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Une affaire de gravas projetés sur la Lune


Introduction


     Cet article est un prolongement direct de notre article : "L'Amérique :"le choc en retour" "

      En effet le paragraphe qui a trait aux bizarreries de la celèbre photo d'Apollo 16, va être développé plus avant ici, car il est d'une formidable importance et nous pensons que lorsque cette affaire sera examinée par des spécialistes en photographie, plus aucun doute ne sera permis sur le fait que le débarquement sur la Lune des américains n'a été qu'un énorme canular, le plus énorme jamais mis en scène par une nation.

Genèse de l'affaire.


     Reprenons, voulez vous, la genèse de cette stupéfiante affaire :

     Le Dimanche 6 Février 2005, nous avons pu enregistrer le volet de 30 minutes de la chaîne "Planète Choc", intitulé "l'espace intersidéral" de la série d'émission " théories du complot".(Voir l'image ci-dessous).



    Le producteur David Percy examine depuis des années les photographies de la Nasa montrant les évolutions des astronautes sur la Lune. Il est convaincu d'avoir trouvé la preuve qu'il s'agit d'une vaste farce. Mr David Percy, en présentant la photo célèbre NASA AS16-107-17446, d'Apollo 16 :



nous dit ceci : " Regardez la roche en bas à gauche de cette photo (flèche rouge).

     David Percy nous explique:

   


    On y voit écrit dessus la lettre C. Pourquoi une lettre de l'alphabet devrait-elle être écrite sur roche de la surface lunaire ? Il s'agit certainement d'une roche utilisée par des studios de cinéma et cette lettre désigne un emplacement précis"


Commentaire à chaud du webmaster : Certains détracteurs n'ont pas hésité à dire que cette lettre C, comme le + placé à côté et utlisé pour le cadrage de la photo, n'est pas sur la roche, mais correspond uniquement, a des repères sur la pellicule. Mais hélàs, aucun d'eux n'a été capable de présenter le négatif en question avec le C correspondant. Donc, on en déduit qu'il s'agit bien, d'une erreur de manipulation de cette pierre, (en zone de simulation, au Névada bien sûr), et pierre qui devait être tournée à l'opposée, pour que cette lettre n'apparaisse pas sur le film.

    D'ailleurs une autre question se pose : Vu le cheminement suivi par la jeep lunaire, il semblerait qu'elle a traversé l'espace où se trouve ce gros caillou à la lettre C. Vu que le chassis de la jeep est plutôt bas, cette dernière, aurait dû rester coincée sur le gros caillou en question. A vous de juger .

     Pendant que nous y sommes, en reconsidérant cette photo d'Apollo 16, nous allons ici, vous apporter en exclusivité, une autre preuve bien plus accablante que cette affaire de lettre inscrite sur une roche.

    En effet, dans son ouvrage intitulé "Lumières sur la Lune: le grand doute" paru aux Editions Carnot fin 2000 l'ami Philippe Lheureux (qui ne tient déjà pas la NASA dans son cœur) , a supposé page 40, que l'astronaute qui a conduit la jeep, où elle s'est arrêtée, est vraiment un piètre chauffeur pour l'avoir fait grimper sur un énorme rocher (au risque de casser un essieu ou quelque chose d'autre) et qu'il a aussitôt après, en plus, braqué brusquement à 90°.

    Mais analysons, voulez-vous, de plus près, cette photo :



    Nous y avons placé deux flèches rouges, extrêmement importantes :
 
 La flèche n°1 , nous montre que les dessins de la roue de droite de la jeep arrivent tout à fait au bord d'un petit monticule de roches, comme si ces dessins passaient en dessous de ce monticule. Mais , seul un agrandissement géant et une très fine analyse faite par des infographistes chevronnés pourront nous le confirmer.
 
Pour la flèche n°2, tout devient plus clair. Regardez bien en effet, la trace gauche de la rainure de la roue en question, trace qui démarre d'une manière trés proche derrière le rocher, et trace, qui ne devrait pas exister, si la roue était montée vraiment sur ce rocher.

      Avec les faibles moyens à notre disposition, soyons voulez-vous, encore plus pragmatique :

      Nous avons justement le privilège de possèder justement un poster de 47,5 cm sur 40,5cm, de la fameuse photo d'Apollo 16, ci-dessus. Nous avons donc scannérisé la roue arrière de droite de la jeep :



qui serait soi-disant montée sur l'autre gros caillou de droite. Et découpant cette roue et en la plaçant, à peu près au dessus du caillou, voilà ce que nous obtenons grosso modo, avec évidemment la perspective en moins :



     Bien que notre montage, soit très peu régulier, et nécessiterait une mise en forme schématique mieux faite par des spécialistes en graphisme, on voit parfaitement la marge qu'il y aurait de trop, sur la rainure gauche de la trace de la roue, au cas où, celle-ci serait vraiment montée sur le rocher.

     Voila encore grosso modo en rouge, la trace qui ne devrait au moins, pas apparaître, sur le terrain :



     Un aimable internaute X, à qui nous avons demandé de nous donner son avis sur le fait que la jeep n'a pas pu monter sur le rocher pour laisser la trace visible sur la photo nous a répondu :"... Je ne puis donner un avis autorisé car bien que photographe averti, je n'ai pas de spécialisation reconnue en retouche et trucages photographiques" .

     Nous lui avons, alors, répondu que dans cette affaire, il n'est pas question de retouches ou de trucages photographiques, (bien que cela existe aussi sur cette photo), mais simplement d'appliquer un raisonnement basé sur une logique formelle que même un élève de sixième peut comprendre. Si la roue de la jeep est montée sur le rocher en question, il est alors impossible que la trace laissée par cette roue soit parfaitement collée au rocher. Il doit y avoir un espacement vide de trace au bord du rocher. Pour être plus clair, voici une explication très schématique que je n'ai pas encore mis sur mon site car j'attends qu'un dessinateur me fasse la roue à l'échelle de l'image. Dans le schéma suivant en imaginant une roue plus à l'échelle, les deux flèches encadrent à peu près, au moins , la partie de la trace qui ne devrait absolument pas exister si la roue était vraiment montée sur le rocher. C'est clair et net et sans bavures.

