
pôle qui brille parfaitement, alors que le reste de la planète est dans l'ombre.(voir
la photo télescope Mars 1:)
Voir aussi la photo NASA Mars 2 :
Seuls des rayons provenant directement du soleil intérieur peuvent causer
une telle
luminosité au dessus de la planète, luminosité qui varie en fonction
de l'état de l'atmosphère selon qu'elle est claire ou nuageuse. S'il
ne s'agissait que d'une simple calotte
glaciaire, comme on le dit généralement,
brillerait-elle tout de même, quand Mars est couverte de nuages ? Bien
sûr, il y a les superbes photos des calottes polaires de Mars, comme
celle-ci, où l'on ne voit que de la prétendue glace. Nous en
reparlerons:(voir
la photo pôle Mars 3 :)
Le 01/02/05 nous avons reçu de notre ami Luc Pillionnel la missive suivante:
----- Original Message -----
From: Luc Pillionnel
To: Fred Idylle
Sent: Tuesday, February 01, 2005 9:09 AM
Subject: vortex au pôle de Mars
Tiré du site:
http://fr.news.yahoo.com/050128/202/48nos.html .
Vendredi 28 janvier 2005, 12h10.
De la lumière détectée dans la nuit martienne.
PARIS (AFP) - De la lumière dans la nuit martienne, due à la présence de
molécules d'oxyde nitrique, vient d'être détectée par un des instruments de
la sonde européenne Mars-Express, en orbite depuis un an autour de la
"planète rouge", a annoncé vendredi dans la revue Science une équipe
internationale de chercheurs.
La cartographie de cette émission lumineuse, souligne le responsable de
l'équipe, Jean-Loup Bertaux, du Centre National de la Recherche Scientifique
(CNRS - France) est d'importance en particulier dans la perspective de
futures missions martiennes : en affinant la compréhension de la circulation
de l'atmosphère et du climat de Mars, elle permet d'envisager, pour les
charges qui seront envoyées à la surface de Mars, l'utilisation de la
technique de freinage atmosphérique (ou aérocapture), donc des missions à
moindres coûts.
On sait depuis longtemps que l'atmosphère terrestre émet spontanément de la
lumière dans le ciel nocturne, mais jamais jusqu'ici aucune lumière n'avait
été détectée dans la nuit de Mars, si ce n'est un faible "clair de Phobos"
(un des satellites de Mars), équivalent martien de notre clair de Lune.
Le phénomène enregistré par le spectromètre ultraviolet et infrarouge
SPICAM, explique Jean-Loup Bertaux, son responsable, est le même que celui
qui avait été observé et expliqué il y a vingt-six ans sur Vénus : du côté
jour de la planète, le rayonnement solaire ultraviolet dissocie les
molécules de dioxyde de carbone (CO2), principal constituant de l'atmosphère
de Mars, et les molécules d'azote (N2). Chaque atome d'azote se combine
ensuite avec un atome d'oxygène pour former la molécule d'oxyde nitrique (ou
monoxyde d'azote, (NO).
Dans la haute atmosphère de la planète (à plus de 120 kilomètres
d'altitude), il y a, du côté jour, une production continue, mais faible,
d'atomes d'oxygène et d'azote. Au cours de leur lente descente dans
l'atmosphère, lorsque leur concentration augmente, ces atomes finissent par
se recombiner et former ainsi, vers 70 km d'altitude, la lumière observée
par SPICAM.
Cette émission, ont constaté les chercheurs, est intense dans la région du
pôle sud de Mars. C'était alors le plein hiver pour ce pôle (donc la nuit
glacée permanente), saison pendant laquelle 30% de toute l'atmosphère de
Mars se condense au sol, pour former une calotte de neige carbonique d'un
mètre d'épaisseur.
Cette région, avancent Jean-Loup Bertaux et ses collègues, ferait office
d'aspirateur, l'air congelé au sol devant être remplacé par des vents
horizontaux mais aussi par une descente verticale. "C'est cette descente
verticale, qui existe aussi sur Terre, dans la nuit de l'hiver polaire, que
tracerait l'émission lumineuse observée."
Actuellement, les modèles de circulation générale de l'atmosphère, tels ceux
qu'utilisent les services météorologiques pour prédire le temps sur Terre,
existent aussi pour la planète Mars, mais, par manque quasi total de
mesures, ils sont encore incertains pour la haute atmosphère, là où
pourraient avoir lieu les manoeuvres orbitales des futurs engins martiens.
Grâce aux mesures de SPICAM, de telles manoeuvres plus "économiques", grâce
à la technique du freinage atmosphérique, peuvent être envisagées.
fin de citation.
Quand à la lumière observée vers 70 km d'altitude, dont il est question dans ce communiqué, elle est étrangement absente sur la photo présentée. Il eu été plus judicieux de choisir, cette extraordinaire photo de Mars , prise le 31 Aout 2003 par le "Griffith Satellite Observatory", lors de la fameuse opposition de 2003, où Mars était alors au plus près de la Terre à environ 56 millions de km :
Tout cela serait vite oublié, si le même phénomène ne se présentait pas aussi encore sur Mercure, qui en principe ne devrait pas avoir de calotte polaire, vu sa proximité avec le Soleil. D'ailleurs, ce n'est qu'en 1965, qu'on a découvert que Mercure est animé d'un très lent mouvement de rotation sur lui même et de ce fait ne présente pas toujours la même face au soleil, contrairement à ce que l'on pensait auparavant, ce qui permettait d'admettre l'existence de régions totalement plongées dans l'obscurité (Le livre d'Albert Ducrocq "l'humanité devant la navigation interplanétaire " chez Calmmann-Levy de 1947, nous est, et sera encore bientôt, très utile à ce sujet). Or donc, nous dit en substance, la revue "Science & vie" n° 883 de Fév. 92 dans un article de J.R. Germain intitulé "De la glace sur Mercure: " Le 8 Août 1991 à la faveur d'une fenêtre particulièrement propice, Mercure qui passait au plus près de la Terre, présenta son pôle Nord face à nous. Les Astronomes, Martin Slade du Jet Propulsion Laboritory et Duane Muhleman du Californian Institute of Technologie décrochèrent alors un puissant signal radar 500 000 W ) au radiotélescope de Goldstone en Californie. Le signal réfléchi est récupéré par les 27 antennes du Very Large Array, un réseau de télescope de 25 m de diamètre chacun déployé au Nouveau-Mexique...."
L'article nous dit que l'on distingua alors nettement une zone ovale brillante de 640 x 300m inexplicable, que l'on devrait attribuer à une calotte glaciaire. (voir la photo pôle Mercure:)
On trouve aussi dans cet article: " Mais voilà, Mercure n'a pas de saisons, possède de forts écarts de température entre la nuit et le jour et des températures qui peuvent atteindre les 430°C. Autant dire que ces conditions ne sont pas réellement propices à la formation de la glace."
Mais l'auteur ajoute une phrase très révélatrice. "Sans compter que Mariner 10, la seule sonde à avoir jamais frôlé Mercure, n'a détecté aucune anomalie de ce type lorsqu'elle a survolé une partie du pôle en 1974. ".Nous en reparlerons.
Nous avons appris par la suite, qu'en 1993, il allait y avoir une nouvelle fenêtre d'observation pour ce même pôle Nord et en 1994 une autre pour le pôle Sud, qui est pourtant parait-il très difficile à observer.
Nous avons en vain attendu, que la "Presse spécialisée", nous transmette les résultats de ces observations, de 93 et 94, mais hélas jusqu'à ce jour, ce fut le mutisme le plus complet. Pourquoi ?
Voyons maintenant Neptune.
Douze ans après son lancement
(le 20 Août 1977),
la sonde américaine Voyager -2
après avoir survolé , Jupiter,
Saturne, Uranus arrive le
25 Août 1989 en vue de
Neptune à plus de 4 milliard de km de la Terre et prend parait-il près
de 8000 photos
de la planète et de son satellite Triton. Neptune qui
avec ses 144990 km
de diamètre ( 3,53
fois celui de la Terre ),
ses -200 ° C de température
moyenne, et son atmosphère constituée principalement de méthane
apparaît alors d'un bleu chatoyant, mais surtout, avec ce que personne
n'attendait, et que faute de mieux l'on a qualifié parfois de "petit
nuage blanc", un
gigantesque "Oeil très
lumineux intérieurement"
possédant une "frange
ovale rouge" extérieure,
caractéristique d'une sorte de diffraction
spectrale étonnante. Cet
"œil fantastique" a-t-il pu
correspondre autrefois, à un pôle de la planète qui aurait peut-être basculé sur son axe après un cataclyme? Seul un spécialiste pourrait nous le dire. Toujours est-il, que nous sommes restés
totalement muets, devant cet étrange phénomène qui a dû troubler
plus d'un observateur curieux. (Voir la photo de Neptune suivante:)
Voyons maintenant Vénus.
