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F.IDYLLE &COPY 1997

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Lettre ouverte à la revue 
"Ciel & espace"

I Introduction

   Nous avons à plusieurs reprises eu à évoquer les images présentées par cette revue comme par exemple  dans notre article "Remue-ménage cosmique" où nous avons analysé deux photos surprenantes du  n°340 de Septembre 1998 de la revue "Ciel & espace" concernant Ganymède le plus gros satellite de Jupiter, article dont l'adresse est ci-dessous:

 soit à http://perso.wanadoo.fr/artivision/docs/remucos.html 

   ou à http://chez.com/idylle/docs/remucos.html 

 

II La genèse de l' affaire.

Premier volet 

 Mais nous avons appris le 12/02/01,  grâce à la gentillesse  de l'ufologue (Spécialiste de l'étude des Ovnis et problèmes annexes) Christian Macé (qui nous a transmis une dépêche du Parisien en date du 12/02/01),  que la sonde Near (Near Earth Asteroide Rendez-vous) allait se poser incessamment sur l'astéroïde Éros (qui peut passer, grâce à son l'orbite elliptique jusqu'à  près de 300 millions km de la Terre) et que pour cette extraordinaire manœuvre, les techniciens allaient devoir viser très juste car Éros ne fait que 33km de long, sur 13 km de large et 13 km d'épaisseur.  La sonde  Near après avoir  parcouru plus de 3 milliards de Km , s'est placée, il y a déjà un an, en orbite  autour de ce gros caillou et elle l' a déjà photographié et analysé sous toutes les coutures en y détectant de l'aluminium, du magnésium et du silicium. Durant sa descente contrôlée, la sonde Near enverra de nouvelles  vues de l'astéroïde, qui pourront être récupérées en direct sur le site Internet :http://near.huapl.edu

  Le 13 /02/01 à 20H04 GMT, la sonde Near lancée le 17 fév. 1996 s'est  effectivement posé en douceur sur Eros, après avoir parcouru 3 milliards de Km et s'être mise mise en orbite autour de l'astéroïde dès le 14 Février 2000. On apprend aussi que les promoteurs de cette première spatiale n'estimaient d'ailleurs qu'à 1%, les chances de réaliser ce contact. (Le Parisien du 13/02/01)

  Remarque :Cet événement pourtant exceptionnel n'a fait l'objet de la moindre phrase dans le quotidien local de la Guadeloupe, tout au moins, du Vendredi 9 au Mercredi 13 Fév. 2001 ce qui prouve encore une fois que certains  journalistes préfèrent nous entretenir de ce qui parle du train-train quotidien, bien ancré au "plancher des vaches", en escamotant parfois un  "événement cosmique" (nous allons monté plus bas pourquoi) intéressant pourtant l'humanité entière.

  Or, justement (et ceci est à l'origine de cette lettre ouverte),   la revue "Ciel & espace", dans son  n°367 de Déc. 2000, qualifié par la revue elle-même, "d'exceptionnel", a publié page 88, une photo en couleur d'Eros qui nous laisse un étrange avant-goût de perplexité, vu les multiples autres photos "plus remarquables" d'Éros que  nous avons sous la main. Voyez vous-même la photo suivante de la revue en question:

 

   Mais en  Avril 2000,  cette même revue "Ciel & Espace" dans son n°359 publiait d'excellentes photographies d'Éros dont  nous choisissons ci-dessous une image parmi tant d'autres,  tout en précisant que les photocopies du scanner que nous utilisons ne sont jamais aussi nettes que les originaux de la revue, revue qu'il convient donc de se procurer si l'on veut découvrir davantage de détails, à moins de s'adresser directement à la Nasa, si l'on a cette opportunité. 

   Cela signifie que ceux qui ont choisi, dans cette revue l'image banale précédente d'Éros, l'ont fait en connaissance de cause et ne peuvent aucunement avancer le fait, qu'ils n'avaient pas mieux sous la main à nous montrer

  Chacun ses goûts, mais nous, qui aimons apprécier les "choses mystérieuses", aurions plutôt choisi cette image :

  Sur cette vue précédente , on aperçoit donc un cratère gigantesque de près de 6 km de diamètre et du fond de ce cratère des rainures strictement parallèles dont l'une se prolonge nettement à l'extérieur sur près de 5 km.(Voir image suivante:)