     Autrement dit, le rocher et la terre avoisinante, auraient été placés accidententellement sur les traces de la roue, ( à la suite, par exemple d'un terrassement sur le sol voisin en dehors de la photo), après le passage du véhicule. Si ceci est confirmé par des spécialistes qui travailleraient sur les documents originaux, (que je n'ai pas), il en résulterait alors des implications énormes, car on ne voit pas du tout pourquoi, un astronaute sur la Lune, considérablement gêné aux entournures dans son scaphandre plutôt rigide (il ne peut même pas se baisser pour rammasser un outil tombé sur le sol) , va s'amuser à projeter de la terre et de gros cailloux, sur les traces du passage d'une jeep. Ce serait donc une photo, faite sur Terre, dans le centre de simulation, où la terre a été remuée maladroitement pour une raison ignorée, et elle est venue couvrir le dessin de la roue de la jeep, avant que l'on ait pris la photo en question, et cela sans que le photographe de la NASA s'aperçoive de ce détail scabreux.

     Nous attendons avec déférence l'infographiste qui pourra reconstituer correctement cette situation.

     Mais n'importe quel bon photographe peut déjà donner son avis sur cette affaire très claire.

Ceci s'adresse d'ailleurs à tout internaute quelconque, bien curieux, et mieux à tout photographe professionnel , je demande de répondre à la simple question clef qui est la suivante : La jeep est-elle oui ou non, montée sur le rocher dont nous présentons le schéma, en considérant évidemment les seules traces laissées sur le sol ?

     Aux spécialistes de répondre au sujet de cette étrange anomalie, et à ce nouveau gros point d'interrogation, qu'ARTivision soulève ici, en avant première, et qui est une affaire si dérangeante que certains écrivains, parlant des choses de l'espace, et à qui nous l'avons soumise, n'ont pas encore osé donner leur avis à ce sujet.

     Mais, nous nous sommes aperçus récemment, que cette photo d'Apollo 16, possède encore une étrange anomalie, qui pourrait confirmer les scrupules de l'internaute X , dont nous avons parlé plus haut, car en effet, regardez la photo suivante :



     Vous avez donc bien remarqué sur la droite du rocher ci-dessus, une partie du + pouvant servir, on le suppose, au cadrage des éléments du paysage comme le quadrillage établi par les archéologues sur le site d'un terrain ou sous la mer. Ces + devraient toujours se situer en avant des objets de l'image. Mais un très aimable internaute "PL", nous fait remarquer que justement cette photo NASA AS16-107-17446, possède à ce sujet une anomalie notoire que l'on découvre sur la photo suivante :



     Comme vous le voyez, la branche horizontale gauche du +, passe bien derrière le bout de l'objet de forme rectangulaire et même aussi un tout petit bout de la branche verticale du bas de ce + disparait, lui aussi, derrière l'objet. Ceci pourrait être la preuve absolue que cette photo a été réalisée par la juxtataposition de plusieurs photos et l'opérateur de la NASA, ne s'est pas rendu compte de l'erreur lors du montage. Et donc, on a peut-être voulu ajouter des gravas au premier site, et voilà ce que cela a donné. A vous de juger encore, tout cela !.

Conclusion


     Evidemment toutes les réponses de quelque nature quelles soient, seront mises en ligne, pour que jaillisse enfin une vérité profonde et tangible sur cette affaire, dès lors, si contestée, des "aventures lunaires" des Américains.

     Voilà en effet de petits détails qui changent pourtant tout, et qui prouveront résolument après étude, que cette photo d'Apollo 16, a été prise sur Terre et non sur la Lune. Donc que la NASA, nous a bel et bien bluffés, lamentablement.

     Bon courage, et vives découvertes aux futurs chercheurs.

          Fred Idylle

     Un internaute a réagi "vivement" à notre propos et comme cela tombe bien, pour nous inviter à faire une petite synthèse, des éléments de cette affaire extraordinaire , nous vous transmettons donc certains extraits de cette missive et aussi notre réponse annexée :

----- Original Message -----
From: Z.......@aol.com
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Monday, June 27, 2005 12:52 PM.
Subject: Re: Du nouveau sélectif sur ARTivision .....

    Bonjour,

    Je réagis à votre e-mail concernant la jeep lunaire et les gravats. En effet, même si je trouve certains articles de votre site divertissants, celui-ci est vraiment tiré par les cheveux.
    Ayant une solide formation en électrotechnique et étant amateur de mécanique, je me suis rapidement renseigné sur les caractéristiques techniques de la Jeep lunaire et à mon avis, ces quelques malheureux cailloux n'ont pas dû beaucoup gêner le passage de la Jeep et si j'avais été à la place des astronautes je me serais bien amusé à faire passer la jeep dessus car avec une attraction 6 fois moindre que sur Terre, ils ont dû bien se marrer !

    La jeep avait 4 roues motrices et directrices ce qui lui donnait un rayon de braquage d'à peine 3 mètres, autant dire qu'elle pouvait quasiment pivotée sur elle-même, donc si les traces de pneus partent dans tous les sens c'est pas étonnant, de plus avec la faible gravité le moindre nid-de-poule la faisait rebondir surtout vu le fort débattement des amortisseurs et la hauteur des bandes de roulement des pneus.

    Pneus qui d'ailleurs étaient en cordes à piano tressées comme une côte de maille, alors les cailloux !! heu...ça passe tout seul.

    De plus, la puissance des moteurs permettait de grimper des pentes de sable à 25°.

    Pour le C sur la roche, pour que ce soit un repère de cadrage, de montage ou un rajout sous photoshop ou autre, la lettre aurait dû être inclinée vers l'arrière, si elle avait été sur la pierre. Or elle est droite.         Exemple pour m'amuser :



    Le même C mais sur la Jeep. (3min sous photoshop.)

    Ne soyons pas trop crédule,,, prudence ..

        Amicalement,

        Zev.

     Fin de citation..      Et voici quelques éléments de notre réponse à cet internaute avec en plus aussi quelques détails ayant trait à l'affaire extraordinaire du Paris Match 1028. C'est en somme une sorte de résumé des points de détails importants, connus déjà des internautes fidèles à ARTivision :

----- Original Message -----

From: fred.idylle
To: Z...........@aol.com
Sent: Tuesday, June 28, 2005 5:25 PM
Subject: Re: Du nouveau sélectif sur ARTivision .....

    Cher internaute

    Rebonjour des Tropiques


    En fouillant dans mon dossier éléments envoyés , je découvre que je vous ai déjà envoyé 3 missives dont une très importante du 12/08/04. Elle avait pour mission de vous mettre en lumière les tenants et les aboutissants du site ARTivision chaque petit détail compte . En effet chaque événement mis en exergue dans un article est soutenu souvent par d'autres éléments non explicités dans l'article pour ne pas trop le surcharger.
 