A la page 129 de son livre déjà cité R.Bernard nous écrit: "Si les pôles de Mars sont vraiment couverts de glace ou de neige, comment expliquer qu'il en soit de même pour ceux de Vénus qui est une planète plus chaude ? De même, pourquoi les prétendues calottes glaciaires de Vénus et de Mars ne décroissent-elles pas à l'exemple de celles de Mars ?
Nous voyons donc que l'auteur était très documenté pour l'époque sur les manifestations planétaires, car nous personnellement, nous n'avons pas eu la chance de tomber sur les documents ou revues montrant ces bizarreries des pôles de Vénus.
Mais voyons ce que le livre très récent déjà cité, des Editions Félix ( Livre Jaune n°6) nous dit au sujet de la mystérieuse Vénus.
"Même
aux pôles de Vénus, il se produit des phénomènes que l'on ne peut
expliquer. Richard
Baum, président et
membre de la British Astronomical Association, raconte qu'il a observé des
dépressions et des élévations dans les régions polaires .
C'est un phénomène qui a déjà été observé au cours des siècles
passés. Bien que l'on accepte l'observation de "collines"
dans les régions polaires, on a beaucoup de mal à accepter les dépressions,
car elles font penser aux images des
défenseurs de la théorie de la Terre creuse.
Malgré tout, en 1970,
R. Baum
a insisté pour faire remarquer que des astronomes anglais et américains
avaient bien observé des dépressions à un des pôles de Vénus. Ces
observations laissent à penser que l'atmosphère de Vénus monte et
descend au-dessus des pôles. Il semble que l'atmosphère soit
happée et ensuite rejetée par l'ouverture polaire,
comme conséquence des différences de température par exemple.Jan
Lamprecht pense avoir trouvé pour cette raison une explication à la "super-rotation"
de l'atmosphère vénusienne. Celle-ci tourne en effet plus
vite que la planète,
ce qui ne donne aucun sens, sauf si on part du fait que l'atmosphère
est aspirée vers
l'intérieur de la planète et ensuite rejetée.
Ceci pourrait être une explication plausible. Au cours d'une éruption
solaire, la station orbitale Skylab est sortie de son orbite. Les
scientifiques qui devaient trouver une explication à ce phénomène ont
pensé que l'éruption solaire pourrait avoir dilaté l'atmosphère
terrestre. Ou alors, l'atmosphère a-t-elle été poussée vers le haut,
parce que des masses d'air s'étaient
échappées par une ouverture au pôle ?
Est-il possible que l'atmosphère terrestre "respire" comme
celle de Vénus ou de Mercure ? Sur la face sombre de Vénus, on a
observé à plusieurs reprises des
lumières rondes d'un diamètre de plusieurs centaines de kilomètres.
Ces lumières rayonnent à travers l'atmosphère très dense de la planète
et ne peuvent provenir que d'une source interne à la planète. Nous
avons déjà parlé des soleils qui se trouvent à l'intérieur de
chaque planète. Il semble que ces
lumières sur Vénus viennent de ce soleil intérieur,
qui brille à travers
les ouvertures des pôles
et qui traverse l'épaisse couche de nuages. Parfois la face sombre de Vénus
est complètement éclairée. Des études spectroscopiques ont montré
que la lumière est produite par des atomes d'oxygène qui disparaissent
aussi rapidement qu' ils sont apparus. L'oxygène est-il aspiré à
l'intérieur de Vénus et rejeté par les vents circulaires ? De même,
on a observé de temps en temps une
luminosité inhabituelle dans les régions polaires, que l'on ne peut
expliquer . Comment ces régions pourraient-elles être lumineuses
alors que le soleil y brille à peine
? Des photos de satellite montrent le même phénomène sur Mars,
Jupiter, Mercure et d'autres planètes. Il n'y a qu'une seule
explication logique les régions polaires sont lumineuses à cause du
soleil intérieur qui y transparaît. "
Nous ne ferons aucun commentaire sur ce texte, n'ayant presque pas de photos sur cette affaire des pôles
de Vénus.
Voici cependant une image découvert en fin Février 2001 , grâce à la perspicacité de notre ami Saüquere Roch sur le site:
http://www.ssec.wisc.edu/~sanjayl/planets/venmos01.gif
Nous aimerions bien trouver une explication à cette étrange luminosité centrale et à ces tourbillons en forme de Vortex.
Mais, c'est encore grâce à l'ingénieuse perspicacité de l'ami Saüquere Roch, que nous avons enfin pu mettre la main, le 28 Mars 2001, sur ces dernières photos ci-dessus représentant les phases de Vénus et où l'on voit parfaitement, une luminosité notoire et caractérisée apparaître aux pôles de la planète.
Il y a t-il, comme le on le prétend pour Mars, une calotte polaire glacée, aux pôles de Vénus...? Nous attendons vos suggestions avec ferveur...
Mais l'ami Saüquere Roch que nous remercions vivement, a réussi aussi, de plus, à mettre la main sur une photo de Saturne que voici:
Nous notons cependant la présence aux pôles de Saturne deux cercles lumineux proéminents, attribués ici aux aurores boréales et australes.
Pour Jupiter, nous avons aussi de l'ami Roch:
Cette photo de la NASA extraite du site : http://oposite.stsci.edu/pubinfo/pr/1998/04/content/9804w.gif et provient du Hubble Space Telescope, qui a réussi à photographier "les 2 aurores aux pôles de Jupiter" (view of Jupiter's northern and southern auroras.)
Voici une autre photo de Jupiter, tirée du site :
www.npac.syr.edu/textbook/kidsweb/jupiter.html,
et arrivée sur Terre alors que la planète recevait, nous dit-on, les débris de la comète Shoemaker-Levy 9 en 1994 photo que nous devons à la perspicacité de l'aimable l'internaute : Claudio GOULMEN
Nous voyons là, en plus des impacts de la comète, que les deux pôles de Jupiter brillent d'une manière extraordinaire et on n'a jamais expliqué cela, dans les médias qui ont pignon sur rue.
Voici d'ailleurs un autre site scientifique sur Jupiter:
Prolongement révélateur en date du 22/12/01.
Le 17 Déc. 01 nous avons eu le grand plaisir de recevoir la missive suivante :
----- Original Message -----
From: Caroline Gauthier
Sent: Monday, December 17, 2001 8:58 PM
Subject: planètes creuses...
Bonjour! Après avoir visité ton site la semaine dernière, nous avons
trouvé, dans un ancien numéro du National Geographic, une
photo de Jupiter qui pourrait être intéressante pour ton site.
Voici donc les références:
National Geographic, Vol.192, No.6, Dec.1997, page 100.
Nous avons scanné la photo en question et te l'envoyons
ci-jointe. Voici maintenant le texte qui apparaît sous la photo
:"Scientists
had long suspected that comets can go into orbit around Jupiter,
but the first comet seen to do so was Shoemaker-Levy 9.
Shattered by Jupiter's gravity, the comet slammed into the
planet in July 1994 in more than 20 fragments. Impacts show as
bright spots in the composite infrared image above.»
Comme tu peux le remarquer sur la photo, il y a une grande différence
entre les explosions des fragments de la comète et le pôle,
qui semble irradier d'une lumière intérieure très visible sur
la photo.
Nous aimerions aussi te partager tout le plaisir que nous avons
eu à parcourir ton site que nous avons trouvé riche en
informations et facile d'accès.
En espérant garder contact avec toi, nous te souhaitons bonne
continuation dans tes recherches et le partage de celles-ci.
Amicalement,
Caroline et Jean-Pierre
Voici donc la photo en question:
Comme vous le voyez, le Pôle de
Jupiter émet une lumière diffuse non imputable, il
nous le semble, aux
chocs des morceaux de la Comète
Shoemaker-Levy 9 aux alentours. Cette lumière
diffuse, peut d'ailleurs sans doute être parfaitement le
résultat d'un camouflage subtil par la Nasa ou un autre organisme
militaire, d'un rayonnement plus intense (voir image précédente) qu'il convient d'éviter
de montrer. Nous publierons évidemment toute
information similaire des spécialistes qui veulent
s'exprimer à ce sujet . Nous attendons d'ailleurs
toujours que l'on nous explique
clairement, comment cette comète
a pu exploser bien avant d'atteindre le champ gravitationnel de
Jupiter et pourquoi cette chose extraordinaire est plutôt tabou
en haut lieu.
Jetons maintenant un dernier coup d'œil sur ce que nous dit aussi cet ouvrage des Editions Félix à propos des "manœuvres de la NASA":
"Quand
la NASA a remplacé en
1977, au bout de dix
ans de service, le satellite géostationnaire ATS
III par un satellite
plus moderne, le GEOS
8, elle a ordonné la
destruction des 4 500
clichés faits par ATS
III. Les images
n’auraient aucune valeur météorologique “prétendait
la NASA”.