Mais ce qui frappe surtout le regard, c'est une structure blanchâtre très insolite sur le flanc gauche de ce cratère ayant des barres parallèles, coupant à angle droit un axe central, qui va du bord extérieur jusqu'au centre de ce cratère. Vers le bas de cet étrange nivellement apparaît quelque chose de plus bizarre encore, un quadrillage notoire et plus à gauche, on entrevoit une croix hélas, un peu flou que seule "la photo d'origine" peut nous permettre de mieux appréhender car notre scanner n'est pas assez performant pour être bien fidèle. (Voir l'image plus contrastée suivante:)

    Nous aimerions cependant recevoir de la part des "spécialistes de l'étude de planètes", une théorie ou même une simple explication sur la nature du phénomène cosmique connu (volcanisme, éraflures de météorites arrivant tangentiellement etc...) capables de nous informer sur la nature hors normes de cette érosion notoire sur Eros. Il n'est pas besoin d'être un géologue confirmé pour se rendre compte que l'explication (comme le propose l'auteur de l'article sur Eros de la Revue "Ciel & espace" n°239 D'Avril 2000) de ces bizarres structures par la mise à jour (à cause d'une rupture de l'écorce d'Eros qui ne serait qu'un morceau d'astéroïde, issu d'un corps céleste plus important ), de strates sédimentaires, ne tient pas du tout, (à notre avis bien sûr), en raison de la luminosité ponctuelle du phénomène qui prouve que ce "remue-mènage" est très récent et surtout très localisé.
Voici d'ailleurs, à ce sujet deux autres photos plutôt parlantes:

   Pour agrandir l'image précédente veuillez SVP cliquer:(ICI)

   Pour agrandir l'image précédente veuillez SVP cliquer:(ICI)

   Les détails de ces deux dernières photos doivent être, bien sûr, mieux analysées sur les originaux disponibles sur le site: http://near.jhuapl.edu (21 Août 2000 et 18 Dec.2000)  que nous a transmis le 18 Fév. 2001 l'ami ufologue Christian Macé.

Prolongement révélateur en date du 05/04/01

   En Avril 2001 cette même revue "Ciel & Espace" publiait dans son n° 371 une nouvelle photo de d'Eros (certes un peu moins  simpliste que celle du n°367 montrée plus haut ), où l'on aperçoit cependant, page 30, tout de même, quelques timides rochers (en anglais boulders) à peine décelables, alors que cette revue aurait pu sans problème choisir au moins l'une des deux photos précédentes , à notre humble avis, bien plus explicites. On dirait que les rédacteurs ne tiennent pas à recevoir un courrier trop gênant au sujet des anomalies caractérisées que nous avons détectées sur Eros. Voyez vous même la photo ci-dessous :


 A vous de juger... Mais si vous voulez des informations plus conséquentes sur les photos précédentes et bien d'autres concernant Eros,  prière de se reporter à l'adresse relative à "remucos" ci-dessous en fin d'article.

Autre photographie d'Eros en date du 2/05/2001 que nous reprenons de notre article "remucos".

  Terminons notre éventail, par la photo suivante, où nous avons placé quelques flèches pour mieux visualiser certaines structures significatives :

    En effet si vous scrutez le bout de la flèche n°1, vous apercevrez une structure très insolite en forme T, qu'il faudrait surtout bien analyser, tant elle est surprenante, ainsi que d'autres structures qui   se trouvent en bout de la flèche n° 2  un complexe  très extraordinaire de structures  où règnent un bassin  étrange ayant des  angles droits et  jouxtant  un ensemble de blocs insolites presque cachés hélas par l'ombre formée dans grand cratère. 

      En suivant la crête supérieure du paysage, les flèches 3 et 4 montrent aussi  très nettement  deux formations insolites formés de blocs très structurés avec bords apparemment parallèles. Le rocher au bout de la flèche n° 5,  lui,  par la projection de son ombre au sol,  nous montre qui a une forme très géométrique. 

   Il y a bien plus à voir dans cette image (comme certains bassins rectangulaires ou presque carrés, rainures parallèles etc...), que nous vous laissons le soin de découvrir par vous même . Des agrandissements fidèles et un traitement informatique, faits par des spécialistes pourraient s'avérer, ici , très utiles pour révéler, enfin, ce que l'on nous cache depuis des lustres. Avis aux amateurs

 Le  8 mai 2001 nous avons reçu du spécialiste en traitement photographique :Yves Vaillancourt  l'agrandissement suivant :

  Il est donc curieux que cette structure très insolite ci-dessus, n'a jamais été montrée en 3D par la Nasa et les médias spécialisés si avides d'images chocs. Un grand merci donc  à Yves Vaillancourt pour sa remarquable contribution à notre découverte d'Eros.