  Vous m'aviez très gentillement représenté en 3D , l'étrange structure du Paris Match 1028, mais je vous avais fait remarquer qu'il y manquait les sphères du bloc central et surtout j'avais insisté sur le fait que tant que l'on n'aura pas mis la main sur le négatif utilisé par Paris Match pour imprimer la page 33 de sa revue 1028, les spéculations à ce sujet seront pour moi non significatives et vaines.
 
     Inutile de vous dire que personne jusqu'à présent n'a pu découvrir où est passé ce négatif alors que le Paris Match fait l'objet de recherches des divers bouquinistes . J'en ai rencontré un à Montpellier en Juillet 2004 à qui j'ai dit pour m'amuser que je recherchais , ce Paris Math. Il me répondit que lui aussi, il le recherchait depuis pas mal de temps. je n'en fus pas du tout étonné et c'est alors que j'ai sorti de ma sacoche ce fameux Paris Match que j'avais emporté à tout hasard. Mon bonhomme en eu le souffle coupé surtout quand je lui ai montré la super-structure en question et qu'en plus je lui ai dit que c'était moi qui avais lancé cette affaire sur le Net. C'est d'ailleurs ce bouquiniste qui m'a fait avoir l'ouvrage la Terre de Sannikov dont j'ai fait un article désormais insérédans mon article chouchou, car j'ai eu beaucoup de plaisir à l'écrire et où en l'écrivant de nombreuses révélations surprenantes sont venues me réconforter..
http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/merlibre.html


    Vous qui faites confiance entièrement aux belles photos officielles, sachez d'abord que les scientifiques, qui se respectent,  n'iront jamais chercher des photos qui remettent en cause ce qu'on leur apprend dans les universités, même s'ils savent où découvrir ces photos, qu'ils se passent d'ailleurs entre eux sournoisement, sous le boisseau.

    Leurs approches scientifiques d'un phenomène  ne dépendent que de ce que l'on enseigne dans les universités. Dès qu'une information déborde du cadre en question, elle est systématiquement mise à l'écart et ces scientifiques ne prendront le relai, que lorsque les médias ou des sites comme ARTivision les pousseront dans leurs derniers retranchements.

   Par exemple, vous attendrez longtemps que nos scientifiques veuillent bien presenter dans une revue dite sérieuse, comme "La Recherche", une étude sur ceci qui pourtant a été découvert en Octobre 2000 sur l'asréroïde Eros .



    Vont-ils continuer à faire l'autruche et fourrer la tête sous le sable, je n'en sais rien, mais vous n'allez pas me dire que cet artefact  est venu là, sur Eros,  par l'opération du Saint-Esprit , et ces Messieurs les sceptiques, ne me feront pas croire, qu'ici, c'est encore  une illusion d'optique  Cette structure bizarre, pourtant très insolite , découverte sur l'astéroïde en question, n'a jamais fait la une, vous le savez bien, et je répète, jamais fait la une ,  des revues spécialisées....Cherchez d'abord où se trouvent les conjurés et vous avancerez grandement dans la connaissance de ces mystères qui nous environnent et qu'ARTivision s'évertue modestement à mettre en exergue depuis 1997.......

     Il faut que je vous dise en plus à ce sujet , que je connais l'écrivain ufologue Jean Sider (une dizaine d'ouvrages publiés) qui n'a pas l'habitude de prendre ses informations dans les revues à grands tirages.  Il écrit par exemple écrit directement au Gouverneur d'un état américain pour avoir, supposons le,  les rapports de police concernant les mutilations de bétail dans la région, ou il écrit même à la Maison Blanche, quand cela est nécessaire (voir les lettres dans son ouvrage Ultra top secret ces ovnis qui font peur) . Ce chercheur donc  a fini par admettre que j'avais raison au sujet du bidonnage de certaines photos de la Nasa, car je vais vous rappeler plus bas brièvement justement ce que déclare cet ami Jean Sider dans son article sur les visages de Mars  que j'ai bien voulu inclure sur mon site, bien que cette histoire de visage ne m'intéresse plus désormais, car les détracteurs et autres sceptiques  auront toujours beau jeu de déclarer en bombant le torse que ce visage sur Mars n'est en fait "qu'un caprice la nature".

Je vous transmets ce texte de lui extrait de l'article qu'il a placé sur mon site :
 
 http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/Sidervisages.html

" D’autre part, il existe une preuve officielle montrant que la NASA n’a pas ce profil honnête que ses dirigeants affirment aux médias quand elle est questionnée par le presse sur les données collectées par ses sondes martiennes. En effet, dans un autre domaine que celui qui nous intéresse ici, elle a été prise en flagrant délit de dissimulation de l’information par un membre du Congrès américain. Il s’agit du Représentant du  Michigan Howard Wolpe qui a révélé il y a plusieurs années que des enquêteurs du Congrès avaient fait un constat ahurissant. En conduisant des investigations sur un programme de réacteur nucléaire spatial SP-100 dirigé par la NASA, ils ont découvert deux pages d’instructions expliquant comment il était possible de contourner le Freedom of Information Act. Cette loi sur la liberté de l’information oblige, en théorie, à divulguer tout document ne mettant pas en cause la sécurité nationale à n’importe quel demandeur. Ces pages conseillaient de réécrire ou de détruire les documents réclamés, ou encore de les mélanger et de caviarder certains de leurs termes.(UFO Magazine, Vol.15, n°2, 2000, USA, p. 30.).  

De plus, dans le deuxième livre du chercheur Steven Greer, figure le témoignage de Mme Dona Hare. C’est une ancienne employée d’une firme sous-traitante de la NASA. Durant les années 1970 et 1971, elle a travaillé dans l’immeuble n° 8 de l’agence spatiale pour le compte de la société Philco Ford, qui avait un contrat avec l’agence spatiale.  

Un jour, elle est entrée dans le laboratoire de l’immeuble, car elle avait accès à la classification top secret. Il s’agissait d’un laboratoire équipé pour développer les photos et les films réalisés par les missions spatiales de la NASA. Le responsable de ce service était aussi chargé de « lessiver » les photos qui devaient être mises à la disposition du public. Par « lessiver », il faut comprendre le travail suivant: faire disparaître des photos tout ce que le public ne devait pas voir. Parmi les choses qui devaient être « lessivées », il y avait des ovnis.