Enfreignant l'ordre de ses supérieurs, le responsable scientifique du département,
le Dr. Locke-Stuart,
a ramené chez lui plus
de mille clichés et
il les a soigneusement archivés. Pour quelle raison, donc ? Jan
Lamprecht, spécialiste
en informatique et originaire d'Afrique du Sud, pense en connaître la
raison. Depuis des années il est à la recherche de
tous les indices qui
pourraient prouver que les planètes sont creuses et qu'elles ont des
ouvertures à leurs pôles. Il a mis par la hasard la main sur une photo
prise par l'ATS III,
qui montre clairement une dépression en forme de tourbillon dans la région
du pôle (revoyons ci-dessous, au bout de la flèche rouge, l' image trou polaire nord que nous avons présenté dans le précédent volet:Byrd.html )
Grâce à ses contacts avec le Goddard
Space Flight Center,
la station de contrôle
des satellites ATS, il a
pu se procurer un autre cliché. Cette image, prise de côté, montre qu
à l'endroit où se trouve le pôle, il y a en fait un
trou dans le globe terrestre.
Après des semaines de longues recherches, un
initié de la NASA a découvert
pour Lamprecht
d'autres clichés qui
montrent une ouverture au pôle ,
il a pu démontrer qu'ils ont également été pris par l'ATS
III et qu'ils sont
soigneusement gardés par Locke-Stuart.
Stuart se montre très réservé sur ces clichés “sans valeur”, et
il ne les montre pas volontiers. Les images prises par le satellite
GEOS 8 ne montrent plus
de dépression tourbillonnante aux pôles, ce qui est étrange.
Même la courbure de la Terre est complètement arrondie. Sur les
anciens clichés d'ATS III, on voyait une nette courbure, qui n'existe
pas officiellement. Cette courbure "inexplicable"
a un sens, quand on sait que les pôles terrestres sont aplatis, car la
Terre se courbe vers l'intérieur, en direction de l'ouverture. Les
photos d'ATS III
montrent également des dépressions
atmosphériques, comme si des masses d'air et des nuages étaient aspirées
par l'ouverture des pôles.
On ne voit rien de tout
cela sur les images récentes de GEOS 8.
Richard Hoagland,
auteur du best-seller "The
Mars Connection",
pense en connaître la raison. Dans une interview de 1977,
diffusée dans le Art
Bell Show, il disait
que les photos étaient
censurées avant d'être montrées à l'opinion publique
.
Toutes les images envoyées par les satellites météorologiques passent
dans un grand
ordinateur qui corrige les phénomènes qui ne correspondent pas à la
doctrine officielle.
Après quoi les clichés sont renvoyés
dans l'espace vers un autre satellite
qui les retransmet à la Terre. C'est seulement à ce stade que les
clichés (falsifiés)
sont disponibles pour le public. Il n'y a que la NASA qui a accès aux
données envoyées par le premier satellite. Il y a des voix qui s'élèvent
pour dire qu'en Europe, les photos des satellites
sont également truquées,
pour cacher l'ouverture des pôles à l'opinion publique....
Ouvrons ici une importante parenthèse :L'ami
Roch Saüquere, a tout de même réussi à mettre la main
(comme nous l'avons déjà
vu dans l'article sur Byrd)
sur quelques photos de GEOS 8, où l'on voit les nuages
s'incurver vers l'intérieur dans une sorte de maelström. Est-ce
là encore la fameuse illusion d'optique ou une erreur provenant
d' oubli de la censure? Il n'en demeure pas moins
qu' en février 2001, il
a pu capturer
de GEOS 8, in-extremis (car
les images changent sans arrêt),
l'image suivante sur
le site :
http://rsd.gsfc.nasa.gov/goesg/earth/Weather/GOES-8/gif
Fermons la parenthèse et
reprenons la suite du texte précédent :
....Pourquoi cette
manipulation n'a-t-elle
pas été faite sur les images d'ATS III ?
Jan Lamprecht pense que la NASA a
fait une erreur en calculant l'orbite du satellite.
La Terre est beaucoup plus plate aux pôles qu'on ne le pensait,
l'ouverture n'est donc
pas invisible à l'horizon,
on peut la voir à
partir d'un angle très fermé.
C'est la raison pour laquelle ATS
III a pu prendre des images qui montrent que des nuages et des brumes
entrent et sortent par l'ouverture polaire.
Comme personne n'avait semblé le remarquer, on a renoncé à un
truquage, en décidant de détruire
les clichés quand on changerait de satellite.
C'est pourquoi il ne faut pas s'étonner
de la difficulté à se procurer des cartes du pôle Nord.
Dr. Rosner,
responsable de la Faculté
de Géographie de Tübingen,
en Allemagne, a reconnu que la courbure de la Terre dans l'Arctique fait
partie des secrets militaires.
Même la cartographie de l'océan Arctique, effectuée par les
sous-marins atomiques, est protégée par le secret-défense. En tant
que particulier, il est difficile
voire impossible, de se procurer des images des pôles.
Quand Lamprecht a voulu acheter
une carte de l'Antarctique
auprès d'une entreprise sud-africaine spécialisée, l'ordinateur lui a
répondu que ces cartes n'étaient
pas disponibles, étant
sous le sceau du secret-défense."
Si nous avons tenu à reproduire ce paragraphe insolite en entier, en mettant en relief les clés, ce n'est pas , vous vous en doutez, pour allonger notre article qui est déjà bien lourd à charger pour un internaute, mais c'est surtout pour bien faire voir, combien cette
affaire est top-secrète au plus Haut Niveau.
Mais comme certaines personnes pour des raisons qui ne nous concernent pas, n'ajoutent aucun crédit à ce que racontent les auteurs inconnus de ces livres jaunes, nous allons vous transmettre brièvement une autre appréciation au sujet des manœuvres de la Nasa:
Un jour, elle est entrée dans le
laboratoire de l’immeuble, car elle avait accès à la
classification top
secret. Il s’agissait d’un laboratoire
équipé pour développer les photos et les films réalisés par les missions
spatiales de la NASA. Le responsable de ce service était aussi chargé de
« lessiver » les photos qui
devaient être mises à la disposition du public. Par « lessiver », il faut
comprendre le travail suivant: faire disparaître des photos tout ce que le
public ne devait pas voir. Parmi les choses qui devaient être « lessivées », il y avait des ovnis.
Que pouvons-nous dire de plus donc si ce n'est : "No comment" comme disent les anglo-saxons.
Nous avons déjà démontré, dans d'autres articles, que certaines photos de la NASA montrant les évolutions des astronautes sur la Lune, étaient manifestement suspectes (malgré les tentatives désespérées des rationalistes pour les expliquer, voir "Sciences et Avenir" n°647 de janvier 2000 pages 58 à 61, mais voir aussi surtout notre article " lettre ouverte à SA" à l'adresse internet :http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/lettreouverteSA.html et aussi le superbe n° 286 d'Août 2000 de la revue "Le Monde de Inconnu" ou enfin le site http://lheureux.free.fr ).
Nous avons réussi à nous procurer, grâce à la gentillesse de notre ami Michel Girard, (Il a quitté ce monde hélas le 30 Janvier 2003. Voir à son sujet notre article sur le Mystère du PM 1028) deux photos de la NASA issues du satellite NOAA7 prise le 8/02/ 82 et qui comme il est dit dans le paragraphe précédent:"ne montrent plus de dépression tourbillonnante aux pôles, ce qui est étrange."(voir ci-dessous les images photos des pôles Nord et Sud.)
Voici aussi par ailleurs 4 autres photos que nous devons à l'ami Roch Saüquere extraites du Site: http://ast.leeds.ac.uk/haverah/spaseman/images/sunset/sunset4.jpg
Sur la photo précédente, on note une différence de représentation des pôles sur les dessins. On distingue le même rond noir insolite, qui manque d'explication, au centre de l'Arctique, tandis que l'Antarctique est mieux détaillé mais sans trou noir.
Ces photos ne sont-elles pas aussi comme les autres (comme par exemple celles du pôle de Mercure prise par Mariner 10 en fin Mars 1974), sujettes à caution ? A vous de juger. Nous n'en dirons pas plus, pour l'instant.
Nous allons maintenant vous narrer une aventure qui nous est arrivée, il y quelques années et qui est si insolite,(et dont nous en gardons précieusement toutes les preuves tangibles), qu'elle pourrait faire l'objet d'un roman autobiographique. Nous pensons cependant, que les rationalistes endurcis auront cette fois-ci bien du mal à attribuer cette aventure à l'effet du hasard , si cher à leurs déductions habituelles, car le calcul des probabilités de la réalisation d'un tel événement devrait donner un résultat pratiquement nul.