Nouveau prolongement révélateur en date du 28/11/01.

  Dans son numéro n°379  de Décembre 2001 la revue "CIEL & espace" publie, dans le cadre d'un dossier intitulé "Astéroïdes la grande traque" sous la plume de Jean-François Haït,  quelques rares photos d'Eros plutôt banales, sans doute judicieusement choisies pour éviter toutes questions inopportunes sur lesquelles nous avons repérés cependant quelques détails insolites. Notons d'abord qu'en interrogeant  Robert Farquhar directeur de la mission de Near-Shoemaker,  ce dernier nous  apprend que "La sonde Near a survolé  Eros à 2,7 km  d'altitude à peine .  Cela nous a permis de prendre près de 160 000 photos à haute résolution de sa surface sans compter les données des spectrographes infrarouge, X et gamma qui nous renseigneront sur la composition de l'astéroïde" . Comme nous aimerions analyser quelques unes de ces photos qui n'ont pas fait l'objet de publication sur Internet?

   Mais analysons maintenant, voulez vous, les propos, page 48 de J-F Haït,   au sujet de la surface d'Eros: " Celle d'Eros semble avoir été peu altérée au cours de ses pérégrinations..." Alors là nous ne comprenons pas pourquoi la revue a choisi justement de nous présenter cette vue d'artiste d'Eros criblée de cratères souvent alignés et  dont le relief est très accentué.(voir l'image1 ci dessous :)

  Notez bien que l'artiste a représenté vers le haut , vers le milieu, une série de 3 crevasses longitudinales strictement parallèles encadrées par deux lignes parallèles de plusieurs cratères équidistants. Regardez également les zones  légèrement blanchâtres sur la droite, on y distingue en sous-plan des structures assez surprenantes où règnent les angles droits et blocs parallèles. Bravo donc à  "l'inspiration" de cet artiste.

   Mais voyons maintenant ce que nous révèle l'auteur du dossier sur les fameux boulders (rochers blancs) cités plus haut que l'on avait jusqu'àlors  très peu vus dans les articles de cette revue "Ciel & et espace", concernant Eros. " Les images de Near-Shoemaker posent encore nombre de questions. Par exemple pourquoi ces rochers, résultats d'impacts, et cette poussière à leur surface se trouvent-ils là alors que la gravité d'un tel objet est aussi faible"

 Donc vous le voyez bien ces rochers souvent dressés verticalement posent bien problème aux spécialistes de la revue qui ne voient en eux que des résultats d'impacts causés en principe par le choc avec d'autres matériaux venus d'ailleurs. Soyons sérieux cette hypothèse ne tient pas du tout la route vu la netteté des structures de ces blocs. Mais voyons tout de même ce que nous dévoile enfin cette revue à ce sujet: (voir l'image 2 suivante:)

  Notez bien les ombres portées de ces blocs et les structures situées entre les deux petits blocs blancs en haut à droite où règnent des forment géométriques notoires. Notez aussi vers milieu du  bas de l'image un bloc à bord indiscutablement parallèles , hélas un peu voilé,  mais dont nous aimerions bien calculer la longueur si nous avions l'échelle de cette photo.

  Enfin sur la partie gauche de la photo d'Eros présentée, on distingue les traces de cette poussière citée plus haut et ici elle prend des formes géométriques particulièrement curieuses où règnent les lignes orthogonales. (Voyez donc l'image n° 3 suivante:)

  Notez aussi les nombreux rochers alignés et en forme de triangles en bas à gauche de l'image.  

Deuxième volet.

  Dans ce même n°367 de Déc. 2000 cette revue nous présente aussi une image que nous avons vainement recherchée dans nos dossiers et que nous venons de retrouver grâce à l'ingéniosité  et l'efficacité  très active notre ami Roch Saüquere   qui concerne les retrouvailles entre l'homme et la machine sur l'Océan des Tempêtes sur la Lune. En effet les astronautes Charles Conrad et Alan Bean, d'Apollo 12, auraient retrouvé le 19 Nov. 1969, la sonde Surveyor 3 qui s'était posée en douceur sur la Lune en 1967. Un des buts de la mission étaient précisément de visiter ce qui restait de cette sonde-robot et d'y prélever certaines parties métalliques et en particulier la caméra. Il s'agissait de  vérifier l'état de conservation de ce matériel, après deux ans et demi d'exposition aux micrométéorites, aux radiations cosmiques, au vent solaire et aux poussées  thermiques allant de -180 ° à + 120°. 