  Mme Dona Hare prétend également avoir pu bavarder avec un homme qui faisait partie d’une équipe chargée de mettre les astronautes en « quarantaine », après chaque mission. Selon les confidences qu’il lui aurait faites, certains de ces pionniers de l’espace ont signalé avoir vu des ovnis suivre leur capsule en orbite terrestre. De plus, l’un des équipages s’étant posés sur la Lune (Note du webmaster : A l'époque où ce texte à été écrit, on se berçait encore d'illusions en admettant le débarquement sur la Lune avec les fusées Apollo), aurait vu trois ovnis sur le sol de notre satellite. Ceux qui auraient été témoins de ces faits auraient été incités à ne pas parler de ce qu’ils avaient vu et ont dû même signer des déclarations certifiant qu’ils s’engageaient à ne pas les divulguer en public. (Steven Greer, Disclosure, Crossing Point Inc., Crozet, VA, 2001, pp. 419-420).

Mark Carlotto, informaticien spécialisé dans les techniques numériques de l’image, a pu lui aussi constater que les analyses de la NASA de certaines de ses photos étaient très sujettes à caution. Il a également déclaré ceci:  

« Au lieu de répondre positivement aux chercheurs qui lui ont demandé de refaire des clichés plus performants du Visage, la NASA a eu un comportement négatif. Elle s’est moquée de la controverse sur cette anomalie et elle continue à adopter une attitude malhonnête envers les chercheurs privés » (UFO magazine, Vol. 16, n°1, 2001, USA, p. 42, article du Dr. Bob Hieronimus et son épouse Zoh « Did JPL Deliberately Tamper with Evidence of a civilization on Mars ? ».).  

De nombreux chercheurs sont persuadés que la NASA possède un programme secret sur Mars et que sa politique est motivée par des intentions autres que le désir de faire avancer nos connaissances scientifiques. C’est surtout notable à travers ses comportements qui seront cités ci-dessous.

..................Un conseil pour terminer: N’ACCORDEZ JAMAIS LA MOINDRE ONCE DE CRÉDIT A CE QUE DISENT LES ORGANISMES ÉTATIQUES A PROPOS DES OVNIS ET DE L’EXPLORATION SPATIALE DE NOTRE SYSTÈME SOLAIRE. Ils ne sont pas payés pour dire la vérité au public dans ces domaines. Bien au contraire ils sont chargés de cacher la vérité sur tout ce qui s’oppose aux dogmes en place dont se satisfont les gouvernants. "

    Fin de citation .

    Si donc par exemple, vous voulez avoir des photos authentiques des pôles de la Terre et aussi des photos de ce qui se passe sur les autres planètes, ne comptez pas sur les déclarations et documents officiels.

    Aussi vu le nombre de sites français et américains qui pullulent actuellement sur cette affaire de photos truquées de la Nasa, je suis très étonné que vous vous fassiez l'avocat du diable dans une cause déjà perdue d'avance.


    En effet vous écrivez "...si je trouve certains articles de votre site divertissants, celui-ci est vraiment tiré par les cheveux."

     Sachez cher internaute bien rationaliste, que rien de ce qui est exprimé sur ARTivision, n'est prononcé à l'emporte pièce et que de plus, je crois vous l'avoir dit dans ma missive du 12/08/04 que sur ce site le hasard n'a pas sa place et que tout ce qui s'y passe est particulièrement étrange...

    Précisons donc encore de quoi il s'agit :  Peu importe que la jeep lunaire ait eu des performances d'un 4X4 moderne sophistiqué capable de grimper sur  des montagnes de roches, c'est justement au contraire, le fait que cette jeep n'a pas pu logiquement grimper sur le rocher en question vu la nature des traces apparentes, que des infographistes vont vite confirmer quoique vous en pensiez. Alors se posera la question incontournable: " Pourquoi un astronaute sur la Lune, considérablement gêné aux entournures dans son scaphandre plutôt rigide, (et qui ne peut même pas se baisser pour ramasser un outil tombé de ses mains) , va s'amuser à projeter de la terre et de gros cailloux, sur les traces du passage d'une jeep ?".

  Voilà la question clé qui se posera quand les infographistes auront démontré noir sur blanc, mon hypothèse, ce dont je ne doute pas une seconde, et hypothèse qui semble vous avoir complément échappé vu que vous parlez de la performance de la jeep, ce qui n'a rien à voir avec la question à étudier.

    Aussi vu le nombre de sites français et américains qui pullulent actuellement sur cette affaire de photos truquées de la Nasa, je suis très étonné que vous vous fassiez l'avocat du diable dans une cause déjà perdue d'avance.

    En effet vous écrivez "...si je trouve certains articles de votre site divertissants, celui-ci est vraiment tiré par les cheveux."
     Sachez cher internaute bien rationaliste, que rien de ce qui est exprimé sur ARTivision, n'est prononcé à l'emporte pièce et que de plus, je crois vous l'avoir dit dans ma missive du 12/08/04 que sur ce site le hasard n'a pas sa place et que tout ce qui s'y passe est particulièrement étrange...

    Précisons donc encore de quoi il s'agit :  Peu importe que la jeep lunaire ait eu des performances d'un 4X4 moderne sophistiqué capable de grimper sur  des montagnes de roches, c'est justement au contraire, le fait que cette jeep n'a pas pu logiquement grimper sur le rocher en question vu la nature des traces apparentes, que des infographistes vont vite confirmer quoique vous en pensiez. Alors se posera la question incontournable : " Pourquoi un astronaute sur la Lune, considérablement gêné aux entournures dans son scaphandre plutôt rigide, (et qui ne peut même pas se baisser pour ramasser un outil tombé de ses mains) , va s'amuser à projeter de la terre et de gros cailloux, sur les traces du passage d'une jeep ?".

  Voilà la question clé qui se posera quand les infographistes auront démontré noir sur blanc, mon hypothèse, ce dont je ne doute pas une seconde, et hypothèse qui semble vous avoir complément échappé vu que vous parlez de la performance de la jeep, ce qui n'a rien à voir avec la question à étudier.