Voici de quoi il s'agit : Le 19/12/72 (La facture en fait foi), nous avons fait l'acquisition d'une collection de quatre volumes d'une "Histoire Universelle des Explorations" éditée par la "Nouvelle Librairie de France" sise à Paris et dont le premier volume est sorti des presses le 15 MAI 1964.
Cet ouvrage, nous avait été proposé par des représentants del' Imprimerie Nationale, à l'intérieur même du collège où nous avions le privilège d'enseigner les Maths et la Physique. Nous n'aurions probablement pas acheté cette collection qui intéressait plutôt les enseignants en Histoire et Géographie si,(et ce si est d'importance), l'on ne nous avait pas promis à l'époque, la publication prochaine d'un cinquième volume concernant l'Exploration de l'Espace. Il n'en demeure pas moins vrai, que nous n'avons jamais reçu ce 5ème volume, et que nous ne l'avons jamais réclamé, et que de plus nous n'avons jamais cherché à savoir s'il est bien sorti des presses. En effet la multitude des informations que nous avons reçues, par la suite sur l'Espace rendait superflue la réclamation de ce 5ème volume.
Lorsqu'au début
de 1973, nous avons voulu vérifier les
extraordinaires affirmations contenues dans le livre surprenant
"la Terre Creuse"
de R. Bernard,
(déjà cité plus haut),
nous nous sommes précipités, tout naturellement, sur cette "Histoire
des explorations", qui était toujours
dans sa boîte d'origine, pour constater en effet, que les derniers
chapitres du quatrième volume, étaient justement
réservés aux explorations
polaires. Mais notre déception a été par la
suite bien grande, car si l'on y parlait bien de
l'Amiral Byrd, pour des informations et des
manœuvres banales, rien, pas une ligne, ne parlait des découvertes
extraordinaires de cet amiral que nous avons mentionnées plus haut dans cet article.
Cependant, il y avait en
page 381, de ce quatrième volume, une certaine bibliographie : (Voir ci-dessous la photo d'une partie de cette bibliographie)
Lors de nos visites en Métropole
en 1975, 1977, 1983, nous avons cherché en vain cet ouvrage chez les bouquinistes de Paris
et d'ailleurs et l'on nous disait partout que seule la Bibliothèque
Nationale de Paris, pourrait nous faire découvrir le
contenu de ce livre.
C'est en
1984,
que nous avons rendu, à environ 600m
de chez nous, une visite de condoléances à notre
"oncle" (d'adoption) dont la femme venait de décéder. Après l'entretien de circonstance,
nous allions prendre congé, quand nous avons remarqué que nous étions
assis sur une sorte de malle recouverte d'un épais tissu. C'est alors
que débuta, le dialogue le plus révélateur de cette affaire:
"Mais
Tonton C... Qu'est-ce qu'il y a en dessous dans cette malle" demandons
nous ? Cela faisait près de 40
ans (vous avez bien lu "quarante
ans "), que nous avions
l'habitude, accompagnés ou pas de notre mère, de venir de temps en
temps rendre visite à cette famille, et de nous asseoir à cet endroit,
sans jamais, nous poser cette question. Et la réponse fut: "Oh
de vieux livres qu'utilisaient tes tantes ou qu'elles ont obtenus aux
distributions de prix ".
La curiosité
aidant, nous avons demandé à l'oncle, l'autorisation de jeter un coup
d'œil. Et c'est avec joie que nous y avons découvert, nos premiers
livres scolaires de lecture, de morale,
d'histoire et de géographie, de mathématique etc...que nous avons eu un vif plaisir à feuilleter.
Mais, entre autres choses, nous y découvrons aussi, un vieux
livre pourtant bien solidement
cartonné... et auquel il manquait les premières pages de l'introduction. Et en tournant les pages jusqu'au début du premier chapître, voilà la page incroyable que nous avons découverte :
Vous avez bien lu donc le titre
incroyable, mais vrai: " La
mer libre du Pôle ". L'introduction servant de préface (il en restait 13 pages numérotées en chiffres romains) était signée d'un certain J.Belin de Launay et datée du 24 juin 1870.
En le feuilletant,
ensuite le premier chapitre, nous nous sommes aperçus, qu'il s'agissait bien d'une expédition montée par le Dr américain J.J. HAYES et donc cet ouvrage était bien celui cité dans notre encyclopédie. Mais, il nous fut impossible d'en déterminer la date exacte de publication, car 18 pages manquaient de l'introduction et celles qui restaient donnaient cependant déjà, de précieux détails, sur certaines expéditions,
réalisées par d'autres explorateurs, en direction de cette mer libre
nommée Polynia.
En 1992, lors d'une nouvelle visite à Paris, nous avons profité pour nous rendre à la "Bibliothéque Nationale de Paris" pour faire les photocopies des pages manquantes et après bien des péripéties et 2 visites à cette Bibliothèque, nous avons réussi à les réaliser et c'est là, seulement, que nous nous sommes aperçus, que notre livre était daté de 1877, et qu'il était donc de 7 ans plus vieux que celui de 1884 présenté page 381 de du volume 4 de notre encyclopédie.(voir ci-dessous la première page de ce livre en question de J. Hayes que nous avons réussi à photocopier à la Blibliothèque Nationale et nous présentons aussi les "laisser passer" que l'on nous avait alors accordés à l'époque, pour entrer dans cette vénérable institution)
Nous ne pouvons pas évidemment nous étendre ici , faute de place, sur les surprenantes révélations de cet ouvrage, mais pour terminer cette affaire , découvrons à la page 195, le passage: " Il est impossible, en rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige fondue sur les rochers, les troupes d'oiseaux marins, la végétation augmentant de plus en plus, l'élévation du thermomètre dans l'eau, de ne pas être frappé de la probabilité d'un climat plus doux vers le pôle. Mais signaler les modifications de température au voisinage de la mer libre, ce n'est pas résoudre la question, qui reste sans réponse : Quelle est la cause de la Mer libre ? "
Que dire de plus, si ce n'est que l'on découvre, ici, encore une fois, l'incompréhension des observateurs de l'époque , devant ce phénomène hors normes de la mer libre du pôle.
Suite événementielle surprenante. Le jeudi 9 Septembre 2000 , alors en visite chez les
beaux-parents à 96 Km de chez nous et cela en pleine campagne, nous
avons été invités par un voisin à boire un jus de fruit, et en
rentrant chez lui, nous avons tout de suite, repéré, presque
juste en face de nous , dans une
partie de sa bibliothèque ,la collection des quatre volumes
de cette même "Histoire
Universelle des Explorations". Nous avons expliqué à
ce voisin, (un ancien gendarme à la retraite),
cette incroyable histoire, qui nous était arrivée, au sujet du "livre de HAYES", en ouvrant son 4ème volume à la page 381, et
en lui montrant où était l'inscription: "La
mer libre du pôle 1884". Il a eu du mal à nous
croire et évidemment, quand nous lui avons révélé que nous avons trouvé ce livre à 600m de chez nous, mais nous ne lui avons rien dit concernant la théorie
de "la Terre Creuse", car ce n'était pas encore le moment d'aborder une telle discussion. Et c'est ainsi que nous avons appris, que lui non plus, n'avait
jamais reçu le cinquième volume sur l'espace... Alors
que dire de cette information nouvelle, si inopinée pour nous, et
pourtant fort utile... encore "l'effet
du hasard", diront certains, n'est ce-pas ?...
Nous ne pouvons terminer cet article, déjà hélas bien long, sans pourtant y inscrire à titre de complément, ci-dessous quelques lettres concernant la "Théorie de la Terre Creuse" publiées par la revue Nostra, quand elle avait alors le privilège d'exister et de nous instruire de ce que bien d'autres revues préféraient taire. (Remarque: à l'époque, on écrivait OVNI à la place d'ovnis et nous avons mis, comme à notre habitude en relief, les mots clés, selon nous bien sûr, de ces lettres)
Première lettre que nous avons personnellement adressée à la revue Nostra en Avril 1979 et qui a été publiée en début Mai 1979:
"LA THÉORIE DE LA TERRE CREUSE Pourtant la revue “Science
et Vie” annonçait dans son n°
510 de Mars 1960 la découverte en plein
Pôle Sud de “l’Oasis
de de Benguer” où la température dépassait
25° et où vivaient des oiseaux
de plusieurs espèces. Le livre du Docteur Raymond
Bernard paru
en 1971 chez Albin Michel, pratiquement
introuvable et intitulé “la
Terre Creuse” donne davantage de détails
sur cette oasis, ainsi que sur l’Agartha et les trous situés aux pôles
et permettant d’y accéder.
Bergier affirme également qu'un homme
d’affaires anglais Mr Mc
Donald aurait fondé à Londres en
1961 une société des partisans
de la “Terre Creuse”. Connaissez-vous
l'adresse de cette société et existe-t-il en France une société
analogue ? Cette thèse mériterait en effet que
nous puissions en étudier le pour et le contre, si fantastique qu'elle
paraisse cependant.