   Le 19/11/01, nous avons retrouvé dans le Paris Match n° 1073, que nous pensons être du  18 Nov. 1969 (il manque la couverture), cette portion de bande dessinée  réalisée spécialement par le grand dessinateur Hergé pour Paris Match à l'occasion de l'arrivée d' Apollo XII sur la Lune:

   Vous avez bien noté n'est-ce pas les termes employés: Elle est maintenant "Ocre pâle" et aussi : elle a été cuite par le soleilOù sont donc passées les photos couleur en question de la de la Nasa ? Décidément les anciens numéros de Paris Match possèdent des perles d'informations très révélatrices  à analyser méticuleusement.

  Or dans le numéro 1076 sorti le 20  Déc. 69 la revue  Paris-Match a publié 10 pages spéciales détachables consacrées à l'épopée d'Apollo 12 sur la Lune en Nov.69,  pages spéciales que nous avons heureusement conservées et intitulées "32 heures sur la Lune -D'Apollo 11 à Apollo 12, un formidable bond en avant ", et où nous lisons le passage suivant:

   " La rencontre des explorateurs lunaires et du robot est un instant émouvant . "Pour nous, il est plus précieux que le plus beau diamant",  dit Conrad qui constate que la carapace du Surveyor parait avoir été cuite par les 120 ° du midi lunaire. Ensuite Bean et Conrad détachent la caméra de Surveyor, des câblages, un panneau de verre et la main du bras articulé du robot. Avant de partir, ils photographient (ci dessous) les trois traces de pieds de Surveyor, le 17 Avril 1969, lorsqu'il rebondit avant de s'immobiliser sur le sol lunaire. Elles annonçaient l'empreinte historique des pas d'Armstrong en juillet dernier..."

    Vous avez bien noté l'expression "avoir été cuite" et aussi l'expression "annonçaient l'empreinte" que  nous préférons ici  remplacer par l'expression "corroborait l'empreinte".

Voici donc la photo en question retrouvée par l'ami Roch:

 

  Voici donc la photo que nous avons du pied de Surveyor :

   Comme vous le voyez, les photos  de ce Paris-Match montrant l'astronaute qui touche Surveyor 3, et le pied de ce dernier ont de superbes couleurs  que ne  nous montre pas bizarrement la photo en noir en noir et blanc de la revue" Ciel & Espace" de Déc. 2000 en question. Voici cette image :

 Vous retrouverez également  ces photos sur les sites de la Nasa où les couleurs jaunâtres, brillent par leur absence.

http://nssdc.gsfc.nasa.gov/imgcat/html/mission_page/EM_Apollo_12_page1.html
http://nssdc.gsfc.nasa.gov/imgcat/html/mission_page/EM_Apollo_12_page2.html
 

  Donc, il semblerait que les photos précédentes en couleur de Paris-Match  n'existent pas et c'est pourquoi  cette revue "Ciel et espace", qui aurait, nous l'admettons  tout de même, les  moyens de  retrouver le cliché d'origine en couleur de cette photo,  ne l'a pas présenté et  il est ahurissant de constater que c'est  Paris-Match qui a volontairement  "colorisé" son cliché "pour faire mieux". Donc comme vous le voyez "le choc des photos'" est plutôt bidon ici . Mais cette histoire de Surveyor (qui aurait été cuit par les 120 degrés lunaire) est-elle aussi "bidon" ??. Un tel événement mérite tout de même que l'on s'interroge à son sujet, mais la revue "Ciel & espace" a oublié, hélas, de nous en parler.