  Mes nombreux articles sur ce qui se passe du côté de la Nasa, démontrent clairement, à mon humble avis bien sûr,  que presque toutes les photos des missions Apollo, montrant les évolutions des astronautes sur la Lune, sont manifestement truquées et se sont désormais de multiples sites (dont plusieurs américains même) qui ont emboîté le pas à ARTivision . En voici deux  parmi des dizaines:
 
 http://www.lidealiste.com/article.php/id/107
http://www.think.cz/books/NASAMoonedAmericaEN.html

    Je vous rappelle que mon article intitulé :"La Nasa devant le grand jury fédéral ? " , date du 21/08/98 , et donc qu'ARTivision est bien un précurseur dans cette affaire.
 
    D'ailleurs vous semblez l'ignorer , c'est un américain même , qui le premier a tout dévoilé, à ces risques et périls dès 1976 . En effet tout cela est décrit parfaitement par un nommé  Bill  Reid  Kaysing dans un ouvrage paru aux USA en cette année,  et  intitulé  "We never  went to the Moon" publié par la Société of  Metaphisicians LTD

     Bill  Reid  Kaysing n'est pas le premier venu dans cette affaire car c'est un ingénieur à la retraite de la société  Rodketdyne qui construisait à l'époque, les moteurs d'Apollo.  Cet ouvrage, on s'en doute n'a jamais été traduit en français et est tout simplement le précurseur incontestable qui avait déjà à l'époque flairé le Gigantesque  Buff , à l'égard de l'humanité, que représente le prétendu débarquement des astronautes américains sur la Lune par les "fusées Apollo".

     Il est aussi à noter que je n'ai pu avoir une copie de l' ouvrage de Bill Reid Kaysing qu'en fin 2000, grâce à l'ami Philippe Lheureux , auteur, vous le savez certainement, de l'ouvrage intitulé "Lumières sur la Lune : Le grand doute" paru aux Editions Carnot fin 2000 . Donc ce n'est qu'à la fin de l'an 2000, que j'ai acquis la conviction de l'existence du Grand Bluff et en conséquence tous les articles venus avant n'en tiennent pas compte.

 Dans mon article extrêmement détaillé que vous ne semblez pas avoir lu ou lu en diagonale:
 
J'ai écris ceci :
 
" Notons en effet aussi, ce fait important : Le 15 juillet 1975 fut lancé le vaisseau soviétique Soyouz 19 avec les cosmonautes A. léonov et V. kubasov et ils effectuèrent 96 révolutions autour du globe terrestre. Cette mission aurait été parfaitement routinière et sans intérêt majeur pour les médias si l'un des derniers vaisseaux américains Apollo, ne s'y était pas venu amarrer pendant deux jours. Toute la manœuvre d'approche et le passage par le sas de contact, des visiteurs américains : T. Stafford , V.Brand et D.Slayton ont été largement filmés et retransmis dans tous les télés, radios et presses du monde entier.Les deux équipages ont bien d'abord montré leur grande joie de se rencontrer et par la suite, ils ont expérimenté et testé les processus d'amarrage des deux vaisseaux pour toute nécessité ultérieure. Voir ci-dessous en effet, une photo de cette rencontre mémorable, montrant la joie profonde des astronautes :





    Mais justement maintenant, il nous vient à l'idée que la Nasa n'a jamais montré pour Apollo 11 ( ni d'ailleurs, chose bizarre, pour aucun autre vol d'Apollo), (à notre connaissance bien sûr: les internautes qui en auraient la preuve nous ferait un grand plaisir de nous l'envoyer ), ce qui serait somme toute tout à fait normal et bien chargé d'émotion, les retrouvailles des astronautes Armstrong et Aldrin revenant de la Lune et de leur compagnon d'infortune Collin, lui privé, hélas, du débarquement et qui est resté sagement dans le module de commande à attendre leur retour et à suivre leurs évolutions sur notre satellite. Or Collins n'avait-il à sa disposition à l'intérieur de la cabine une caméra pour filmer tout ce qu'il se passait à l'extérieur sur la Lune. Aux spécialistes de répondre "

   Quelle joie ce serait pour lui de filmer le passage, par le sas d'entrée, après un retour si périlleux de ses deux compagnons et de montrer ensuite ces photos  d'intense émotion au monde entier ? Non rien de tout cela ne nous a été présenté par la Nasa.  Seule la  photo suivante déjà jaunie par le temps demeure dans nos archives. Elle est tirée   d'un calendrier publié en 1971 par les Editions LYS (B -8500) Kortrijk imprimé en Belgique:

   Cette photo est accompagnée au verso de la légende : " Eagle de nouveau en orbite lunaire le 21 juillet 1969, vers 2 heures de L'après midi. Retournant au Module de Commande d' Apollo 11, Armstrong et Aldrin se trouvent dans le module de décollage, juste après leur lancement de la Lune.. Ils commencent ainsi la première partie de leur voyage de retour à la Terre. En haut sur la photo, notre planète à demi plongée dans la nuit, au dessus de la courbe de l'horizon lunaire."

  Pas de chance sur cette photo, nous aurions aimé voir fonctionner les tuyères des réacteurs d'approche, mais ce n'était pas sans doute, le bon moment, quand la photo a été prise....

   Cette photo agrandie apparaît aussi sur deux pages dans le n° hors série de la revue Ciel&espace de 1999 page 42 et 43 avec la légende: "Fin de la première aventure lunaire...ce 21 juillet 1969, l'étage supérieure du module Eagle se propulse vers son rendez-en orbite avec Colombia sur fond de lever de Terre" (C'est dommage que cette revue n'ait pas, elle non plus, pu nous montrer une photo du rendez-vous à l'intérieur de la cabine...)

   La caméra était-elle fixée à l'extérieur du Module de Commande pour réaliser la photo ci-dessus ? Il est important de le savoir, car nous le redisons encore spécifiquement, nous n'avons jamais vu, pour cette mission d'Apollo 11, ni d'ailleurs pour aucune autre mission Apollo, un seul cliché représentant l'arrivée des astronautes lunaires dans la cabine du Module de Commande...

  Tout de même, voilà deux astronautes qui ont risqué grandement leur vie sur la Lune, qui reviennent au bercail après des péripéties uniques en leur genre et qui sont accueillis, par un troisième compagnon, sans tambours ni trompettes, ni même une petite photo de souvenir ?...Ne trouvez-vous pas cela bien bizarre?  
Nous attendons vos appréciations...

   A propos de cette photo ci-dessus, pendant que nous y sommes, nous remarquons sur la Lune, à droite du vaisseau, une zone rougeâtre très caractérisée, qui n'apparaît plus ensuite, sur les autres photos ultérieures de notre satellite. Aux spécialistes de nous dire pourquoi?