F.I. (Guadeloupe)
Réponse de NOSTRA n° 369 du 8
Mai 1979 à notre précédente lettre
"Nous
n’avons plus entendu parler de cette société depuis l’article de
Jacques Bergier et, à notre connaissance, aucun mouvement identique
n'existe on France. Il n’en reste pas moins que cette théorie de la
Terre creuse compte toujours de nombreux partisans et que le mystère
n'est pas près d'être élucidé."
Deuxième lettre d'un lecteur qui répond
à la notre:
La THÉORIE
DE LA TERRE CREUSE
C’est avec un peu de retard, que j'apporte mon
témoignage dans la conception de la Terre
creuse qu'un lecteur
de la Guadeloupe, dans le n° 369 de Nostra, a
si brillamment évoqué. J'espère que ce
lecteur n'a pas eu d'ennuis suite à cet exposé,
car par ordre des services
officiels, il y a un “top
secret” sinon beaucoup de personnes disparaîtraient
de la surface pour aller à l'intérieur de notre bonne vieille Terre,
trouver la paix. C'est d'ailleurs de cette
même Terre intérieure que viennent les O.V.N.I,
surveiller le dessus, car l'homme n'est pas sérieux et se détruit
lui-même, Ces O.V.N.I., d'ailleurs, se déplacent le plus simplement du
monde, leur système de rotation serait basé sur le principe du
gyroscope. Ils viennent donc de
l'intérieur de la Terre. J'aimerais connaître
d' autres partisans de ce phénomène qui sera
tôt ou tard découvert des habitants de l'extérieur.
J'espère vivre assez longtemps pour voir cela.
De toute façon, si une guerre mondiale se déclare tôt ou tard, il n'y
a que dans cette Terre que
certains privilégiés pourront sauvegarder leur existence.
c.l. (Paris)
Réponse de Nostra-- N°384 du 15 Août
1979
"Vous
n'êtes pas le seul , en effet, a exprimer une si totale croyance en
cette théorie de la Terre creuse. Mais d’autres la réfutent pour des
raisons qui seraient trop long d’exposer. Nous espérons pouvoir un
faire le point des recherches."
Nous avons beaucoup regretté par la suite, de n'avoir pas pris contact, il y a déjà, hélas, 21 ans, avec ce monsieur c.I. de Paris qui a l'air d'en savoir beaucoup plus qu'il n'en dit. Avec un peu de chance, quelqu'un qui le connaît, ou lui même, s'il est toujours vivant, pourrait découvrir notre site et nous contacter. C'est d'ailleurs en partie aussi, pourquoi nous avons aussi décidé d'écrire aujourd'hui cet article, car le temps presse, désormais.
Troisième lettre d'un autre
lecteur:
LA THÉORIE DE LA TERRE CREUSE
Dans le n°
425 de votre revue (du
29 mai au 4 juin 1980), un article de M.
Jean Brun fait état de la découverte, faite
par l'amiral Byrd, en 1926,
d'une “Oasis de l'Arctique”,
découverte faite à pied, en marchant sur la banquise.
Mais M. Brun ne mentionne pas les deux
expéditions de Byrd, faites en avion, l'une en 1947
“au-delà”
du Pôle Nord, l'autre en 1959
“au-delà” du Pôle Sud. Les temps
“au-delà” ayant une signification spéciale, clairement explicitée
dans l'article de Serge Hutin
publié dans le n° 3 du “Grand
Albert”.
Ce dernier article se réfère à la théorie de
“la Terre creuse”,
titre d'un ouvrage fort intéressant de Raymond
Bernard (Albin Michel, 1971), actuellement
retiré de l'édition en France, et fort
difficile à avoir aux USA (titre américain
"The Hollow Earth",
l969, University Book). Car ce sujet
est tabou aux USA, comme les OVNI, d'ailleurs,
selon R. Bernard. Cela a d'ailleurs été confirmé par Jacques
Bergier qui, en 1977, a bien voulu me
communiquer l'adresse de la
Société Mac Donald qui, en Angleterre,
s'occupe de ces questions, J'ai adressé à ce dernier une lettre, mais sans
réponse, malgré un rappel.
Avez-vous, aujourd'hui, quelques nouvelles
informations, de votre côté, sur ces importants sujets ?
M. R.N. (Le Chesnay) Union théosophique
Réponse NOSTRA n° 428 du 19 au 25 Juin
1980
Hélas
non, nous n'avons rien appris de nouveau sur ces sujets depuis qu'ils
ont été traités dans “Nostra”. Mais il est évident que nous
publierons immédiatement toute information qui pourrait nous parvenir.
Quatrième lettre d'une autre personne:
"La Terre Creuse" Nous aimerions également,
évidemment, que cette dame nous
contacte sur le Web, si elle est toujours de ce monde.
III Conclusion.
Nous arrivons enfin à la conclusion (sans doute très attendue de cet article), qui ne manquera pas, nous nous en doutons, de surprendre et peut-être même de choquer certains. Il ne nous appartient pas de prendre partie dans ce débat sur la "Théorie de la Terre Creuse", n'étant pas qualifié pour en entreprendre les études poussées de géologie et d'astronomie etc... que seuls des spécialistes de haut niveau peuvent faire. Notre rôle, qui est seulement et toujours de présenter, ce dont on évite souvent de parler pour des raisons bien discutables, s'arrête ici. Vous avez maintenant en main, le destin de cette théorie, si vous avez le moyen, bien sûr, d'en savoir plus.
Mais comme la recherche d'information d'ARTivision est avant tout, axée, sur l'existence supposée d'autres dimensions, nous ne résisterons pas au plaisir (après en avoir souligné certains les passages clefs en couleur) de vous transcrire les 21 lignes extraordinaires et surtout très poétiques d'un livre très ésotérique, que l'on peut encore trouver dans de bonnes librairies :
"Votre terre est creuse, vous le savez, creuse comme le sont toutes les planètes du système solaire, aussi creuse qu'une noix sans ses cerneaux .
Là également, vous attendent les prémices d'un avenir fabuleux ou plutôt d'un présent déjà bouillonnant en vous. Lorsque les sages disent aux hommes de chercher à l'intérieur d'eux mêmes, ils sont dans la vérité à tous les stades de compréhension. La Terre vous suggère en certaines contrées la grande flamme de son cœur. Elle la fait s'élancer vers le cieux comme le lotus flamboyant et tel un baiser d'union avec ce qui est en haut. Cette flamme ou plutôt ces flammes sont les aurores boréales ou australes. C'est la radiation cristalline du soleil intérieur enclos dans le grand être qui nous porte tous et qui jaillit par les pôles. C'est aussi une source vitale éthérique dont vous ne pouvez avoir idée. L'heure ne se présente pas encore d'éluder pour l'homme la totalité des mystères de l'Agartha et du continent central. Nous refusons de précipiter ce temps pour la sauvegarde de la majorité des consciences immatures. Vos gouvernements s'y refusent aussi, bien que partiellement informés pour la sauvegarde de leur pouvoir. "
D'après l'ouvrage de "LE VOYAGE A SHAMBHALLA" (1986) par Anne et Daniel Meurois-Givaudan aux Editions Arista.
Eh bien dès lors, il ne nous reste plus qu'à remarquer, que l'an 2000, et années suivantes semblent bien être un moment privilégié, pour amorcer "le Grand Déballage".
Autre prolongement révélateur:
En 1992 , nous avons eu le privilège
de visiter "la Cité des Sciences et
l'Industrie" à la Porte de la
Villette à Paris et nous avons été surpris de constater
à la section réservée aux moyens concernant l' étude de la Terre par
satellites, que ces derniers ne passaient
jamais par les Pôles , mais circulaient tous à la limite d'un
cercle précis entourant chaque Pôle.
Le Samedi 7 Octobre 2000 en recherchant un ouvrage égaré, nous avons découvert une cassette vidéo contenant une information remarquable à ce sujet, que nous vous transmettons ci-dessous:
  En effet en 1993,
nous avions enregistré une émission de RFO,
produite par Jean Yves Casgha
et intitulé "Science
Frontière" et où Cathy
Nivez a fait l'interview dans le cadre du
magazine "C'est à dire"
d'Ichtiaque RASOOL, alors
Directeur de programmes
concernant la géosphère et la biosphère à la NASA,
professeur à l'époque à
Paris, à
l'Ecole Normale Supérieure et au Collège de France.