   

  Nous avons d'ailleurs, retrouvé cette photo noir et blanc de Surveyor 3, dans une ancienne revue américaine intitulée "People Press UFO Report" dans son n° de Mars 1975: Voici cette photo:

  Comme le papier de cette revue avait la même qualité que le papier journal, il est évident que la photo ci-dessus est moins lumineuse que celle de la revue "Ciel et espace", mais cependant  25 plus tard, cette revue ne nous apprend rien de plus aujourd'hui sur ce "jaunissement notoire", pourtant  insolite révélé par  le Paris Match en question. Affaire à suivre donc.  Aux spécialistes de répondre."Surveyor a t'il vraiment subi un changement de couleur insolite après ses deux années de séjour sur le sol lunaire et pourquoi exactement?  S'agit-il d'une "oxydation" que l'on veut cacher ? "

  Nous notons en passant d'après Paris Match, que Surveyor 3  a bien rebondi sur le sol lunaire en laissant des traces de pieds très nettes et profondes dignes d'un sol argileux (voir justement la photo couleur de Paris-Match ci-dessus) et peu compatible avec un sol poussiéreux ou sablonneux grillé ou durci par les conditions extérieures  extrêmes qui règnent sur le sol de la lune et que nous avons déjà mentionnées plus haut (radiations cosmiques, vent solaire et aux poussées  thermiques allant de -180 ° à + 120°.)

    On se souvient en effet que malgré ses 16 tonnes, le Lem (Lunar Excursion Module) n'avait, lors de "l'alunissage", pour Apollo 11, aux abords de ses pieds, montré, chose étonnante, aucun glissement ou ripage, sur le sol lunaire, comme on le voit pour Surveyor 3. (Voir à ce sujet la  photo de la Nasa AS11-40-5902 que l'on peut analyser page 36 du livre  de Philippe Lheureux: "Lumière sur la Lune" aux Editions Carnot Nov. 2000.)

     A vous de vous faire une opinion, et de poursuivre vos recherches  là-dessus.

Troisième Volet

  Dans ce même n°367 de Déc. 2000 de "Ciel & espace" nous avons de plus eu droit à la présentation, sans explication, d'une des photos les plus surprenante des missions lunaires, où l'on aperçoit, parait-il, l'astronaute Conrad circulant sur le sol de l'Océan des Tempêtes, les bras  chargés d'appareils formant un laboratoire Lunaire de près de 200kg et coûtant la bagatelle de 25 millions de dollars et qui comprenait un sismomètre, un appareil de mesure de poussière, un magnétomètre, un spectromètre, une analyseur d'ions et un instrument destiné à l'étude des éventuels gaz très raréfiés qui s'échappent encore de la croûte lunaire et qui formerait une atmosphère dont la densité est  soit disant bien plus basse, dit-on, que le meilleur vide jamais réalisé sur Terre. Voilà donc cette photo:

  Comme vous pouvez  le remarquer cette photo présente une superbe diffusion des rayons lumineux du soleil, diffusion qui ne s'explique que par la présence d'une épaisse atmosphère et non pas seulement par la diffraction de ces rayons lumineux au travers du verre de l'objectif de l'appareil photographique, comme on l'a si vite dit pour se débarrasser du problème. Pour ceux qui doutent encore qu'il y ait une atmosphère sur la Lune, voici un communiqué publié en Nov. 1995, par la revue "Sciences et Avenir" qui a pignon sur rue en matière de vulgarisation scientifique:

  Mais il y a de plus sur cette photo extraordinaire la présence de deux sources lumineuses totalement inexpliquées qui ont eu pour effet de plonger dans la plus grande perplexité, tous ceux qui s'interrogent vraiment sur les tenants et les aboutissants de l'épopée lunaire et sur les "cachotteries de la Nasa". De plus ces deux sources lumineuses bizarres ont été gommées comme par enchantement, sur la même photo en couleur page 66 de même Paris-Match n° 1076 de Déc. 69. Alors, Bravo tout de même à la revue "Ciel et espace" d'avoir eu l'audace de monter ces sources lumineuses, pourtant bien gênantes, puisque le "choc des photos" n'a pas été en 69, assez puissant, pour que Paris-Match veuille nous les montrer. 

A vous de juger tout cela !! Vous avez la parole: Atmosphère ou pas  sur la Lune ?...

 

III Conclusion

    Une  fois de plus,  nous voyons que l'information qui nous arrive,  par les médias, subit souvent une "distorsion relative", qui est discutable à tout moment et qui nous montre bien que l'on ne nous dit pas tout (surtout au sujet de ce qui est gênant).Nous pensons aussi fermement, que ce n'est pas pour rien que la Nasa s'intéresse à ce rocher Eros et que l'on ne dépense pas des millions de dollars pour simplement aller gratter le sol d'un gros caillou. Nous espérons que les "vraies photos qui posent problème", sur Eros ne seront pas encore une fois, camouflées par ceux là même qui devraient les mettre en exergue. Nous avons d'ailleurs dans notre article intitulé "remue-ménage cosmique"(voir l'adresse à "remucos" ci-dessous) explicité grandement, quelques interrogations substantielles sur la question.