  Mais d’autre part, de plus, nous pensons à un autre point clé (lié au précédent) qui prouve que les américains n’ont pas du tout explicité parfaitement cette affaire et gardent à ce sujet un secret terrible.

   En effet nous nous souvenons, que ces mêmes américains avaient eu, en Décembre 1965, un gros problème avec Gemini 6 ( avec les astronautes W.Schirra et T Stafford) qui n’a pas pu s’arrimer à un satellite cible qui devait être un étage de la fusée Agena spécialement équipée pour que le nez de la cabine Gemini 6 puisse s’y emboîter. Agena ayant échoué dans son lancement, la Nasa décide brusquement de modifier ses plans. C’est le vaisseau Gemini 7 (avec Fank Borman et J . Lovell ) qui servira de cible à Gemini 6. L’expérience devient alors peu spectaculaire, puisque l’arrimage étant impossible, le 15 Sept 1965, les deux cabines ne vont pouvoir que s’approcher à deux pas l’une de l’autre, et vont effectuer ainsi en tandem plusieurs révolutions orbitales.

   Le véritable rendez-vous avec la fusée Agena inhabitée n’aura en fait lieu qu’en Mars 1976 avec Gemini 8 (avec N. Arsmtrong et D. Scott).

    Nous n’avons pas trouvé d’exemple où des astronautes américains de deux vaisseaux Apollo différents (avant bien sûr la mise en orbite de la navette spatiale) se sont réunis dans la même cabine après un rendez-vous spatial programmé.

   Alors, on se demande comment ces mêmes américains ont pu réussir (comme dans un fauteuil) 6 rendez-vous lunaires sans aucune anicroche, à environ 400 000 km de la Terre, avec des ordinateurs très primitifs qui n'avaient même pas à l'époque la puissance d'une calculette actuelle d'écolier. Et cela en plus, malgré le terrible cône d'ombre électromagnétique que représentait la Lune, vis à vis de la Terre, en fonction des positions des éléments des vaisseaux à joindre.

   C'était donc là, l'un des moments les plus cruciaux de la trajectoire suivie par ces astronautes revenant de la Lune et, c'est là que nous avons le moins d'information et aucune image de cela.
 
fin de citation
 
   Si vous étudiez en plus le comportement aberrant de certains astronautes, on reste sidéré devant une telle attitude, car cela ne cadre pas du tout avec le stoïcisme et le caractère avenant que l'on prête en général à un héros de la nation et j'ai même proposé dans merlibre aux étudiants en psychiatrie ou psychologie de lancer une thèse à ce sujet .
 Dans mon article : http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/lettreouverteSA.html , j'ai écris ceci qui est d'une très grande importance:
 
"Mais il y a de plus, dans toute cette affaire, au moins une vérité indiscutable , C'est le fait que certains astronautes sont revenus de la Lune, totalement déboussolés et en particulier le premier d'entre eux Neil Armstrong qui est comme "un ours en cage" et ne veut, parait-il, plus entendre du tout  parler de la Lune, et surtout le second Buzz Aldrin qui aurait été interné deux fois et qui de plus, aurait prononcé cette phrase très insolite lors d'une interview: "On nous croit des héros, mais la Lune nous a brisés". Voir à ce sujet l'exceptionnel Paris-Match n° 1242 du 24 Fév. 1973 , dont le titre de l'article est à notre avis déjà, en lui même, très explicite: " Ils sont encore dans la Lune". Il y a donc bien anguille sous roche.  

    Pour  certains sceptiques, qui voudraient encore mettre en doute, par exemple,  nos déclarations sur Armstrong, l'homme qui, le premier, parait-il, a  mis le pied sur un autre "astre que la Terre" et qui aurait pu amplement en tirer profit par les contrats publicitaires faramineux qui lui ont été proposés, voici quelques phrases tirées de la page 99  de l'ouvrage très documenté de  Pietro Banucci  intitulé "La Lune" publié aux Éditions Bordas 1989 : "Après son débarquement légendaire, sur la mer de la Tranquillité, Armstrong se replie sur lui-même et évite, dans la mesure du possible, de parler du passé. Séjournant dans un quasi-exil à Cincinnati, il évite les journalistes et se contente d'un poste d'enseignant en technologie aérospatiale dans une université locale... A plusieurs  reprises, il émet des opinions négatives sur la NASA. En Décembre  1972 après la mission Apollo 17 qui marque la fin de l'exploration humaine de notre satellite, il refuse une invitation de la NASA à une cérémonie au cours de laquelle il aurait dû poser pour une photo avec les onze autres astronautes du programme Apollo. La photo de groupe est donc incomplète. En Juillet 79, il refuse de se rendre à une "party" à  laquelle l'a invité le Président Nixon... Il snobe également une réception donnée par l'ex-président en l'honneur des astronautes du programme Apollo dans sa villa du Pacifique en Californie...".   Arrêtons là, voulez-vous, ces propos significatifs,  qui justifient parfaitement, à notre avis,  notre expression  "Ours en cage", citée ci-dessus.

  Lorsque l'astronaute Armstrong a soi-disant débarqué sur la Lune (et cela 5 heures avant l'heure  prévue et pour cause),  il a flanqué la caméra dans une direction et elle n'a plus bougé.  Jamais il n'a fait (à notre connaissance bien sûr, et nous aimerions avoir la preuve du contaire) un panorama du paysage comme le fait tout alpiniste qui arrrive au sommet d'une montagne. C'est inadmissible, au prix où l'on avait soi-disant payé cette caméra. Des spécialistes ont démontré d'ailleurs que la caméra n'avait aucune protection contre les dures conditions qui régnent sur la Lune et que par conséquent, les films obtenus auraient été tous "brûlés"...  
Fin de citation..
 
Il existe en effet un dicton populaire qui dit en substance ceci :
 
"Celui qui a volé un jour, un œuf, peut aussi voler un autre jour, un bœuf.