Le programme "Global
Change", qui revient par an, à environ
un milliard de dollars aux USA, et dont s'occupe encore sans doute ce
savant, a pour mission la surveillance de la planète Terre et même des
autres planètes par des satellites géostationnaires, ou des satellites
à défilement, comme par exemple SPOT
et NOAA, qui sont capables de repérer des détails
de 10 à 20 m, satellites qui nous intéressent
tout particulièrement dans cet article... Le film montré à cette
occasion, nous présente les trajets de ces satellites à défilement,
et nous précise que les trajectoires de ces derniers "ne
sont pas tout à fait polaires", termes
exacts utilisés, alors qu'on aimerait bien savoir
si "ces trajectoires ne
sont jamais polaires ". Toujours est-il
que le film nous présente la Terre entrain de tourner et
le faisceau des trajectoires qui reste "étrangement
tangent" au bord d'un "disque
polaire d'un diamètre remarquable"
.(Voir ci-dessous, deux images du
film:)
Autre prolongement révélateur exceptionnel
Le Premier Mars 2001, nous avons découvert, d'une manière tout à fait exceptionnelle, un document qui prouve, une fois de plus, (et cela mettra encore bien mal à l'aise certains rationalistes très endurcis), que le site ARTivision est bien un site ésotérique , "souverainement inspiré", et qui reçoit des informations venant sans doute d'une autre dimension. En effet, il faut d'abord que nous expliquions ici, que nous avons dans nos dossiers de nombreux documents anciens, récupérés chez des parents ou des amis qui allaient s'en débarrasser et que nous n'avons pas toujours eu le temps de lire.
Ayant écrit donc, deux jours plus tôt, au Directeur de la revue "Lumières dans la Nuit", au sujet de l'affaire Rose C, ( voir notre article sur la question) nous avons dû vérifier certaines dates sur les numéros de la revue en question et c'est voulant replacer ces revues, accompagnées d'autres de diverses sortes, dans un logement situé tout en haut d'un placard qu'une partie de ces revues a glissé et est tombée au pied de l'escabeau. Nous avons découvert alors, sur le sol, entre autres choses, un ancien n° de la revue "Sélection du Reader's Digest", qui remontait à Janvier 1956, et en l'ouvrant rapidement nous sommes tombés directement page 17, sur un article très intéressant, qui racontait l'histoire passionnante du poisson appelé cœlacanthe, (voir justement notre article ultérieur sur le poisson-fossile) découvert en Décembre 1938, à East London en Afrique du Sud, que l'on croyait disparu depuis l'époque des dinosaures et que l'on ne connaissait que sous forme de fossiles, imprimés dans des roches de millions d'années. La première fois que nous avions entendu parler de ce poisson-fossile avait été dans la préface de l'ouvrage tant décrié " Le Troisième Oeil" du Lama L. Rampa ouvrage paru en Angleterre en 1955 et chez Albin Michel en 1957. (Voir aussi à ce sujet l'article "Un siècle de découvertes zoologiques"du "Science et Vie" n° 420 de sept. 1952 page 170). Voilà... , avons-nous pensé immédiatement, un bon sujet d'article pour ARTivision qui pourrait s'intituler "Retour vers le Passé"! Nous avons donc mis cette revue de côté, pour lire ultérieurement cette affaire de poisson-fossile, et aussi un autre excellent article (qui s'y trouvait et que nous avions repéré en passant) sur "l'affaire Dreyfus", affaire qui chacun le sait, a montré, jusqu'où pouvait aller l'insondable bêtise humaine et l'orgueil démesuré d'une certaine caste de militaires.
Trois heures plus tard, après avoir pris lecture des six pages de cette fameuse histoire de poisson-fossile, nous avons continué machinalement à feuilleter la revue en question et ne voilà-t-il pas chose extraordinaire, que nous découvrons à la page 7, un article de Richard Byrd à l'époque contre-amiral en retraite de la Marine des États-Unis et intitulé "Retour à L'Antarctique". C'était donc bien là un "Retour" surprenant , qui se répétait, et nous en fûmes tout "retourné". Alors, à ce moment précis, nous n'avons pas douté une seconde, que cet article allait nous délivrer une information capitale.
En effet, après des
descriptions très techniques sur la nouvelle expédition,
(Deepfreeze)
qui allait être montée dans le cadre de l'Année
Géophysique Internationale(
1957-1958), Byrd
nous parle d'abord d'un phénomène qu'il juge lui même
surprenant à savoir que: " Dans
l'Antarctique, le temps paraît s'immobiliser, on n'y connaît ni
pourriture, ni la rouille, ni même à ma connaissance - les bactéries.
J'ai découvert ce phénomène surprenant au cours d'une randonnée sur
la glace. Mes hommes butèrent sur les vestiges d'un camp abandonné par
des explorateurs antérieurs, quelques trente-sept ans auparavant. les
planches des cabanes semblaient neuves; les clous reluisaient et ne
portaient pas la moindre tache de rouille."
Curieux n'est-ce pas ? Mais le plus intéressant était à venir, car en nous évoquant l'expédition de 1947-1948 nommée "Opération High Jump", qui fut l'expédition polaire de loin la plus importante qui ait jamais été réalisée, Byrd nous fait la déclaration inouïe suivante:
" Pour la première fois, nous possédions une image assez nette de la configuration du continent austral, mais il subsistait au delà du pôle , une région aussi vaste que les États-Unis, entièrement inconnue, et dont il n'existait aucune carte."
Évidemment Byrd ne parle pas de la découverte d'une quelconque végétation, mais vous avez bien noté le terme "au delà" et non "au-dessus" du pôle. Comment peut-il exister "au delà du Pôle", une immense région, surtout "inconnue", alors que chacun s'attend à n'y trouver, à perte de vue, que des étendues glacées et neigeuses très caractérisées ?.
Plus loin, pour terminer, nous notons aussi la phrase suivante: ".....En outre, d'importantes observations ne peuvent être faites que dans une obscurité prolongée et que cette condition n'est réalisée que sur ce point imaginaire que nous nommons le pôle Sud. "
Le pôle géographique, à notre avis, n'a jamais été qualifié par les spécialistes de la géographie connue, de "pôle imaginaire", à moins que l'on pense qu'il s'agisse dans cette phrase de Byrd du pôle magnétique dont la localisation est elle, bien en effet sujette à caution, dans la région. Mais dans le contexte évoqué précédemment d'une terre en forme de pomme, le mot "imaginaire", prend n'est-ce pas une signification toute particulière. Notons en passant, qu'il existe dans la région antarctique, chose surprenante, un point nommé "Pôle d'inaccessibilité" (voir page 96, figure 10 de "L'Antarctique" d'André Cailleux chez "Que Sais-Je" n° 1249 P.U.F)
Le même jour nous avons reçu de notre ami Joël Baran , qui a un article sur notre site à: :http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/baranrose.htmlAutre développement exceptionnel.
le 26 Mars 2001 , nous avons rencontré un ami de longue date de notre famille, et nous nous sommes confiés à lui en lui disant que nous recherchions, un Paris-Match de Déc. 1969 où l'on racontait en 20 pages l'épopée d'Apollo 12 sur la Lune . (P.M trouvé le 31 /03/01 par L'ami Roch Saüquere de Paris, voir notre article "lettreouverteCe" )
C'est alors de ce charmant monsieur nous dit: "J'ai dans mon sous-sol quelques vieux Paris-Match et d'autres choses qui pourraient sûrement être intéressants ". Et nous voilà déjà au sous-sol et il nous donne une caisse de documents où nous découvrons des Paris-Match, hélas de 1966, mais surtout une centaine d'exemplaires de la revue "Science et Avenir", dont le numéro 1, plus grand que tous les autres (40cm-30cm) qui est, du début de Mai 1947. Mais ce qui est plus surprenant, c'est que le premier article en trois pages de ce n° 1 est intitulé "L'expédition BYRD a-t-elle échoué?"
Dans cet article que nous ne pouvons détailler ici, l'auteur énumère quelques
raisons classiques [scientifiques,
économiques (recherche de
minéraux et métaux), militaire
(position stratégique),]
qui ont poussé les USA à organiser une telle expédition aussi structurée :(qui est précisons le encore, justement en cours au moment où cet auteur
s'exprime et expédition qui a mis en œuvre près
de 5000 membres, dont 1000 spécialistes des techniques les plus
diverses 18 avions et hélicoptères 13 navires de Guerre
etc..). Mais, l'auteur de l'article en arrive
cependant à ce poser la question : "... Mais
ceci étant dit , on est en droit de se demander si l'amiral Byrd n'a
pas d'autre but, d'autres visées non avouées..... Il est beaucoup
plus vraisemblable que l'expédition Byrd a des visées politiques. les États-Unis n'ont pas
reconnu le partage du continent Antarctique de la convention de 1934.
Il est probable qu'ils réclameront une révision totale de ce
partage... etc ".
C'est donc tout à l'honneur de cet auteur de l'article de la revue
"Science et Avenir" n°1 revue
pourtant non tournée vers la recherche d'informations politiques d'avoir
pensé déjà à l'époque en 1947, qu'il y avait " anguille
sous roche", concernant cette
expédition, et aussi d'avoir compris que l'on ne dépense pas tant d'argent pour rien et que les
motivations de l'expédition étaient sans doute bien plus
subtiles.