   Il n'empêche que nous avons noté dans ce numéro de Déc. 2000 de "Ciel & espace",  ( qui mérite donc  bien le qualificatif d'exceptionnel, vu les interrogations qu'il nous a permis de soulever ), des informations révélatrices très utiles  et même péremptoires. Nous avons apprécié, par exemple, l'évocation succincte, page 38, de l'un des événements cosmiques, les plus inclassables, survenu en Sibérie le 30 juin 1908 et que notre ami le Dr Fabrice Bardeau, a bien voulu développé plus amplement sur notre site aux adresses suivantes:

http://perso. wanadoo.fr /artivision/docs/barsiber.html

ou http://www.chez.com/idylle/docs/barsiber.html

 Il y a aussi cet article page 42, intitulé "Comment Tintin est-il allé sur la Lune", où l'on fait un utile rappel sur l'ouvrage  d'Albert Ducrocq   prénommé :  "L'humanité devant la navigation interplanétaire " et édité en Octobre 1947 par CALMANN-LEVY  Editeurs dans la collection "Science et Humanité" dirigée par Roger Simonet.  En effet cet ouvrage, que nous gardons précieusement avec une certaine nostalgie, car il nous avait été offert, il y a bien longtemps déjà, à la distribution des prix en terminale, et qui résume  toutes les connaissances astronautiques et planétaires de l'époque, nous sera en effet fort utile, quand nous allons parler de certains  "contactés", qui ont osé contredire "les certitudes de leur temps" et par delà leur époque même, celles que nous affirmons actuellement. 

 A bientôt donc sur le Web...

  Si vous voulez plonger dans d'autres mystères planétaires, cliquez s.v.p sur les articles d'Artivision ci-dessous:
   http://perso. wanadoo.fr /artivision/docs/myslune.html
ou http://perso. wanadoo.fr /artivision/docs/match.html
ou http://perso. wanadoo.fr /artivision/docs/luneorth.html
ou http://perso. wanadoo.fr /artivision/docs/mars.html
ou http://perso. wanadoo.fr /artivision/docs/mercure.html
ou http://perso. wanadoo.fr /artivision/docs/remucos.html
ou  http://perso. wanadoo.fr /artivision/docs/Nasajury.html
ou http://perso. wanadoo.fr /artivision/docs/lettreouverteSA.html
ou http://perso. wanadoo.fr /artivision/docs/lettreouverteSVJ.html
ou http://perso. wanadoo.fr /artivision/docs/Gille.html
ou 
http://perso. wanadoo.fr /artivision/docs/RoseC.html

  Si vous voulez plonger dans d'autres mystères planétaires, cliquez s.v.p sur les adresses de sites ci-dessous:
   
http://www.multimania.com/autocoup/lune4.html/
ou 
http://www.cryogen.com/heliord/
ou 
http://www.multimania.com/sapiens/

PS. Le jeudi  15  février 2001, l'Agence France Presse publiait le communiqué suivant enfin relayé par France-Antilles:

ESPACE
La sonde NEAR toujours en service
    La NASA a décidé Mercredi de prolonger de dix jours la vie de la sonde NEAR Shoemaker, qui s'est posée lundi sur l'astéroïde Eros, afin de tenter d'engranger une moisson supplémentaire de mesures sur ta composition du sol de l'astre, a annoncé l'agence spatiale américaine. Après un long voyage de cinq ans, dont une année en orbite autour de l'astéroïde, et 3,2 milliards de kilomètres parcourus, la sonde NEAR a en effet survécu à son atterrissage sur Eros, une manœuvre jamais tentée auparavant dans l'histoire de la conquête spatiale.
Posée sans dommages sur cette petite planète morte en forme de pomme de terre oblongue d'environ 33 kilomètres de long sur l3km de diamètre,
NEAR est toujours en communication avec le centre de contrôle.

Fin du communiqué.

  Article mis en page le 12/02/01 et revu le 25/10/01et aussi le 6/12/01.

IDYLLE Fred

fred.idylle@wanadoo.fr

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