  Or il y a au moins une photo des astronautes évoluant sur la lune dont on est absolument certain qu'elle est truquée. C'est la photo n° AS15-82-11057, où l'on voit le LEM (le module lunaire) qui est bien posé sur la Lune. On y voit un certain paysage bien net sur le fond. Or sur la photo AS15-82-11082, on voit exactement le même paysage de fond , mais le LEM n'y est plus là. Ceci est absolument impossible, car le LEM, une fois posé, il ne peut plus bouger et il devrait donc apparaître sur les deux photos, vu la profondeur du champ. Voir le détail de cette affaire dans le livre de Philippe Lheureux déjà cité et surtout dans mon article très corsé placé à :
 
   Tous ces détails s'accummulent progressivement et ne sont pas du tout comme vous le dites " tirés par les cheveux" et tout cela prouve bien que la Nasa nous a menti  et que les américains ne sont jamais allés sur la Lune avec aucune fusée Apollo et aucun Lem
 
nbsp;    Mais maintenant, je vais devoir monter , le niveau  ésotérique de cette missive et je vous invite d'abord (si vous avez parfois des palpitations cardiaques), à consulter dès maintenant votre cardiologue...

   Si les américains ont distribué de vraies pierres lunaires, parcimonieusement aux savants de la Terre pour étudier le sol de la Lune, comment les américains ont-ils pu les recueillir, s'il est démontré qu'ils n'avaient pas les moyens techniques de débarquer à ce moment là sur la Lune, à l'époque où les ordinateurs, je le redis, n'avaient même pas la puissance d'une calculatrice de lycéen. Revoir mon article :


 La seule manière que l'on puisse concevoir, c'est qu'ils sont allés sur la Lune par le moyen des ovnis des extraterrestres  (les Petits Gris) avec qui,  ils ont fait alliance bien avant 1969. C'est dur à encaisser n'est-ce pas ? Voyez cependant en détail la fin de mon article : 
 
et pour vous éviter d'aller patrouiller sur le Net,  voici le paragraphe très révélateur que j'ai mis en ligne dès le 23/07/2003:
 
e) Où Soria, très succinctement, parle de bases extraterrestres souterraines.

   De nombreux textes circulent ces temps-ci sur le Web parlant des Petits Gris qui auraient conclu des accords avec certains dirigeants de cette planète. Une très courte phrase de Soria en page 26 du 5è livre, semble confirmer au moins leur existence:

" Alors écoutez ceci : La vie se meut à la surface extérieure de cette planète (votre zone d'habitation) en poursuivant sa progression à l'intérieur de la croute Terrestre. (deuxième Zone) où résident des êtres (voir l'ouvrage Telos cité plus haut : note du Webmaster) hautement évolués ( il s'y trouve également des bases, très proches de la surface, habités par des extra-terrestres peu enclins à l'Amour et à la Lumière de Vie) et dans la troisième zone, le cœur de votre sphère de vie (Voir alors nos articles sur la Terre creuse: note du Webmaster). Vous abritez trois secteurs forts de Vie "

       La phrase en rouge ci-dessus est sans contestation relative à l'existence de méchants extraterrestres dans notre sous-sol, mais si ici, il n'est pas précisé ici que nos gouvernants ont pris contact avec ces êtres négatifs dans le paragraphe suivant, extrait  de notre article "Baiser maudit",   aucune ambiguité n'est plus possible à ce sujet  et tout cela tiré des pages 51 à 53 du  second livre de Soria: "- Maîtrise du corps ou  unité retrouvée " Sept.2001.
 
" Dans des coffres-forts cachés sous terre et bien gardés sont rassemblés tous les documents attestant des visites d'extra-terrestres et des expériences tentées sur eux. Vous pourrez lire également les traités signés entre vos gouvernements et les extra-terrestres peu scrupuleux de votre bien-être à tous. Vous êtes les esclaves des régimes en place. Aucun pays n'ignore ces traités. Nous avons pu observer toutes les réactions de vos gouvernants dans le but de garder leur pouvoir, jouant les apprentis sorciers avec des énergies qui les ont dépassés et mettant en danger l'équilibre de votre planète.

   Que dire de plus devant tant de révélations fantastiques, si ce n'est que nous avons dès le 9 octobre 2001 commencé la traduction très difficile d'approche d'un texte extraordinaire qui est la confession avant sa mort d'un officier de sécurité de la base militaire DULCE aux USA nommé Thomas Edwin Castello....A suivre dans l'article .
Fin de citation
 
  De plus, il faut désormais aussi que l'on revise totalement nos croyances à l'égard des soviétiques de l'époque. Ils ont évidemment été aussi contactés par les Petits Gris et c'est en accord avec les américains qu'ils ont profité des avances technologiques de ces derniers. Le concept de Guerre froide, instauré dans les années 60 et suivantes, n'est qu'un autre bluff, mis au point par les soviétiques et les américains, pour noyer le poisson et poursuivre en douce leur scélérate collaboration avec ces Petits Gris.
 
Les soviétiques n'auraient jamais abandonné, leur dur système politique, sans une raison d'Etat supérieure , à tout ce qui est économiquement et socialement valable. S'ils ont laché prise c'est parce qu'ils ont appris l'existence effective d'un troisième larron plus puissant que les américains et les soviétiques et donc que ces deux derniers pays, n'avaient plus aucune raison de se taper dessus.
 
 
 J'aurais eu bien du mal à croire cela,  si Soria n'en avait pas parlé d'une manière aussi claire.
 
Si vous relisez mon article :
 
 
vous y trouverez aussi ceci : "La photo qui sert de préambule à cet entretien avec cet astrophysicien , est accompagnée d'un petit texte explicatif, où nous relevons la boutade suivante, d'une grand-mère (qui aurait pu être la nôtre) à qui on apprenait, le 21 Juillet 69, l'arrivée des américains sur la Lune: "J ' y crois pas ! ils ont fait ça dans un studio... Ils nous ont tous bernés !". ".
 
Et bien d'après les dernières découvertes, que je viens de vous présenter ,  c'est bien elle qui avait raison.
 
 Mais, vous avez aussi cette page extraordinaire qui confirme bien tout cela :
 
 
 
D'autre part enfin, la cerise sur le gâteau est venue en plus, ces temps-ci, des pages :
 
 

      Bonne lecture donc, mais je tiens à vous avertir, qu'il est préférable pour le deuxième texte d'attacher solidement votre ceinture, car il risque d'y avoir de très sérieuses turbulences, et pourtant texte qui prouve qu' ARTivision, est bien situé à la croisée des chemins .

 Si donc vous croyez encore que sur ARTivision, les propos exposés sont tirés par les cheveux, abandonnez vite ce site, il ne pourra que vous mettre mal à l'aise, d'autant que nous n'avons même eu encore d'entretien, au sujet des phénomènes paranormaux, qui ont été à l'origine de la création de ce site.