Cet auteur ne pouvait évidemment pas bénéficier des informations ultra-secrètes sur les pôles de la Terre et qui se diffusent actuellement sur le Net, et que nous avons dévoilées en partie, ci-dessus et dans l'article précédent sur l'amiral Byrd.
Le
Vendredi 23 Mars 2001, un autre aimable internaute
Belge Pierre
Lux, nous a fait parvenir le
texte extraordinaire suivant de Jean Anne( hélas décédé le 17/01/03 : Que son âme repose en Paix désormais)
, mais dont les prémices sont déjà évoquées en page 166 du
"livre Jaune n° 5"
aux Editions Félix, livre déjà cité plus haut :
" Le 5 mars 1947, le journaliste Lee van Atta, accrédité lors de cette expédition, publia dans les colonnes du plus grand quotidien sud-américain, le "Mercurio" une interview de l’amiral Byrd au cours de laquelle il déclara en substance: " C’est dur à entendre, mais dans le cas d’une nouvelle guerre il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui peuvent voler d’un pôle à un autre". Il laissa aussi comprendre: "Qu’il y avait là bas une civilisation avancée qui se servait d’une technologie supérieure". Rappelons nous que ces événements se sont passés en 1947.. En résumé que conclure de tout cela : Il y a déjà des millénaires que sur terre, des hommes de civilisations disparues disposant de technologies avancées firent voler des engins, tout comme un peu avant le milieu de notre XX° d’autres furent également capables de rééditer ces « exploits » technologiques dont l’homme de la rue n’a jamais entendu parler, pas plus qu’il ne soupçonne quelle peut bien être la source d’énergie en permettant le fonctionnement. "
Fin de citationAyant un cousin au Venezuela, nous allons le mettre sur le coup, afin qu'il cherche à dépister l'exemplaire du quotidien en question. En effet ceci est désormais à notre avis d'une importance capitale que l'on recueille précieusement toutes les déclarations de cet Amiral Byrd qui sortent de l'ordinaire.
Cette affaire est désormais réglée et on peut en voir la suite à: " Lors du dernier des vols de "cartographie" lorsque tous
les 6 avions partent, chacun sur un trajet prédéterminé pour
"filmer" et mesurer avec les magnétomètres, l'avion de
l'amiral Byrd revient 3 h en retard. Il est indiqué qu'il a " perdu un moteur" et a
dû jeter tout à l'extérieur excepté les films et les résultats des lectures des magnétomètres
afin de conserver leur altitude jusqu'à leur retour à
Little America. C'est probablement le moment où il a rencontré une résistance nazie ou autre chose.
Le but déclaré est la recherche de gisements de charbon et autres
ressources intéressantes, mais un autre but est de trouver des bases
nazies à
Neuschwabenland. Les nazis avaient effectué une étude détaillée
de l'Antarctique, et il est supposé qu'ils y ont construit des bases souterraines.
L'expédition est filmée par la Navy et le résultat sera donné à
Hollywood pour en faire un film commercial intitulé " La Terre Secrète"
(The Secret Land).
Le film est commenté par Robert Montgomery,
officier de réserve de la Navy....
...Les américains avaient sans doute des objectifs autres que
scientifiques et sans doute trouvèrent-ils plus vite qu'ils n'espéraient
ce qu'ils cherchaient puisqu'ils ne restèrent que quelques semaines
alors que High-Jump avait été prévue pour
durer 6 ou 8 mois.
N'oublions pas cependant que la course pour la possession du nouveau
continent avait commencé et qu'ils avaient peut-être simplement décidé
de mettre le paquet.
La force revenue avec ses données est classée top-secret. Le Secrétaire de la Navy ,
James Forrestal se retire et commence à "parler".
Il est placé dans le département psychiatrique de l'Hopital Naval de
Bethesda et interdit de parler ou voir quiconque, y compris sa femme.
fin de citation
Nous savons d'autre part que le matin du 22 Mai 1949, ce James Forrestal, qui fut en réalité Secrétaire à la Défense des États-Unis, a été défenestré et trouvé mort au pied de l'immeuble où il habitait, un drap étant attaché d'un bout au plafond de sa chambre et l'autre bout pendant à la fenêtre.
Curieux n'est-ce pas que tout cela ? Comment appréhender toutes ces informations surprenantes qui nous arrivent, sur ARTivision parfois, par des voies, oh combien insolites, et informations qu'il nous reste cependant à vérifier... Nous aimerions bien savoir le fin fond de cette affaire . Notre rôle est cependant de vous présenter ce qui se passe. C'est tout. Nous n'avons pas, un état d'âme en particulier, à exposer. A vous de juger maintenant tout cela. Nous attendons vos impressions avec ferveur.PS: Entre parenthèse,
ce site étant avant tout un site
personnel, où certaines confidences
sont réservées à
l'internaute curieux, qui veut vraiment
en savoir plus, et bien que
cela n'ait rien à voir avec l'affaire Byrd, nous pouvons dire
que nous avons repéré déjà,
dans cette centaine de "Science
et Avenir", certains articles supers,
comme dans le n° 85 de Mars 1954 "le
coelacanthe est jugé à Huit-clos"
(Nous en avons justement parlé,
plus haut dans cet article ),
le n°32 Oct. 49
"les continents légendaires "
, et de Mars 1955, "Il y a 50 ans
mourait Jules Verne", un de nos amis a fait une thèse sur Jules Verne
(voir , si cela vous intéresse, son site à :
http://membres.lycos.fr/DupuyL/CIEH.htm) et bien d'autres articles passionnants dont par exemple, celui du n°
153 de Novembre 1959, que nous n' allons pas manquer de décortiquer, avec
en page de couverture, la photo de la Lune en
couleur, et un article très explicite intitulé
:"Qu'allons nous trouver sur la Lune ?".
Nouveau développement étonnant en date du 31/08/01:
D'après le site (actuellement fermé) http://www.wolflintz.com/
dans son n° de Juin 1992, hélas épuisé, la revue "Ciel et Espace" a
présenté les photos du Pôle Sud prises par le satellite ERS en 1992
, où l'on aperçoit
un trou béant
qui perfore le continent blanc et
où la banquise de Ross
toute minuscule s'incline,
le long de cette
monumentale dépression. Or le
30/08/01, nous avons reçu de Christian
Macé le texte extraordinaire suivant :
" Un trou dans la banquise Source : http://www.edicom.ch/news/international/010830031711.th.shtml
La banquise polaire australe se troue périodiquement sous l'effet
d'un courant d'eau circulaire dû à un relief sous-marin.
Chaque année, le froid de l'hiver austral installe autour du
continent antarctique une ceinture de glace qui s'étend sur plusieurs
centaines de kilomètres. Toutefois, dans la mer
de Weddel qui borde l'Antarctique au Sud
de l'Atlantique, une zone de l'océan ne gèle pas systématiquement,
et dessine un trou dans la banquise. Selon David Michael Holland, du
Centre des sciences de l'atmosphère et de l'océan de l'Université
de New York, de la glace se forme dans cette région, mais les
plaques ne s'agglomèrent pas en banquise, car un courant marin
circulaire les éloigne les unes des autres.
Ce courant naît de la rencontre des masses d'eau qui font le tour de
l'Antarctique et du mont Maud, une montagne sous-marine. (...).
Science, vol 292, 1er juin 2001, p
1697.
Nous n'avons donc rien à
ajouter à ce texte . Chacun en tirera les conclusions qui
s'imposent.
Autre prolongement en
date du 2 Nov. 2001
Comme ce site fonctionnant, nous l'avons déjà dit, sur le ton de la confidence, nous ne
résistons pas au plaisir de vous transcrire, in extenso, la
remarquable missive, pleine de curiosités, que nous avons reçu fin
Octobre 2001, de notre ami parisien Roch Saüquere,
toujours à l'affût d'informations subtiles :
----- Message d'origine -----
De : SAÜQUERE
À : fred.idylle
Envoyé : lundi 29 octobre 2001 19:58
Objet : Aurore boréale, guerre et Terre creuse....à lire :
Cher Fred
Voici un texte qui illustre une fois
de plus, les révélations sur les découvertes de l'Amiral Byrd
si bien évoquées sur ARTivision.
Ce texte est issue de l'ouvrage " La planète Inconnue " publié en Juillet 1974 de Peter Kolosimo auteur dont tu parles si bien dans ton précédent volet sur Byrd. Ce texte nous parle de l'Antarctique et nous montre que l'auteur est visiblement très bien informé. Il a accès à des sources qui nous ferait baver d'envie. Il est au moins un érudit et peut-être même un initié qui ne peut rien dire mais simplement mettre sur la piste...
"Sixième continent."( Pages 176 à 178)
" Du point de vue géologique, la plus grande énigme est sans doute représentée par l'Antarctique(...)
un continent menaçant pour qui tente de l'accoster, à cause de sa ceinture de tempêtes, de banquise qui l'entoure, des vents furieux qui le balaient, des glaciers qui coulent inexorablement du haut plateau où se trouve le pôle austral vers la mer au milieu de grandioses paysages apocalyptiques. (...)
On sait qu'il est traversé par de grandes chaînes de montagnes mais rien de plus. on suppose que certaines sont sans doute plus hautes que les sommets de l'Himalaya.(...)
L'amiral Byrd entre autre affirma avoir vu en 1947, sur les flancs du massif montagneux Queen Maud, " des gisements de charbon si importants qu'ils pourraient satisfaire les besoins du monde entier. La présence du charbon laisserait supposer qu'aux temps de la jeunesse du monde le climat était pour le moins subtropical, condition essentielle à la formation de charbon fossile. Ceci doit être vrai puisque ces dernières années on a découvert aux mêmes endroits des fossiles (arbres et fougères géantes.) (...) Tout le continent n'est cependant pas recouvert par ce blanc manteau mouvant.
Une autre de ces énigmes est représentée par de curieuses vallées inexplicablement dénuées de glaciers et caractérisées, comme on peut raisonnablement le penser, par une température plus élevée que celle qui règne à proximité immédiate. Quelques-unes de ces régions étranges furent
découvertes par les avions de l'expédition allemande Schwabenland en 1938-1939 et revues, une deuxième fois, par ceux de l'amiral Byrd, en 1947d'autres furent signalées par les Norvégiens après quelques pointes poussées de leur côté en 1936. Le phénomène peut avoir seulement deux causes: être déterminé par les activités volcaniques (ce qui semble exclu) ou par la radioactivité.
(note personnelle, il existe une autre cause délibérément évitée par P. Kolosimo :
la Terre creuse).
Si l'on penche pour cette seconde hypothèse, il faudrait admettre la présence de fabuleux gisements d'uranium.(...)
Les américains, optimistes comme toujours, espèrent parvenir bientôt à une solution. Ils projettent déjà d'exploiter l'Antarctique non seulement comme une inépuisable source de minerais précieux, mais, -et à la lettre- comme un gigantesque réfrigérateur.
Ils ont eu cette idée en constatant que des vivres, abandonnées là-bas depuis très longtemps par des explorateurs polaires, furent retrouvés en parfait état, intacts du point de vue goût et valeur
nutritive. Il semblerait que sur tout ce continent existe un antibiotique qui, avec le concours du froid, arrête le processus de décomposition et immunise de toute infection bactérienne la faune indigène dans son ensemble : baleines, phoques, pingouins, mouettes, albatros. Beaucoup de savants s'occupent du phénomène et pensent que la substance en question est contenue dans le plancton dont se nourrissent plus ou moins tous les animaux que nous venons de citer. Il est inutile de dire que si ce mystérieux médicament était identifié, il fournirait une arme puissante contre les maux qui affligent l'humanité."
Fin de citation.
Fossiles, arbres et fougères géantes, mystérieux antibiotique qui assure une vie plus longue, voilà une façon de parler de la Terre creuse sans prononcer le mot. Sans parler de l'expédition allemande Schwabenland suivie de celle de Byrd en 47. Peter Kolisimo essaierait de nous dire des choses qu'il ne s'y prendrait pas autrement. Mais je te laisse en tirer les déductions qui s'imposent. On peut se demander ce que sont pourtant devenues ces recherches qui auraient pu sauver l'humanité de bien des maux. Et comme j'ai une bonne mémoire, voici à présent des extraits d'un article tiré du site de la Nasa : http://science.msfc.nasa.gov/current/event/osu.html et traduit par le site très instructif d'Ufocom :http://www.ufocom.org/.
"Des chercheurs ont découvert des colonies de bactéries prospérant sous la glace du plus froid et du plus sec désert sur Terre(...) L'étude a eu lieu sur les lacs recouverts de glace dans les Vallées de McMurdo en Antarctique .(...) Dans un environnement aussi froid et sec, les scientifiques de l'Université d'État de l'Oregon et de quatre autres institutions ont trouvé des poches d'eau liquide encastrées sous 1,8 mètre de glace, où une combinaison de sédiments, d'eau, et de rayonnement solaire durant les longs jours d'été, a entretenu une population de bactéries.(...)"Elles ont leur propre petit monde et nous n'en connaissions rien déclare Stephen Giovannoni , professeur associé en microbiologie à l'Université d'État de l'Oregon.(...) Des recherches passées ont été stoppées par manque de financement, déclare Giovannini, les agences semblaient peu sûres que l'étude des bactéries, de leur évolution et de leur comportement, puisse avoir une valeur pratique. Mais de nouvelles applications de la recherche bactérienne, pour comprendre le cycle global du carbone, créer de nouveaux antibiotiques ou enzymes pour une utilisation industrielle, ont provoqué un regain d'intérêt, dit-il."
Nous attendons encore ces antibiotiques qui devraient résulter de toutes ces expériences passées et présentes.
AmicalementComme vous le voyez, chers internautes les interrogations se bousculent et s'entrelacent sur ARTivision . Notons en passant que la relecture du livre précité de Kolosimo, après 27 ans, nous y a fait découvrir aussi 18 pages superbes sur le Yéti qui nous avaient complètement échappées, lors de l'élaboration de notre article à ce sujet. Comme le "hasard" fait bien les choses n'est-ce pas ?...
Hubble a observé Cérès pendant une rotation complète
(9 heures) afin de confirmer l’homogénéité de sa forme. (NASA/ESA/Parker,
Thomas, McFadden) |
Vous constatez effectivement, comme le souligne l'internaute Claude, que dans cet entrefilet, il n'est question nulle part de cette lumière éclatante qui éclabousse Cérès. Est-ce un reflet de la lumière lointaine de notre Soleil sur de la glace de l'astéroide? Aucune suggestion, ne nous est proposée. A vous de juger ce mutisme notoire.
Sur |
le site : http://permanent.nouvelobs.com/sciences/20051129.OBS6960.html
Signaux de fumées sur
Encelade
La sonde Cassini, qui se promène dans le monde saturnien depuis plus de quinze mois, a livré de nouvelles images de l’activité en partie inexpliquée qui se déroule au pôle sud d’Encelade, l’une des lunes de Saturne. Profitant du fait qu’Encelade était éclairée à contre-jour par le Soleil, la sonde a pris des clichés révélant la présence de jets de vapeur et de poussières émanant du pôle sud, qui abrite vraisemblablement les régions les plus jeunes de cet astre très réfléchissant. Les images en fausses couleurs permettent de faire ressortir ces panaches de particules qui s’élèvent à plus de 100 kilomètres au-dessus de la surface d’Encelade. Les chercheurs qui analysent les données s’interrogent sur l’origine de ces volutes. Leur présence est cohérente avec l’hypothèse d’une activité géologique au pôle sud d’Encelade. Ces jets de vapeur et de glace pourraient provenir de geysers qui s’échappent du sous-sol d’Encelade, ou bien de l’évaporation de glaces en surface. Les différents survols d’Encelade par Cassini ont révélé la présence d’une fine atmosphère autour de cette lune, atmosphère qui serait renouvelée en permanence, la faible gravité d’Encelade ne pouvant pas la retenir bien longtemps. Depuis le passage de Voyager au début des années 80, les chercheurs soupçonnent Encelade d’être géologiquement active et d’alimenter de glace l’anneau E de Saturne. Cécile Dumas(29/11/05) Fin de citation |
Alors qu’elle était en route pour Saturne, la sonde Cassini-Huygens a fait étape près de Jupiter et en a profité pour mitrailler la géante. Les scientifiques viennent d’assembler 36 photographies qu’elle a prises entre le 11 et le 12 décembre 2000 pour produire la plus détaillée des cartes de Jupiter jamais réalisée en couleur ! Centrée sur le pôle Sud, l’image ainsi obtenue montre des détails de seulement 120 km de large. On y distingue plusieurs structures cycloniques (les nombreux petits ovales blancs), les vents équatoriaux appelés points chauds (la zone circulaire en bleu gris située vers l’extérieur) ainsi bien-sûr que la tâche rouge de Jupiter (l’ovale rougeâtre en haut à gauche), une gigantesque tempête qui agite l’atmosphère de la géante depuis plus de trois siècles. Émilie Martin
Ce qui nous préoccupe dans cette photo de Jupiter c'est évidemment cette partie:
"Ce n'est pas la lumière qui manque... mais c'est le désir de voir qui fait défaut" d'après Lionel Hubert: "les phénomènes Psi" aux Editions F. Lanore, Avril 83, page 61.
"Le secret de la vie n'est pas d'avoir tout ce que l'on désire, mais de vouloir tout ce que l'on a" d'après N.D.Walsch : " L'amitié avec Dieu " aux Editions Ariane, Début 2000, page 88.Fin de l'article.
IDYLLE Fred