        Vives cordialités tropicales
        Fred Idylle


     Fin de citation

Prolongement spéficique en date du 30/06/05.

      Nous avons plaisir aujourd'hui à rappeler que les américains ont déclaré avoir ramené de la Lune, 382 kg de pierres et poussières lunaires. D'après le Science&Vie n° 715 d'Avril 1977, 20 kg de ces échantillons ont été distribués à quelques deux cents laboratoires d'analyse dans le monde entier. Comme vous le voyez cette distribution ne représentait, à l'époque, même pas 6% de la masse totale, et il serait très utile de savoir, le nombre de laboratoires soviétiques qui ont été honorés de cette distribution.

     On sait en effet que les soviétiques, eux, ont nullement eu à risquer la vie de leurs ressortissants, pour obtenir ces pierre lunaires, car leurs Louna 16 et 20 rapportèrent automatiquement 130 g de sol lunaire. En Aout 1976, leur Louna 24 a creusé une carotte de 2m de long dans le sol de la Mer des Crises, de notre satellite et a rapporté 500g de matière lunaire. Cela a donc coûté bien moins cher aux soviétiques et il n'est pas interdit de penser que les américains n'ont pas jugé bon de leur donner encore des échantillons lunaires .

      Nous avons d'ailleurs donc été grandement surpris de découvrir une déclaration hors normes dans le n° "spécial An 2000" de la revue "Sciences et Avenir" paru dans la deuxième semaine de Janvier 2000, qui possédait un entretien très intéressant de Madame Sylvie Rouat avec l'astrophysicien Trinh Xuan Thuan.

     Voila ce que nous avons écrit dès le 15/07/2001 dans notre lettre ouverte à la revue "Sciences et Avenir" :

     " En effet l'article de Mme Rouat se termine par cette phrase extraordinaire et toute aussi surprenante pour une personne qui fait des articles de vulgarisation scientifique: " Soit un chapelet d'opérations coûteuses et compliquées, bien plus compliquées qu'un simple débarquement sur la Lune". Là, franchement, nous ne comprenons pas, car chacun sait que le débarquement sur la Lune, a représenté l'un des plus grands défis qu'il soit donné à l'homme d'affronter et qu'il était 50 fois moins cher, et bien plus aisé de faire comme les russes l'ont fait avec leur Luna 16, pour ramener les fameuses pierres lunaires. (Voir à ce sujet les importants numéros de Science&vie n° 623 d'Août 69 , article de Charles-Noël Martin intitulé "On avait déjà marché sur la Lune", page 45 et le n° 638 de Nov. 1970, article de Jean-René Germain intitulé "Luna 16 le kilo de pierres lunaires revient 50 fois moins cher qu'avec Apollo 11", page 72 ).

     Adressons donc un superbe "Bravo" à Mme Rouat, pour ce judicieux et subtil commentaire qui restera longtemps encore dans les mémoires. "

Fin de citation

     Quand à savoir si les russes ont eux aussi bénéficié des largesses technologiques des Petits Gris, si bien décrits par Thomas Castello et Phil Schneider, nous n'avons pas d'information à ce sujet, car il n'est pas utile de rappeler que côté KGB, rien de cette nature, n'aurait pu sortir au grand jour.

     Le 30/06/05, nous avons reçu de l'aimable intenaute M. T...o, l'adresse d'un site qui montre une sorte de confirmation indirecte de cette collusion, (à laquelle nous avons justement fait allusion), entre les russes et les américains, qui existe toujours :


     Cependant à titre uniquement de curiosité (car nous ne pouvons rien garantir sur l'authenticité de cette photo), voici, sans commentaires, un document qui prouverait que les américains ont bien eu des contacts avec, au moins une, " entité extraterrestre" :



Aux spécialistes des photos anciennes de nous en dire plus.

Autre prolongement prolongement spécifique en date du 03/07/05.


     Le 01/07/05, nous avons reçu la missive suivante d'un ami photographe de la Guadeloupe :

----- Original Message -----
From: j..........l@m......a.com
To: 'fred.idylle'
Sent: Friday, July 01, 2005 1:27 PM
Subject: RE: Encore du nouveau spécifique sur ARTivision...

      Salut Freddy ,

      J’ai une fois de plus examiné la photo douteuse et lu le courriel de l’internaute essayant de se persuader d’une certaine crédibilité à ce qui nous est montré par la Nasa sur cette photo d'Apollo 16.

      Deux éléments continuent à m’interpeller :

      - le manque de détail dans la trace laissée par la roue arrière droite de la Jeep après l’ascension supposée du gros caillou alors que le sol semble être assez poreux tenant compte du niveau d’enfoncement de la roue elle-même et la netteté des bords . La largeur de la trace matérialisée et celle de la roue l’ayant générée ne correspondent pas. Et l’absence des "dessins du pneu" est anormale .

      - Et surtout, puisque les 4 roues de l’engin sont motrices et directives suivant les propos de l’internaute, il manquerait de toute évidence 2 traces de roues sur 4 dès l’amorce du virage à gauche du véhicule.

      Pour ma part, je suis persuadé que la Jeep n’est pas arrivée à son lieu de pose photographique à partir de ses propres roues, mais qu’elle a été purement et simplement déposée. Les moyens utilisés pour ce faire sont multiples et des plus simplistes donc ne font appel à aucune prouesse particulière, surtout quand on est sur place .

      A tantôt,

      Jacques

     Fin de citation


      Merci à Jacques pour ses judicieuses suggestions. En effet vu que les traces de roues vont un peu dans de nombreux sens différents on peut imaginer que la jeep était déposé par un engin de levage (de la zone de simulation sur Terre évidemment) à chaque fois qu'on voulait faire une photo d'un astronaute soi-disant en action sur la Lune.(Voir aussi à ce sujet ,cette affaire de brouette traînée, dans le mystère n°3, de mon article Nasatangible.html)

     Que de surprises, nous réserve donc encore cette photo d' Apollo 16 ?

     Article mis en page d'abord à titre strictement privé le 26/06/05, et revu le 29/06/05, puis le 30/06/05, puis le 03/07/05, puis le 03/07/05, puis le 06/07/05, puis le 10/07/05, puis le 29/04/06, puis mis en ligne à titre public le 05/06/06 et revu le 10/06/06.

IDYLLE Fred

Pour tout contact avec ARTivision : fred.idylle@wanadoo.fr